Bruxelles-dépêches: feuille d'informations télégraphiques internationales et d'annonces diverses

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s.n. 1914, 20 August. Bruxelles-dépêches: feuille d'informations télégraphiques internationales et d'annonces diverses. Konsultiert 18 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/sj19k46r7p/
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Se Année No Mil EDITE PAR LE VELO-SPORT Jendî 20 Km (914 5 Centimes le numéro Type des Cuirassés fr s de la Méditerranée Le bruit circule avec persistance à La Haye que le Kronprinz serait grièvement blessé. Il serait actuellement à Aix-ls.-Cha* pelle. Suivant des informations de source allemande, le Kaiser s'y serait rendu de son' côté. L'état-major russe télégraphie que la mobilisation s'est effectuée dans un ordre par1 fait. Jusqu'au 14 août, l'ennemi ne s'est avancé que jusqu'à la ligne Wloslawsk, Sîo-^ ratz, Novoradomak, Andros. Le reste de la{ ligne ne fut pas franchi, au contraire, pra-' LES TRAITEMENTS INDICEES MFLk CES AUX REPRESENTANTS DE LA FRANCE EN ALLEMAGNE. Paris, 17. — M. Bertrand, consul de Fxano à Leipzig, est rentré en France, après un* oqyssée identique à celles de ses collègues. Ceux-ci, on l'a vu, ont été livrés à de mauvais traitements. LES ALLEMANDS TRAITENT AVEC INDULGENCE LES RUSSES SEJOUR- -NANT EN ALLEMAGNE. — C'EST LA CONSEQUENCE DUNE MENACE RUSSE. Copenhague. — Des réfugiés russes qui son^ arrivés ici à Hambourg rapportent que les autorités allemandes sont portées à l'induljrenc* à l'égard des Russes habitant PAUenxagne, par suite de la menace de la Russie d'envoyer en Sibérie tous les AMemands 6e trouvant en Russie dans le cas où les sujets russes seraient1 maltraités en Allemagne. ATROCITES ALLEMANDES Paris. — Mme Guillou, de Combourg, a ra« conté que chassée, le 2 août, de Kolberg, eHa ; voulut passer en Suisse, mais dut rebrousser* chemin vers la Hollande. Arrivée à Hanovre, elle fut arrêtée avec son époux comme espions. Ds furent lapidés'. Son époux, perdant son) sangfroid, cria ÎW TELEGRAMME DE V1LLEFRANCHE-SUR-MER Le» maire, la municipalité et la1population (de Vülefranchesur-Mer que Sa Majesté Léo'ipoLd' II avait choisi comme séjour favori, enp*oient à Sa Majesté Albert.Roi des Belges, l'ecc^ffession^. de leur enthousiaste admiration pour la vaillance, l'abnégation, l'héroïsme dont l'ar^née^ et le peuple belge donnent à l'Humanité 'icivilisée l'exemple éclatant, sublime, incomparable. /TELEGRAMME ADRESSE AU ROI PAR LE MAIRE DE BOCHARI (ALGERIE) Al Funanfenité, Conseil municipal Boghari a&resse à Votre Majesté ses plus chaleureuses tóicrtations pour brillants 6uccès remjportés 'par votre héroïque armée et lève îa séance aux •jêSSne a yivèlT'Bêlgiquc tES PROCEDES ALLEMANDS \ Le Comité d'enquête sur '^observation des" *oâs et doutantes de la guerre signal» les faits w^ants commis par les trompes allemandes aopejon* en Befligique, faits qui sont «dès à prééfcaiWis par le témoignage précis; die uonstéanorns 5 DISPARU s. 'Dans 2a mort' du 5 au 6 août, une centaine fe soflidats ailemands, parvenus à 150 mètres Wevûdou des tranchées belges de Sart-Tilman, Setèremt leurs ammes, levèrent les bras, agitè•jceac• un cfcrapeau blanc pendant uni «tempe assez jfeyqg. D'aucuns poussaient le cri de « Aimas, psjrèsl ■* Le comnaanidantt HensevaQ fit cesser jj© ifcu öt s4 a*vança vers ^ennemi, accompagné l&e «cjudkrues hommes. À peine eut-il parcouru uon« trentaine de mètres qu'il tomba motrtellle■Bteîntt■ blessé d'e plusieurs balles parties du gsDupe donlt il voulait accepter Ja ireddataôn. 