Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 12 Juli. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Konsultiert 20 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/r20rr1qp1t/
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Dimanche 12 Juillet 1914 TTAT ATTTTMftr.Hr/l, ri VO Dimanche 12 Juillet 1914 franco en tieîgique On an : 15 s,. » » S mois : 8 fr. » » 3 mois : 4 fr. Franco er. Hoiiande Un au ; 22 fr. » Union postale » 32 fr. iOn s'abonne au bureau du Journal et dans tous les bureaux de poste, ADMINISTRATION TÉLÉPHONE 56? JOURNAL DE LIÉGE FEUïiLE POLITIQUE, LITTERAIRE El COMMERCIAli. - FONDEE £1^ 1764 MtoACTTOlV FT AIïMTTVTSTR ATIOW • ROTII-F.VART» OE TA SATTTETVIÉ'RE. 25 Annonces. , ï la îigne, 20 cent' Réclames, ■ , , . > 40 cent. Faits divers . 1 franc Réparations judiciaires » 3 francs informations financières » 3 francs Avis de sociétés i» petite ugss 30 cent. Émissions. franc EÉDAOTÏON TÉLÉPHONE 917 ÉTRANGER FRANCE L'impôt sur l'alcool Paris, 11. — La Chambra discute la lo; de finance et supprime par 2-iO voix contre £21 l'impôt de la licence seulement pou] les débits de boissons qui ne vendent pai d'alcool. Précédemment, la Chambre avait supprimé l'impôt de la licence pour tous les débitants. Le Sénat l'avait rétabli. La Cîiam-ore vient de prendre uue mesure intermédiaire q.ui exonère environ 11.000 déibitantfc en France. L'affaire des bomises Paris, 11. — Les. quatre Russes compromis dans l'affaire des bombes avec Trojano-roski et Kiritehock, ont été transférés ce matin de la prison du dépôt au parquet de Ponitodse, où ils seront interrogés cet après-midi par le juge d'instruction. ALLEMAGNE Danois expulsés du Schleswîg-•Berlin, 10. — 11 semble que le régime de fa poigne de fer, dont le président du conseil prussien, M. de ûethmann-Holweg, parla récemment au Landtag, sévisse actuellement dans les anciennes provinces danoises. du Schleswlg-Hoistêln. On annonce en effet que quarante Danois et Danoises, pour la plupart des domestiques travaillant chez des personnes aux sentiments danophilcs, ont été convoques la semaine dernière à l'hôtel dé ville do Tol'tlund où il leur a été déclaré qu'ils devaient quitter la province dans les huit jours. Statistique sociaîiste Berlin, 11. — Pour justifier le? aiifirelations de Mme Rosa Luxembourg que les casernes de Prusse sont le théâtre cle drames quotidiens, le Vorwaerts publie une statistique établie, dit-il, d'après des chiffres officiels, selon laquelle de i870 à 1910 il y a eu dans l'armée allemande 10.315 morts par suicide, 2.055 tentatives de suicide et 304 mutilations volontaires. Dans la marine, de 1885 à 1838, le Vorwaerts cite 40 cas de suicide. La moyenne par rapport à la totalité des effectifs est, de 1876 à 1893, de 6.C7 % dans les effectifs prussiens, de 8.11 % dans les effectifs saxons et 8.05 % dans les corps d'armée du Wurtemberg, soit une proportion générale de G.33 % pour l'ensemble de l'anuée allemande, contre une oroportion do 12.53 % dans l'armée autrichienne. 4.07 % dans l'armée italienne et. 3.33 en France. Parmi les suicidés, il y a en particulier 198 adjudants ou sergents-majors et 2.101 sous-officiers. Le Vorvaeits cite, en terminant, la MHh tàrisclie Wochcnblatl qui reconnaît que les suicides dans l'armée allemande sont presque le double de ceux de la population civile alors qu'en France ia proportion, n'est que de 1.3 %. par rapport aux personnes du même âge dans le civil. Lcck-out à SolSmfron Berlin, 11. — On mande de Solingen : Au cours d'une réunion du syndicat des patrons de Solingen, on s'Cst occupé de la grève actuelle de l'industrie des armes et on a décidé que le lock-out serait généralisé de façon à s'étendro à toutes les entro- ; pri'ses affiliées à ce syndicat patronal. Au l cours de la semaine prochaine, le syndicat des fabricants prendra également position dans la question. S'il so range à l'avis du syndicat des patrons de Solingen, ce sont 13.000 ouvriers organisés! qui se trouveront frappés par le lock-out. SUISSE Percement du tunnel do Hauen&tein Genève, 10. — A la suite de la constitution do la voie ferrée du Lcctschberg, les autorités soleuroises, craignant la concurrence de cette nouvelle ligne, avaient demandé aux autorités fédérales que l'on construisit un tunnel de base au llauensteiii. Commence le 1er février 1912. ce tunnel a été percé aujourd'hui à 11 heures du matin, c'est-à-dire huit mois plus tôt qu'on né l'avait prévu. Les axes des deux galeries so sont rencontrés exactement. Ce tunnel eet long de 8.Î35 mètres. ANGIETEllllE La situation dans l'Ulster Avec l'approche de la fin de la session parlementaire, à l'issue do laquelle le Home rule accordant l'autonomie à la nation irlandaise, prendra, grâce au « Partiament Act », force de loi ipso facto, la tension s'accroît journellement dans iLilster. Hier, les insurgés qui s'intitulent le gouvernement provisoire do cette province, convoqués par leur chef, sir lidward Car-son, ont tenu une réunion dans l'Ulster Hall à Belfast et publié le manifeste que nous avons résumé. Cette manifestation parait tout au moins inopportune au moment même où le gouvernement libéral fait tous ses efforts pour donner satisfaction à l'Ulster, en faisant amender la loi du Home rule par les Lords. 