Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 24 März. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/2v2c82606m/
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__ ■! I*ri nrr< - w» Une terre sans maître Si vous ouvrez votre atlas, vous remarquerez au nord I des pays scandinavés, dans l'espace bleu de ciel qui porte F en caractère gras la mention -Océan arctique», un certain I nombre de points noirs, à peine visibles à l'œil nu. Ne ! croyez pas que ce sont là des corrections apportées a I votre livre de géographie par quelques mouches mal 61e- I vées. Non ; ces petits ronds représentent simplement des H îles, beaucoup d'îles, toute une fournée d'îles. Ce sont s I les îles Spitsbcrg, célèbres dans l'histoire des expéditions ■ polaires, car elles ont toujours constitué la dernière escale ; ■ de retour de ceux qui s'en étaient allés rechercher une des j I deux extrémités de l'axe sur lequel tourne, dit-on, notre I machine ronde. L'archipel Spitzberg fut découvert vers la fin du XVI I siècle par deux hardis marins hollandais, Barends et Cor- ■ nelisscn* partis d'Amsterdam à la recherche d'un passage A praticable à travers l'Océan glacial. Frappés par la vue m des innombrables cîmes de montagnes émergeant du mas-K sjf d'îles qui se présentaient à leurs yeux ébahis, les deux ■ capitaines n'eurent d'autre idée que de les nommer «Spiise ■ bergen », c'est-à-dire « Montagnes pointues ». Après celle ■ de Barends et Cornelissen, les expéditions d'explorateurs ■ les plus importantes qui aient parcouru l'archipel ont été M celles de Nordenskjôld, et du prince Albert de Monaco. [ Les îles Spiizberg n'appartiennent à personn .Elles for-m mes Ce qu'on appelle une terra nullius,et cette qualité leur j ■ a encore été attribuée au début de 1914, lors de la Confé- 5 ■ rence du Pôle. Cela ne doit étonner personne. Comment b voudriez-vous qu'une masse de rochers même si elle a ^ ■ au total 60.000 kilomètr. carrés de surface — excite la con- ] voitise d'un gouvernement ? Il n'y a là ni grasses prairies, ; Û ni mines d'or, ni plantations de caoutchouc. Tout ce qui \ I pousse sous le climat glacial, ce sont quelques saules J B noirs et des mousses uniquement intéressantes pour un -.f ■ botaniste à lunettes bleues. Comme êtres vivants, de vé- \ ■ nérables ours blancs, des renards rusés comme partout j B ailleurs, des pingouins qui font avec leurs pattes des poin- j B tes de dentelle dans la neige, et de paisibles phoques ij ■ dont l'occupation principale consiste à souffler dans leurs \ ■ moustaches et à dormir. A peine de quoi attirer, dans la " ■ bonne saison, de rares pêcheurs norvégiens.Dans la bonne \ m saison ! Oui, il paraît qu'il y en a une, mais elle ne dure • H malheureusement que quelques semaines. Le reste de \ l'année, c'est la nuit polaire, lugubre et noire, interrompue \ ■ seulement par des aurores boréales. Des habitants, *n , H n'en trouve guère, pas même des Esquimaux. H Vous voyez d'ici que,dans ces conditions, tout Je monde ; g se fichait des îles Spitzberg comme du jour de sa naissan- ? ■ ce. Je dis « fichait », car en réalité, depuis quelque temps, jj B certains gouvernements européens se sont mis à té.noi-» gner à l'égard de çet atnas de rochers une sollicitude éton-B nante. 11 y * de quoi, d'ailleurs. On a notamment fait à B Spitzberg une grande découverte : on y a trouvé du char-B bon, du charbon di primo carîello, à ce qu'il paraît, et du marbre. Les gisements de houille seraient suffi-« sants pour approvisionner pendant des siècles les pays B scandinaves et le nord de la Russie. Dès lors vous com-B prenez pourquoi tout à coup ces pauvres îles sont deve-B nues excessivement intéressantes. En Angleterre, en B Suède, en Norvège, il s'est immédiatement trouvé des B financiers audacieux pour former des sociétés d'études. B L'Angleterre en possède deux très importantes : la « Nor-Bfhern Exploration C° », et le « Scottish Spitzbergen Syn-Héicate Ltd ». Ces deux sociétés ont mis le grappin sur les ■ meilleurs morceaux et, suivant le principe « j'y suis, j'y B reste », refusent de se mettre d'accord au sujet de ce B. qu'elles nomment leurs « concessions » avec des groupe-Bments d'étude constitués dans d'autres