Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise

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s.n. 1914, 20 Februar. Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/cc0tq5sb7k/
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20 février 1914 N°47 34* ANNEE, T , T J!«JTATTr.XTAT^ 10 centimes le numéro. XT A T I / V r TT> MAT të!*-1^TTM TT? XT A T Tr\T TT? MAT JOURNAL D'ANVERS ADMINISTRATION ET RÉDACTION: 35, tUE ZI3B = TÉLÉPHONE 2118 Les tpaousoîtibs t>e so*)fc pas î»ei)du~s ■Hr^TT^ A T' ■WfllT?\T T"T> XT A T i$,te:*SST/~\TTT> "NT A T ANCIEN ORCHESTRE littéraire, théaIral arIîstique, mondain AflOE^ElIE^TS: POUR LA BELGIQUE: CIÏïQ F*JLI*CS POUR L'ÉTRANGER : SE*T F<*J&Ï*CS IL SERA RENDU COMPTE DE TOUS LES OUVRAGES TOUT DEUX EXEMPLAIRES ONT ÉTÉ ADRESSÉS A LA RÉDACTION THÉÂTRE DES VARIÉTÉS. Vendredi 20 février à 20 1/2 h. précises soirée de gala, première représentation de L'Escapade pièce en 3 actes de M. Gabriel Trarieux, jouée par Mmes Jane Eyre, Daurey. Olivier, etc., MM. Hubert, Hédouin, Gheleyns, etc. Le spectacle se terminera par Gonzague pièce en 1 acte de M. Pierre Veber, jouée par Mmes Berty, Daurey, Hugo, etc,, MM. Levy, De Vloët, Monret, etc. A l'occasion des Fêtes du Carnaval : samedi 21 février à 201/4 h. précises Le Vieux Marcheur pièce en 4 actes de M.Henri Lavedan, jouée par Mmes Jane Eyre, Dorian, Emery, etc., et MM. Daubry, Levy, Monret, etc. Dimanche 22 février à 181/2 h. précises représentation extraordinaire : 1° L'Abbé Constantin pièce en 3 actes de M. Pierre Decourcelles, jouée par Mmes Dorian, Baillet, Daurey, Berty, et MM. Paul Jorge, Lepers, Levy, Monret. 2" La Petite Chocolatière pièce en 4 actes de M. Paul Gavault, jouée par Mmes Smith, Daurey, Gladys, etc. et MM. Levy, Monret, Borde, etc. Lundi 23 février, Grand Bal ânnuel. Mardi 24 février à 19 3/4 h. précises Education de ■ Prince pièce en 4 actes de M. Maur. Donnay, jouée par Mmes Dhayrmond, Dorian, Colette Smith, Berty et MM. Daubry, Lepers, Levy, etc. Le gala en l'honneur de M. Charmat. Le jeudi 5 mars on donnera la « Traviata» en l'honneur de M. Charmat, notre très distingué baryton d'opéra-comique. Je sais que la phrase a quelque chose de stéréotypé Ce n'est pas ainsi que je l'entends et je tiens à dire ce que je pense. Le rôle du baryton d'opéra-comique, dans une exploitation comme cell# du théâtre Royal, est d'une énorme importance. Il est chef Remploi non seulement dans l'opéra-comique et l'opérette, mais il excursionne plus souvent qu'àson tour dans le drame lyrique, ce genrenouveau quisemble en passe de remplacerdéfinitivement le grand opéra. Nous avons entendu M.Charmat dans la prière du grand-prêtre dans " Sigurri », le rôle de Figaro dans le « Barbier de Séville,, et celui de Danilo dans la "Veuve Joyeuse,,. Si je cite ces trois ouvrages, d'expression artistique bien différente, c'est pour silhouetter sur le vif cet artiste méritant, consciencieux, refractaire à tous les cabotinages, à toutes les clowneries, mais toujours sincèrement respectueux de son art dans tous les genres où il se produit avec une distinction suprême. A cette exquise représentation du Barbier où Coryn avait amené Mathieu Lutz, cette Rosine idéale par la voix souple et char-meresse, par son jeu pétillant d'esprit, David le ténor qui en ce moment triomphe à l'Opéra-Comique,Virly et Viroux des interprètes de tout premier ordre. Charmat chanta et joua le rôle de Figaro avec une verve, une souplesse, une fantaisie qui lui valurent un de ces succès qui font époque dans la carrière d'un artiste. La représentation était offerte aux abonnés, mais les autres devaient payer 20 sous de plus pour jouir d'un ensemble qu'aucune grande scène fastueusement subsidiée ne parvenait à réunir, et alors, vous comprenez .. Ce n'est pas pour rien que nous sommes la Métropole des arts. Je le voyais dans la « Veuve Joyeuse,, où le jeu des comparaisons a longtemps suivi son libre cours. Le beau Danilo que