Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1917, 22 Juli. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/zw18k76w9r/
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Dimanche T1 iuillel 1917 IIWJMW.I— n M«T1« ' 'r1 . O centimes le ou :é'ro. tifvîie &$îuét • s 197-203 JOURNAL DE GAND w mm §mm amassum ÉCHO 13JB2SI XUSGSI ABONNEMENTS TJW ï'JttûKC VINGT CINQ PAR TSÏMSSTRÏÏ ï'! ' *. ' ' A0\i;N?S Î'H ,--.'T fO;V ; SAtêB ". . L' ■ T -.S S PS, ï -TELEPHONE 665 REVUE «*6 journaux de la semaine. LE BRUXELLOIS Du i5. — Une découverte intéressante. — Un ingénieur new-yorkais, M. A. Szeliga, vient d'inventer un dispositif de sûreté pour éviter la destruction des films cinématographiques, lesquels, on le sait, sont très inflammables et ont déjà causé plus d'une fois de terribles désastres dans les salles de spectacles. D'après une description parue dans le < Scientific American », le nouveau dispositif consiste en principe en deux paires de couteaux, placés à l'orifice de chacun des deux magasins à films, dont est flanqué l'appareil de projection. Ces couteaux, qui sont reliés entr'eux au moyen d'un ressort, sont tenus écartés l'un de l'autre par un magnéto, de façon à permettre le déroulement du film, Dans le cas, où pour l'une ou l'autre cause, le film s'enflamme dans l'appargil de projection, le magnéto fait jouer les ressorts, les couteaux s'abattent et ferment hermétiquement les orifices des magasins à fil ; ; simultanément, le film a été coupé, de sorte que seule la partie du film, se trouvant entre la bobin» dérouleuse et la bobine enrouleuse, est anéantie; le feu ne peut donc pas atteindre le restant du film, isolé automatiquement dans les magasins. On comprend dès lors qu'une explosion est évitée. Le nouveau dispositif offre en même temps un grand nombre d'autres avantages. Au moment même où les couteaux s'abattent, la cabine de l'opérateur est fermée hermétiquement, les lampes qui y brûlent sont éteintes, tandis que celles de la salle «'allument, le moteur de l'appareil s'arrête et enfin, le chef d'orchestre reçoit le signal de faire donner la musique afin de détourner l'attention des spectateurs. On voit donc que l'invention do M.Szeliga est d'une grande valeur ; elle limite les risques d'incendie à une petite longueur de film ; elle permet de poursuivre la représentation après une très courte interruption, et afin, elle détourne l'attention du public, ce qui empêche les paniques souvent si dramatiques.— Allemagne. — Les nouveaux sous-marins allemands. — L' * Aftonbladet » de Stockholm publie la description du nouveau type de sous-marins allemands. D'après ce journal, les nouvelles unités sous-maris ont une longueur de 140 mètres, sur 11.30 m. de plus grande largeur et 7.35 m. de tirant d'eau, lorsqu'elles restent à la surfaee, tandis que la hauteur du fond jusqu'au sommet de la tourelle mesure 9.50 m. Ces sous-marins auraient un déplacement d'eau de 5,500 à 6,500 tonnes, ce qui fait dire à 1' « Aftonbladet », non sans raison, que ce sont en vérité des croiseurs sous-marins.Les moteurs produisant la propulsion sous l'eau, développent une énergie de 20,000 HP., tandis que les moteurs électriques qui assurent le mouvement du navire, en plongée, développent 5,000 HP. La vitesse que ces sous-marins peuvent atteindre à la surface est de 28 à 30 nœuds, tandis que sous l'eau elle est de 15 nœuds. Le nombre de tubes lancetorpilles est porté à 40, dont 18 sont disposés de chaque côté, deux autres à l'avant et deux à l'arriére. Les sous-marins peuvent emporter environ 76 torpilles, de 45 centimètres de diamètre. De plus, ils sont agencés comme poseurs de mines. L'armement de ces monstres sous-marins consiste en six pièce» ie 11.9 centimètres, destinées principalement à combattre les torpilleurs, mais qui peuvent ausii être