Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 01 September. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/3n20c4v65k/
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La ration de capital ■ j;ncore une ration? Encore une «arte.? Non. — Ne Hrous frappez pas. Il no s'agit point d'une augmentation ■ ; |4 pitance que nous oetroye deux foi» par mois le K);.lUé National. Il ne s'agit d'ailleurs pas de nsus. La Hp'i'ou de capital ! Mais oui ; parfaitement; un? ration K, c. capital — avec uio majuscule — dont 1« farouthe • : ijafafgue disait qu'il resplendit dans Tarant et ■ pUC dans le fumier, qu'il réjouit dans 1# yin et qu'il ^ÊL ro;jo dans le vitriol. À. première vur., ce rationnement ^■X;>:il pourrait sembler un.-, m sure conçue par l'esprit ^■'u°rmeiito «l'un anarehiste ou d'un nihiliste désireux de ^Ejjrrir l'kunîanité loufTrant» de la maudite tyrannie H olll d'or.Il n'en est rien. Le» jens qui la propotent ■ |e6 j#ns les plus calmas du monde ; ce soat des ^Eiissifurs posé», intelligents, raecinés, bref des person- , qui réunissant en leur individu toutes le» qualité» ■f ^ | oi jojal citoyen. Ce sont, en outre, des Suédois, à-dire des gens du Nord, ce qui donne une garan-■(p |f pjus contre l'exagération qu'on pourrait évantuel-■it - ï être tenté de chercher dan» leur projet. ■ ,>omme partout, ailleurs, la guerre a fait naître en HSu-ie jiiP5 problèmes économiques désagréables et cem-H, n g [vasque partout, ees problèmes se ramènent en >'■ ^ c compte à une qmestion financière. La Suède ne WLr yil« exceptien à cette règle. D'un eôté l'on y gas-l'argent facilement gagné s*r le dos de ceux qui [ de l'autre, «crtaines entreprises périclitent, mteet capitaux. Désireux d'introduire un peu d'ordre :qs ce gâchis, le gouzernement s'est finalement décidé faire quelque chose. Comme le veut la tradition, il a ,minencé par nommes une commission. D'habitude, tte façon de travailler ne donne guère de brillants niltats. No.as savons tous ce qu'elle vaut, parce que us, nous avons déjà vu eomment fonetionuent la plu-rt tics «ommiasions. Ici, pourtant, l'affaire a été entama sérieusement.. On n'a pa« nommé — chose remar-able — des ronds de cuir, dont l'activité proverbiale limite neuf fois sur dix à la lecture des journaux îusints, au eulottage de pipes et à une vaine pape-s$.,rie. Ici la commission a été réellement composée .ffens compétents: trois professeurs d'économie poli-|ue, quatre directeur» de grandes banques — dont le ■acteur général de la Banque nationale de Suède — un conseiller dn département de l'Assurance. Ce» t spécialistes sont tombé» d'accord pour proposer à tat de décréter un rationnement systématique des itaux. C'est là, ont-ils dit, le seul moyen qui leur aisse recemmandable pour remettre la eirculation neière du pays dans son assiette. je crédit n'est que la permission d'user du «apital utrui. Si vous allez à la banque, et que celle-ci vous ■ re un crédit, vous ne faites en somme qu'emprunter fonds déposés par uu autre, vous employez fin qitel->sorte à vos propres petites affaires la galëtte d'un vos semblables. De cette manière, vous pourrez me être amené, sans le savoir, à faire fructifier Tarit de Jean, Pierre, Jacques ou Paul, qui sont peut-e vos ennemis mortels. Enfin, eela ne tire pas à lîéquenee. Ve»pasien, empereur romain, qui avait loin de fond», leva un impôt sur les urinoirs, et fut le nier à proclamer eette nrofonde vérité que l'argent , pts d'odeur. Longtemps après lui, Octave Mirkeau iliqua péremptoirement que les affaires sont les affai-. Pour eu revenir à notre crédit, la commission »ué-se propose à l'Etat de taire dépendre toute ouverture crédit par une banque, d'une autorisation gouverue-întale. Si la semme demandée était trop forte, le partêment eompétent aurait le droit de la réduire, fin, l'autori»ation ne serait accordée que dans des cas néieisité absolument démontrée. Veyez-vous le itème ? Monsieur X, désirant par exemple monter s fabrique de n'importe quoi — prenons, de cirage îombustible — devrait d'abord en référer au gouvernant, expliquer au long et au large tout ce qu'il se •pose de faire. Ensuite, le ministère compétent exami-ait et déciderait si, oui ou non, Monsieur X peut •nir du crédit. Par la même décisiou, le Ministère ïrait la ration de capital dont pourrait bénéficier nsiPurX. A l'égard des peuvoirs publics, il en serait même. Les communes se