De Belgische metaalbewerker

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s.n. 1917, 01 Juli. De Belgische metaalbewerker. Konsultiert 24 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/r20rr1qf0k/
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DEFENDONS-NOUS. Il y a de braves gens qui de très bonne foi croyent, dur comme roc, à la fameuse trêve des partis, dont on a tant parlé et qu'on a si peu respecté, depuis le début de la guerre. Ils y croyent et honnêtement ils mettent leur conduite en concordance absolu avec cette idée que tant que les Boches restent debout, il ne doit plus y avoir entre nous de discussions politiques ou religieuses et que rien de tout ce qui est de nature à nous diviser, ne doit être effleuré. C'est du meilleur patriotisme et cette attitude est profitable à la cause au triomphe de laquelle nous travaillons tous. Que ceux qui croyent à la trêve des partis continuent à y croire et qu'ils l'observent, rien de mieux. Mais, comme nous avons la certitude que c'est de notre coté qu'on a pour elle le plus religieux respect, que c'est chez nous qu'elle est le plus scrupuleusement observée, nous avons, croyons-nous, le droit de dire aux nôtres : " Respectons cette trêve des partis, décrétée au moment où l'on sentit la nécessité d'unir en un bloc homogène ceux qui devaient faire face à l'envahisseur, respectons la, mais n'en soyons pas dupes." Respectons la trêve des partis, pour autant, n'est-ce pas, que de l'autre coté on en fasse autant. En est-il ainsi ? Qu'on nous permette d'en douter. Nous pourrions ici énumérer une série de faits qui montreraient combien nos doutes sont fondés. Nous les négligeons—pour aujourd'hui—et ne voulons retenir et signaler qu'une chose : C'est que pour pas mal de gens il n'y a rien de changé et que s'ils partagent notre haine contre les Boches, ils n'ont eux rien perdu de celle qu'avant la guerre ils professaient pour le Socialisme, pour ses organisations et pour tout ce qui en approchait. A l'heure actuelle, qu'ils n'ont plus devant eux, un parti socialiste contre qui ils pourraient vitupérer, qu'ils n'ont plus une presse socialiste à calomnier ou a boycotter, c'est à notre organisation syndicale qu'ils en veulent. S'ils étaient les maitres en Angleterre, il y a belle lurette qu'ils nous auraient exécutés ou tout au moins qu'ils auraient essayé de le faire. Malheureusement pour eux en Angleterre, moins que partout ailleurs on ne peut porter impunément atteinte aux droits syndicaux. Et si nous n'étions ni de taille, ni de force à nous défendre nous mêmes, nous avons derrière nous quelques centaines de milliers de camarades anglais qui sont prêts à dire à ceux qui voudraient nous abattre ; " Wait a minute, please. Here, you are not in Belgium." Nous avons créé en Angleterre une organisation syndicale qui, à l'heure présente, groupe environ six mille ouvriers belges. Cette organisation—avec laquelle nous rentrerons en Belgique pour reprendre les luttes salutaires-—nous la maintiendrons et nous la consoliderons quoi que puissent en penser ceux qui espèrent la détruire, en créant des ennuis à nos militants. Car c'est à cela qu'on en est arrivé. Certains de nos amis, parceque militants, sont boycottés dans les usines belges et lorsqu'ils sont sur le pavé, sont en prise avec les difficultés pour retrouver du travail et se butent aux tracasseries de l'autorité belge. Quand les ouvriers réclament le redressement d'une injustice, on leur répond, sous une forme ou sous une autre " Voulez-vous être envoyés au front ? " Quand ils réclament une amélioration de leur sort, quand ils demandent tout simplement à être traités dans les usines, comme des ouvriers anglais, de jouir des mêmes salaires et des mêmes conditions de travail qu'eux, c'est encore parfois par la même menace qu'il leur est répondu. Nous voulons que cela cesse. Nous voulons jouir de la pleine et entière liberté de nous syndiquer ; nous voulons pouvoir utiliser notre puissance syndicale en vue d'obtenir ce que nous considérons comme notre du et nous voulons surtout que ceux qui se sont donné comme tache de convaincre les ouvriers des bienfaits de l'organisation, puissent le faire en toute liberté et sans craindre des représailles .... comme en Belgique. Nos six mille syndiqués veulent-ils cela avec nous ? Nous n'en doutons pas. Et bien qu'ils nous aident. Défendons ceux qui sont nos porte-parole et lorsque pour avoir eu l'audace de défendre notre organisation et ceux qui la composent, on lui dira " Cher ami, vous irez faire votre propagande dans les tranchées," il faut que nous puissions dire, nous : "Et ceux là où iront-ils abriter leur précieuse peau s'il vous plait ? " Et nous déplierons la liste de tous les fils à papa embusqués à droite et à gauche, dans les bureaux et dans les usines et il faudra bien qu'on dise pourquoi ils ne sont pas aux tranchées ceux-là. Quand, parcequ'il est militant syndical, on nous enlève un des nôtres pour le punir d'avoir conservé sa fierté et son indépendance de caractère, c'est nonante-neuf fois sur cent un ouvrier qualifié qui est retiré aux usines de guerre. C'est ou un tourneur professionnel ou un ajusteur expérimenté, un regleur de machines, un outilleur que sais-je ; quelqu'un en tous cas dont le travail est d'une utilité incontestable. C'est donc uniquement pour le punir d'avoir défendu ses frères qu'on l'envoie à l'armée sans se soucier si la place qu'il quitte, il ne l'abandonne pas au préjudice de la grande cause pour laquelle nous luttons. Nous ne nous laisserons pas faire. Nous avons le droit de nous syndiquer et nous pouvons à juste titre dire que l'influence de notre groupement a été mise entièrement au service du Pays. C'est nous qui avons sans cesse poussé les ouvriers à intensifier la production, c'est nous qui leur avons montré l'effet funeste des chômages sans utilité, c'est nous qui les avons mis en garde contre les suggestions pernicieuses et qui avons empêché les grèves en gestation. Qui peut contester cela ? et dès lors, que nous veut-on ? Peut-être nous reproche-t-on d'avoir contraint les patrons belges à payer convenablement leurs ouvriers ? Est-ce notre faute si des gens, qui ici emplissent leurs coffre-forts à la pelle, hésitent encore à accorder à ceux qui édifient leur fortune, les salaires et avantages que la loi garantit aux travailleurs anglais ? Notre conscience est bien tranquille à cet égard. Puissent en dire autant ces bons belges, patriotes à tous crins que nous sommes obligés de trainer devant les tribunaux pour les contraindre à une plus stricte observation de l'équité. DE BELGISCHE METAALBEWERKER. LE METALLURGISTE BELGE. 2

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel De Belgische metaalbewerker gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londen von 1915 bis 1918.

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