employée» pour canonner les navires de commerce. Du 17. — De grands blessés belges arrivent à Lyon. — Du . XX9 Siècle » : Un nouveau convoi de grands blessés belges, venant d'Allemagne, est arrivé à Lyon, le 30 juin. La foule a salué respectueusement nos soldats, auxquels M. Mulatier, consul de Belgique à Lyon, a souhaité la bienvenue. Voici les noms de ces rapatriés, avec l'indication de l'unité à laquelle ils appartiennent et de la formation sanitaire belge sur laquelle il» ont été dirigés : Les sous-officiers : Ledoux Edmond (art. Namir, Auvours); Megin Georges (Congo Belge), Auvours ; Vankenniers Alb. (aspirant du S. de santé), Auvours; Schokaert Henri (transports), Auvours. Les caporaux et soldats : Bouquiaux Adlié-mar (12e de ligne), Auvours; Bruiyninck Jean (30e de ligne), Auvours; Buchet Paul (30e de ligne), Auvours; Chop Pierre (vol. Congo), Fontgombault; Coorevits Jules (4e artillerie), Auvoirs; Demeure Jean (10e de ligne), Au-vour»; Derneville Robert (10e de ligne), Au-vour»; Des»art Marcel (14e inf.), Auvours; De Wille René (8e de ligne), Auvours; Garin Jules (9e inf ), Fontgombault; Gouzon René (4e cha». à pied), Auvours; Guzembourg Charles (art. place), Auvours; Hamoir Oscar (8e inf.l. Auvours: Hendrickse Jean fart. fort.). 1 awi—yai » »i j Fontgombault; Henry Adelin (transports), Auvours; Houdenaeken Oscar (transports), Auvours: Kinds Pierre (transports), Auvours; Laureyns Albéric (4e inf.), Fontgombault; Lefèvre René (29e de ligne), Auvours; Leroy Féréol (lr grén.), Auvours; Maréchal Ernest (10e inf.), Auvours; Maréchal Lucien (art. Namur), Auvours; Moreau Lucien (transports), Auvours; De Nèvre Emile (22e de ligne), Pontgombault; Pellegrin François (10e de 1.), Fontgombault; De Qulrini Paul (30e de ligne), j Auvours; Ries Edouard (transports), Auvours; Sauvegarde Edmond (4e ch. à pied), Auvours; Staelens Joseph (30e de ligne), Auvours; Ton-glet Marcel (lr gren.), Auvours; Wagemans Fernand (10e de ligne), Auvours; Wanpach Charles (10e de ligne), Auvours: Vande Lenne Henri (10e de ligne), Fontgombault; Vanden Russche René (22e de, ligne), Auvours; Van Maekelberghe(cl 8e de ligne), Fontgombault; Demelenne Jules (10e inf.), Auvours; Wagemans Fernand (10e de ligne), Auvours. Du 18. — Changements dans le cabinet belge. — Les journaux parisiens annoncent que M. Beyens a rendu son portefeuille de ministre des Affaires étrangères. Le chef de cabinet, M. de Broqueville, a assumé ces fonctions. Les ministres d'Etat Hymans et Vandervelde recevront un portefeuille. Un général non encore désigné deviendra ministre de la Guerre. — France.— Les femmes agronomes. — Le ministre de l'Agriculture en France vient de décider qu'à partir de la rentrée scolaire de 1918, les femmes seraient admises en qualité d'élèves régulières à l'Institut national agronomique, dans les mêmes conditions que les hommes, c'est-à-dire par la voie du concours d'admission. Le services des vidanges Nous avons annoncé la semaine dernière qu'il était question d'ériger un monopole pour le service des vidanges. Rappelons que celui-ci fut créé en 1900 pour remédier à la mauvaise organisation qui caractérisait le service des entrepreneurs privés. Actuellement, la Ville dispese du matériel suivant : 18 tanks à gadoues, 3 chaudières, 4 pompes à air mécaniques, 2 moteurs à essence, 1 camion fermé pour le remisage des tuyaux et des boyaux, 3 charrettes à boyaux ordinaires, 90 mètres de boyaux en caoutchouc, 126 mètres de tuyaux galvanisés, 16 barques à gadoues avec le matériel nécessaire. Quarante ouvriers sont occupés au service et sont divisés en trois équipes; en outre lé service emploie en moyenne 2% chevaux. Précédemment les gadoues étaient déversées dans des barques, place Van Eyck, boulevard du Gazomètre, quai de la Biloque, ce qui donnait lieu à de nombreuses