trouvant dans la purée, attendraient des fonds qu'à la toute dernière extré-é. Us organisme de contrôle omnipotent planerait lu-dtssus de tout le meuvement financier du pays. Il ■uteriserait ou refuserait des émissions d'obligations, «aminerait le» emprunts coniMuiaux, donnerait son letosur la constitution de neevelles «ociétés commer- I^ïales, «'occuperait des demandes de créait émanant de «mes industrielles ou même de personnes privées. En naiot, l'Btat jouerait un peu le rôle q»e joue un huis-i r de salle dans la cave aux coffres-forts d'une banque. ■Ce qui est le plus étonnant dans ce projet, c'est qu'il ■été proposé à l'unanimité. On comprendrait encore à Irigaeur que de doctes professeurs, très savants, très Drts, mais dont les lunettes bleues ne percent pas les jécossifcés de la Vie quotidienne, inventent pareil sys. Ime. Mais de» banquiers, des gen» ayant l'habitude de puer des million» en fumant un Henry Cîay. se sont léelarés du même avis. J.l faudrait donc admettre qye la fcose est très sérieuse, très grave, et qu'on a réellement Intention de s'y atteler résolument. lU projet n'intéresso pas uniquemeut les Suédois, tttouctoe un peu tout le monde, car le mouvement com-■ew'al et le crédit sont partout basés sur les mêmes ffi'ncipes. S'il était définitivement mis en vigueur sous Irmede loi,il créerait une immisetion des pouvoirs publics |*ns les affaires privées qu'on n'accepterait probable-lent pas partout de la même façon. Je ne vois pas très pen, ?our ne donne qu'un exemple, un commerçant fige, habitué à faire tout ce qae bon lui semble — en ¥mps normal, eela s'entend —, qui regardo de travers plus innocent des accisiens, admettant que l'Etat Benne fourrer son nez de fouine dans le eompte courant Je lui a ouvert la Banque X. Y. et C®. Ce procédé le ftrait crier comme un putois, et non sans raison. Où e* Iiverait, avec ce système, la libre initiative dans les lires ? Pour quiconque sait ce que signifie la sacro-iteadministrâââtion, ce bloc enfariné ne dirait rien vaille. Il faudrait-attendre pendant des semaines et semaines une autorisation toujours problématique, .personnelle contestera que la prompte décision est 5 des qualités dominantes des affaires. On aurait irsoi l'automobile, le télégraphe, le téléphone, peut-e même l'aéroplane, afin de pouvoir aller vite et de pas perdre un quart de seconde, mais il faudrait ■tendre une décision administrative, transmise par la ■pn.iaire voie hiérarchique. Ce serait risible et nuisi-■e-Et puis, communiquer le pour et le contre d'une ^■mande de crédit, cela reviendrait ou quelque sorte à ^■uinuniquer sinon un secret, du moins des ronseigne-j que tout commerçant désire à juste titre garder M seul. Je voudrais bien rencontrer l'oiseau rare gez niais pour aller pendre au nez d'un fonctionnaire I '1. 0. de ses affaires. Il y a des gens bêtes, c'est ; mais pas à ce point, je crois. ■vouloir rendre un peu plus élastique le mouvement ■J3cier d'un pays en enchaînant l'esprit d'initiative ■ s«s citoyens, cela fait légèrement l'effet de la charrue devant les bœufs. Si vraiment la Suède doit deve-champ d'expériences du rationnement up to date ■on se propose de lui appliquer, je crois qu'on pourra ■ister à des choses intéressantes. Bien que le projet |vV°rti d6S raénin§:e8 cle très gosses légumes, le Jparaît ne pas mordre. Dès à présent, la presse de ■ockholm a commencé une campagne contre la propo-Dans les milieux intéressés, bien que personne ■ll foi en sa réalisation, on suppute déjà les moyens ■ s échapper parla tangente et de tourner avec élé- les prescriptions légales éventuelles. Si l'on ^ffaiteu arriver là, ce serait fâcheux : la morale publi-Heny aurait pas gagné grand'chose, au contraire. Et ■^Précisément la morale publique des pays scandina-■ Wou nous pose toujours en exemple. Raoul-Gustave. Dimanche 1 septembre 1W1S 10 centlnjea I# svusiéro 62* année — Nos 239-245 Journal de Gand "ÉICSHO DES FLANDRES Rédaction et Administration : 3, RÛF DE FLANDRE, 3, GAND ■ boiraomer.ts : UN FiîAïyG VINGT CÏKQ PAR TEJMKSTfia ÉCHOS D'RHT Au Théâtre Pathé Cercle Artistique symphonique Gantois Le concert do dinsanche 25 août fut extrêmement in téres»ant. Débutant par l'Ouverture de Lr'otiore (n. 3 de Beethoven, il se poursuivit par un Tri» de Brahm et par la Symphonie militaire de J. Haydn. Ces trois œuvres capitales présentent entre elles n; lien étroit de