pays. Désireuses B de s'installer en toute sécurité, elles ont été plus loin en-Rcore: la semaine dernière, elles se sont officiellement B adressées au Ministère des Affaires Etrangères de Londres B pour demand«r purement et simplement l'annexion des îles B Spitzberg. Elles fond«nt leur requête sur le droit impres- criptible qu'aurait l'Angleterre à l'égard de ces îles depuis ^Bl'époque du roi Jacques Ir. I Ces démarches ont causé assez bien d'effervescence ^dans d'autres pays, qui élèvent également des prétentions 1^ sur J'archipel depuis que celui-ci ^st devenu exploitable. Ce sont les Etats-Unis, la Russie, la Norvège et la Suède. A Londres, paraît-il, on esi fort perplexe. Et, en fait, la chose n'est pas aussi simple qu'elle le paraîtrait à première ivue. Quid ? La question est posée. Il faudra évidemment j qu'un jour quelqu'un, debout sur le plus haut roc de l'ex-terra nullius, drapé à la Chateaubriand dans le manteau romantique, puisse réciter d'une voix ferme, devant la grande Thalassa figée dans les glaces : « Oceana nox.... ! Oh I combien de marins, combien de capitaines...» Mais j| sera-ce Georges V, sera-ce Wilson, Trotzki, Hankon VII 5 ou Gustave V ? Je n'oserais pas parier. Et vous ? Raoul Gustave. jj Les Auditions l , Deux virtuoses d'un rare talent, Madame L. Wûrth, j '-.pianiste, et Monsieur L. De Porre, violoniste, ont offert, le S ^samedi 16 mars, à un public restreint, un régal artistique : de tout premier ordre. % Au programme, trois sonates, choisies avec un éclectis-^vme plein de goût, et exécutées avec une perfection de style et une fidélité d'interprétation remarquables. I Madame Wûrth, outre ses qualités de sentiment et de ^Bistinction, possède une étonnante vélocité; quant à M. De Porre, il a une justesse de son et un coup d'archet merveilleux.I Aussi les applaudissements de l'auditoire allèrent-ils croissant d'enthousiasme au cours de ce concert, où le cri- 7 § tique le plus tatillon n'aurait pu relever la moindre faute jgj|de technique, le plus léger vice de méthode, là plus infime jïerreur de compréhension. | Après une impeccable exécution de l'immortelle Sonate à Kreutzer, de Beethoven, la Senate en Ut mineur, de P«Qrieg, charma par la perfection des nuances et la beauté jgdu son, surtout dans le lr et dans le 3° mouvement. Mais «c'est peut-être dans la Sonate en Sol majeur, de Lekeu, f'^fque les instrumentistes déployèrent le plus brillamment toutes les ressources de leur talent, mettant en relief l'ori-^Hginalité de forme et la richesse de composition de cette 1 . .iif «j 1 11 ■ 1.-u ij/'. —iA-J. Dimanche 24 mars 1918 10 centimes le numéro 62b asiiiée — Nos 78-8 Journal de Gand mcxxo S3ÏSS FL A3M1JH ? S Rédaction et Aâtniï!isfi*atiOft : 3, Rtlfî DE FLANDfiS, 3, GAND AboKHoments : UN F - ANC VINaS CI 'Q PAS TSIMUSTR^ 'oies les grands altistes, Mine Wûrth ni M De Porre j n'essayèrent un seul instant de s'effaccr l'un l'autre et ils • arrivèrent ainsi à faire oublier presque l'interprétation et à j emporter leurs auditeurs aux plus hautes régions de l'idéal. ÉCHOS D'fl^T Au Théâtre Néerlandais La Bohême Si la représentation de lundi dernier ne peut être classée parmi les meilleures, il n'en est pas moins vrai, que dans son ensemble, elle peut être qualifiéefde satisfaisante, surtout pe.ur une première d'une œuvre si difficile à monter que la Bohême. C'est qu'en effet chaque chanteur doit être doublé d'un acteur de premier ordre, au jeu délié et luron, sans cependant tomber dans l'exagération. Pour notre troupe d'opéra c'est demander un maximum dè rendement. Certes,_jç sais que les difficultés des répétitions sont presque insurmontables et que, d'un autre côté, on ne saurait jamais assez répéter, dans ses décors, une pièce aussi mouvementée que celle-ci. Il faut cependant avouer que les traditions en sont si solidement établies que les acteurs n'ont qu'à les suivre, pas à pas. Le public lui-même les connaît si bien que lorsque dans cet ordre d'idées l'un ou l'autre détail cloche il se sent tout dépité. C'est ce qui est arrivé plusieurs fois au cours de la représentation de lundi. L'acteur certainement y a sa part, mais une part aussi en incombe à l'absence d'indications précises. De ce côté je ne veux