11 est certain que cette délibération en plein Belfast, sous la protection de quatre cents hommes armés, constitue une grave ; provocation. On n'est pas sans inquiétude j pour lundi prochain 13 juillet, 224e anni- , versa ire de la bataille de la Boyne, qui as- | sura le triomphe de Guillaume III et des j protestants de l'Ulster sur Jacques II et i les catholiques. Le plus léger incident pourrait faire éclater dans toute sa violence l'effrayahî antagonisme qui divise, plus que dos frontières réelles, les deux populations de l'Irlande. Si l'on pense que ce sont des centaines de milliers d'hommes aimés cfiiî pourraient être jetés les uns contrôles autres dans un sursaut de passion politique et religieuse, on est -vraiment étonné que les chefs de l'Ulster, jusqu'à présent, si dignes dans leur attitude, sortent aujourd'hui de cette réserve et aient-, à la- veilla d'un anniversaire susceptible die faire revivre toutes les ameutantes du passé; arboré de façon si malencontreuse l'étendard de la révolte. Le gouvernement libéral pourra-t-il garder, en présence de cette menace ouverte, l'attitude conciliatrice mie lui avait inspirée son désir de paix ? Les correspondants du Tîntes là Belfast et à Dublin annoncent (rue des armes et des munitions ont de nouveau été introduites en finaude pour les volontaires de l'Ulster, et que d'autres ont été débarquées sur la côte de Kerry pour les nationalistes. Si l'on en croit un bruit qui n'est cepen dant pas confirmé, 25.000 fusils de fa'Ltrica tion française .'un-aient été introduits ei contrebande po.dP' les volontaires nationa , listes. L'enquête sur Io naufrage do I' « Empress ot Ireland , Londres, ilfl. — La commission d'enquête sur le naufrage de V.Empress of lreland, i ; rendu son jugement -ce matin. Elle a dé claré que le désastre avait été causé par 1< 1 Slorsladt. qui avait changé de direction peu avant la collision. ITALIE Une bombe à la gare de Nap.les Home, 11. — Suivant le Corriere (Vltalid, une bombe a éclaté la nuit dernière à la gare de Naples sans causer d'ailleurs d'autres dégâts qu'un trou de 50 centimètres daas le mur. RUSSIE La visite de M. Poincarô Saint-Péterabourg, 1,1. — Parlant du prochain Voyage de M. Poln-caré, ]c Courrier de Saint-PétersboiiiHi écrit : L'entrevue du 20 juillet a une importance politique internationale d'autant plus grande quelle complète la série des travaux réalisés ces derniers temps par les éta.ts-majois de l'armée et de la marine russes et françaises. La prochaine entrevue .dissipera tous les commentaires non fondés qui ont été publiés sur l'instabilité de l'alliance et les discordes qui .auraient surgii entre les gouvernements <Iiets deux pays. Le fait que le voyage de -M. Poiincaré suit immédiatement la visite de l'escadre anglaise est également une preuve de la solidité de la combinaison politique qui repose invariablement sur l'alliance avec la France. AUTRICHE Le prétendu pacte de Konopischt Le 12 juin, c'est-à-dire seize jours avant l'assassinat de l'archiduc François,Ferdi-nand à Seraievo, l'empereur Guillaume, accompagné de l'amiral von Tirpitz, ministre de la marine allemande, s'était rendu à Konopisc'ht, le "château de l'archiduc. (héritier d'Autriche-Hongrie, où des conférences politiques importantes eurent lieu. Du côté allemand- aussi bien que du côté autrichien, le secret a été gardé bien entendu sur la toneur de ces1 conversations ; mais quelques inio••mations ont été publiées dans certains journaux, d'où il ressortait que les conversations avaient porté sur des accords, militaire et naval, d'une grande importance. Un journal de Saint-Pétersbourg, le Vet-chernee Wremya, croit savoir qu'au cours dé leru'evue de Konopischt, Guillaume II et l'archiduc défunt, après un échange de vues sur les questions politiques, militaires c-t stratégiques, auraient conclu une entente imposant à l'Allemagne les obligations suivante^ .- .1. création de deux nouveaux corps <1 armée sur la. frontière russe ; augmentation des cadres de sous-officiers ; 3 maintien, dans certains cas, de soldats sous les drapeaux ajprès la fin de leur temps de servi-.-e ; A. entretien sur la frontière de l'est d un corps de surveillance sur le pied de guerre ; o. augmentation de son programme naval par la construction de ouatre nouveaux dreadnounhts. -D'j son côté, l'Autriche se serait engagée -n,,* JSPCf!er d° !rci,le mille hommes f 7 contingent annuel et à augmenter progressivement 1 effectif de ses réserves • 2 tnZTliïT fin ^:amiT1 <*> ter stratégique allant de la frçtataài-e russe à StanidàTow hti900?0 ctr \$derbcrp (frontière de Si-'f ) . o. 4 fortifier c.ueki.ues villes • 4 „ Bosnic - S tii« doc™t^nS 063 à BULGARIE réception du ministre de Grèce Sofia, 11. — Le .Roi a reçu M. Naoum la remise S isss tiï œi a>Fî,rcj' respoctuieusemont Vo. à «"muS 1<IU£ J aIJP°rtei ai tous mes soins l'iwi , f L r relations entre ia Bui- c; là.aai;'iii' entre les de,a pays Iumtrciphies qua ont tant id'intérôlB communs une ère de concorde et de développement paisible. -Jfî R,,;1 a répondu en