parenté. Elles sont le fruit d'un art avan tout élevé et pur. Alors que les compositeurs moderne brossent sur une toile de fond, qu'ils ornent de détail les plus coloriés, les plus émouvants; ces classiques, a contraire, dans l'ignorance de ce décor instrumental travaillent leurs motifs comme de petits personnage qui se meuvent et vivent de leur propre vie. Si, chc les premiers, une de ces appliques musicales se détache cette chute n'entraîne pas avec elle l'effondrement d tout l'édifice puisque la toile de fond retient le reste chez les derniers au contraire le moindre défaut d dessin, un mouvement un tantinet gauche chez ces pe tits êtres livrés à eux-mêmes et sans soutien, brise irré vocablement l'harmonie d'ensemble. Cette musique, qu je dénommerai de « musique-à-jouv » est donc d'un difficulté sublime de conception; mais aussi d'une fragi lité inouïe d'exécution. Ces considérations feront comprendre à quel titre l1 public qui acclama si chaleureusement les exécutant du Trio do Brahms : Mme Decock-Chemay, MM. Lu cien Meirsman et Maur. Van Bockstaele eut raison. Ce singulier morceau qui réunit trois instruments piano, violon et cor n'est pà3 uu exercice d'unique aoro bâtie; il possède de l'âme ; c.à.d. que les trois exécu tants doivent lire en même temps que sentir. Ce résul tat fut obtenu grâce à la justesse, la pureté, le senti ment exact qu'y mirent les instrumentistes, quoi pourrait confondre dans un même éloge. A joutons cependant que dans le développement de quatre partie» de ceTrio où trois rythmes et chants dif férents sont rendus par chaque instrument— genn Bach — les trois instruments travaillant donc complè tement «à jour», il.nous a été facile d'observer, au poin de vue technique, la sûreté, la vélocité, le jeu très déll de Mad. De Cock-Chemay ; la sonorité merveilleusi du violon de M. Meirsman ; le fondu, la délicatesse dt nuances et des transitions, la netteté des traits du cor uiste M. Van Bockstaele. N'est-il pas curieux d'observer que'cet instrumen ingrat — le cor — de tout rudimentaire qu'il fut, in strument sans pistons, simple soutien orchestral, soi devenu, de nos jours, un instrument de musique d> chambre, de salon ? A. la condition cependant qu'il fû entre; les mains d'un artiste expert comme M. Yai Bockstaele, dont les exercices et la praiique, « l'em bouchure » lui proeure, malgré sa jeunesse, une pureti rare et définitive »ur toute l'échelle instrumentale Nous félicitons de tout cœur ce trio d'élite. Il ne serait pas hors caire de citer derechef et tou aussi élogieuaement M De Meirsman qui se fit. enten dre comme soliste, daas LSgende, de Wieniawski, mor ceau d'un élan très poétique, mais qui n'épargne à l'ins trumentiste aucune des difficultés elassiques de double, notes, trilles à 1 octave, etc. et un moreeau de genre, Le belle Rosmarin, dont on devine sans peine l'auteur, Frit: Kreisler, violoniste lui-même, où done la souplesse di coup d'archet doit vaincre les obstacles d'innombrable! « staccato ». M. De Meirsman s'y est avéré violonistt de grand avenir. Le troisième spécimen de cette musique dite «àjour> fut la très, mais jamais assez célèbre Symphonie Militaire de Haydn, une vraie perle. S'il est vrai qu'à tra vers les œuvres des différents compositeurs on sent le caractère de ceux-ci, nous savourons ici une charmante bonté. Il me semblo voir, devant son travail, le maître, au front calme et haut, un sourire bienveillant et sereir sur les lèvres, dans la quiétude de.sa conscience en repos, non agitée par les passions, et n'ayant cure de! tempêtes de la vie, achever avec patience cette musique équilibrée et cependant joyeuse, qui est musique d'âme autant que do sagesse... Comme fin, La Marche de Fiançailles de Lohengrin. où, par contraste, le Chevalier au Cygne nous paraît d'autant plus « théâtre », plus emphatique et trop clinquant. Car il faudra du temps encore avant que Wagner n'inculquât à ses enfants « SagesBe et Destinée » qu'Haydn concevait avant Maeterlinck ! - B. Les Expositions Le bel envoi du mariniste Albert De Vos, à la Salle Taets, provoque l'admiration des visiteurs, qui retrouvent, devant ces œuvres à la fois si vraies, si lyriques et si majestueuses, les impressions puissantes et poétiques que donne la contemplation même de l'oeéan. Quel mouvement, quelle ampleur et quelle lumière, dans cette grande toile intitulée « Dernier danger » ou dans ce « Rêve