entrer dans des détails, mais il est patent qu'avec bien peu d'efforts, on arriverait à une amélioration immédiate qui irait même jusqu'à consolider les ensembles hésitants, voire même le décousu surtout au lr acte. Les interprêtes y ont mis tous une bonne volonté ifteon-testable, mais il faut quelque chose de plus : l'étude plus approfondie des épisodes, du milieu, du personnage lui-même et Vapplication directe de cette étude sur la scène. A ce sujet une lecture du roman de Murger où la pièce est puisée, s'impose. Y a-t-on songé ? Comme toujours Mlle De Vos — qui avait réclamé l'indulgence du public à cause d'un refroidissement — fut ponctuelle jusque dans les moindres détails, une Mimi, tour-à-tour enjouée, amoureuse et tragique. Excellente musicienne, elle suit sans faiblesse et textuellement la partition tout en respectant les intentions de l'auteur. Le rôle de Musette me semblait de prime abord un peu lourd pour Mlle Bovy. J'aime à déclarer cependant qu'elle y a fait bonne impression. Dans son ensemble du 2, et surtout dans le quatuor du 3, musicalement très difficile pour elle, elle s'est tirée adroitement d'affaire. Un peu moins de brusquerie dans sa scène avec Marcel serait bien venue, la même remarque s'impose pour lui d'ailleurs. Cette jeune artiste dispose de dons très réels : elle arrivera si elle veut travailler sérieusement. Du côté masculin je ne peux' louer sans faire de sérieuses réserves. Si M. Haesaert a eu de bons moments, il en a eu d'autres assez pénibles. Les notes aiguës du 1 et 3 ne furent pas atteintes sans efforts #t comme elles sont semées nombreuses dans ce rôle de Rodolphe, celà engeidre des moments de gêne. Pour le reste, à part la justesse parfois, il a soutenu vaillamment sa partie. Cet acteur ! était du reste sérieusement grippé, si bien qu'on n'a pu le juger à son entière valeur. Une splendide corbeille lui fut offerte à la fin du 1 par les artistes pour le remercier de son gracieux concours. M. De Bouvre a fait plaisir en Marcel. A part quelques hésitations, il fut satisfaisant du côté vocal. P«ur le restant qu'il s'inspire de ma remarque générale précitée. M. Haemelinck fut un Schaunard dont la voix sure fit plaisir dans cet ensemble un peu chancelant. Très bien, M. Reynvoet, qui prouve que vouloir c'est pouvoir. Le personnage de Coline a été extériorisé par lui avec beaucoup de soin et de minutie. L'ode à la «défroque» a été enlevé dans la note exacte. Les bravos l'en ont récompensé.Les deux rôles épisodiques de Benoit et de Saint-Phar furent remplis avec un savoir-faire par M. L. Van Welden. Tous les deux,musicalement difficiles et de ce chef souvent sacrifiés, ont été mis en lumière par cet acteur intelligent et habile, tout peu commode qu'il fût d'incarner à la fois deux personnages dans une même pièce. Il comble fort bien à la troupe la lacune de l'élément comique (trial), surtout qu'il s'est avéré bon musicien. Je suis convaincu qu'après une couplé de représentations la Bohême coulera plus de source et qu'elle sera enlevée à l'emporte-pièce comme il sied particulièrement à cette partition de Puccini. Je sais combien d'efforts il a valu de ! la part des artistes pour bûcher cette pièce en trois semaines de temps, je sais aussi combien il est difficile de régler et mettre au point pareille œuvre — rien que le second acte que je voudrais beaucoup plus animé en est la preuve — et c'est dans l'intention d'y collaborer que j'émets ici ] ces quelques observations amicales. Je dois à la vérité dé déclarer qu'à la représentation de | (local Café des Arts) il y avait déjà énormément d'amélic ration. Aussi le public très dense s'est déclaré enchanté. * * * Dolle Hans. A la demande générale le groupe Carita donnera une deuxième représentation delà pièce poignant de Fabricius au profit de l'Œuvre des Veuves, mardi avril, au Théâtre Néerlandais, avec le bienveillant concour de Mme Irma Coppitt vrs dans le rôle de Yolanthe. La représentation sera précédée d'une partie concei tante, avec grand orchestre, et confiée aux soins de M Roels, et à laquelle prêteront leur concours Mlles De Vo et De Vis, MM. Verniers et Haemelinck. Une soirée don essentiellement artistique à l'horizon ! On s'inscrit au