Charmat, d'une distinction si fière, désinvolte avec une élégance et un chic impressionnants, promenant son joli talent de comédien sobre, sans cabriole au travers de cette viennoiserie, comme il avait soutenu le drapeau de l'opérette française avec un talent que nul ne songea à contester. Il n'est pas cabot, M. Léon Charmat, il ne tartarine pas les cafés, où se tiennent des palabres vengeurs. C'est un artiste d'une très grande modestie, qui vit très effacé et s'il m'est permis — il me le pardonnera, de soulever un instant le voile de sa vie privée — ne dédaigne pas d'être un bon époux et un bon père comme dirait l'autre. Et il est sans mérite de l'être, car Madame Charmat, cette femme charmante est une musicienne accomplie, et la collaboratrice de son mari. Je ne sais dans laquelle de ces chansons Judic chantait: Le bon Dieu dans les bons ménages Jette un rayon de son soleil. Le rayon de soleil c'est Mlle Butterfly, le sourire et la joie de cet intérieur, pardon, Mile Yvonne Charmat qui dans Butterfly regarde avec une infinie tendresse certain Consul américain de ma connaissance. C'est ce consul américain auquel les abonnés et les habitués tiendront tout simplement à donner un témoignage de sympathie aussi sincère que mérité.Il n'est pas expan-sif M. Charmat, il ne cherche pas des popularités à l'heure de l'apéritif sur le zinc du mastroquet. Il ne déclasse pas sa profession, il l'honore et à Anvers où ont passé quantité de cheminots de l'art, il est de ceux qui auront passé avec beaucoup de dignité et de fierté. Voilà ce que j'ai tenu à dire — et je l'ai dit. LE JOURNAL D'ANVERS. Le Bal de la Zoologie. « Nous allons faire Carême prenant... „ Ainsi s'exprimaient nos aïeules, du temps du Grand Roi, qui allaient chez une amie prendre part aux réjouissance du Carnaval. L'expression est tombée en désuétude (et c'est dommage, car elle était jolie), mais la chose elle même est demeurée de tradition. Nous fêtons encore les jours gras. Avant d'entrer en Carême, nous éprouvons comme un besoin d'exagérer les divertissements et les plaisirs. Et quoi de plus agréable que de savouer une cuisine exquise, des vins délectables, en joyeuse compagnie, en un cadre pimpant et fleuri. Tout cela — et bien d'agréables surprises — attendent les gourments qui iront souper au Restaurant de la Zoologie. M. Berthels, prépare non seulement un délicieux menu à prix fixe, mais aussi une carte épatante. Et puis quel plaisir, après avoir savouré un souper divin, que d'être transporté immédiatement dans la grande salle de Bal, éblouissante de lumières, fleurie dans tous les coins, et où l'on danse aux sons d'un orchestre d'élite, conduit par M. Van Haverberge. L'habile chef d'orchestre a composé un programme irrésistible, qui fera se trémousser jeunes et vieux. On dansera non seulement des « Tangos argentins « des « Maxixes brésiliennes » des « Furlanas », mais aussi ces aguichantes polkas, ces mazurkas langoureuses, et ces quadrilles échevelés qui mettent la salle en joie. Pour les danses modernes, la direction du Bal de la Zoologie vient d'eDgager un groupe de professeurs (hommes et dames) qui est appelé à faire sensation.- Le bal se corsera encore de l'apparition du corps de ballet de nos grands théâtres et des « Gaety Girls », de très capiteuses danseuses américaines et anglaises qui se feront applaudir dans toute une série d'originales danses anglaises et américaines, extremêlées de chant. Rappelons encore que toutes les salles, c'est-à-dire la salle de la Terrasse, la grandiose salle des Marbres, la coquette salle de la Ceuillette des Pommes, le hall du « five 'o clock n, seront livrées au public. Des tables seront dressées dans les galeries du 1er étage, et de là, on aura un coup d'œil merveilleux sur la grande salle de Bal. Toutes ces salles recevront, grâce à M. Blockx, le jardinier en chef de la Zoologie, une abondante décoration florale. Ajoutons aussi que l'on pourra se promener dans le prestigieux