en pleine mer » ! Que d'émotion et de rêve aussi, dans 1' «Epave> ou le «Retour forcé au rivage» ! Et que d'exquise délicatesse, que de musicale harmonie, dans ce «Vent du Nord», qui enveloppe de grésil la chaloupe balancée sur les flots gris, — ou dans cette brume opaline, qui nimbe les barques dormant <'A l'ancre » dans le calme du soir ! Tout cela est brossé avec fougue, après avoir été étudié avec persévérance, et longuement contemplé avec amour. Cette Mer du Nord, qui fut son inspiratrice et son unique modèle, Albert De Vos en connaît tous les aspects, toutes les nuances, toutes les splendeurs, toutes les séductions et toutes les perfidies. Mais il n'a pas seulement beaucoup observé et médité devant elle, il a travaillé sans relâche pour que son expression fût adéquate à son émotion. Chacune de ses œuvres prouve sa science à traduire les mouvantes perspectives de la mer et du ciel, sa recherche consciencieuse de la mise en page, son souci de l'orchestration dé tons; mais le sentiment qui les anime est si intense et si vrai qu'elles gardent quand même, le plus souvent, le charme prime-sautier des rapides pochades. Puisse Albert De Vos n'être pas tenu trop longtemps éloigné de son grandiose modèle, afin que sa fraîcheur d'émotion ne vienne pas à s'altérer, et que son talent, si personnel et si généreux, puisse poursuivre son logique développement ! M. Geo De Vriendt n'a pas craint de faire voisiner ses œuvrettes avec les émouvantes productions de M. De Vos, et il a en raison, car. pour être plus modestes, elles n'en sont pas moins sincères et honnêtes. Lui aussi sait voir avec émotion et vérité, et il traduit ses I impressions avec un savoir faire que beaucoup ponr- ss —-ucta-riraira— i »ii iw n—n-tnrwrrr mr,—i nu» il 11ninrnTwiTf-iiMWTi-zaaaB ! raient l*i envier parmi nos jeunes aquarellistes. « Verger en fleurs ». «Automne», etc.. sont de fraîche» et poétiques notations ; d'autres : « Bonheur caché ». « Douce retraite », sont des étude» très fouillées, dont l'exactitude de dessin, la sobre harmonie de couleur fent des pages dignes d'éloges. ) Il faut donc applaudir au suecès de ces deux expo-s pants, dont le» œuvres trouvent non seulement de fer- i vent» admirateurs mais aussi d'ardent» acquéreurs. ! La « Maison d'Art» se glorifie d'exposer «n ce mo-t ment quelque» pages de l'œuvre émouvant etsympathi-3 que du grand artiste qu'est Joseph Horenbant. i L'intimiste ému et délieat s'y retrouve dans un ] «Intérieur», tout vibrant de clarté et de poésie, et la t plein-airiste au talent personnel et vigoureux s'y ex-3 prime en des paysages d'une rare beauté." C'est le «Quai ( du Rosaire», où l'effet de lumière est si délicieusement , rendu qu'on oublie presque d'admirer la perfection de 3 métier qu'y a déployée l'artiste; c'est le « Marché au ; poisson », un morceau brillant de couleur, merveilleux ï I de vie ; c'est 1' «Orage» d'un faire si large, d'un coloris si savoureux et si distingué ; c'est une «Route de Flandre» où se traduit avec éloquence la douceur do notre î ciel et la grâce de nos paysages. Car c'est de eela sur-î tout qu'est fait le magistral talent d'Horenbant : il est de chez lui,de ehez nous, il s'est imprégné jusqu'au fond de l'âme de l'intime poésie du sol natal, et il la traduit 3 simplement et largement avec une haute conscience 3 d'artiste ; peintre consommé, dessinateur habile, il sait sacrifier le détail à l'intérêt do l'ensembl* et concentrer sou émotion, arrivant ainsi 'à nous donner le ; frisson du grand art. 0. V. ^ |. MUSIQUES. — P. et A. Beyer, éditeur» de musique, j P. Struyf, successeur. Grand choix de musique» belge» et l étrangères. Lutherie artistique. Cordes garantie» juste» 5 sonores. Accessoires divers. ; 1 BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabant. 