guichet du Théâtre. Au Nouveau Cirque Beirx soirées de bénéfice sympathiques. La première eut lieu jeudi, 14, en l'honneur de M. A Van den Heuvel. Devant une sûlle archi:comble l'émoi: vante pièce de Berristéin le Voleur a passé, avec le fêté e Mile De Veirman dans les deux rôles principaux. Après le second acte une manifestation de sympathie et lieu. M. Van Havermaete fut le porte-parole de ses cor frères et a exprimé l'espoir que M. Van den Heuvel rest encore longteinps parmi eux. De nombreux cadeaux oî prouvé combien le public apprécie l'art et l'expérience d M. Van den Heuvel et'notfs nous associons volontiers à lu La deuxième soirée était celle de samedi 16 : deux artiî tes, les plus connus pôut-êtrè par lès Gantois, eurent lei tour, Mme Boudin-Wante et Prosp. Van Ovèrbérghe. Qi peut se figurer une scène gantoise, une revue quelconqu sans le concours de Mme Boudin ? C'est ce que M. Ar: Van den Heuvel a fait ressortir après le 2® acte de Vesti lorsqu'on a remis aux fêtés d'innombrables cadeaux. Qu'i acceptent ici toutes nos félicitations. Au programme de cette semaine l'Etudiant pauvn l'opérette connue de Millochëf qui ne manquera d'attin foule au Nouveau-Cirque. Av Théâtre Pa'.hé Lundi 25, à 3 heures de relevée, aura lieu au Théâti Pathé une audition par le Cercle de Musique de Chambn dont la direction est confiée à notre concitoyen M. J. Va der Meulen. Un intermède de chant, auquel Mlle De Vi prêtera son concours, complétera un programme choisi o figurent des noms comme Mozart, Wambach, Flégiei Rachmaninopf, Liszt, v. Beethoven, Van der Meuler Roels et Reuschel. « Les promoteurs de ce concert se proposent surtout d faire connaître au public, par quelques exemples choisis un genre peu cultivé de musique de chambre, celle pou instruments à vent. Alors que depuis longtemps le violon, l'alto, le violor celle etc. avaient reçu leurs derniers perfectionnements, 1 construction des instruments à vent était encore au débt du XIX® siècle des plus rudimentairet.. C'est la principale raison de la rareté relative des con: positions pour instruments à vertt chez les classiques. Prix des places : baignoires, 5 fr.; loges, 3.50 fr, stalles et parquets, 2.50 fr.; balcons, 1 fr.; galeries, 0.30 fi Au Théâtre Minard La Revue La revue « Kloefkens rnêe hdar » de M. Grûn s'avèr comme étant un grand, grand succès. Tous les soirs 1 public y afflue, si bien que la coquette salle du Minard n désemplit plus. Et celà se comprend : on y trouve d l'esprit, sans méchanceté; du badi îage, sans bousculade de la satyre, sans charge; du sel, sans trop de poivre. Certes, quelques-uns de nos concitoyens y sont aimable ment fustigés; parmi eux certains des plus importants e réputés marchands de comestibles de la place. Mais cel ne fait pas trop mal... et puis encore...- Mais ne défloron rien. Ménageons les surprises. 'B. SfinMijfKtâ tactil? LES OBJETS à vendre d'occasion pour I'écoulemer desquels nos lecteurs ont recours à la publicité de no: petites affiches, peuvent être exposés dans nos bureaux rue de Flandre, 3, avec indication du prix. LA FAMILLE BOLERS, tel est le titre de l'œuvri originale conçue par notre jeune concitoyen M. A D'Hondt et qui constitue tous les soirs au « Vieux-Gand > le plus grand succès, pour l'orchestre du Maëstro Guille myn. L'œuvre est 'richement éditée et mise en vente pa l'éditeur bien connu, Paul Struyf, 27, rue de Brabant (mai son Beyer). Pour rappel, la Valse de Gérard Nauwelaers, «Au fil d< l'heure » éditée par la même maison et qui a atteint sor 3m* tirage. COMITÉ national dè Secours et d'Alimentation. — Rationnement de la quinzaine du 24 mars au 6 avril : Sain doux, 250 gr. par personne, 1,25 fr. par ration ; lard, 12î gr. par personne, 0,63 fr. par ration pour le salé, 0,68 fr - I la pièce; farine et maïs, 250 gr. par personne, 0,22 fr. pi ^ ration; riz, 250 gr. par personne, 0,30 fr. par ration; caf * 50 gr. par personne, 0,40 fr. par ration; malt, 50 gr. p; s personne, 0,05 fr. par ration; sel, 200 gr. par peréonr 2 ■ pour les non-assistés, 0,06 fr. par ration, 100 gr. par pe l ^ sonne p?ur les assistés des Soupes Communales et Cai s j tines Bourgeoises, 0,03 fr. par ration. \ Le Comité Central des œuvres d'Alimentation a déck . î que la 6me distribution gratuite au secourus des Soup< e j Fopulaires, et Cantines Bourgeoises comprendra 400 g 3 J de princesses ou de haricots par personne (au choix) et : | ration de lard, et d'un haring par personne. ij BUREAU de change Jules Dôssche, 27, dig. de Bra'oan BANQUE l'Union du Crédit de Gand. — Fondée e 1855. — Siège social : Place St-Michel», 16. Bureau aux liaire : A. Vanderstraeten, rue de Flandre, 32.