réclamations. Le règlement voté le 25 février 1916 désigna comme endroits de déchargement le canal de Bruges (extrémité des maisons aux Anguilles), ainsi que le quai Albert. Ces deux endroits qui, provisoirement, donnent satisfaction. sont situés à une certaine distance des habitations. Le réservoir à gadoues, situé le long du canal de Bruges, a une contenance de 50.000 hectol.; la construction, commencée en 1914, a été terminée en 1916. Ce réservoir répond à un véritable besoin, tant au point de vue des finances qu'à celui de l'hygiène. Pendant les mois de la moisson, lorsque les cultivateurs ne transportent pa» d'engrais, et en hiver lors des fortes gelées, on était obligé de laisser les matières se perdre dans les rivières. La caisse communale subissait ainsi un dommage considérable et une grande quantité d'engrais était perdue pour l'agriculture. Dès le mois d'août 1914, les cultivateurs ne firent plus de commandes; les vidangeurs principaux arrêtèrent le travail; le service communal fut accablé de demandes de vidanges; les entrepreneurs privés envoyèrent leurs clients à la ville en faisant observer que le service était obligé de vidanger. Mais en février 1915, les commandes de l'agriculture furent reprises et, en présence du manque d'engrais chimiques, elles affluèrent à tel point que bientôt le prix des gadoues augmenta; dès lors se déclara une lutte à outrance pour la vidange des puits. Les entrepreneurs privés firent la chasse,'principalement aux grandes fosses qu'ils prirent en location, réservant le travail ingrat au service de la ville. À mesure que les prix augmentèrent, la chasse devint plus tenace et les offres d'achat se multiplièrent : les demandes de vidanger adressées à la Ville devinrent rares. A certains moments, les demandes de fourniture de gadoues furent si pressantes, que le service se vit dans l'obligation de vendre au plus offrant. Le règlement pour l'enlèvement des gadoues et des fumiers fut voté par le Conseil communal en séance du 14 février 1916. A partir de cette date et sur tout le territoire de Gand, la vidioige desfosses fut autorisée exclusivement ; au moyen d'appareils appropriés, bien élan- ! ches et inodores : les vidanges de nuit, faites j par les campagnards, lurent interdites. Outre le contrôle du matériel des entrepre- : ne»! s privés, du maximum d'heures de travail { et du minimum de salaire appliqués à leurs j ouvriers, on a pris diverses mesures pour pré- \ venir l'extension exagéré?' des exploitations î particulières. Ainsi que nous l'avons léjà dit, les entre-preneurs ont pris l'habitude d'arrêter le travail en temps de difli ■ ult • d'écoulement. Le règlement cependant prévoit qu'en cas d'urgence, la Ville a le droit île leur désigner les fosses à vider endéans les deux jours, mais ces réquisitions s'exécutent toujours à contre- j cœur. En temps ordinaire, le service des vidanges j de la Ville avait suffisamment d'ouvrage; ies j demandes de vidangei arrivaient régulière- \ ment et l'on pouvais donner suite à toutes les I commandes d'engrais. Mais aujourd'hui que les gadoues rappor- ] tent gros, il en va fout autrement. Le personnel du service communal doit s'adresser de maison en maison afin de trouver du travail et la plupart du temps c'est en vain. Les entrepreneurs paient aux habitants une légère redevance pour les gadoues et prennent en location les grandes fosses d'enclos, de fabriques, d'établissements, etc.; ils se tiennent de préférence dans les quartiers situés à proximité des endroits de déchargement et laissent au service de la régie le centre de la Ville et la rase campagne éloignée. Ce procédé est très lucratif pour les entrepreneurs : le centre de la ville, avec ses W. 0. modernes, fournit une grande quantité de gadoues sans valeur commerciale, ce qui impose à la Ville