5 JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16. Fourniture» géné-^ i raies pour Eau, Gaz, Electricité. , : LE LAIT POUR ENFANT. — Nous recevons la lettre 3 ; 'suivante : Monsieur le Rédacteur en chef, ' Je ne suis pas vacher, mais étant père de trois petits t enfants, je me suis vu dans l'obligation de m'intéresser au liquide bienfaisant qu'on tire des mamelles de la vache. ^ Et bien, dussé-je commettre une indiscrétion funeste à leur honneur, je déclare publiquement que les vaches sont ' tgutà fat dégénérées. Jugez vous-même si j'avance un propos colorriniéiix : 1 Autrefois, lorsque j'avais fait bouillir le lait destiné à . fournir à mes petits enfants le nonibre.de globules rouges que réclame leur sang, ce liquide recouvrait d'une belle crème appétissante, fleurant bon le lait frais. J'étais content et mes enfants buvaient, satisfaits. Depuis près de quinze jours, lorsque je fais bouillir le lait qu'un Comité secourable me fournit après de longs stationnements et moyennant le versement, rubis sur l'ongle, d'une somme relativement élevée, je constate, à ma grande stupéfaction, une véritable révolution dans mon poêlon. Le croiriez-vous, ce n'est pas du lait que j'obtiens, mais une sorte de mortier peu appétissant, dont un veau se déclarerait très mécontcnt, s'il prenait fantaisie à sa mère 1 de lui en servir un plat. Sous .ce rapport, mes enfants partagent les goûts du : veau, à leur grand dam et à mon profond désespoir. • Ne pourriez-vous, Monsieur le Rédacteur en chef, rappeler à ces messieurs du Comité qu'il exi»te peut-être : encore quelques échantillons de l'ancienne rac.e de vaches l qui fournissaient un lait que l'action du feu ne changeait ; pas eu un fromage écœurant ? Un père aux abois. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vente et location de pianos par mois, pour soirées et concerts. GUERISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et liniinent Heyndrickx. Pharmacien Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg-Gand. LUSTRES en fer.--Liseuses. — L'Electricité M. C., rue du Hainaut, 8. COKES (itout-venant). — Avant de reprendre la vente poussière de cokes, il sera fait une distribution de « cokes tout-venant». La vente se fait à l'Usine à gaz de 7 1/2 à 11 h. et de 2 à 5 h. sur présentation de la carte brune. Le prix est fixé à 2 fr. 50 par ration de 50 kg. Lundi 2 septembre, matin 45101 à 46900, après-midi 46901 à48100; mardi 3, matin 48101 à 50700, après-midi 50701 à 51900 , ! mercredi 4, matin 51901 à 53700, après-midi 53701 à 54900. L'ONGUENT Pédiphile guérit pour toujours cors aux pieds, œils de perdrix, durillons. Une seule application suffit. Se conserve des'années'sans perdre de sa valeur. * Gacôns, pharmacien, rué de l'Eglise, 34, Ledëbèrg. CHICORÉE. — P. B. C. — Pendant le mois de sep-j teinbre, on vendra de la chicorée dans les 13 magasins de ■ la P. B. C. Ration 250 gr. par personne au prix 0,25 fr. par ï ration. La vente se fera comme suit : l Lundi 2 sept. 1 à 225; mardi 3 sept. 226-450; mercredi : 4 sept. 451-675 ; jeudi 5 sept. 676-900; vendredi 6 sept. \ 901-1125; samedi 7 sept. 1126-1350. Lundi 9 sept. 1351 à 1575 ; mardi 10 sept. 1576-1800 ; î mercredi 11 sept. 1801-2025 ; jeudi 12 sept. 2026-2250 ; | vendredi 13 sept. 2251 2475; samedi 14 sept. 2476-2700. Lundi 16 sept. 2701 à 2925; mardi 17 sept. 2926-3150 ; j mercredi 18 sept. 3151-3375 , jeudi 19 s< pt. 3376-3600; ; vendredi 20 sept. 3601-3825 ; samedi 21 sept. 3826-4050. Lundi 23 sept. 4051 à 4275 ; mardi 24 sept. 4276-4500 ; mercredi 25 sept. 4501-4725 ; jeudi 26 sept. 4726-4950; vendredi 27 sept. 4951-5*75 ; samedi 28 sept. 5176-5400. Lundi 30 septembre 5401 à 5700. ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies. VAN DEN BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change. BEURRE. — P. B. C. — Lundi, vente pour toute la lie ; section, séries 41, 42, 43 et 44 de la carte P. B. C. BANQUE l'Unniodu Crédit de Gand, Société Anonyme, fondée en 1855. — Capital 2.500.000 fr. Siège Social : place Saint-Michel, 16. Bureaux auxiliaires : rue de Flan-dee, 32 et Avenue Elisabeth, 19, Gand. Toutes opérations de Banque, Change, Dépôts de fonds. Encaissement de coupons, Ordres de Bourse, Vérification des tirages. Service financier pour compte de Sociétés. Location de coffres-forts. — Dépôts : à découvert et cachetés etc. FOUR A PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gaz et ordiiiâire. Maison Dutry-Colson, rue des jj Champs, 12, GAND. BRIQUETTES. — Les lions seront remis rue de Bruges, 26, de 9 à 11 1/2 et de 2 à 4 1/2 h. Ile section : lundi 2 ; septembre, 57050 à 57425; mardi 3, 57426 à 57800; mercredi 4, 57801 à 58175; jeudi 5, 58176 à 58925; samedi 7, ; 58926 à 59300. SOYEZ Optimistes ou Pessimistes vous n'en aurez ; pas moins de pénurie en charbons cet hiver. Vous trouve-i rez encore cfu Bois à brûler en petits blocs aux anciens | prix à la rue d'Egmont, 19 (Parc). MAGASIN COMMUNAL n® 1. — Les articles seront ; vendus dans l'ordre suivant : le série le 2 septembre; 2e les 3 et 4; 3e les 5 et 6; 4e les 7 et 9. Dorénavant la soude sera vendu sur présentation de la carte brune; les changements de cartes se feront rue du Jambon, 8. BOIS A BRULER, 19, rue d'Egmont (Parc). ÉCOLE professionnelle communale du Livre. — Cours pour Adultes. La réouverture des cours aura lieu mardi prochain, à 7 1/2 heures du soir. Les nouvelles inscriptions seront prises au bureau du Directeur, rue du Repentir, 93, Gand, à partir de lundi 2 septembre, de 9 à 11 heures du matin et de 3 à 6 heures du soir. | PAPIERS et sachets, Van den Breen, bdde l'Abattoir, 17. PRÊTS.Achat, vente propriétés. Minnaert,bdBéguin. 