commontant les pa-n a aiouté notamment : Anjmé de scsitmwjits ^amWaWes aux tvd- mfn' mn « f vo,ls assu|,<i1' aujourd'hui que ma cWaiiœ et le concours de mon goui.emoi:ncnt vous seront acquis au cours gUr. mi$slon q,ue vom ÔU* appelé ù rem- GRECE Los relations gi lico-roumainee On mande de Salonique à rEtoile I3,iije La ptesse roumaine mène depuis quelauo temps une violente campagne contre la Grece I,cs journaux de Bucliarest exposent lu. situation des Koutzo-Valaques en ^Ia-ceaome sous les couleurs les plus noires : vtuîe n nir.quo Ies massacres de Koutzp-\^ia^jues en Epire ont été commis nar des Grecs et continuent ainsi 4 entretenir dais 1 opinion publique la haine contre les Grecs Mais il semble qu'en dehors de- la caniiia-gne. de presse antillellénique, les milieux politiques roumains, depuis la visite d-1 lalaat l.-ey à Bucharest, ne soient, plus'animes des mêmes dispositions amicales vis-a-vis de la Grèce. F.11 effet, deux hauts fonctionnaires roumains, MM. N. Tacit et Andréa. Balamatsi, qui furent chargés par leur gouvernement d'accompagner Talaat bey de Bucharest à Constantinople, ont été de passage a Athènes avec mission de régler avec- le gouvernement hellénkfue ia question des Koutzo-Valaques et celle du traité, de -commerce gréco-roumain, et ils ont ^ fait à la presse les déclarations sui-, vantes, sur les rapports entre les deux 1 pays.: « La Bounianie n'a appuyé jusqu'il ce jour la politique égéenne grecque que pour o-btemr des concessions ue 1 Autriche en Albanie. Elle est cependant mal disposée a voir d'un bon ceil une solution favorable à la Grèce dans la question des îles qui. d'après elle, doivent revenir à la Turquie ! » Dans tous les cas, dans un conflit naval gréco-turc, ses vœux iraient toujours du côté de la Turquie. » Intervenir en faveur de la Grèce contre la Turquie et même contre la Bulgarie est une utopie dont se repaissent les Grecs. Jamais les Boumains ne s'aliénèrent l'amitié des Turcs. La Roumanie ne regrette qu'unè seule chose, l'absence de frontières communes avec la Grèce. Elle n'aurait p^s eu besoin alors d'obtenir par la douceur ce qu'elle lui aurait imposé par la violence. D'ailleurs, pour se rendre compte du mé- • pris auquel sont voués les Grecs en Rou i manie, qu'il suffise de savoir que l'insulti là plus grossière qu'on puisse adresser î un Roumain, consiste à le qualifier d< Grec. » Ces déclarations sont vïvement commen | tées par la presse grecque.-: En outre, le bruit court que lo gouverne rnent de Bucharest aurait signifié au cabi net d'Athènes qu'au cas où la Grèce serai : la première à déclarer la guerre à la Tur quie, il garderait la neutralité. ALBANIE Pronk Bib Dcda ministre des affaires étrangères Vienne, 10. — On mande de Durazzô à la nouvelle Presse Libre : Prënk Bid Doda s'est chargé du ministère des affaires étrangères. Ii songe à infirmer les grandes puissances que les Mil-dites se retirent de Durazzo et qu'elles peuvent prendre des mesures pour Durazzo même. L'Autriche et l'Etaiie préconiseraient l'abdication du prince Rome, 10. — A la suite des mauvaises nouvelles venues de Scutari, le bruit s'est répandu ici, dans les milieux politiques, que les puissances allaient se mettre d'accord pour conseiller au prince de Wied d'abdiquer. M. Merey, ambassadeur d'Autriche-Hongrie à Rome, ayant eu une entrevue de deux heures avec le commandeur Garbas-so, en l'absence du ministre des affaires étrangères, on apprend que cette conversation aurait eu pour objet un échange de vues à ce sujet. Un rapport du préfet de Corïtza Durazzo, 10. — 10 h. soir. — Le préfet de Coritza, réfugié à Berat, a adressé au Gouvernement albanais, un télégramme dans lequel il dit : En proie à la plus vive émotion, je tiens à vous informer que Coritza, après un combat acharné qui a duré trois jours, est tombée aux mains des Grecs insurgés qui nous avaient attaqués du côté de Starova et de l'année régulière grecque qui a bombardé .furieusement la ville. L'ennemi a eu finalement raison de nos troupes, maJgré Ic-mh- résistance désespérée. Je suis arrivé à lierai avec tous les fonctionnaires de la préfecture et 30i> personnes qui ont fait preuve d'un grand courage pat no tique. Le télégramme ajoute que les habitants au n im'bre de 5.000; se sauvent dans toutes les directions, affolés et iHfcnués de toutes ressources. Le préfet prie le gouvernement albanais de prendre des mesures urgentes pour réparer cette débâcle qui s'abat de nouveau sur l'Albanie déjà trop malheureuse. L'armée grecque, dit-il, continue d'avancer. Le Prince a aussitôt convoqué les ministres des grandes puissances, n les a mis au courant de la gravité de la situation en Epire ot leur a demandé de prendre des mesures pour porter remède à la situation. Le CoiiM lexico-lmérieaiji Gu'adatajara aux des ccristitu.tïonnalïstes Sa'tillo, 10. Le général Cr.rranza a été informé oliiciellement de la prise de Gua- ! dalajara. Le général Obregon lui a télégraphié que les fédéraux ont été mis complètement en déroute. Lo général ajoute qu'il occupe la ville tout entière, qu'il a fait 5.QX1 prisonniers et qu'il s'est emparé d'une grande quantité d'armes, de munitions et de