— Tai actuel en comptes de quinzaine : 2 1/4 °/0. Fonds publics coupons, changes, toutes opérations de banque. (163 t NÉGOCIATION de monnaies étrangères, chèques* cd' pons, fonds publics, 11, Quai Oignons, ROD.DSJONGHt 1 COMMISSION locale de ravitaillement. Durant semaine du 25 au 31 mars les marchandises suivant' et seront mises en vente à la commission locale de ravitaill I ment. Légumes : Carottes, rutabagas, navets, jets < e choux, poireaux, céléris, épiriàrds, salsifis, chicorées, et '• Poissons : pâté de poisson, harengs saurs, liarcngs fumé " moules fraîches, moules à la daube, etc. Denrées dive r ses : Vente libre de tête pressée, foie, pain d'épices, pet: II fromages, farine d'avoine, farine de froment, malt, pe e koffie hollandais, poivre, sel, moutarde, savon de toiletl c poudre de savon, torchons, brosses, bleu, amidon, mi; de plomb, papier dè sablé, allùmèttès, fil à repriser, fil s coudre, rubans, etc. On peut se procurèr tous les jours des saucissons '' première qualité dâns lès onze magasins, sur présentai :r de la cartè de charbon (carte jaune). A dater du 25, les heures de vente sont, tous les joui de 8 à 12 h. et de 2 à 5, le dimanche après-midi except e CHARBONS. — Boulets ovoïdes — Cokes — Bois i chauffage en petits blocs—toujours disponibles — pr n avantageux, qualité et poids garantis, 33, Rue de l'El s phant. u FONDS publics. — Gillet, rue longue des Violettes, 3 } BISCUITS. — La vente de biscuits, au magasin cot munal de la rue du Jambon, continue cette semaine dai s les conditions suivantes : , Lundi 25 mars, de 9 à 10 h., n. 26701 à 27000 ; < r 10 à 11 h., n. 27001 à 27300 ; de 11 à 12 h., n. 27301 27700 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 27701 à 28050 ; de 3 1/2 -'4 1/2 n. 28051 à 28400. a Mardi 26 mars, de 9 à 10 h., n. 28401 à 28700 ; ( t 10 à 11 h., n. 28701 à 29000 ; de 11 à 12 h., n. 29001 29400.; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 29401 à 29750 ; de 3 1/2 - 4 1/2 h., n. 29751 à 3Û100. » i Mercredi 27 mars, de 9 à 10 h., n. 30101 à 30400 ; ( ; ï 10 à 11 h., n. 30401 à 31900 ; de 11 à 12 II., n. 31901 . S 32400 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 32401 à 22750 ; de 3 1/2 j; 4 1/2 h., n. 32751 à 33100. | Jeudi 28 mars, de 9 à 10 lieurès, n. 33101 à 33400; ( j 10 à 11 h., n. 33401 à 3S700; de 11 à 12 h., n. 33701 5 lj 34100; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 34101 à 34450 ; de 3 1 - S 4 1/2 h., ri. 34451 à 34800. = Vendredi 29 mars, de 9 à 10 11., n. 34801 à 35100 ; < 5 10 à 11 h., n. 35101 à 35400 ; de 11 à 12 h., n. 35401 ; 35800 ; de 2 1/2 à 3 1/2 H., n. 35801 à 36150 ; de 3 1 à 4 1/2 h., il. 36151 à 37400. Samedi 30 mars, de 9 à 10 h., n. 37401 à 37700 ; ( 1 10 à 11 h., n. 37701 à 38000 ; de 11 à 12 11., n. 38001 à 3S400 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 38401 à 38750; de 3 1 5 à 4 1/2 h., n. 38751 à 39100. CHARBONS. Ménage et autres, r. Liévin De Winne,2 JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures gén i raies pour Eau, Gaz, Electricité. I DEMANDEZ partout savon Espéranto; le meilleu adoucit la peau. g SAUCISSONS de foie. — Nouvelle vente de saucissor jj frais de foie. Prix fr. 3,50 le kilo, ration: environ 2C 'i grammes par personne. La vente aura lieu au March j; couvert, entrée par le-pont de la Décollation, et est réglé | comme suit : ij Mardi 26 mars, à toutes les personnes inscrites à 1 maison américaine 24-23 ; mercredi 27, maison 22-21 jèudi 28, maison 20-19; vendredi 29, maison 18-17; se medi 30, maison 16-15; lundi 1er avril, maison 14-13. Che que fois de 9 à 12 et de 2 à 4 heures. Les cartes d'identit sont réclamées. Vente libre, dans la limite des diipon 1 bîlités. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir ( liniment HeyndrickX. Pharmacien Heyndrickx, chaussé de Bruxelles, 2, Ledeberg-Gand. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vent t..~ .wm.v "ivuviiig. fivcv, un Irttl UU11I 5UIU SCUIS CUpa- -iiieion du Journal de Gand 316 Le Ûomte ■Monte-Cristo PAS ALEXANDRE DUMAS Debray n'était pas encore arrivé, mais Albert savait qu'il manquait rarement une Représentation de l'Opéra. Albert erra dans I* théâtre jusqu'au lever du rideau. Il espérait sncontrer Monte-Cristo, soit dans le couloir, 'it dans l'escalier. La sonnette l'appela à sa ace, et il vint s'asseoir à l'orchestre, entre îâteaii-Rènaud et Beauckamp. Mais ses yeux ne quittaient pas cette loge entre-colonnes qui, pendant tout le premier te, semblait s'obstiner à rester fermée. Enfin, comme Albert, pour la centième fois, terrogeait sa montre, au commencement du iuxième acte, la porte de la loge s'ouvrit, et onte-Cristo-, vêtu de noir, entra et s'appuya a rampe pour regarder dans la salle; Mor-1 le suivait, cherchant des yeux sa sœur et !n beau-frère. Il les aperçut dans une loge i second rang, et leur fit signe. L» comte, en jetant son coup d'œil circa- inarui organiste par le vaiuam cercie /in ei rniianiropit laire dans la salle, aperçut une tête pâle et des yeux étincelants qui semblaient attirei avidement ses regards; il reconnut bien Albert, mais l'expression qu'il remarqua stu ce visage bouleversé lui conseilla sans doute de ne point l'avoir remarqué. Sans faire donc aucun mouvement qui décelât sa pensée, il s'assit, tira son binocle de son étui, et lorgna d'un autre côté. Mais, sans paraître Voir Albert, le comte ne le perdait pas de vue, et, lorsque la toile tomba sur la fin du second acte, son coup d'œil intaillible et sur suivit le jeune homme sortant de l'orehestre et accompagné de ses deux amis. Fuis la même tête reparut aux carreaux d'une première lo£e en face de la sienne Le comte sentait venir à lui la tempêté, et lorsqu'il entendit la clef tuurner dans la serrure de sa losçé, quoiqu'il parlât en ce moment même à Morrel avec son visage le plus riant, le comte savait à quoi s'en tenir, et il s'était préparé à toHt. L* porte s'ouvrit. Seulement alors, Monte-Grist'o se retourna et aperçut Albert, livide et tremblant; derrière lui étaient Beauchamp et Château-Renaud. — Tiens! s'écria-t-il avec cette bienveillante politesse, qui distinguait d'habitude son salut des banales civilités du mondé, voilà mon cavalier arrivé au but ! Bonsoir, monsieur de Morcerf. par ration pour le fumé; hareng, 1 par personne, 0,35 fr. Et le visage de cet Ilômmè, si singHlièré-ment maître de lui-même, exprimait la plus parfaite cordialité. Morrel alors se rappela seulement la lettre qu'il avait reçue du vicomte, et dans laquelle, sans autre explication, célui-ci le priait de se trouver à l'Opéra; et il comprit qu'il allait se passer quelque chose de terrible. — Nous ne venons point ici pour échanger d'hypocrites politesses ou de faux semblants d'amitié, dit le jeune homme; nous venons vous demander une explication, monsieur le comte. La voix tremblante du jeune homme avait peine à passer entre ses dents serrées. S — Une explication à l'Opéra? dit le comte , avec ce ton si calme et avec ce coup d'œil si : pénétrant, qu'on reconnaît à ce double caractère l'homme éternellement sûr de lui-même. ! Si peu familier que je sois arec les habitudes ' parisiennes, je n'aurais pas cru, Monsieur, : qne ce fût là que les explications se demandaient.— Cependant, lorsque les gens se font celer, dit Albert, lorsqu'on ne peut pénétrer jusqu'à eux, sous prétexte qu'ils sont au bain, à la table ou au lit, il faut bien s'adresser là où on les rencontre. — Je ne suis pas difficile à rencontrer, dit ; Monte-Cristo, car hier encore, Monsieur, si ; j'ai bonne mémoire, vous étiez chez moi. ; — Hier, Monsieur, dit le jeune homme, dont , !la tête s'embarrassait, j'étais chez vous parce ' q'ue j'ignorais qui vous étiez. et location de pianos par mois, pour soirées et concerts. Et en prononçant ces paroles, Albert avai élevé la voix dè manière à ce que les person nés placées dans les loges voisines l'entendis sent, ainsi que celles qui passaient dans li couloir. Aussi les personnes des loges si retournèrent-elles, et celles du