21. FONDS publics. — Gillet, rue longue des Violettes, 37. j AUX PENSIONNÉS de l'Etat.— Afin de ne pas susciter de mécontentement, les inscription pour l'obtention d'un subside de guerre seront encore reçues au siège de la commission rue de la Gare, n. 24, le samedi 31 août et le dimanche lor septembre de 3 à 6 h. de l'après-midi. Le brevet de pension sera strictement exigé. Pour la commission : Le Président, G. J. Bloedberge ; Le Secrétaire, Ch. Houtekeet. NOUS AVONS le plaisir d'annoncer à nos lecteurs l'organisation d'une Fancy-Fair dans les coquets jardins du Trianon. avenue du Patyntje, à deux minutes du.terminus tram 7, par la société Philantropique les « Ware j Vrienden » au profit de la tombola destinée aux Orphelins j de la guerre. Cette société ayant maintes fois fait preuve 1 de compétence indiscutable en matière d'organisation de spectacles, il est à prévoir que cette foire de bienfaisance sera un vrai régal pour les familles gantoises. L'ouverture en est fixée au dimanche 8 septembre et durera huit jours I L'accès de lafête est subordonnéaux conditions ci-après: dimanches et jeudi l'achat de 10 numéros de la tombola à 0.10 cent., le lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi 5 lots de la tombola à 0.10. D'autre part la société les « Ware Vrienden » a l'honneur de porter à la connaissance du public qu'il lui rentre journellement des «uperbes lots destinés à la tombola des j Orphelins de la Guerre. La société n'avait pas pu prévoir une manifestation aussi intense de la charité publique ! et le classement des lots suivant leur valeur n'ayant encore pû se faire, la société a décidé de convertir les tirages mensuels en un seul et grand tirage qui aura lieu publiquement dans un grand établissement de la Ville et qui sera annoncé par la voie de la presse ! Dès maintenant un partie de lots sont exposés à l'Innovation, rue des Champs, Maison Alexis, rue du Soleil, au New-England, coin rue aux Vaches, Au Bon Coin, rue du Pont Madou, et chez M. Van Wacs, rue longue de la Monnaie et d'autres magasins de la ville, que nous publierons prochainement.G. WTTERWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Coupure, r. g. Nég. fonds public», coup.-chèq., monn. étrang. HÊMORRHOiDES II — R. Baetslé, 56, rue Charles Quint. — Alb Baetslé, 48, avenue Elisabeth, Gand. CONFISERIE rhseol. Ed. De Vynck, r. St-Geerge»,22. LISTE des numéros de la Tombola Artistique de l'Exposition, Boulevard du Jardin Zoologique : 3087 3520 4221 4625 4737 4963 5322 5676 6386 6732 8232 8961 9496 11166 11296. Les prix peuvent être réclamés jusqu'au 1« septembre chez Monsieur A. Desomville, rue du Hainaut, 21. FLOR. DE PAEPE, agent de change à Gand informe le | public que ses bureaux sont transférés rue du Hainaut, 5 |(c°in rue de la Croix, anciennement 15, rue basse des Champs). Même maison Grammont, 16, rue du Pont. SONNERIES ÉLECTRIQUES. Geniets, 14, r. Brabant. Cacao sucre «MARGOT », Café mélange«LEXTRA», Amidon composé « LE LIS », Butter-Cream. Venle en gros, LLON ROTSAERT, 7, rue de la Poudrière, (près Boulev. St-Liévin). THEATRE PATHÉ. — Grand concert de Bienfaisance le samedi 7 septembre à 3 li. 1/2 avec le bienveillant concours de Mesdames Mormesnil, Alb. Devis, A. Alexis, i MM. J. Haesaert, Vincke, Ast. Bogaert et de la phalange artistique Guillemyn. Fauteuils Loges, Baignoires 10, Balcons 5, Galerie 1.25. ■j L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. ECONOMISEZ vos CHAUSSURES par l'emploi des ' Protecteurs « DUC » pour chaussures d'hommes, dames | et enfants. Légers - Solides - Pratiques - Elégants. Maison . Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. THÉÂTRE PATHÉ.