Informations belges

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s.n. 1917, 28 September. Informations belges. Konsultiert 19 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/ms3jw8b14s/
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Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

N° 469 28 Septembre 1917 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou ae leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (h)^ signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxi)' signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 53, rue des Gobelins, HAVRE (Seine-Inférieure) France. (xx) — Vexations allemandes en territoire occupé. — Les autorités militaires allemandes ne cessent de brimer les citoyens. Tout leur est prétexte à sévices et à cruautés. Voici, relevé dans une information belge parvenue en Hollande, un nouvel exemple de ces intolérables vexations : Un échevin (adjoint au maire) de la commune de Roclenge-sur-Ger (province de Liège), se vit enlever tous ses pigeons pour avoir négligé de remplir certaines formalités imposées par la « Kommandantur ». Il fut, en outre, condamné à 20 fr. d'amende. Indigné de l'injustice de cette condamnation, l'échevin refusa le paiement. Les Allemands n'hési-tèrént pas. Malgré les 80 ans du coupable (!), le condamné fut saisi, jeté en prison, mis au pain sec et à l'eau et obligé de s'étendre, quatre jours durant, sur une mince couche de paille. (xx) — La crise alimentaire en Belgique occupée. — Pour tromper leur faim, tous les Bruxellois mangent des fruits, en pleine rue... — Aux nombreuses souffrances qu'endurent les habitants du territoire belge envahi, promiscuité, condamnations, déportations, famine, il faut ajouter celle qui résulte de la renonciation à tout amour-propre... Qui dira la lutte qui s'est livrée dans les membres de la classe bourgeoise lorsqu'il s'est agi, pour ces derniers, d'aller quérir une ration de soupe dans une cantine de secours ? On ne s'arrache pas sans effort et sans douleur à des coutumes vieilles d'années... Tous, cependant, ont dû se soumettre et de plus en plus, au fur et à mesure que s'aggravait la disette. La chasse à la pomme de terre, au charbon, dans des sacs portés sur l'épaule ou à l'aide de véhicules, est entrée dans les mœurs bourgeoises. Voici à présent, d'après une feuille bruxelloise teu-tonisée (numéro du 22 septembre 1917) que, comme les ouvriers, le " monsieur qui s'empresse vers son bureau " et " la belle madame qui flâne", même le journaliste stipendié s'arrêtent aux charrettes des marchandes de fruits "pour mordre, à pleines dents, en pleine rue, dans le plein cœur d'une pomme " et " s'en fourrer jusque là ! " — " Ce n'est pas, dit le journal cité, que l'on ait faim au sens propre du mot, mais on a toujours l'estomac qui tire un peu, n'est-ce pas ? Là où l'on mettait naguère deux heures pour digérer un repas ordinaire, on n'en met plus qu'une à peine, aujourd'hui. Le pain est insuffisant, la viande est insuffisante, la pomme de terre est insuffisante et l'on se rabat sur la pomme, la poire ou la prune. Ça ne nourrit guère, mais ça bouche un trou. Ça trompe, ça calme et ça fait patienter ". (xx) — La crise de la monnaie divisionnaire en Belgique occupée. — Les Allemands raflent encore le nickel dans la région frontière belgo-hollandaise. — La monnaie divisionnaire belge s'est fort raréfiée dans le territoire occupé. Certes, on peut attribuer en partie cette disparition à la méfiance qu'inspire le papier allemand, mais les rafles spéciales des envahisseurs en sont aussi responsables. Il paraît que, même à présent, elles n'ont pas cessé encore. On signale la présence d'agents teutons dans la région frontière belgo-hollandaise où

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Informations belges gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Le Havre von 1916 bis 1919.

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