un travail plus onéreux et des sacrifices d'argent importants. Il n'y a qu'un moyen le remédier à cette situation, dit M. Coppielers dans un rapport sur cette question, il consiste à prendre le service entièrement en régie. Aussi l'Administration communale a-t-elle prévu cette éventualité lorsqu'elle a octroyé l'autorisation d'ériger des services privés de vidanges. En effet, l'arrêté d'autorisation délivré par le Collège des Bourgmestre et Echevins comprend, entre aill es, la disposition suivante : * L'autorisation est accordée à litre précaire. aux conditions suivantes... » Et, le n° 13 de ces conditions stipule : « Si « plus tard la Ville estimait préférable d'éri- • ger un monopole ou bien de concéder les ♦ vidanges à un seul entrepreneur, d'après « un système reconnu plus avantageux, les ' entrepreneurs actuels ne pourront réclamer « de ce chef aucune indemnité. » D'autre part la régie est en état de se charger seule du service pour toute la Ville et de l'assurer convenablement. En présence des sacrifie : importants que s'impose la Ville pour l'extension et l'amélioration du matériel, on propose d'adopter comme mesure transitoire, l'obligation pour les vidangeurs privés, moyennant un prix à convenir, de vider les gadoues dans les réservoirs des Palingshuizen; cette mesure pourrait être prise jusqu'à l'introduction de la régie exclusive. Les Expositions A la salle Taets L'inauguration d'une seconde salle et la présence d'un artiste très personnel, — Joseph Horenbant —, donnent un attrait spécial à l'exposition de la quinzaine. Une quarantaine des tableaux y sont réunis, qui permettent d'apprécier sous tous ses aspects le talent de ce peintre consommé et de cet infatigable chercheur. Utilisant tour à tour les différents procédés de l'aquarelle, de l'huile, de la peinture mate ou de celle 11 tempera n, M. Horenbant s'applique à rendre les plus délicates vibrations de la lumière. Pour lui, un tableau est une orchestration de rayons, dont le thème se développe harmonieusement d'un point central aux bords du cadre. Bien qu'une telle conception entraîné nécessairement une part de convention, elle réalise des effets puissants et originaux. C'est particulièrement dans des études d'Intérieurs que se révèlent les dons de l'harmoniste, en même temps que le sentiment de l'intimiste. Ces humbles logis, où par les fenêtres basses le jour filtre discrètement, et où se penchent des vieillards, des dentellières, des paysans, sont pleins de poésie et pourtant de vérité. Mais M. Horenbant est aussi un « plein-airiste » habile. Dans ses paysages et notamment dans ses coins de Gand et de Bruges, il note avec délicatesse les plus subtils chatoye-ments de la lumière, les remous diaprés de la foule ou de l'onde. Parfois il idéalise franclie-i ment son sujet et en dégage une signification \ profonde, comme dans ce coin du « Dyver » itv 'inrTttragr^w*aaaaiBE»Ea intitulé - Jour de printemps - , cette rentrée de procession à • St-Sauveur ou ce crépusculaire * Pavillon blanc ». Quelques statuettes du sculpteur Léon Sar-teel, vigoureusement taillées ou gracieusement campées, complètent cette intéressante manifestation d'arl A la se-lle Putman Outre les dernières œuvres de feu Albert Touffaert -r- parmi lesquelles il faut remarquer « Chiens de trait dans une cour de ferme -, d'un réalisme que n'eût pas désavoué Joseph Stevens. — la petite galerie de la rue desdiamps s'est enrichie cette semaine d'une remarquable collection de dessins. Ce sont ceux que fit L.-Geeiis pour le cortège historique de < Gand à Travers les <âges » en 1894. — Geens fut un artiste plein de science et de verve, mais ce fut un bohème et un malchanceux et sa réputation resta bien au-dessous de son talent. Les cartons que nous montre M. Putman mériteraient d'entrer dans une collection sérieuse et de sauver ùb i' OiÀuii i' nom de leur auteur. 