provisions. La retraite des fédéraux sur Mexico se- ' rait coupée, dit-on, par le général Blanco, qui est maître des lignes de communication.On n'indique pas le chiffre des pertes subies de part et d'autre. Guadalajara est, par sa population ot son importance, la deuxième ville du Mexique.Le général Villa reprendrait sa marcîte sur Mexico Washington, 10. — Lo général Villa s'est déclaré opposé à toute conférence de paix officieuse entre les constitutionnalistes et les partisans de Iluerta. Son opinion est connue par un télégramme qu'il a envoyé au général Carranza, et dont on a eu la copie ici. Lo. général Gonzalès est aussi, on le sait, opposé à ce projet, et on croit que le général Obregon partage la même opinion. Dans son télégramme, le général Villa déclare de la façon la plus nette qu'on no peut rencontrer le général Huerta'que sur le champ de bataille. On sait de plus ici, de, façon sûre, que le général Obregon et le général Carranza sont en pleine communauté d'opinion ; aussi pense-ion. maintenant que le différend entre le général Villa et le général Carranza est aplani, au moins temporairement, que la marche sur Mexico va être reprise avec vigueur aussitôt que les constitutionnalistes auront reçu les munitions qu'ils attendent.Carranza marche sur Sasi-iLuis-Pctosi Tampico, 10. — Le général Jesu-Carranza. -et son étàt-major sont partis aujourd'hui pour iSam-Luis-Potcsi, suivis par deux tiiains militaires emmenant 1.500 hommes, j L'avant-garde oonstitutionnaliste aurait déjà commencé l'attaqiue dans la banlieue de 'San-Luis-<Potosi. On. évalua à 20.090 le nombre des <cons-tiliitionnalistes qui menaceront sous peu la ville. 'Les. fédéraux évacuer-t Guayinas Salf.illo, 10. — Le général Carranza a é<té informé que les fédéraux ont évacué aujourd'hui Guaymas, l'un des ports les plus importants de la côte occidentale. Le commandant constitutionnaliste qui a assiégé la ville «avait été autorisé à consentir un armistice jusqu'à ce que les fédéraux l'eussent évacuée nar mer. Aux termes de cet armistice, ratifié et garanti par les autorités navales américaines. il est • entendu due les canonnières fédérales ne pourront bombarder par la suite la garnison ccnstitutionnaliste. Départ pc.ur l'Europe du mi-îistre de© finances Mexico, 10. — M. de La Lama, ministre des finances, est parti ce matin pour la Vera Cruz, d'où il s'embarquera sur le paquebot: /français Espagne, à| destination de l'Europe. Deux trains, bondés de Français, ont également quitté 'Mexico. Ces voyageurs ont aussi l'intention de s'emliarquêr à bord de VEspag ne. : le Crime de Serajev Note allemcirvde Le Berliner LÔlcal-Anzeigér a publié da son édition d'hier soir une. ilote d'ailu officieuse dont voici les passages esse tiels : « On s'est décidé à Vienne et à BUdape à se borner à des mesures répressives co tre l'agitation panserbe en Bosnie-Herzég vine. L attitude pondérée du gouverneme: de la monarchie austru-hongroise eist d'à tant plus compréhensible que les résultan de l'enquête ouverte sur ies circonstanc de l'attentat de Serajevo ne sont point e: core connus. Jusqu'à ce que cette enquête soit term riéo et qu'elle ait apporté la pTeuve qi des personnalités privées ou des personn; ges officiels serbes ont été les instigateuj do l'attentat, il convient d'accepter ave réserve toutes les nouvelles relatives à de mesures prises par la monarchie dualisti Bien que les attentats contre les persoi nalités régnantes ne soient peint en Serbi une chose impossible, on ne s'est point rh que jusqu'à présent à soudoyer des ind vidus pour qu'ils so livrent," dans une m tion voisine., à leurs sanguinaires entr< prises pansèrbes. Si l'enquête ouverte Serajevo apportait la preuve d'une actio criminelle, le monde civilisé serait unanim à blâmer la Serbie. L'Allemagne, qui a perdu en la personn de l'archiduc Françors-Ferdinand un am et un fidèle partisan de l'alliance, soutier drait moralement toute démarche autri chienne tendant à châtier les coupables, e l'Allemagne officielle no resterait certe point en arrière en cette occasion. Non prouverions la fidélité de nos sentiment d alliés. On ne peut que se féliciter de voir I gouvernement austro-iiongrois attendr avec calme les résultats de l'enquête. Nou ne croyons pas nous tromper en disan qu'en d'autres Etats, où les sentiments d< moralité sont en honneur, l'attitude di l'Autriche-Hongrie est considérée comme il réprochable. Non seulement en Autriche Hongrie, mais en Allemagne, et dans fouti l'Europe, qu'il s'agîsse d'Etats monarchi q^u-os, républicains, de nations germani crues,; slaves, ou latines, ou a intérêt à sa voir si on peut tolérer qu'une nation noi seulement trame .des attentats contre se; propres souverains, mais fasse frapper pai ries mains criminelles des personnalité; prindt'jres dans les Etats voisins. » Bruit d'une démarche de la Tnpie Entente Vienne, 11. — Suivant le A euç Wienei Tagçblalt, qui dit le tenir de source biei: informée, on confirme la nouvelle d'après laquelle les puissances de la triple entente entreprendraient, par l'intermédiaire de leurs ministres à Belgrade?, une; démare h ' aniicale auprès du gouvernement serbe pour lui signaler la nécessité de mesure:-appropriées à prendre contre les éléments anarchistes. -Cette démarche de la: triple entente serait imminente. Il y aurait des raisons de croire que les ministres de la triple-entente à Belgrade • donneraient aussi à la Serbie le conseil amical do faire en sorte que les mesures prises par elle puissent contribuer à traquilliser l'Autriche-Hongrie.