jardin d'hiver, oasis de fleurs et de verdure. Le Paon Boyal servira les dîners extra, fixés au prix de 10 francs, dès 7 heures du soir; chaque dîneur a droit à l'accès entièrement gratuit des salles et salons de l'établissement, y compris la Salle de Bal. Au cours du dîner, la Direction fera distribuer une ample moisson de magnifiques cadeaux et surprises. Nul doute que Tout Anvers sera demain soir à la Zoologie. mÊmrnmmmmmmmm wmmmà Le Grand Bal des Variétés Les Anversois fêteront-ils beaucoup le carnaval cette année? Nous croyons pouvoir répondre par l'affirmative, car jamais les cartes pour le Bal des Variétés ne s'enlevèrent comme ces jours-ci. La vieille tradition des fêtes carnavalesques sera observée comme d'habitude; et l'on s'en apercevra surtout à ce fameux bal du lundi, aux Variétés, rendez-vous classique du tout-Anvers qui veut s'amuser ; ce sera encore un succès triomphal ! Déjà bruissent à nos oreilles les joyeux échos de la Folie.... Carnaval est à nos portes.... vous savez bien, celui qui chaque année l'ont déclaré fini, mort, et qui chaque année pourtant revient plus mystérieux, plus tentant que jamais. Et qui dit carnaval dit aussi Bal des Variétés, ce bal si chic, si mondain, où l'on voit nos mondaines, les artistes de nos théâtres, en des costumes adorables. Toutes nos grandes couturières sont sur les dents; chez Ducheyne de Leeuw, le costumier artiste des Variétés et du Lyrique, on est débordé de besogne. Le joie règne partout aux Variétés pendant ce bal unique; la gaîté semble sortir de tous les coins, voire même du plancher du théâtre mué en une prestigieuse salle de Bal. Cette salle offrira cette année un aspect féerique, grâce à un nouveau système d'éclairage électrique qui répandra sur la chatoyante cohue des flots, des torrents de lumière du plus curieux effet. Au fond de la salle se dressera un double escalier monumental, et la salle de spectacle proprement dite, sera recouverte d'un plancher soigneusement ciré, ceci à l'intention des danseurs qui pourront s'y trimousser à coeur joie. L'orchestre, qui comprendra 100 musiciens, jouera sans interruption. Il exécutera toutes les nouveautés à la mode, tango, maxixe, furlana, etc. etc. Il y aura également de la musique dans le cavaux, où sera installé le buffet froid. Nos lecteurs savent déjà que l'on peut louer les baignoires,balcons et loges; on y jouil d'un coup d'œil unique sur l'ensemble des salles de Bal v Dans les baignores et dans les loges seront dressées de petites tables, où l'on pourra, tout à son aise, déguster une bouteille de Champagne des grandes marques ou des vins des premiers crûs. L'administration des Variétés a pris des mesures pour satisfaire à toutes les demandes. Enfin nous aurons des entrées de groupes joyeux et des surprises sensationnelles. Le bal commencera à 10 h. précises. * * * Tout ceux qui iront au Bal de la coquette bonbonnière de la Place de Meir, ne manqueront pas d'aller déguster au réputé « Moselhaiîschen ,, des Variétés, les délicieux vins mousseux, ou les vins du Rhin et de la Moselle, si rafraîchissants. Buffet froid, Huîtres, Caviar, Ecrivisses, Poulets, etc. '/s* &À ieà'isà .«« Si sÀ'mS) Le Carnaval au Weber Quantité de tables sont déjà retenues au Weber. C'est que l'on sait d'avance qu'on s'y amuse toujours: souper exquis à prix fixe ou à la carte, distribution de souvenirs, partie dansante toujours très animée, musique entraînante dans tous les salons envahis de petites tables joliment fleuries. On sera prêt pour recevoir les soupeurs désireux de passer gaiement le Carnaval. Un bon repas est le prélude certain de la bonne humeur. Le chef Chol-let, le célèbre lauréat de l'Exposition Culinaire de Bruxelles, et à qui M. Weber a fait un pont d'or pour l'enlever à un fameux restaurant parisien, a du être de mon avis en composant des menus particulièrement suggestifs.Les soupers à prix fixe seront servis le samedi, dimanche et mardi, au prix de 8 fr.; celui