L' illustration

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s.n. 1914, 10 Oktober. L' illustration. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/ww76t0ht1x/
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LES GRANDES HEURES UNE AUTRE VIE Impropres au service militaire et demeurés dans les villes, tous, tant que nous sommes, même ceux qui n'ont rien modifié à leurs habitudes, nous menons cependant depuis deux mois « une autre vie ». A la première minute du réveil cela commence. Nous ouvrons des yeux mal assurés. L'esprit remonte à la surface, avec une anxiété assoupie encore. — « Qu'y a-t-il donc? Il y a quelque chose... » Et, tout de suite, le mot... le mot redoutable tombe dans le jour indifférent qui naît, comme une lourde pierre dans l'eau d'un lac: la guerre... La guerre ! Yoilà. ce qui prend, étreint, '•opprime, obsède, poursuit sans relâche. C'est l'idée dominante qui préside à tout ce que nous 'faisons, à nos travaux accomplis dans la fièvre, 'comme à nos amers et rares loisirs pris à regret. La guerre !... Pensée de Nessus qui brûle et dévore! S'y arrêter nous terrifie, nous ensanglante et nous martyrise. S'en écarter nous coûte et nous est un reproche affreux d'égoïsme, de lâcheté, presque un remords. Ainsi nous allons d'un parti à l'autre, jamais soulagés, toujours mécontents de nous-mêmes. Le calme du voisin — que nous ne savons pas observer — nous étonne et parfois nous irrite, surtout quand nous ne le comprenons pas... et avec la même injustice nous condamnons l'excitation, la nervosité, les transports, tous les mouvements, même généreux, des irréfléchis et des désordonnés. Presque tous, nous pouvons même dire tous, nous sommes dédoublés, et souvent plusieurs fois... Tous nous avons un fils, ou un 'frère, ou un parent, ou un ami, ou beaucoup d'amis qui sont au peuple des armées. Le plus obscur, le plus humble des Français, sans relations, ne peut même pas, à cette heure, entreprendre le compte de ceux qu'il connaît, auxquels il est attaché et qui luttent sous les drapeaux... parce que cela serait trop long et que ce calcul le plongerait dans un inutile et coupable découragement. Malgré tout il faut vivre. Nous vivons donc. 'Nous vivons cette autre vie, cette vie brusque et nouvelle. Mais dans quelles conditions ? Nous la vivons dans autrui, dans ces « nôtres », dans ces « meilleurs de nous » qui nous sont si pré-'cieux et si chers. Nous la vivons par eux, à travers eux, pour eux... Ils sont là, visibles et présents, aux avant-postes de nos craintes, montant la garde au seuil de nos espoirs, sentinelles de nos desseins, comme nous — par l'esprit, par le cœur, les souhaits, le vœu, l'invocation, l'élan de l'âme et la prière interrompue, même aux instants où elle n'est plus formulée — nous sommes leurs éclaireurs, leur renfort, le soutien de leur flanc... Toutes nos besognes et nos occupations, par choc en retour, se rapportent aux leurs. Quand nous mangeons nous pensons à leur nourriture, ou à leur diète; quand nous nous étendons dans nos draps... au lit de terre sur lequel ils couchent. Notre sommeil se passionne à leur repos. Jusqu'en dormant nous suivons un pai; un les chemins creux de leur insomnie. Nous ne pouvons nous empêcher de nous les figurer tels qu'ils sont, eux aussi, dans leur autre vie, sous les loques de leur autre et glorieux costume, avec des visages défaits mais parfaits, avec des yeux embrasés qui portent plus haut et plus loin, avec des mains désaccoutumées de tout et consacrées uniquement aux armes. Soixante fois par minute notre tendresse instantanée les photographie sous ce tragique aspect, dans mille poses de péril et de combat. Ils sont l'éternel objet des questions auxquelles nul ne peut répondre. Nous nous demandons: « Où sont-î7s en ce moment ? Que font-^s ? » Tout ce dont nous sommes sûrs c'est qu'ils pensent à nous à l'instant où nous les évoquons. A moins qu'ils ne se battent! Car alors ils ne s'appartiennent plus. La guerre, et tout ee qui gravite autour d'elle, se localise en ces représentants, en ces avantageux « remplaçants » de nous-mêmes, et dès que l'on prononce son nom de Bellone, son grand nom de famille, c'est leur petit à eux, leur nom d'intime appellation qui frappe nos oreilles et devient par excellence leur nom de baptême, de baptême du feu, ce sacrement nouveau de l'autre vie. Qu'ils nous semblent depuis longtemps partis, les soldats ! Que leur retour paraît lointain ! Ils nous font l'effet de ne vivre cette autre vie, actuelle et précaire, que par un miracle incessamment accordé, un bail providentiel renouvelé tous les soirs, que par une grâce extraordinaire de durée courte et fragile, inconcevable ! Nous ne nous expliquons pas comment ils vivent, comment ils font pour s'en tirer. Leur vie a l'air d'un défi, d'une bravade, d'un tour de force, d'un paradoxe, d'un problème. Chaque lettre d'eux, si brève, tracée toujours en hâte comme un post-scriptum, et qui nous renseigne si peu, contient cependant l'essentiel de la félicité pour nous quand y éclatent ces trois mots : « Je vais bien. » L'écriture, que nous reconnaissons, elle aussi a changé. Elle a pris plus de caractère. Les termes employés sont bien les mêmes qu'auparavant, mais ils veulent dire autre chose... Tout a aujourd'hui un sens différent, soudain, conquis