«-«*— -nia; Berlin, 11. — La Gazelle de S Heures pull :e une dépêche de Colmar annonçant que Hanisii aurait pasèé la frontière française. Hier encore, dit ce journal, il déclarait qu'il viendrait .-e cons'tituiér prisonnier au-jourd'hu'i. Dans le commencement de la matinée est arrivé au tr.i!>unal de Colmar une dépèche déposée là Bel fort et ainsi libellée : « Tu m'as vu » (etn allemand). dessinateur aurait été. vu ce matin à Belfort. * Neuwied, 'lil. — Des journaux étrangers ont ainnoncé que les meubles de la cour de Ourazzo seraient arrivés là Neuwied et qme les appartements avaient été préparés en ©ecret au château pour recevioir la famille princière d'Albanie. La Gazette de Neuwied se dit autorisée par le ma rêorialat de la Cour princière à déclarer que ces d'eux informations sont inexactes.fief le de la Presse UN PAUVRE DISCOURS 0„ en parle encore, dit la Flandre Li-bérale : Par ce temps de chômage parlementaire et cette période de vacances d'un far niente si attractif que même les XXXI n'ont pu s y soustraire, on n'a pas beaucoup de pain sur la planche. Et l'on mord à celui que nous servit le ministre comme si c'était du ci a inique avec des corinthes. Dieu sait cependant s'il fut peu savoureux.Etait-ce vraiment la peine que lo chel élu gouvernement réunit, la fine-ileur ele ses îidèles à Turnhout pour leur servir ur mets aussi insipide ? Il n'a pas même réussi a contenter les ffamingants, auprès desquels il voulait rentrer en grâce, et donl un clés principaux organes intitule sa élis seriation : « Een politieke warboel ». Il esi vrai que, même sur cette question si pas sicinnante, il n'a su que montrer son en nui d'être pris entre l'enclume wallonne cl ie marteau.- flamand. Il semble bien quoi qu'on en dise, qu'il ne veuille pas flômaridiser l'Université de Gand, tout ei créant à Gand un enseignement supérieu; flamand. Mais sans formule... Ah ! ces foi-mules qui obligent à quelque chose de cl ai; et de précis, M. de Broqucville en a hor reur... 11 n'y a rien qui vous mette plu: de monde à dos et ce chef do gouverne ment veut avant tout ne mécontenter per sonne, oubliant que c'est le meilleur moyei d'exaspérer tout le monde. CABINETS ET POLITIQUE Du Matin, d'Anvers : Les déclarations faites dimanche à Pié ton par M. Destrée sont très corn méritées particulièrement l'observation, logique, qu !À aucun des trois partis n'a la majorité aucun de ces partis ne doit avoir le pou voir. La (presse catholique renvoie, sous en rapport, -M". Destrée aux organes socialiste qui ne sont pas partisans d'un ministèr el'affaires. L'hypothèse la gêne évidemment. Elle n m T rmmmfcn ■ utr.nimiBinifi Oveut pas considérer l'éventualité où le pa catholique nie serait plus qu'une minori et encore moins-celle où il se séparerait < doux, ce qui est fort possible, en ces tem d'intégrisme, par la rapture du cartel av les démocrates-chrétiens. Et alors ? Nous le demandons une fc de plus. Alors il faudrait bien en revenir à la v t ritable conception parlementaire, d'apr ® làiquello les ministres ne sont rien que d [l~ foTictionnaires, mandataires du. pouvo ^ exécutif. u II faudrait bien que le Parlement exe j1" çAt la souveraineté qu'il a abdiquée ont: s les mains des ministres ; il faudrait que ce ^ sàt la confusion entre le mandat exécut l" ot le mand'art. législatif des ministres dépi tés. x" Cela ne peut se réaliser que par l'incon 0 patibilité entre ces mandats. Que l'on ri ^ motte les ministres à leur véritable plao "s qu'ils exercent un pouvoir modérateur, e c non directeur, et les affaires du pays n'e $ iront que beaucoup mieux, que l'on appel! comme on le voudra un cabinet extra-pai l" lern en taire. 0 En somme, l'article -S8 de la Constitutio; fa.it très clairement allusion aux ministre clitciisis- en dehors du Parlement. Et c'est la grande exception, j- Ce n'étaient évidemment pas les inter » tions de nos constituants. 1 D ' " ; E» Belgique t Un grand débat 5 Un député libéral nous a affirmé qu'i g ne serait pas question uniquement à h s rentrée de la querelle des langues, mais di la politique du gouvernement et de la si t tuation délicate dans laquelle il se trouve ï -Cette discussion suivrait immédiatemen , la validation des pouvoirs dont elle serai t ie corollaire. » 11 est évident que les élections ayan ; mis le gouvernement en minorité en dépi dos douze voix de majorité qu'il conserve i la Chambre, le cabinet aura à s'expliquer i Ce débat ofuira le plus grand intérêt. Croi ro qu'il sera suivi de la constitution d ur cabinet d'affSlrcs, ce serait se montrer tro{ optimiste. Mais il mettra les choses er. état, désarmera la droite et le gouverne-; J^ont et les mettra en quelque sorte dam l'impossibilité de nuire. i Une loi de; parti, dans les conditions anormales ou se