Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise

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s.n. 1914, 19 Juni. Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/b853f4mp40/
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19 iuin 1914. N" 1 2. 35* ANNEE. 10 centimes le numéro JOURNAL D'ANVERS ADMINISTRATION ET RÉDACTION: 35, ZW*, 35 = AEJYTOS TÉLÉPMOI*E 2118 Ues fr)af)Uscrlbs tja sotjt pas PenelUM ANCIEN ORCHESTRE LITTÉRAIRE, THÉAIRAL arIÎstique, mondain POUR LA BELGIQUE: CIH[Q F*AÏ*CS POUR L'ÉTRANGER ; SEPT P8AHCS il sera kendo co«ptb de tous les ouvrages ^olflt deux exemplaires ont été adressés a la rédaction La souscription Jan Van Rijswijck Oa ne parle guère de la souscription ouverte pour élever un monument à Jan Van Rijswijck. Hélas! les morts vont vite, et les grands morts ne font pis exception à cette règle commune. , Car c'est un grand mort et dont l'ombre gêne un peu les petits'politiciens d'aujourd'hui. Ils n'osent, pas le dira tout haut, ô non, mais ils le pensent tout Ins. Parfois l'un d'eux vous pre ^d dans un coin pour diiv: « En somme, ce Jan Van Rijswijck qu'est ce qu'il a fait?» Certes, on serait bien embarrasse de le diro et l'on chercherait vainement la grande réforme à laqu°lle il a attaché son nom. Jan Van Rijswij 'k n'avait p'js les qualités d'un grand administrateur. C'était un poète. Soit. Et encore ce poète n'a pas composé de vers. Même la collection des discours qu'il nous a laissés ne révèlent point en lui un écrivaia de premier ordre. Cepeadant ce sentiment populaire qui l'a porté au pinacle, ne trompe pas. Pour avoir été, comme lui, l'idole de tout un peuple, il a fallu que cet homme se distinguât vraiment par ces vertus exceptionnelles qui sont l'apanage des héros. Ces vertus, pour ne pas se dégagea au premier abord, il est incontestable qu'il les avait, vertus les plus rares et les plus hautes et que le peuple a devinées en lui comme d'instinct. Les anciens, dans ce latin dont chaque mot porte, avaient une formule qui résume admirablement celte espèce d'homme qu'était Jan Van Rijswijck: vir bonus, dicendi peritus. Expression lourde de sens. Les plus belles qualités d'intelligence et de cœur réunies dans un homme et qui s'expriment, qui s'extériorisent tout naturellement dans une parole harmonieuse Et c'est bien cela: une parole insinuante mais sans artifice, rendant le son d'une âme. On comprend qu'elle ait longtemps attaché l'oreille des masses avec ces chaînes d'or dont parle Je poète et qu'elle ait exercé une séduction infinie. Aujourd'hui encore, après quinze ans, le charme n'est pas encore rompu. Et cette sujétion qu'exerc9 une ombre n'est pas sa^s irriter la foule d'ora eurs de cabaret qui se croient grands pour avoir su forcer les portes du conseil communal. Ils sont les premiers, certes, à crier Leve onze Jan! Mais, en réalité, ce ne sont que des suiveurs. Tremblent pour leur réélection, l'an prochain, ayant vainement cherché parmi eux l'homme nécessaire, le chef, le guide qui pourrait les conduire à la victoire, voici qu'ils se réfugient derrière un fantôme. Et, n'est-ce-pas qu'il y a quelque chose d'angoissant et de tragique dans cet appel à un mort? On croirait les voir, comme dans un drame de Shakespeare, assemblés devant une tombe, adjurant le spectre de celui qui est couché là, de se lever et de les conduire encore une fois à la victoire! Car cette souscription qui eut dû se produire ou beaucoup plus tôt, — élan spontané d'admiration ou de reconnaissance — ou beaucoup plus tard, quand le recul du temps aura permis de juger l'homme sans par.i pris, n'a pas d'autre signification. Ses promoteurs, au demeurant, ne s'en cachent pis. Au sein même du comité, on a débattu la question