du lundi sera de 10 fr. L'entrée se fera par l'avenue des Arts et de vastes vestiaires seront établis dans les sous sols. La vogue constante du Weber est un sûr garant du succès qui attend les soupers du Carnaval 1914. msmsmm inawiiii mmm Le Carnaval au Laboureur. La salle du restaurant du Grand Laboureur fut particulièrement animée samedi soir: avant de se rendre au bal du Gouverneur, tout comme après cette fête brillante, il y eut foule de soupeurs dans le très select restaurant de la place de Meir. Ceci est de bon augure pour les nuits du carnaval. Le Laboureur a fait des aménagements spéciaux pour recevoir la foule des soupeurs désireux de passer gaiement la soirée.Outre un éclairage féerique, de la musique dans tous les salons. M. Marius prépare pour les gourmets des menus à prix fixes dignes de la réputation de la maison et une carte complète. Inutile de vanter la Cave du Laboureur, elle jouit d'une réputation inégalable. Quant au service, il sera assuré par des garçons adroits et stylés. Tous les soirs des bibelots et des surprises seront distribués aux soupeurs. Comme tous les ans, c'est au Laboureur qu'on assistera aux soupers de Carnaval les plus gais. x ap jBagqsfiggcao ^iiaiaoaogaaa Théâtre Royal. L'admirable, la vibrante soirée. Voici « Louise » définitivement au répertoire; toutes les préventions ont disparu. On reconnaît, enfin, l'intégral mérite de ce chef-d'œuvre de la jeune école française. Dix ans ont suffi pour l'imposer ; et tout le vérisme de pacotille, toute la musique au macaroni dont nous fûmes sursaturés au cours de ces dix années, n'a pas tué tout instinct de beauté dans l'âme de notre public. Et la route ouverte; M. Coryn, un artiste, un homme de goût ne peut marquer de la suivre. Qu'il nous donne de belles œuvres, le plus possible. Le public qui a fait jeudi dernier, à l'œuvre vivante, colorée, prestigieuse du magicien musical qu'est Charpentier, un accueil qui tenait du délire, peut regarder en face les plus éblouissantes audaces des musiciens d'aujourd'hui. Donnez-lui « Pelléas », « Salomé », « Ariane et Barbe-Bleue », « Pénélope », il vous en saura certainement gré. Elle est bien morte la génération des vieux abonnés, encroûtés dans tout le fer-blanc des opéras héroïques et tonitruants, qui nécessitent des voix particulièrement généreuses et des traditions pures, dont le drame-lyrique brutal et rapide à détruit la solennité. Il faut régénérer coûte que coûte, le répertoire de notre vieux Royal ; il ne faut rien brusquer, évidemment — qui va piano va sano ! — mais il faut le faire avec adresse, avec la volonté tenace de réussir Nous serons toujours sur la brèche pour défendre ceux qui se voueront à cette noble et nécessaire besogne. Nous fûmes de ceux qui, âprement, défendirent » Louise » lorsqu'elle se présenta parmi nous. Les fossiles essayèrent contre elle les sarcasmes dont Beckmesser n'a jamais, à travers les âges, cessé d'accabler l'art neuf et hardi. Ils retardèrent l'apothéose, mais il viennent d'être vaincus. Et voilà pourquoi les ovations sans fin qui saluèrent la reprise de cette œuvre magnifique, nous furent doublement agréables. Voilà aussi pourquoi il faut de toute nécessité, que «Louise» demeure au répertoire, comme l'a dit fort justement notre ami Timon, au même titre que « Carmen », que « Manon » que « Faust». Nous espérons que l'intelligent et avisé M. Coryn y veillera. Je ne vais pas me donner le ridicule de découvrir les beautés musicales du drame musical de Gustave Charpentier. Laissez-moi plutôt vous citerà propos de ce musicien d'élite, quelques anecdotes que je crois peu galvaudées. Il y a environ trente ans, Charpentier était petit comptable dans une filature de Tourcoing. Il était déjà furieusement bohème et il semble

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise gehört zu der Kategorie Culturele bladen, veröffentlicht in - von 1903 bis 1958.

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