2. Lefe .trO'Upes allemandes, en différents1en^noits^ notamment à Esema'ei et a Orsmael le jjo août, à Haelen, îe 12 août, entre Œiaeuen et jXoEibexgen le 12 août, ont, après la cessation /du combat, mis systématiquement de feu à ôes jienmea et à des maisons, tantôt à coup d'obus, 'tantôt am moyen de paiffle imbibée dq;pétrole. !Ces habitations n'avaient pas servi d'abri à . nos «troupes et aucun coup de feu n'en avait 'été taré. I 3. De nombreux soldats blessés, désarmés et incapajbûsa 3e se défendre ont été maltraités ou achevés par certains soldats alliemands. I/ss enquêtes révèlent chaque jour de nouveaux: faits de ce genre. LA SITUATION Mercredi 10 heures. LA GUERRE BELCO-ALLEMANDE. — Des combats ont eu lieu mardi aprèsmidi entre Aerschot et Diest. — Un aéroplane allemand a été abattu à Sterrebeek. — Contrairement à ce la qu'un journal hollandais a annoncé, les 12 forts de Liège tiennent toujours bon. — Un combat semble être engagé mercredi matin entre Tirlemont et Louvain, de nombreux habitants de Louvain sont arrivés à Bruxelles mercredi. LA GUERRE FRANCO-ALLEMANDE. — La progression française continue sur tout le .front en Alsace. — Les Allemands ont été refoulés entre Avricourt et les Vosges. — Les f ran- j_a çais ont pris plusieurs positions stratégiques importantes. — Douze canons et huit mitrailleuses ont été pris par les français. LA GUERRE W 'U.EMANDE. La cavalerie russe a anca iti "• batail- Joos aliciiiducis à la LoiUièu's gïvus- La Guerre Belgo=Allemande LE COMMUNIQUE OFFICIEL DE MARDI SOIR Mardi, 18 août, 9 heures soir. La cavalerie allemande, repoussée dimanche et lundi par nos troupes, s'est retirée vers le nord-est. Rendue plus prudente par 'la sévère leçon qui lui a été administrée, elle n'a fait aucune tentative contre notre armée. Au nord de 'la 'Meuse, la situation n'a pas changé. Les cavaliers allemands, loin de revenir à l'attaque, élèvent des retranchements sur divers points. LES FORTS DE LIEGE TIENNENT TOUJOURS Contrairement à ce qu'annonce fl.' « Algemeen Handelsblad » d'Amsterdam, aucun des fonts de Liège ne s'est rendu aux Allemands. terri, l'officier a voulu décharger ses armes sur les .soldats 'belges, malgré ses blessures. Il avait les jambes fracassées. UN AUTRE CANARDE A WOLUWE «Mardi matin, à WoHuwe, nos gardes civiques ont dirigé une fusillade nourrie contre un aéroplane allemand. Sept à huit cent coups de fusil furent tirés; on vit un moment l'avion pencher de l'aile, puis disparaître à l'horizon, LA MORT DU GENERAL VON EMMICH EST CONFIRMEE D'après une dépêche de Copenhague en date de mardi, les journaux allemands confirment, sans donner aucun détail, $a mort du général von Bmmich, commandant de l'armée qui a attaqué Liège. UNE ESCARMOUCHE A dODOICNE Mardi dans la anatiniée un parti de chasseurs ; 'Cyclistes allemands se repliant de la ligne iNamur-Gembloux sur Orps-le-Grand et Hanniut est entrée en oon/tact avec un de nos avant-postes non loin de Jodoigne. Une assez vive fusillade éclata pendant une quinzaine de minutes. Quatre de nos soldats furent légèrement blessés. Après l'engagement une vingtaine de nos tirailleurs pénétrèrent jusqu'au centre du village où ils relevèrent deux chasseurs tués qui furent immédiatement inhumés par les ;*soins des habitants. Les autres Prussiens ont pris la fuite, emportant plusieurs blessés. CANTONNEMENTS DE CAVALERIE ALLEMANDE Une partie de 'la cavalerie allemande était cantonnée, mardi matin, entre Velm et Ottenhoven (Limbourg). UN AEROPLANE ALLEMAND DESCENDU A STERREBEEK Un « Taube » a été abattu, mardi, à 7 h. 20 du matin à Sterrebeek, par les soldats du transport du ravitaillement. Il était monté paT un officier allemand, armé de trois revolvers à 10 coups; il avait à bord 60 bombes. On a trouvé sur Hui des renseignemenits militaires. Il était à 200 mètres environ. Après avoir at- La Guerre Russo-Allemande A la frontière prussienne, les Russes ont remporté un léger succès. Une division