— «Jiinbow l'Irrésistible», vau-[ deville en 3 actes. Distribution : Jimbow : Arnold Rieck, le célèbre comi-; que. Benjamin Dubois, renti r, Marie Toréaline, femme î de chambre, Le commissaire, 1»' cambrioleur, 2' cam-\ brioleur. « Le Serpent de Cléopâtre », comédie en 3 actes (série Lu 1918). Personnages : Adelirt Poupart, rentier, Clotilde sa femme, Adèle Sausé servante, Culchot hôtelier, Loulon sa fille, Hugo Mirbelle compositeur, Edouard Combel son ami, François employé de théâtre. CHAUFFAGE AU BOIS : Foyers calorifère, rue des Foulons, 36. SEMELLES et TALONS de CHAUSSURES en «OMEGA ». Plus solides et meilleurs marché que le cuir. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. AU MINARD. — A la dematjde générale on donnera encore cinq représentations dimanche 1, lundi 2, mardi 3 et jeudi 5 septembre à 7 1/2 heures du Comte de Luxembourg avec M. Ev. De Bouvre. Dimauche matinée à 3 heures. Jeudi 5 septembre bénéfice de M. Georges Dupon. Dimanche 8 s ptembre la première du Dollarprinses. Le LUNA PUDDING POWDER est le moins cher, parce que son emballage est le moins luxueux. I ACHATS de Tapis de Srnyrne et Carpettes persanes au plus haut prix. Ecrire, 84, quai du Nord. ^ ^•[•ir-ifii"Tr inr'< in—niiiii'iiiiinH - i imi^y OUD-GEND. — Jusqu'au 5 septembre. « Le Renégat ou l'Evadé du Ghetto ». Grand film de mœurs juives en 6 parties avec adaptation musicale (absolue nouveauté). ASSORTIMENT COMPLET d'OUTILS pour SABO TIERS. Qualité supérieure. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. MODERN PALACE. —Jusqu'au 5 septembre. Grande nouveauté : « Sonia la Tsigane », drame émouvante en 4 parties, joué par Maria Carmi. « Les joies conjugales de Lu », comédie en 2 parties. Etc., etc., etc4 Propos ménagers Une bonne pâtisserie Graissez un plat allant au feu; couvrez-le de ehape-îure, puis de eéréaline. Disposez là-dessus une couche de tranches de pommes séchées; recouvrez de eéréaline, puis de chapelure. Versez sur le tout du lait légèrement sucré. Q-raissez et mettez au four. Bulletin Financier Bourses officieuses de Gand des 26-28-30 août. Les porteurs de lots de la ville de Liège 1897 sont invités à déposer les titres pour le renouvellement des feuilles de coupons. Sauf en clôture, fermeté sur toute la ligne, mais ce sont surtout les banques et les valeurs linières, qui ont joui cette semaine de la faveur du public. Aux banques, à titre d'aînesse; commençons par la Banque de Flandre ; offerte il y a huit jours à 1400 elle remonte à 1425 pour retourner à 1400. Banque de Gand sans vendeurs à 872 1/2 pour le titre libéré Série A le même Série B côte en clôture 1300 environ moyen, après avoir atteint 1375. Un petit calcul édifiera le public sur la valeur de ces deux titres. Nous supposons le même dividende d'avant la guerre, soit 10 p. c. et trouvons que . 25 act. libérées série A coûteront à 875 fr. 21.875 16 » » » B » 1300 fr. 20.800; la dépense en moins est de fr. 1000. Quant aux revenus les 25 A rapporteront 25 X 20 fr. (10 o/o sur le capital de 200 fr. qui est appelé) plus 25 X 12 (int. de 4 o/o sur libération anticipatif de fr. 300), le revenu total sera par conséquent de fr. 800; les 16 act. série B recevront 10 p. c. sur le capital entier de fr. 500 soit 16 X 50 fr. ou également fr. 800. Dans nos calculs nous ne faisons pas entrer en ligne d'autres facteurs qui pourraient influencer les cours. , La La Banque Belge du travail a bien défendu son cours de 800 fr. Comme dit ci-dessus, toutes les linières ont été très ferme, seule la Nouvelle linière du Canal a pu tenir toute sa fermeté jusqu'en clôture, et en progressant de 127 1/2 jusque 132 12, avec des achats très sérieux; la qualité des acheteurs nous engage à rechercher la cause de ces demandes. L'entrain dans les rubriques ci-dessus, a fait mettre un peu à l'arrière-plan nos tramways qui gardent quand même leurs fervents partisans. La capital Gand perd une petite fraction à 217 1/2, largement récupérée par la dividende qui est demandée à 147 offerte à 150. Comme il y a huit jours nous nous abstenons de tout commentaire. Les dividendes Anvers valent environ 52; div. Bruxellois 847 1/2; div. Bangkok 73 1 2. Sont encore recherchés les actions Clouteries des Flandres, ainsi que les Colonial Rubber qui sont traitées à 52 12. A Bruxelles. En parcourant les journaux, on ne constate que scandales partout, commerciaux et autres. Une fièvre.de spéculation a accaparé le monde; la place de Bruxelles est gravement atteinte