et prodigieux, qui donne une commotion, le coup de fouet de la balle. * ** Car en dehors des hommes, la nature, le ciel, la terre, et aussi les objets inanimés, tout ce qui saute aux yeux, tout ce qui retient la pensée s'est métamorphosé pour offrir la signification générale d'un mystère qui se dévoile. Cette vie nouvelle est comme un rêve tour tour affreux, superbe, entrecoupé d'inquiétudes et d'espérances, peuplé de fantômes de gloire et d'horribles visions, décoré de mirages... comme un rêve très long, sans fin... qui n'a rien des petits rêves d'ici-bas, d'une heure ou d'une nuit, un rêve étrange, voulu, formidable, supérieur, marqué des signes successifs de la sanction et de la récompense, un rêve que l'on fait debout, éveillé, aux confins du vertige et se demandant à toute minute si l'on n'est pas le jouet d'un délire sans exemple... Il y a une voix, une persistante et pauvre voix étouffée, bâillonnée au fond de nous, qui au milieu de tout ce que nous traversons haletants, s'écrie à chaque souffle : « Est-ce vrai ? Est-ce bien vrai ? Tout ce qui arrive : ces batailles, ce sang... ces fracas, ces incendies, ces morts, ces héroïsmes, ces sacrifices, ces confiances, ces résolutions, cette certitude ailée?... cet état inouï dans lequel nous sommes en plein, sans désemparer,... cet océan d'émotions, de souffrances, de désirs fous sur les flots duquel nous sommes balancés, secoués, tantôt emportés à des sommets et tantôt amenés sur la pente d'abîmes, comme à la crête et au vallon de la vague... tout cela, est-ce vrai, Seigneur? Est-ce vrai? Dites-moi que non! » Et l'écho de notre clameur nous répond seul : « C'est vrai. C'est bien vrai. Cela est. Cela se passe, et pendant que tu es vivant... Tu assistes à ces choses, tu les touches, tu les vois, et un jour viendra où, les ayant de tes yeux vues, sans y croire encore même après beaucoup d'années, tu les raconteras, comme les stupéfiants souvenirs d'une existence antérieure. » Quelle situation ! Et que nous sommes malheureux ! Eh bien non! Yoilà ce qu'il faut, en se relevant d'un bond, conclure et reconnaître en face, et proclamer avec la joie de nos cœurs percés des glaives qui les couronnent... Cette vie nouvelle, cette autre vie, elle est -— pour les soldats comme pour nous-mêmes — la plus méritoire, la plus féconde et la plus admirable ! Oui!... ne tenant qu'à un fil, jouée et risquée, renoncée, quittée d'avance, offerte à chaque pas, prise ou refusée, prodiguée, gaspillée, comme dans une fête, une fête nationale... la plus grande de toutes, par la multitude de nos enfants entraînés au sublime, cette autre vie est une splendeur que rien n'atteint, n'égale, ne dépasse, au bas de laquelle végètent en rampant toutes les façons de gâcher le temps sur la terre. Et pour nous cette suite d'alarmes, de soupirs, ces attentes, ces pleurs refoulés, ces fièvres, ces saintes angoisses, ces supplices de la lenteur et de la résignation, ces ravages de l'espérance, cette manière surprenante et indicible de constamment mourir « qui n'est pas une vie »... tout ce nouvel état est de qualité magnifique et nous hausse en ces jours de flamme au pinacle de nous-mêmes. Nous sentons, nous savons de source certaine, que nous sommes en valeur, dépouillés de nos scories, remontés de nos boues, gradés par la souffrance, et que cette épreuve purificatrice est d'ailleurs temporaire, que nous en sortirons avec un métal plus resserré, lancés plus droit dans l'avenir comme le boulet jaillit plus direct et plus fier des flancs étroits du canon rayé qui le pressaient. Tout compte fait, de toutes celles que nous aurons vécues, ces heures sombres seront les plus lumineuses. Plus tard elles nous apparaîtront, en arrière, ce qu'elles étaient vraiment sous leurs nuages de pourpre et leurs ténèbres en train d'enfanter la clarté : une aube !... éblouissante, aveuglante de bonheur, celle d'un âge d'or, salué par des tonnerres, comme à sa venue au monde un enfant royal, un enfant de France dont le règne attendu sera plus durable et plus beau que celui de tous les empereurs et de tous les rois. Henri Lavedan. LA NEUTRALITÉ HOLLANDAISE Le jour même où paraissait notre dernier numéro, nous recevions de M. le chevalier de Stuers, ministre plénipotentiaire des Pays-Bas en France, une lettre que nous nous empressons d'insérer : Bordeaux, le 29 septembre 1914. Monsieur le directeur, A de nombreuses reprises des rumeurs peu bienveillantes ont été répandues dans le public, surtout en France, d'après lesquelles l'intégrité du territoire du royaume des Pays-Bas et par conséquent sa neutralité auraient été violées par des troupes allemandes qui, en investissant la Belgique, auraient traversé l'extrémité méridionale du Limbourg. Sur les ordres de mon gouvernement, j'ai non seulement opposé itérativement par la voie de la presse le démenti le plus absolu à cette fausse représentation des faits, mais encore transmis une protestation officielle au gouvernement de la République française. Nonobstant ces démarches, L'Illustration a publié dans son numéro du 8 août, page 108, un article avec une carte, avançant de nouveau « que l'armée allemande pénétra sur le territoire belge et trouvant 258 N° 373b L'ILLUSTRATION 10 OcTORRE 1914

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