de cavalerie russe opérant à la frontière surprit trois bataillons d'infanterie allemande. Comme la nature du terrain ne se prêtait pas à des opérations de cavalerie, la division mit pied à terre, fonça sur les bataillons allemands qui furent anéantis. Les pertes russes sont minimes. Signalons ici que d'après les dépêches de Paris, les états-majors, russe et français, sont parfaitement d'accord sur les opérations à poursuivre. Ils se sont mis aussi d'accord 6ur les mesures de faveur qui seront prises à l'égard des prisonniers alsaciens-lorrains, par I'é^at-major russe, à l'égard des prisonniers polonais, aar l'iétat-major français. La Guerre Franco=Allemande LE COMMUNIQUE OFFICIEL FRANÇAIS DE MARDI Paris, 18. — Communiqué à la presse, mardi : • La mobilisation autrichienne ne s'effectue pas avec l'élan patriotique et Tordre qui caractérisa la nôtre et provoqua Tadmiration générale. Il se confirme que de nombreux soldats tchèques ont été fusillés à Prague. On annonce de source sûre que, durant la nuit du 9 au 10 août, un régiment du 15e corps et un régiment d'infanterie se sont mutinés. sieurs localités du territoire ennemi étaient occupées par des détachements russes avancés. Le sucés de tous les engagements fut exclusivement en faveur des Russes qui'firent plusieurs centaines de prisonniers. Sur la côte maritime de la Finlande, tout est calme. Les Russes détruisirent un aéroplane allemand près de Sarno. .Quatre aviateurs furent tués. SUCCES FRANCAIS MARDI M. Messimy, ministre de la guerre, a reçu du généralissime Joffre un télégramme lui annonçant de nouveaux succès de l'armée française dans la Haute-Alsace. L'ennemi bat en retraite, fuyant en désordre et abandonnant partout des blessés et du matériel.. Les Français ont fait la conquête de la majeure partie des vallées des Vosges; sur le versant de l'Alsace, au sud de Sarrebourg, les Allemands se replièrent rapidement. Actuellement la cavalerie française les poursuit. Nos troupes débouchent de Seule, dont une partie des passages furent évacués par les Allemands. Dans toutes les actions engagées au cours des dernières journées en Lorraine et en Alsace, les Allemands ont subi des pertes importantes. Les effets foudroyants de l'artillerie française sont démoralisants pour l'adversaire. LES CIVILS ALLEMANDS TIRENT SUR LES SOLDATS FRANÇAIS Des Allemands civils, en Alsace, tirent sur les Français. A Cernay, une section déployée devant l'ennemi a perdu trente-huit hommes, tous atteints par des coups de feu qui ont été tirésŒu village avant qu'aucun soldat allemand yeût péeui~~a Eirô sur une patrouille de cavalerie, tuant deux chevaux. LA PREMIERE CHARGE A LA BAÏONNETTE DES TURCOS Le « Petit Journal de Marseille ï publie un récit des blessés français arrivés dans cette ville^ et: selon lequel les tirailleurs algériens ont participé pour la première fois aux combats qui viennent de se dérouler autour de Mulhouse. Ils 6'y conduisirent plus que brillamment. On sait que ces troupes 6ont les seuls des soldats français qui portent la tenue kald. Les Allemands, trompés par la couleur de cet uniforme qui de loin ressemble à leur tenue de campagne, se laissèrent approcher sans méfiance. Quand üs reconnurent leur méprise, il était trop tard et les turcos,.dont on connaît l'allure précipitée, se jetaient sur eux, baïonnette en avant, faisant de terribles ravages dans leurs tranchées. Ceux qui purent échapper à ce massacre, allèrent, dans leur fuite précipitée, semer le désordre et l'épouvante dans les rangs des troupes massées derrière Mulhouse où les Allemands se trouvaient en forces considérables. « Un aspecii du village de Mouton, près de Visé. Un autre côté des ruines. Les Ravages de la Guerre

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