de savoir s'il n'aurait pas été bon que les souscriptions fussent sollicitées en dehors de tout esprit politique. Jan Van Rijswijck, en effet, est de ceux qui ont honoré non seulement leur parti mais encore la ville d'Anvers. Les naïfs! On leur a expliqué que les élections prochaines devaient se faire au cri de : Vive Jan Van Rijswijck! après quoi on ne s'est plus occupé que de ramasser l'argent. * * * C'est qnand il a fallu monnayer cet enthousiasme de commande qu'on s'est aussi aperçu que les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Les pièce s de cent sous se sont montrées rares, quant aux louis... Il y en a eu pourtant. L'honorable M. Oscar van der Molen y est allé du sien. Oui, le richissime brasseur n'a pas crû pouvoir faire moins que de donner vingt francs. M. Max Rooses, qui tenait Van Rijswijck pour son fils aimé, a estimé à vingt francs ce lien d'affection paternelle. C'est plutôt peu, pour un père, surtout quand ce père est bien rentré; il est vrai qu'un tel sentiment est d'uneessencetrop noble pour être pesé au poids d'un vil métal. Nous ne sachons pas cependant, que d'aucuns aient osé reprocher leur manque de générosité aux chefs du parti. Par contre, on est violemment tombésurledosdes malheureux employés de l'Hôtel de Ville. Les bonzes avaient fixé à trois pour mille du montant de leurs appointements la cotisation d'un chacun. Ca n'a pas pris. Nous ne voulons pas, ont dit ces Messieurs, fairehonte à ceux de nos dirigeants millionnaires qui ont souscrit cinq francs, c'est à dire la somme à laquelle vous taxez un expéditionnaire de dix-huit cents francs par an. E% chacun ayant versé son obole, dix, vingt ou quarante sous, la souscription à l'Hôtel de Ville, qui dans l'espri de ses organisateurs aurait dû rapporter trois milh francs, atteint à peine huit cents francs. Tout ceci est au fond plus triste que ridicule. On er peut rire mais il faudrait en pleurer. Pauvre grand Jar Van Rijswijck ! En ce moment où la politique, cette politique où il avait mis de eon âme, qui, pour lui, représentait un idéal, le triomphe d'une idée généreuse et fécond( est descendue à n'être plus que le marche pied des ambi tieux de la catégorie la plus basse, et où les spéculations de l'esprit sont remplacées par les spéculations en terrains, on se sert de son grand nom d'honnête horami comme d'une enseigne, èt on ne craint pas, ce grand nom de le livrer aux commentaires désobligeants dont s'ac compagne toujou-s cette chose misérable et grotesqu< entre toutes: une souscription ratée. Hé non, la gloir< de Jan Van Rijswijck ne peut pas être jaugée au tauj de l'avarice et de la politesse d'esprit des souscripteurs Mais, aux yeux d'un certain public elle en sortira diminuée et c'est ce qu'il aurait fallu éviter. LE JOURNAL D'ANVERS. P. S. Le Nouveau Précurseur avec son amabilité habituelle revient à la charge, à propos de l'abstentior de M. de Vos, à la cérémonie de Mérode. Ce ne sont pas des vogelpikkers que M. De Vos a reçu, ce sont des journalistes. Diable! Nous ne dirons pas que M. Zède el ses collaborateurs ont une haute idée de leurs talents pour mettre ainsi un abîme entre eux même et... nous, car nous n'avons aucune honts à faire l'aveu public que le vogelpik est un jpu charmant auquel nous nous livrons bien volontiers. Pour le reste, nous répétons que M. le bourgmestre D 3 Vos n'avait qu'à se faire remplacer. Par exemple, pour recevoir des confrères étrangers, M. Henrion, président de l'Association de la Presse, section Anvers-Limbourg, aurait dû se trouver à ses côtés. Or, M. Henrion, retenu au Congrès de la Presse, à L'égp, s'était fait remplacer par notre excellent confrère Clae®, de la Métropole, po ir la partie officielle, et par notre non