Informations belges

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s.n. 1918, 14 Oktober. Informations belges. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/8w38051v7t/
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N° 841 14 Octobre 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante ^ Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes (l'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 29, rue .Jacques-Louer, LB lïîVVItE (Seine-Inférieure) France. Au Congrès de la « Croix-Rouge brésilienne » participe la « Croix-Rouge belge » de Saint-Paul. — Le général Luiz Barbedo- y salue la Belgique. — Un important Congrès de la « Croix-Rouge brésilienne » a tenu ses assises, en juillet 1918, à Saint-Paul. Los délégués de l'institution belge connue à Saint-Paul sous le titre de la « Croix-Rouge belge », y assistaient au titre d'invités. En clôturant la séance solennelle d'ouverture, le président, M. le général Luiz Barbedo, de l'armée brésilienne, commandant la 6e région militaire, s'est exprimé ainsi : « La direction de la « Croix-Rouge brésilienne » do Saint-Paul, m'a chargé d'adresser des remerciements spéciaux et chaleureux aux représentants des Croix-Rouges anglaise, française, italienne et belge. « J'ai mentionné en dernier lieu la Belgique, qui est parmi les pays cités le plus petit on territoire. Il importe cependant de dire que dans l'effort employé pour contenir la horde des barbares qui ensanglante l'Europe, la première place lui revient, car elle a été le premier pays qui se soit sacrifié avec une telle élévation dans sa façon d'agir. » A une lettre de remerciement que lui avait adressée, à l'occasion de ces paroles flatteuses, le président de la Croix-Rouge belge, le général répondit par une missive personnelle dont les lignes suivantes sont extraites : « Quant aux remerciements que vous m'adressez pour mes paroles au sujet de votre glorieuse patrie, je dois dire que je ne lui ai fait que justice, en proclamant bien haut les faits héroïques de ses enfants, dans leur défense de la dignité nationale. Les brochures que vous avez bien voulu m'envoyer m'ont fait voir davantage encore la grandeur du sacrifice consenti par l'héroïque nation,, en défense de son indépendance et pour la solidarité humaine. » (xx) — La théorie du gage et la politique « aktiviste » de l'Allemagne condamnée par l'Allemand Delbruck. — Dans les Preussisclie Jahrbûcher d'août -1918, le professeur H. Delbruck consacre une étude aux déclarations que fit le chancelier von Hertling. les 11 et 12 juillet -1918, au sujet de la Belgique. Selon M. H. Delbruck, la théorie du gage fait l'effet d'une provocation inutile. En ce qui concerne la politique flamande de l'Allemagne, il estime que le sort des Flamands n'est d'aucun intérêt pour l'Empire. La Belgique est un pays démocratique où les Flamands avaient la majorité des voix : si dans ces conditions les Flamands n'ont pas été capables d'obtenir leurs droits, ils ne valent pas la peine qu'on s'occupe d'eux. L'Allemagne n'a pas le droit de s'immiscer dans une question purement belge. Il importe de remarquer, à propos de ce commentaire auquel les événements actuels donnent un singulier relief, que les Flamands, sous le régime belge, ont toujours fait librement valoir leurs revendications et il faut ajouter qu'il y a été fait droit, en ce qu'elles avaient de légitime. L'œuvre n'était pas achevée, sans doute ; mais quand peut-on dire, en pareilles matières, que l'ère des réformes est close ? Le fait, c'est qu'aucun « non possu-mus » catégorique ne fut opposé aux demandes des Flamands qui, au Parlement, trouvèrent même l'appui chaleureux de nombreux députés wallons. La question flamande est purement belge. (xx). — « La Belgique jouera un rôle effectif d'Etat souverain »,dit un journal suisse. — Sous le titre « Peau neuve », AI. Louis Avennier publie dans La Suisse, numéro du 7 octobre 1918, un remarquable article dans lequel il est question de la neutralité belge et de sa constitution future-. L'auteur dit que le gouvernement belge a formulé ses intentions et ne veut plus' dorénavant d'une neutralité permanente, obligatoire et garantie et affirme son droit d'être libre complètement dans ses rapports internationaux. Depuis le 4 août 1914, en fait, la Belgique n'est plus neutre et si le gouvernement belge a maintenu cette fiction juridique de sa neutralité permanente, il était clair « qu'il y renoncerait au-moment favorable et manifesterait alors sa volonté de rétablir un statut international sur des assises nou velles ». M. Avennier déclare que nul n'osera contester à la Belgique, le droit d'agir dans la plénitude de sa souveraineté. « Comme sa voisine, la Hollande, et comme le Danemarck, dit-il, eUe veut désormais pratiquer une neutralité volontaire, dégagée de toute forme et de toute promesse et éventuellement y renoncer si c'est son avantage. En conséquence, elle se démet do cette neutralité permanente qu'elle n'avait pas réclamée, qui lui fut imposée à sa naissance par les diplomates, qui l'empêchait d'avoir une véritable politique extérieure et qui constituait, par son caractère même, bien plus une garantie pour les puissances cautionnaircs que pour elle-même. Et par sa détermination, à la conférence de la paix, au lieu d'avoir à consentir simplement au règlement de compte qu'il plairait aux autres belligérants d'établir, la Belgique jouera son rôle, un rôle effectif d'Etat souverain. Elle sera, comme elle ne l'a jamais été, en posture do discuter librement de ses intérêts et de son avenir. »

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Informations belges gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Le Havre von 1916 bis 1919.

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