de la contagion, et comme dans des cas pareils des sacrifices sont nécessaires, inévitables, qu'elles se fassent au plus vite, et que ceux qui en échappent soient plus prudent à l'avenir. Certains symptômes permettent de croire que la maladie est à son point culminant et que les victimes sont pour la plupart des personnages des moins intéressants, Contrairement à certains avis nous ne croyons pas que la place elle-même sera atteite. Banques fermes, pourtant la Banque d'Outremer perd 25 fr. pour la huitaine à 930; la Banque de Flandre a atteint 1500 fr. Chemins de fer et tramways. Brazil Railxvays. Une assemblée générale des obligataires, tenue à Paris, a accepté à l'unanimité le plan de réorganisation. Du rapport de 1' « Interstate Commission » de 194 chemins de fer américains il résulte, que les recettes brutes étaient au 30 juin de 183.517.000 dollars en augmentation, et de 288.393.000 nets en diminution. Guayquil et Quito (Ecuador). Ce chemin de fer, qui se trouve sous le contrôle du gouvernement, laisse ses coupons d'oblig. en.souffrance; en vue de représailles, le gouvernement a défendu toute importation de cacao, source importance de l'Ecuador. Economiques perdent 15 fr. à 557 1/2. Railways et Electricité également à 637 1/2; par contre Gand capital progresse de 7 1/2 à 217,50; la dividende laissée à 140 moyen fait 145 après 147 1/2. Tientsin gagne 20 fr. à 2745. La Transport et Financ. capital de 1220 monte à 1290; la fondateur de 1390 à 1460. Tramways et Elect. en Russie au capital de 16 millions a clôturé son bilan au 30 avril 1918 par une perte de 16.621 fr. Une bonne animation se dénote en métallurgie. Ou-grée-Marihaye cote 850-860. Cette société, une des plus importantes du pays, au capital de 52.725.000 fr., clôture son bilan au 30 avril dernier par une perte de 3.883.854 fr.; dans ce chiffre est compris la perte reportée de 1916-17 de 836.771 fr. Les cours des charbonnages testent relativement bien. En Russie, l'extraction du charbon a diminuée dans d'énormes proportions, surtout dans le Donetz qui n'a livré que 1.200.000 pouds contre 8 millions de pouds l'année précédente. La Comp. Intern. d'Electricité ajoute une nouvelle perte de 652.987 fr. à celle de l'exercice précédent qui avait été de 667.902, ce qui constitue 1.520 890 pour un capital action de 6.277.000, 2.331.000 d'oblig. et 3 millions bons de caisse. Cristalleries de Val St-Lambert perte 2.804.754 dont 1.557.943 reportées. Zino. Le syndicat est prolongé jusqu'au 1 Avril 1919. Rio Tinto bénéfices nets L. 2.004,992 contre 1.986.563 en 1916 et 1.109.328 en 1915 ; dividende 90 °/0 contre 95. ££ines d'or, coût d'extraction-qui était en 1914 de 16 sh. 7 est monté en 1918 à 21 sh. 9 d. Linières en hausse ; la raison ?... Soc. Anon. de Stalle bénéfice 93096 contre 104.385 ; dividende 35 contre 40. Le gouvernement Egyptien vient d'ordonner que la culture du coton doit se limiter au tiers de la culture normale.Caoutchouc. Le département de guerre américain a décidé de limiter l'import du caoutchouc ; cette mesure a jeté désaroi parmi les producteurs de caoutchouc des divers pays. Sucre. A Java on évalue le stock non vendu de 35 à 40 millions de picols (61,76 kilog.) valant de 6 à 7 fl. soit environ 200 millions. Actuellement on tache de s'en défaire de 5.50 fl. à 4.35 fl. Liebig's extrait of meat Cy distribue 15 p. c. sur son bénéfice de L. 566.772. Pétrole. Le gouvernement Mexicain a porté le droit d'exportation de 13 1/2 à 20 piastres. Stats extérieurs. L'Argentine traite en ce moment en Espagne un emprunt de 30 millions de pesetas. Australie. Un nouvel emprunt 5 1/2 p. c. de 4 3 4 millions de livres, a été entièrement souscrit immédiatement. Brésil. Les dernières ventes de cafés, déposés au Havre, y ont été adjugées au prix dev136,50 fr. le sac (de 60 kilog.). France. Les statistiques officielles évaluent la fortune mobilière étrangère en France à 26.797 millions, avec un revenu de 1.205 millions ; la Russie est représentée dans ce premier chiffre par 13.607 millions soit plûs delà moitié. Concernant l'emprunt de Madrid nous apprenons qu'il sera de 35 millions au taux de 6 p. c., ammortissable en 50 ans. R. D. J. FONDS publics, coupons, arbitrages. — RODOLPHE DE JONGHE, Vieux quai aux Oignons, 11.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Gand von 1856 bis 1923.

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