INFORMATIONS BELGES OBSERVATION IMPORTANTE I ps difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle réguliei des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contiole de^ leur source première de publication. , • i On aura ,„ut enfprésentanl des caractères suffisants ,1e vérité. n'a pu être contrôlée sur source. , (**) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. , signifie: Information de source officieuse ou officielle belge. ^ Les notes d'information directe et personnelle ne sont precedees d aucun signe. a jIm>i-cok mmmxnTMlions de service 52, rue des Gobelins, LE HAVRE (Seine-Inf.) France. N° 594 du 3 février 1918,, CE Q,UE PENSE LA POPULATION FLAMANDE "DE L'UNIVERSITE TEU«-TONISEE DE^GAND*- Parmi _l8s cours spéciaux institués par les Allemands a l'université soi-dicant flamande de Gand, figurent des cours agricoles dostinés, dans la pensée de ses promotéùrs, à offrir aux provinces flamandes, région agricole par cxceile.ic j -des mo^^ns de haut développement. technique® Sait-on quel^était3 à une date récente, le nombre des élèves inscrits à ces Gcurs ? Un seul-. Ce simple whiffr-e permet de mesurer? la répulsion qu'inspire aux agriculteurs oe-e^.Elanàr-es, cv est—àr»àJLr9 à la grande masse de la population rlamande, l'oeuvre allemande de la nouvelle université, alors que d "autre pcjrk. elle av&i/fe. manifeste, avant la guerres son intérêt pour l'institution nationale à Gand de l'enseignement mniversiteir3 flamand.» lui a-1 r."» »•; «a *•/» ( X X) CRISE DU PAPIER.EflIPPRIliCENT LES COMMUNIQUES LE GUERRE-., ««> D um quotidien hollandais, les Allemands en Belgique occupéo ont annoncé que, à oause de la pénurie de papieru les communiques militaires cesseraient d'être affichés. La règle est appliquée depuis le 15 décembre 1917. La crise doit 'être aigflfe pour que les Allemands renoncent à ce moj^n de démoralisation dont ils ont usé depuis leur rentrée en Belgique, mais avec un insuccès,qui, vraisemblablement, ncest ,:as étranger à leur décision-, '* m*. ►» un i»i -X (XX) APRES LA RAFLE DU CUÏTRE^ EN BELGIQUE OCCUPEE- UN SUCCEDANE,- La liste des succédanés s'allonge ohaque jour en Belgique occupée-, Voici que. à présent, on y remplace le cuivre, enlevé par les Allemands; par du carton- pierre passé dans un bain couleur de cuivre, Déjà d'élégantes appliques à bougies pour piano et des boutons de portes esthétiques sont apparus sur le marché, *a*i bd» m tv> ( XX] ELOGE DE 1 ' AEMINISTRATION BELGE AU CONGO*- Au oouxs d'aine conférence donnée, au Havre, le 50 Janvier 1918, par M,G, An°xrulvani, gouverneur général de l'Afrique é-quatoriale française; sur. ,! Lo. c'antrib.Tttion de l'Ouest-Africain . considéraQou point dé -aie du relèvement économique " et à la- ^ qu.olx™ assistai ente notamment, René Besnard, ancien ministre —finançais des Colonies, le Baron de Broqueville, président du Conseil des -Ministres 5>elge? lenkin, ministre des Co lonies et Hellcputte ministre des Travaux Publics, l'orateur a fallaité le gouverneront belge des importants résultats que ce dernier a obtenus au Congo,- t» »«» *+t e-> tiaj.1 »'■

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