0. A". OhwpÉç&ii Molgii i i BAXQi l'Union du Crédit d--| 1 r. !, Place Saint Michel 1G, bonifie a< -un intérêt de 2 1/2 °/0 sur ls-? fonds déposés en compts de qv.iu?,aii\e. (1638) AFFAIRES communales. — Dans sa dernière séance le Couseil communal a décidé : 1° Le prolonger le délai pour la restitution des prêts faits par la Ville à deux Sociétés coopératives et à plusieurs communes de la Province, jusqu'au 1 juillet. 1918 pour les premières et jusqu'au 1 janvier 1918 pour les secondes. 2° de demander l'autorisation d'accepter le legs fait par Mlle C. Ueirnaert pour le Musée communal, de trois pôrtfaits peints par son père M. Joseph Geirnaert, artiste-peintre. 3° d'approuvé- une résolution des Hospices civils, par laquelle le règlement de l'Hôpital est modifié en ce sens, que le titre de « médecin-adjoint » est supprimé, de sorte que tous les médecins porteront le titre de Médecin ou de Chirurgien des Hospices. !° d'émettre un avis favorable sur les délibérations de la fabrique d'église de Ste-Anne, fixant le cautionnement du nouveau trésorier, approuvant le compte de clerc à maître et accordant décharge finale au trésorier sortant. 5° que les augmentations du traitement arriérées, revenant aux instituteurs primaires, attachés aux écoles professionnelles communales seront liquidées. - («IISUIIFDF éleo. raooord. chez voisine ; M —«wllEWEi GENIETS, 14, r. Brabant (1788) POMMES de terre. — Un nouveau règle-; ment pour la vente des pommes de terre à la population a été remis aux boutiquiers. En voici le résumé. Quiconque reçoit des pommes de terre de la Ville, ne peut avoir chez lui que des pommes de terre fournies par la ville, il doit les vendre au prix fixé par le service communal. En cas de transgression, le boutiquier est définitivement privé de pommes de terre. Les clients seront avertis des jours de vente par une pancarte affichée continuellement chez le boutiquier. Cette pancarte portera au recto la mention : Aujourd'hui vente de pommes de terre, et au verso : Aujourd'hui pas de pommes de terre. Les boutiquiers seront avertis par circulaire des jours de déchargement, si toutefois la chose est possible et en tout cas par un avis affiché aux bureaux de la rue du Jambon, 8. Toute réclamation doit être adressée à M. Jos. De Vynck, rue du Jambon, 8. Les bureaux sont ouverts tous les jours ouvrables de 8 1/2 à 12 h. et de 2 1/2 à 5 h. Des contrôleurs visiteront les boutiquiers et surveilleront minutieusement la vente de la ration. BnS« A lanftSmm Gros et Détail DOIS ta OÎCillSP Chêne . Sapin . Canada S'adresser : !'■ Be'naege!, q. des Moines, 13, Garni. (1298) CHARBONS. — Le service du charbon commencera la 4® vente de 50 kg. par famille à partir du lundi 23 juillet et en employant la nouvelle carte jaune (carte de charbon). Le prix du chai-bon remis à domicile est fixé à 4 fr. Pour éviter que le public doive aller rue Borluut pour retirer le bon, les détenteurs de cartes n05 l à 20,000 (sections 1, 2, 3 et 4) devront avant le lundi 23 juillet remettre à leur marchand de charbon la partie A/B de la carte jaune et lui payer le prix de la ration (4 fr. pour 50 kiç.). A partir du lundi 23, les firmes désignées feront le nécessaire pour transporter le charbon. En cas de retard le possesseur de la carte perdra tout droit à la 4e ration. La carte jaune estampillée sera remise au possesseur lors de la livraison du charbon. Les habitants des 4 premières sections (nos 1 à 20,000) qui ont remis leur carte jaune aux bureaux du service du gaz afin de prendre eux-mêmes livraison de leur charbon, peuvent obtenir leur ration à l'usine à gaz le mercredi 25 juillet de il à 5 li. au prix de 3,50 fr. Les personnes qui n'ont pas retiré leur carte jaune au bureau de la rue du Jambon, n° 8, doivent le faire sans retard. AU 30 JUILLET prochain, ouverture du bureau de change JUL.E® DOSSCHE 27, rue digue de Brabant. (2058) RATIONNEMENT de la viande. - Pour-la vente du 21 juillet prochain, les bouchers pourront, avec le bétail mis à leur disposition, délivrer 65 gr. (viande et os) par personne. I ! \ j I ! 