Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes

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s.n. 1918, 21 April. Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/rj48p5w27v/
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AN ON nos AUTES Nosse Gazette veut l'djoû totes les samainnes I COMITÉ DE RHDAGTION: | G. FONTAINE. — E. LAMBRECHT. — L. MARTIN. « • ♦ Lss manuscrits engagent la eesponsabilité de leurs au- î Administeation — Rédaction : ♦ teues et, comme les belges, ne se rendent pas. La cor- ; EMILE LAMBRECHT. — scestebweg 1694. ♦ eespondance doit nous parvenir le mercredi au plus tard. ; les abonnements commencent le dimanche de chaque mois. AVÏS a nos correspondants. Nous prions nos correspondants de bien vouloir noter le changement d'adresse des bureaux du journal. Toutes les lettres doivent être adressées: EMILE LAMBRECHT, Soesterweg 169*, qu'elles soient destinées à l'administration ou à la rédaction. Liège et Verdun. Liège et Verdun, deux cités glorieuses. Liège au nom clair et sonore comme la voîx de Chanteclair, la patrie du Coq Wallon qui, dressé sur ses ergots, brava l'Aigle germain au bec menaçant. ^Verdun au nom rude et énergique, le bastion imprenable dressé en barrière contre les bordes teutonnes, qui cent fois, en vain, se ruèrent à l'assaut de ses murs. Liège a marqué l'échec du plan de guerre allemand et constitué la cause fondamentale de la défaite tu-desque.Verdun a prouvé la volonté de vivre de la France et sonne le glas de l'hégémonie prussienne. Liè^e a protégé la Wallonie. Verdun la France. Toutes deux ont sauvé cette merveilleuse civilisation française dont Liège, Metz et Genève sont les pionniers vers l'Orient germanique. Liège et Verdun, villes soeurs, l'une et l'autre mo-sanes, cités héroïques et sublimes dont le nom prestigieux dominera dans l'histoire de la grande guerre! Villes martyres, la première sous la botte, la seconde sous les obus, mais que les souffrances parent d'un manteau de gloire. Unies dans la douleur, dans l'épreuve, Liège et Verdun se doivent de sceller entre elles une alliance étroite. La guerre terminée, les soldats regagneront leur foyer. Mais, après avoir savouré quelque temps les joies de la famille, ils reviendront aux lieux qui les virent se battre et voudront contempler les villes et les cités qui furent témoins des luttes épiques et terribles dont l'histoire conservera le souvenir. Ils ne reviendront pas seuls, Français, Anglais, Américain ou Italien, l'homme sera fier de faire connaître aux siens les endroits arrosés du sang de ses compatriotes ; c'est par légion que les touristes afflueront en France et en Belgique lorsque les communications auront été rétablies. Un Flot d'or étranger se déversera sur les contrées martyres. Des milliers, des millions de voyageurs se rendront à Liège, à Verdun, à la Marne, à l'Yser, en Alsace. La question du tourisme a acquis une importance capitale, et constituera certainement un puissant élément de prospérité nationale. Certaines contrées, la Suisse et la Côte d'Azur, par exemple, doivent leur situation florissante aux étrangers qui affluent vers ces régions et y dépenses des sommes considérables. Les stations balnéaires allemandes étaient fréquentées, en grande majorité, par d'insouciants Français et Anglais qu'un snobisme ridicule poussait à préférer les Kurhaus aux casinos de la douce France ou de Spa. D'intéressantes statistiques ont été données à cet égard dans l'excellente revue: la Eenaissance du Tourisme. Nous estimons donc absolument nécessaire l'organisation d'un tourisme des champs de bataille. Et ce n'est pas demain, ce n'est pas à la signature du traité de paix qu'il conviendra d'entreprendre l'étude de cette organisation, c'est dès aujourd'hui. Il faut constituer un Comité, dresser un plan de travail, publier des guides, des brochures, des ouvrages de propagande rédi-, gés en plusieurs langues, imprimer des affiches illustrées, des cartes postales, et en inonder le monde entier. NUMERO 42 PRIX: 2 CENSES ET D'MEIE 21 AVRI 1918

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Amersfoort von 1917 bis 1919.

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