couloir s'arrê tèrent-elles derrière Beauchamp et Château Renaud au bruit de cette altercation. — D'où sortez-vous donc, Monsieur ! dii Monte-Cristo sans la moindre émotion apparente. Vous ne semblez pas jouir de votre bon sens. — Pourvu que je comprenne vos perfidies Monsieur, et que je parvienne à vous faire comprendre que je veux m'en venger, je sera! toujours assez raisonnable, dit Albert furieux. — Monsieur, je ne vous comprends point, répliqua Monte-Cristo, et, quand même je vous comprendrais, vous n'en parleriez encore; que trop haut. Je suis ici chez moi, Monsieur, et moi seul ai le droit d'y élever la voix au-dessus des autres. Sortez, Monsieur ! Et Monte-Cristo montra la porte à Albert avec un geste admirable de commandement — Ah! je vous en ferai bien sortir de chez vous! reprit Albert en froissant dans ses mains convulsives son gant, que le comte ne perdait pas de vue. (A suivre.) COMITÉ national <le S cours et d'Alimentation Gand-^ Groupe. Section du Cuir. — A partir de lundi, on mettra a à la disposition du publie, dans les maisons de vente du Comité national, des bons pour la réparation de chaussures. La quantité disponible pour le moment ne permettant pas de satisfaire à toutes les demandes, les bons ne seront réservés qu'aux ménages nombreux, à raison d'un bon par ménage. Les personnes pourvues de leur t on devront se présenter chez les cordonniers, qui feroht le nécessaire. L client devra réclamer la suucb 1 du bon sur laquelle le prix du cuir et de la réparation sera inscrit; il est ;,iié de la conserver. Les cordonniers seuls, qui ont accepté les conditions du Comité, recevront le cuir nécessaire pour les réparations. Liste des prix-maximum pour les principales sortes de réparations, sans la valeur du cuir. Demi-semelles et talons. Hommes Femmes Garçons Filles 32 à 36 31 et en-dessous Cousu 3,25 2,75 2,50 2,25 Cloué 2,75 2,25 2,00 1,75 Mise d'empeignes, demi-semelles et talons. Hommes Femmes Garçons Filles 32 à 36 31 et en-dessous ir Cousu 6,75 6,50 6,00 5,75 Cloué 5,75 5,50 5,00 4,75 ir Placement de talons : Hommes, femmes, garçons et ie filles : de fr. 0,75 à fr. 1,50 d'après la grandeur et le r- travail. i- Placements de bouts de semelles : Hommes, femmes, . garçons et filles : de fr. 0,75 à fr. 1,50 d'après la grandeur é et le travail. ■s L'ONGtJIiNT Pédiphile guérit pour toujours cors aux r. pieds, ceils de perdrix, durillons. Une seule application a suffit. -Se conserve des années sans perdre de sa valeur. Gacons, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. LUNA, Pudding Powder. En vente partout. n FOUR à PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la j_ viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu x à gaz et ordinaire. MAISON DUTRY-COLSON, Rue des Champs, 12, Gand. 5) SERVICE DU GAZ. — A la suite d'un accord avec la r; Commandanture, le service du gaz est autorisé à accorder à tous les abonnés une augmentation de 5 m3, au prix noi" mal, et ce à partir du relevé qui se fait après le 16 mars. a Cette augmentation qui n'est que provisoire, peut être éten--s due, diminuée et retirée par un simple avis dans les jour-naux. Un tableau affiché au bureau du service du gaz, rue 'e Borluut 26, fait connaître à chacun le maximum auquel il c- a droit. A tous les abonnés, il est accordé.une même quan-s. tité de 5 m3 à 1,25 fr. avant la fermeture du compteur. Js SAVON sans Rival ne contient pas matières nuisibles. e_ ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies, e, SAVON toilette Victoria dépasse tout. ie VAN DEN BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change, à CHARBONS. — Dans le courant de la semaine, le 11e groupe recevra sa ration de charbon. Il comprend les e clients du « Volksbelang » des sections restant à desser-)n vir, c'est-à-dire de la 7° à la 11e incluse, et les clients des communes de Gentbrugge, Ledeberg et Mont St-Amand. De cette façon, dans quelques jours, tous les intéressé» auront reçu leur 8e ration. NOUVEAU CIRQUE. — Tous les soirs à 8 heures, di-IX manche et jeudi, matinées à 3 heures, e~ L'ÉTUDIANT PAUVRE opérette en 3 actes et 4 tableaux, par F. Zell et Richard 7. Gensée, musique deMillôcker, joué par la troupe Zeemans. Au deuxième