11 r. \ Editeur.-; rie musique UUIU.UUU. p. STRUYF, successeur Grand choix de musiques belges et étrangères. Lutherie artistique. — (.'ordes garanties juates et sonores. — Accessoires divers. (1132) RATIONNEMENT de la quinzaine du 23 juillet au 4 août.— Pour tous : fèves, 250 gr. par personne; sel, 1/2 kg. par carte de ménage. — Le fait que le Comité Urbain peut mettre en vente des fèves semble indiquer qu'il vient d'y avoir de nouveaux arrivages. En tout cas, | nous croyons savoir qu'il n'est pas question d'augmenter la ration dans les Cantines Bourgeoises ni dans les bureaux de vente. Comme on n'est sûr de rien, on doit agir avec une prudence extrême; c'est du reste ce qui a permis de continuer le service jusqu'à présent. MOOERN PALACE Jusqu'au 26 juillet : Sinistre Forfait Drame émouvant en 3 parties Gamine Grand vaudeville en 3 parties joué par Henny Porten Héroïne du téléphone Film sentimental Etc., etc. (2059) LA PIE ME Ongenae-Verenghin, rue basse des Champs, 31, a en ce moment 6" magasin de beaux meubles ainsi qu'un grand stock de ; dentelles véritables. (2062) | POULETS. — A titre d'essai, le Comité î urbain de secours et d'alimentation étendra la vente des poulets aux bureaux de vente n°s 9, 11, 12, 14, 29 et 30, où les habitants de la périphérie de Gand pourront s'en procurer le samedi sur présentation de leur carte de ménage. Prix : 6 fr. le kilo. THÉÂTRE PATHÉ Jusqu'au 26 juillet : David Copperfield ; grand drame en 4- actes, d'après l'œuvre cé- !lèbre de Charles Dickens. Max dans une de ses créations. r Etc., etc. Prochainement : La Pieuvre. (2067) QUI ne connaît les jolies cartes postales esthèticiues de la maison Ch.Warie, rue basse des Champs, 23. Spécialité de couleurs en tubes. (2061) ALIMENTATION des enfants.—Le Comité régional de Gand Urbain, désireux d'améliorer dans la mesure du possible l'alimentation des enfants, a décidé de mettre à la disposition des mères de famille une ration do 500 -grammes de farineux par 15 jours et par enfant de 6 mois à 10 ans accomplis. LeComité a mis en préparation deux farines alimentaires : le produit « Florima » est un composé de farines diverses de première qualité qui est vendu au prix de fr. 0,25 le paquet de 250 gr. Le produit « Phosphatose » est un aliment phosphaté de tout premier choix, composé de farines, sucre et phosphate de chaux. 11 est vendu au prix de fr. 0,60 le paquet de 250 grammes. Les mères de famille peuvent choisir celle de ces farines qui a leur préférence. Pour obtenir ces produits, qui seront mis en vente dans les magasins du Comité au jour î habituel de l'achat des denrées de quinzaine, les personnes désireuses d'en faire profiter leurs enfants se feront inscrire à leur bureau de vente respectif. Les inscriptions se feront sur présentation de la carte de ménage et du carnet de mariage, à partir du 28 juillet 1917. La vente sera annoncée ultérieurement. NOUVEAU CIRQUE Jusqu'au 26 juillet : tous les soirs à 8 heures De Dollar Prinses Operette en 3 actes par Wilner et F. Griin-bann, musique de Léo Fall. Dimanche et jeudi matinée. La semaine prochaine : Het Teeken des Kruises. (2065) UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmaciens de service le dimanche après dîner, 22 juillet : pour Gand (Dock-Porte j d'Anvers) et Mont St-Amand, M. Bogaert, s chaussée de Termonde, 128 ; pour Ledeberg Iet Gendbrugge : M. Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Gand von 1856 bis 1923.

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