trouve le cabinet, provoe^ueraii cle l'obstruction et paralyserait la vie nationale.Quant à la question des langues, M. de L.»ex}u.eville a eu grand tort de la soulevei et il est certain qu'elle alimenterai cjueleiue peu cette discussion de rentrée qui devrail être logiquement aussi un débat de sortie... niais lo ministère ne s'en ira pas avanl que les électeurs ne l'aient, en 1910, mis à la porte en le poussant par les épaules. M. Emest Discailles Un confrère dit avoir reçu de fâcheuses nouvelles de la santé de M. Ernest Dis-cailles. Il est en effet irèis sérieusement malade. Le distingué historien travaillait, il y a quelques semaines encore, avec beaucoup d activité, à un .livre d'histoire contemporaine. Espérons qu'il pourra reprendre bientôt sa tàcJhe. Comme ancien professeur, à l'Université de Gand, comme historien, comme défenseur de l'enseignement, M. Ernest Dis-cailles, ce NVallon au cœur ardent, ce Tour-naisien qUi.' a consacré, de si belles-pages a Rogier, tient une grande place parmi les figures du jour, étant resté,, jusqu'en ces derniers temps, toujours alerte et jeune. Le martyrologe de l'aviation Après Verschaeve, après Liedel, voici Hubert qui succombe à son tour. L'aviation militaire, coup sur coup, est rudement atteinte, d'autant plus que d'autres chuteG avaient précédé ces trois morts, comme celle de Godefroid qui a échappe presque miraculeusement de la Camarde. En France. 54 aviateurs militaires ont été frappés, 42 en Allemagnefi li en Angleterre, 13 en Amérique, 13 en Russie et 8 en Italie. Et que de civils tués 1 En France Legagneux en est venu augmenter la longue, la terrible liste. Aucun progrès n'est signalé ; l'aviateur reste à la merci du vent ou des traîtrises de son moteur. Ail Heu de donner des prix aux aviateurs, d'organiser des circuits, etc., peut-être ferait-on mieux d'accorder une prime énorme à ceux qui découvriraient le moyen d'assurer la staibiliié des appareils et les empêcheraient de se livrer à des fantaisie*-mortelles pour les aviateurs. Au camp de Beverloo La cinquième division a exécuté récemment une marche de nuit suivie d'un bivouac au camp de Beverloo. Elle y a expérimenté les nouvelles tentes-ahris. Des officiers affirment qu'elles ont donné tout: satisfaction. Toutes les combinaisons sonl possibles avec les éléments dont les hommes disposent : aibris pour 2, \, 8, 13 hom mes, abri pour tout un peloton en cercle autour du feu, etc. Et la question du transport ? H est évident que pour epie la toile de tente soil utilisable comme manteau, Ihomme doil en être porteur. Or, le chargement du fantassin belge est à sa dernière limite. De vinez le poids qu'il supporte?... 24 kg. 1/2 Aller plus loin ce serait alourdir s.a marche et l'envoyer au combat dans de mauvaises conditions. Il faut donc aviser. La prochaine revue Une grande revue sera passée le 22 juillet à Bruxelles. Le lord-maire et les repré sentants de la cité v assisteront. Une estrade sera édifiée en leur honneur. Cette fois, les carabiniers défileront er tunique et non plus, en capote comme de vaut le roi de Danemark. Les lanciers d< Liège y remplaceront les guides. Sans elout< fera-t-on appel à un second régiment de ca valeiie en province. Le défilé aura lieu pa: brigade avec batterie de soutien. ïl se peut que les princes Léopold et Char les prennent place, sur l'estrade avec le i lord-m aire et les autorités municipales d< Londres et de Bruxelles. Le retour du Roi Ainsi que nous l'avons annoncé, le Ro et la Reine, venant de Valmont (Suisse sont rentrés hier matin en Belgique. * La berline royale avait été attachée i l'express Bàle-Ostende qui a fait un arrê de quelques minutes à ia gare du Nord j Bruxelles, puis a poursuivi sa route ver Ostende où l'express est arrivé à 10 h. 1/2. A lêur descente de berline, les souverain ont été reçus par leurs enfants accompa gnés du commandant Dcûtrepont, officie d'ordonnance et de la comtesse de Cara mon Hnm» rr'Vmnnmiv rti . M. Liebaert, bourgmestre, qui se trouvait nisé ce service pour les aliments à l'exelu- té également a l'arrivée, a remis des fleurs sion du lait ne seront pas su'bsidiées. m à la Reine. La proposition et l'amendement sont adop- l s La cure que vient de faire en Suisse tés. lc notre gracieuse Souveraine a eu les plus La quatrième Commission propose do heureux résultats sur sa santé qui est ex- maintenir au budget pour 1915 un crédit do is cellente. , 4250 francs en faveur des sociétés hortico- Leurs Majestés resteront quelque temps les et agricoles de la nrovince, qui serait é. encore au chàlet d'Ostende. " réparti pai* la Députation permanente sur -■s «©-«o-o» -proposition dé la Fédération des sociétés ^3 w • * ■g-3-sfs * ïï ïïï~*l horticoles des provinces de Liège et Lim- ir L Ar if bourg de la manière suivante : 2125 fr., soit la moitié d i crédit, au pro- r- ' —tfs-o-cx» - rata du moulant des cotisations des mem- '0 L'Etoile Belge reçoit de Constantinople ^ros effectifs des sociétés ayant leur siège j- une correspondance résumant les faits tels Gans une école communale ou un local ap- iî qu'ils, ont été révélés pai* les enquêtes ju- partenant .