tableau cortège avec grand orchestre sur 1_ scène. SEL am. pr piles, Geniets, 14, rue Brabant. Ie PAPIERS et sachets, Van den Breen, b,lde l'Abattoir,17. à PRE1 S.Achat,vente propriétés. Minnaert, bd Béguin.21, à DEMANDEZ partout le savon toilette Eurêka. ^ LA FÊTE de charité organisée au profit des membres prisonniers de guerre de l'Association Générale des Em-ployés, aura lieu le 26 mars prochain à 7 heures au Théâtre Néerlandais, avec le concours de la Chambre de ^ Rhétorique « De Fonteyne » de Gand. Elle interprêtera la ^ comédie en 3 actes « Het Instinkt » ainsi que « Voor het ^ Dîner » pièce en 1 acte. On souscrit chez les membres de l'Association susdite. Ie OUD GEND. — Jusqu'au 28 mars. ^ « L'Appel de l'Amour », grand drame joué par Henny 2 Porten. (lrc.fois à Gand). « Max Linder contre Nick Winter », etc., etc. [e Vendredi prochain : « Brouillard et Soleil », drame mon-à dain joué par Mia May (lre fois à Gand). 2 BOIS DE CHAUFFAGE. — Pour prix et renseignements s'adresser Avenue de l'Exposition, 37. le MANUFACTURE de cigares et cigarettes. Ed. DeLoore, à rue du Fuchsia, 104-106. 2 CONCOURS d'élevage de lapins. — Un concours est ^ organisé entre les membres de la Société « Het Neerhof » et des sociétés affiliées. Les amateurs qui veulent y prendre 5- part sont priés de se faire inscrire au local de leur société, avant le 15 avril prochain. Pour renseignements s'adresser au Secrétaire général de la Société, M. A. Heyndrickx, les mardis et vendredis de 4 1/2 à 6 heures, au local, boulevard du Jardin Zoologique, 7. s q | HORLOGERlEsuisseBehaegel-Mees,chaussée deCour-g trai, 128 et chaussée d'Anvers, 54, Gand. e L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. ^ MODERN PALACE, — Jusqu'au 28 mars. « Le Squelette ». Rêve étrange d'un phrénologue, dra-' matique et émouvant, joué par Ellen Richter. « Le Bateau précieux », dramatique en 3 parties. « Le Tour du monde d'un policier », comédie en 2 part. S Etc., etc., etc. ECOLE professionnels de Boulangerie. — Réouverture des cours mercredi 3 avril. Pour inscriptions et renseignements s'adresser au directeur M. S. De Coster, 14, rue e Charles V, les jours ouvrables de 3 à 4 h., excepté le lundi et le samedi, ou au local de l'école, rue du Lac, 2. 13 CONFISERIE chocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. HORLOGERIE Kaeschagen, r. Borluut,3. L'heure juste. s j THÉÂTRE PATHÉ.—«Ceuxqui vivent dans l'ombre». Cette œuvre flagelle les préjugés, lés conventions cadu-j. ques, synthétise la misère de la fille-mère jetée dans l'âpre mêlée sociale. Ellen Richter, artiste à tempérament sincère, " ; fin, ardent, interprète admirablement un rôle pourtant très difficile. La niisë eh scène mérite une mention spéciale ji LE PLUS GRAND stock de meubles anciens se trouve | à la maison d'art. Ad. Dangotte. EPICERIES «TroisEtoiles» en vente partout. Exig. la marque, j UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmaciens . î de service le dimanche après dîner, 24 courant : pour ; | Gand (Dock-Portc d'Anvers) et Mont-St-Amand, M. Van j, Roy,chaussée d'Anvers 56; pour Ledeberg et Gendbrugge, | M. Gacons, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. | GOUTTE DE LAIT. Reçu avec reconnaissance de la r société « Philharmonie » la somme de 525,15 fr. recette du I concert du samedi 2 mars au Théâtre Néerlandais ; 100 fr. ont été décernés à la section Ledeberg-Gentbrugge. S f> s>-«r*. n ?:>-«te» s-«a-* Or - AVIS j; Dans la maison de François Wispelaerc, à Renaix, ri on a trouvé cachés dans un panier six pigeons voya-| geurs, qui en dépit de l'arrêté du chef de l'armée du j! 8-5-15 n'avaient pas été tués. Comme la commune de Renaix n'a pas veillé d'une \ manière efficace à ce que l'arrêté de l'autorité militaire J relatif à la posession de pigeons soit observé par la t population, et qUe notamment le 25-2-18 un pigeon j caché a encore été découvert, sur l'ordre du Comman-* dant de la 4e armée il est inflgé, à titre de punition, à jj la commune de Renaix une amende qui. à raison de ce | que jusqu'ici tous les décrets militaires ont été stricte-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Gand von 1856 bis 1923.

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