moins excellent confrère Jaspaers, du Nouveaux Précurseur, pour ce que nous pourrions appeler la partie non officielle. L'un et l'autre se sont acquittés de ce soin à la plus grande satisfaction de nos hôtes. Ceux-ci se souviendront longtemps, par exemple, de certaine tournée des Grands-Ducs qu'ils ont faite sous la conduite de Jaspaers... Que Zède, s'il veut de plus amples détail®, interroge là dessus son distingué collaborateur! j. d'A. La Succession Rencontré le Monsieur bien informé. — J'ai lu, nous dit-il, votre entrefilet sur les candidatures à la place de secrétaire communal. C'est vrai que dans le landerneau administratif on ne s'occupe que de cela. Et voici, pour compléter vos informations, ce qu'on dit : " M. Gyselinck gagne du terrain. C'est, à ne vous rien cacher, l'homme du Collège. Je crois que Cools lui-même incline en sa faveur. Ces messieurs ont vu Gyselinck à l'œuvre; ils savent à quel fonctionnaire d'élite ils ont à faire. Par contre le Conseil communal qui, dans toutes les affaires de nominations, aime assez à contrecarrer le Collège, on tient toujours pour M. de Brauwere. Mais ici intervient un troisième éiémer t dont on oublie de tenir compte. Q-îelle est, en effet, la première condition pour hériter? Il faut que la succession soit ouverte. Or ce bon M. Possemiers, pour souffrir de temps en temps d'un accès d'asthme, n'en a pas moins bon pied, bon œil. On dit, mais ceci est un secret... — Oh! soyez tranquille. J'ai la bouche cadenassée. — On dit que l'honorable secrétaire communal, plûtot que de céder la place à un successeur qui ne lui plairait point — ce n'est pas de M. de Brauwere qu'il s'agit — se sacrifierait encore pendant de longues années au bonheur du personnel qu'il a sous ses ordres. — Pas possible? — Oui, il aimerait encore mieux venir tous les jours occuper son siège dans son cabinet à l'Hôtel de Ville, depuis onze heures et demie du ma' i î jusqu'à trois heures de l'aprè-.-midi, pour contrôler les listes de présence des employé , que de voir tel autre lui succéder dans cette besogne absorbante pour 14 coo francs par an. — Il aurait bien tort. — Comm nt donc, s'il aurait tort ! Lui, un si bon vivant. Q iand on pense qu'il pourrait déguster en paix les vins de la cave de feu Albert De Vleeshouwer. Cependant je dois vous dire que, malgré ces considérations personnelles à M. Possemiers il en est d'autres auxquelles il ne manquera pas de se soumettre. L'année prochaine, en octobre, ont lieu les élections communales. S upposons le pire, c'est à dire les libéraux battus. M. Possemiers prenant sa retraite, c'est un clérical qai serait nommé à sa place. Vous pensez bien qu'on le prendrait très jeune, actif, sectaire, de façon à ce qu'il puisse « embê'er» pendant de longues années les libéraux, s'ils reviennent au pouvoir. O: M.- Possemiers donnera sa démission pour empêcher le gouvernement de nous jouer ce mauvais tour. — On parle aussi de la candidature de MM. Hubert Melis et Ritchie. — Oh! il en surgira encore d'autres. Elles ne pourront cependant entrer en ligne de compte que si, deux fois de suite, comme la loi l'y autorise, la Députation permanente refuse d'agréer le choix de )a Ville. Eventualité toujours à craindre Et voilà! x. "" ' *■ rrinMi 1 riaJi Théâtre Royal. MM. Cimpagnola et Albars viennent de chanter les rôles de l Julien et du Père, dans « Louise » au Casino de Vichy. 