à la commune. Toutefois, quant i- aiciaires. a 1 application d e ce p rincipe, les sociétés V oici la finale de cette correspondance : existantes iiu- il er janvier 1S14 conservent i. leur situation acquise, j. « Après quatre mois de dénégations for- J105 fr.; soit l'autre moitié, au prorata melles, M. Charles Jlelbig vient d'avouer du nombre de conférences extraordinaires 't ses relations avec les Italiens Piccinato et organisées par les sociétés à leurs frais ex- n -Pe-done. Jusqu'à présent, M. Charles lielbig clusifs et données par des compétences hor- e avait traité tous les témoins d'imposteurb ; ticoles (un diplôme n'éta.nt pas exigé). Tou- il prétendait aussi que le consul d'Italie tefciis le nombre de conférences subsidiablen avait ourdi une conspiration' contre lui et ne ipourra dépasser cinq. Ces conférences que les deux Italiens, des maitres-Chan- dev t iit se donner à l'ôcole communale et s teurs, avaient préparé cette machination une convocation devra être envoyée aux longtemps avant la mort de son oncle, etc., conseillers provinciaux du canton. etc. Voici les explications que donne M. De ne plus admettre à la répartition du Charles Helbig au sujet de ses relations créd'it ou'un ceivle par commune, cette clis- avec les Italiens : En ce qui concerne Carlo position ne s'appliqiuant au'aux cercles cons- Pedone, 1e chauffeur qu'il avait pris à son titués avrès le 1er janvier 1914. service alors qu'il ne possédait pas d'auto, Après de nombreux échanges de vues il prétend que c'est à là demande de son MM. Jacques, francotte> Defize, Mottard — L oncle qu'il a convoqué ce chauffeur sur le- le texte est anodifié ainsi : * quel il avait préalablement obtenu de très Les mots « école communale » sont rem- mauvais renseignements. C'est même cette placés par <t dans un local appartenant' à circonstance qui aurait déterminé le défunt la commune ou agréé par la Dénutation Albert Helbig à engager cet homme, car, permanente. » l insinue l'inculpé, son oncle voulait se dé- Les mots » une convoca-tiion devra etc » i barrasser de ciuelqu'un. Or, toujours d'à- par u les conseillers en seront informes» près la version de M. Charles Helbig, ce Et la proposition est votée. quelqu'un n'était autre que le mari d'une La cinquièlme Commission propose un ar- femme turque, sa maîtresse ! Albert Helbig rêté^ approuvant le projet de construction se serait adressé à son neveu pour trouver de l'immeuble affecté aux services techn:- quelqu'un qui voulût tuer ce mari gênant provinciaux et réglant l'imputation des qui se nommerait Arif. Et M. Albert Helbig dépenses. aurait pris dans sa caisse 20.000 francs M Gérard Gilles constate aue la province pour payer les meurtriers. Dans les livres £,n devenant propriétaire de l'immeuble rué du banquier défunt, il est fait mention, en «'°nd Saint-Servais, et en faisant bâtir llà effet, d'un prélèvement de pareille somme de nouvelles constructions, fait une affaire avant la mort de M. A. Helbig et il n'existe coûteuse ; il rapî>elîe le Conseil la ipru- aucune pièce comptable qui justifie ce pré- denee et s'abstient sur le vote. lèvornent. Piccinato, avec qui Albert Helbig Proposition est adoptée. serait aussi entré en relations pour satis- Ive .Conseil adopte la proposition de la faire ses projets, aurait reçu la moitié de première Commission d'allouer un subside cette somme. de 1000 francs à la. Société vétérinaire" de Les deux Italiens prétendent n'avoir ja- {rJ' '0 P°lir l'orgaihîsatiem d'un congrès' A mais été .m rapport avec le défunt Helbig. 1 occasion du cinquantième anniversaire c7a Carlo Pedone ne l'a même jamais vu. Et sa_ for.^iatie>n. Piccinato l'a aperçu deux ou trois fois, par- Lundi, séance publique à 3 heures •ce que M. Charles Helbig le lui a montré •"»-— pour qu'il le connaisse bien on vue de l'as- . <? * tt ZT*"" sassinat qu'il devait commettre. Mais au- a r'! ^^^ 1 ^ cmi jdes ^Ita^ens n'a parlé à M. Albert Vili ||© y En nésumé, rinculpé déclare n'avoir con- nu Podi/ue q.ue peurce que son oncle lui r r, « dra.it dit de l'engager dans le but de tuer 7 , v5UUR|\EE quelqu'un. Et, toujours d'après le neveu, "/manche 12 juillet, {<J3C jour de Vannée c'est l'oncle qui serait Tauteur clés fameu- Nabor et Félix. Ses lettrés signées « de Prcuil ». Quant à Lever du soleil, 3.42, coucher 19 o't Piçrmato, M. Charles Helbig prétend- l'a- Lever de la lune, ?2.o:>, coucher 9 /-"» voir vu avec son oncle. Et il exprime de la musees façon suivante les extorsions de fonds dont Musée des Roaîiv \ il lut victime de la part de cet Italien : mie^ _ Ouvrrf T Tr de 1 Acadé- Certain soir, se trouvant au jardin Ta- Musée d'armes n„î- J & ■ x„n, à Ooîffiifcanitinople, M. Charles Helbife - Ouvert ïeZi fhmres Maestr>clU< y rencontra une dame qui fit sur lui une TTAtoi ✓i'aW™?? ,LCUrcs. profonde impression. Il le lui manifesta c;e7,,w?J ~ Exposition iVan- d'une façon tellement brutale que la dame, et île 2 à i heurel ae0lses- de 10 ù i heure a hon droit alannée, se mit à pousser des M^sIe^Sque Liégeois. - Maison Effrayé des conséquences de son acte, M. flYUi'cu^ct 0uvert de Charles Helbig so rendit dans un bar où, Musée Grét-v ru? L , quelques instants avant, il avait vu Cor- de/o î itet de'2 T/heures ' nelio et le pria d arranger cette affaire. neures. Cornelio accepta la mission. " se rendit uît. .