Aujourd'hui et demain

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15 Juli 1918
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s.n. 1918, 15 Juli. Aujourd'hui et demain. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/kp7tm72s95/
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w Organe de la Ligne Constance Teichmann Rédaction: SwiAA Cottage, La Panne (paratî mensuellement) Prix d'abonnement: 2,00 fr. par an. __ ™~™ ————— ■ — — I " ——— — Le 24 Juillet. Le mois de juillet était toujours attendu avec impatience par les Belges, parce qu'il ramenait 1' anniversaire de-leur bien aimée Reine. Dès avant la guerre, cet anniversaire était fêté par la Fleur de la Reine, au profit d'une des nombreuses oeuvres auxquelles s'intéressait l'intelligence ouverte et le grand coeur de notre Souveraine. Mais il était réservé à la calamité inouïe qui a frappé notre patrie, de révéler tous les trésors de charité, de délicate bonté que renfermait ce coeur de femme, derrière de tout un peuple. Désormais ce n'est plus une fleur qui est l'emblème de cette femme â l'énergie indomptable, sous une apparence frêle ; les fleurs nr sont pas de mise sur un champ de bataille, jonché de cadavres; teint de sang, et nul n'ignore que notre Souveraine ne craint le contact ni de la mort ni des blessures. Ce ne sont donc pas des fleurs qui vont à Elle en ce jour, mais toute l'ardeur de nos coeurs, tout? l'admiration de nos âmes devant tant de vertu virile, tout le respect, toute la vénération d ' un peuple entier. Quand la calamité sera passée, quand le soleil brillera de nouveau sur notre sol lavé par le sang de tant de braves, des moissons de fleurs selèveront toutes seules pour joncher la route de cellequi fut au danger et qui sera à la gloire. Mais nous la connaîtrions bien peu si nous nous imaginions, qu'au rebours de sa sainte patronne, Elle ne transformera pas les roses de la victoire et de l'amour, en pain fortifiant pour son peuple en détresse. M. E. Belpasre. . lue faut-il faire pour tes infirmières 1 Une infirmière nous écrit, au sujet de l'article paru le mois dernier, et ce qu'elle nous écrit, bien d'autres déjà nous l'avaient dit. Que pourrait-on faire pour les infirmières? Bien des choses, aussi bien au point de vue matériel qu'au point de vue moral. Les deux valent qu'on s'en préoccupe et se tiennent de près —de si près, que bien souvent il n'y a défaillance morale, que parce qu'il y a difficulté matérielle. Voilà quatre ans que beaucoup d'entre elles mènent une vie épuisante, une vie de dévouement. Ces années-là compteront double. Quelques-unes à peine de ces jeunes filles sont des professionnelles; la plupart sont des volontaires, qui se sont engagées toutes jeunes pour servir la patrie. Rien dans leur vie antérieure ne les avait préparées au dur métier qu'elles exercent avec tant de joyeuse abnégation, mais auquel leurs forces s'usent. 11 leur faudrait, pour empêcher la ruine de leur santé, êtres soignées elles-mêmes avec une sollicitude de tous les instants — comme elles soignent leurs malades ou leurs blessés. Mais voilà, dans cette guerre si meurtrière, toute la pitié, toutes les préoccupations vont à ceux qui versent leur sang pour la patrie. Et c'est justice ; nul n'y contredira. Mais cependant, l'infirmière qui veille à leur chevet nuit et jour, qui dans un élan d'enthousiasme et dhéroïs-me inconscient, a voué ses plus belles années à ceux qui souffrent, mérite bien une pensée. Or, son sort si enviable, si poétique même à en apparence, est parfois digne de pitié. Au prix actuel des choses les plus indispensables,, si elle n'a aucune ressource ' personnelle — et c'est un cas plus fréquent qu'on ne croit — il lui est impossible de subvenir à ses besoins. Mais elle touche un traitement? Certes, mais tout compte fait, ce traitement se trouve insuffisant. Car, à cause de l'énorme renchérissement de toutes les denrées, il est des hôpitaux où l'infirmière n'est plus nourrie en raison du travail qu'elle fournit. Cela l'oblige à ajouter, à ses frais, l'un ou l'autre supplément à l'ordinaire quotidien, ce qui lui enlève la presque totalité de la maigre somme qui lui reste de son traitement, déduction faite du mess et du logement. Les quelques eentimes qu'elle parvient à économiser, dispai raissent bien vite en menues dépenses qu'elle ne peut guère éviter: collectes faites à l'occasion d'un enterrement, d'une fête, d'une gâterie à un blessé, que saijs-je? Que lui reste-t-il pour s'habiller? Rien. Dans certaines ambulances — les plus privilégiées —, l'infirmière reçoit une indemnité de toilette, a droit à son uniformede travail : robe, tablier, voile. Mais cet uniforme ne représente, à. Van Herck Antwerpen 2me Année. N° 9. 15 Juillet 1918.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Aujourd'hui et demain gehört zu der Kategorie Frontbladen, veröffentlicht in Anvers von 1917 bis 1926.

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