1 Lq baryton Rouard (de la Monnaie) vient d'y triompher dans « Le Chemineau »; à ses côtés, Mme Delna fût une Toinette très applaudie. Gros succès pour Jeanne Bour-s geois, dans « Samson et Dalila ». AViftel, gros succès pour Mme Victoria Fer, quia fait s de superbes débuts dans «Manon»; le baryton Dezair chantait Lescaut. ) Sur le tableau de troupe, appelée à desservir le Casino , municipal de Boulogne-sur- Mer, nous rencontrons les noms de M. Charmat, et de Mmes Gausse et Suzel. > Notre ancienne et méritante dugazsn, Mme Marcelle s Gavelle, est venue passer quelques jours à Anvers. : M. Viroux restera encore parmi nous jusqu'à la fin du mois; puis l'excellent régisseur ira faire la saison d'Ostende. Après quelques jours passés à Anvers, Mme Marcelle Gavelle est partie pour Fouras-les-Biins, où l'appelle un brillant engagement d'été. ; 0 mm Théâtre des Variétés. C'est lundi prochain, 22 juin, que la tournée Jules Brasseur s'arrêtera aux Variétés pour nous donner une seule et unique représentation du récent succès du théâtre des Variétés de Paris, «Ma tante d'Honfleur», trois actes d'un comique intense signés Paul Gavault, ce maître du rire. La tournée vient de quitter Paris ; elle jouera au Havre, à Rouen, à Calais, Lille, Valenciennôs, Amiens, Liège, Bruxelles, Anvers, puis Reim3, Genève, Toulon, Toulouse, etc., etc. car la tournée visitera plus decent villes. Nous verrons Albert Brasseur dans le rôle de Charles Berthier, que le grand artiste créa à Paris. L°s partenaires d'A'bert Brasseur sont tous des artistes trè3 côtés sur le boulevard; Mmes Louise Marq uet, Berthe Fusier, Madeleine Deréval, Marguerite Balza, Laurence Musset, MM. Numès, Paul Robert, Coquillon, Willy Garrigue, Gorron, etc. On fera bien de passer au plus vite au bureau de location. Plusieurs anciens artistes des Variétés font leur saison d'été à Chatel Guyon. Citons: Mmes Camille Hebert, Louise Dauville, de Feraudy, MM. Séran et Baye. Mme Lucienne Roger, la délicieuse créatrice de « Su-zsnne », dû «Mariage de Mlle Beulemans», vient de signer un brillant engagement avec le théâtre de Saint-Petersbourg.M. Albsit Lev/joue en ce moment au théâtre de l'Alham-bra, de Bruxelles. Mme Paulette Doriai est rentrée à Anvers. M.Gorbyet Mme Reine Deschamps, deux anciens pensionnaires des Variétés, font une saison au Casino des Fleurs de Vichy. A la Femme Contemporaine. La dernière semaine vécue par cette pimpante et bnllante exposition de la « Femme Contemporaine » fût encore extrêmement intéressante. Simedi, dans la Salle ^es Fêtes, nous eûmes une charmante séance de musique de chambre, dont de jeunes artistes bruxelloises, Mlle Gladys Chester, violoniste, et Mlle Alice Jones, pianiste firent les prix. On entendit Mlle Jones dans la Sonate en fa dièze majeur, pour piano, de Beethoven, puis dans un «Menuet» et une « Fileuse » de Mme Berthe Max-Goldschmilt, un «Impromptu» en fa mineur, de Gabriel Fauré, et des compositions de Mendelsshohn, de Gluck et de Brahms. Ces morceaux, de genres et de caractères différents, prouvèrent la souplesse du talent de l'artiste dont le jeu est à la fois nuancé et délicat. Mlle Chester se produisit dans une « Sonate » en sol, pour violon, avec accompagnement de piano, de Mozart, ainsi que dans la «Symphonie espagnola» de Lalo. Mlle Chester rendit ces deux œuvres en artiste correcte, mais le jeu est un peu froid et semble manquer de chaleur. L'auditoire fit uq succès aux deux jeunes filles, ainsi qu'à M. Russell Chester, qui tint avec talent la partie de violon dans la sonate de Mozart. La série des conférences s'6st clôturée lundi après midi par une causerie faite par Mme Saroéla qui nous parlade la «L'gue pour la Protection de l'Enfance no:re». Cette ligue a son siège principal à Bruxelles et y fait une trè* active propagande en faveur de notre Colonie: son but est de familiariser la mère congolaise avec les pria-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise gehört zu der Kategorie Culturele bladen, veröffentlicht in - von 1903 bis 1958.

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