<=°h««hoe. auprès de la dame et fit si luen que cette . jf, 0 a ^ leille-Mont;,gne, à Cointe.—- personne consentit à ne pas porter plainte A. '° conférence sur la culture du cham- a la police. Le lendemain, Cornelio vint PWnon. trouver M. Charles Helbig et lui réclama musics-halls et cinémas a0 livres pour son intervention de la veille. Pathé-Palace. — Pont d'Avrou ancien Ce fut l'origine des relations avec Cornelio Walhalla. — Cinéma vermanem ,ln\ a n i, et le début des extorsions de fonds dont il Cinéma Ro^O (RéS) - Û fut victime de la part de l'Italien Et, cer- cinéma. Spectacle -permanent tain jour, Cornelio aurait envoyé la fa- RpUNlmjc __ meusc lettre de chantage dont le texte a j-'éto îvirni^ i , ! diverses été publié et où il n'est fait aucune allu- KioLnP d'AvrL ^ \\l );.inc?nt. sion aux incidents qui se déroulèrent dans Concept ~ Vf - çrUart- ~~ les jardins du Taxim. Al) TqSS a> \ mf.l'slQ[Le militaire. Comme M. Fromès faisait remarquer com- Acclunatation. - 4 heures. bien cette histoire inédite de femme incon- », nJi Jl ^ner ™uslQue militaire. —AS nue lui paraissait "invraisemblable, M. ' dc 11 La Llbre >K Charles Helbig prétendit qu'elle était vraie, tandis que Cornelio, confronté avec lui, la nia formellement. FPWfMPRrnp C'est alors que, se basant sur les affirma- novc „«u-* j , tions de M. Charles Helbig, M. Fromès lui jours (u °„na* 'e„t t't c?mP e? les »««« annonça qu'il le mettait en prévention *<: 'ne ro^nlo^î' 1 f f }aissons fùir> du chef ele tentative de viol et qifil décer- XVnZïrMf F, 2 • / heurei> à cause nait contre lui un nouveau mandat d'ar- TYnW^Kl ! ,siestc' rôt ! » J a.ULe^rs' Vlus rien ne nou>s intéresse que de boire et de reposer. Les fous sont — — — ceux qui se remuent, suent et se mouillent le front. G0HSE1L PMIIOIIL SE LIÉi 4"^'"^ * * celle-ci une volupté de saison. ,«a m ^0 mous regretterons, quand la btte sera SEANCE DU SAMEDI U JUILLET de lCaVotr vas dianU M. Maisiri préside. ^ Compère Guilleri. On entend la lecture de divers rapports. Le Conseil vote, sans discussion, un subside u. _, de 1000 francs à l'Assemblée Wallonne. Kiosque d Avroy. —. Programme du Le Conseil discute les conclusions des concert qui sera donné ce dimanche, à rapports de la quatrième Commission pro- ^ V* -heures, par la musique du 12e régl- posant d'adopter, pour la répartition du cré- ment de ligne. Dir. Ch. Léonard, lieuto- dit -de 1030 francs inscrit au budget comme c ,c^ mus.que. subsides aux communes oui organisent le L Marche de Concert, n° 1 Léonard contrôle de la vente du lait, les bases sui- 1 annhaùscr, faut, sur l'op. \\ 0,311er 1 vantes : "■ Czaraas n"' o, Zcreo 1. 25 francs à chacune des communes sol- "'*• Sainson et Dajila, fan t. sur l'-Oip, liciteuses ; Saint-Saëns 2. le reste du crédit au prorata de la po- bluette 'p. flûte (soliste, M. Suy-pulaiiiuin des dites communes, étant entendu voet),- Scllenicl; que les communes de Flémaile-Haute et jardin d'Acclimatation _ pro talxlivite gramme du concert qui sera donné ce df-Elle eP£toe qu^laD^utoUon permanente t ferait attire.qi-attentiJn des communes sur ?Sn dl il. f^naïd. '^ 8004 * . la nécessité d organiser pour avenir le ser. , Murche do Cimœl l t r.éonard . vue de la surveillance du lait dune fa- g xaunhauser fantaisie sur l'nn w'.-ncr , çon autonome et de développer dams la me- o c.,lM V,:,. . . 1 . - suire du possible, prinicipaleriient par voie de 3' &iu,s011 cl Dallla' Iantalsie |m ' dtfïaîtet^dus lk'°' 16 SeniCe dU C0ntr£"0 1 Lo Zizi- fluette pour flûte, solI'm S'uy? .11. ■Vcbarsij demande le maintien du texte 5 M-irrihe Cortéo-n , de ces conclusions, il soutient l'amendement /•' i P(! 90 imiî?Ç0 t Straiycven ; de IM. Materne qui réclame une majoration ' nL?fL Clanette,. fant. 3iji\Iode 5^30 francs pour suibsidier les communes 7 t'ptr-îi. >t . 1 , . Roger qui font l'achat d'instruments de contrôle. ' 6 Noid, fant. sur lop. ^ .V. Brqliam voudrait qu'on ajoutât au li- o T , Meyerneer i belié de la proposition « et le contrôle de , " 0<rll<Iue ^^oCoise, crâmignons Léonard ) la vente du beurre ». Il n'y a là qu'une Les concerts publics. _ Deux con-question d hygiène. cerfs publics seront donnés le dimanche 1 ^}u,De-h 11 11in m)e il2 juillet, à 4 heures de l'après-midi, sous 1 u ^'r i e ^ rallie à 1 amendement de les auspices de l'administration communale, 1 M. Materne, ainsi modifié : « les communes savoir : 5 ayant organisé le service de surveillance de Place de? "Wallons, par l'Harmonie Li- la vente du lait. » bérale de Ste-^'alburgè, sous la direction 3 M. ]■ rancotte précise la déclaration de .M. de M. J. Lenoble . Dehairsy. Les communes ayant organisé le Programme i- service de la surveillance de la vente du 1. Gais Liégeois, polka marche T -Mart n - lait et des autres matières alimentaires re- 2. Sympathie, ouverture» Y Vart.in rmrmil 1a« dllhciirl/ic /«ollftC mii oni-eml „rrrn Q AI... T». 1 •

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Anvers von 1832 bis 1940.

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