La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1918, 03 März. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/vm42r3qk8f/
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.rfli* MM t—nmKmwr* t [çoI»lM*i., mars),tr. 7.60il oioi»(lé?r.ïtr. 3.80. Las -dfitiiandei d'abonnejœnl *onl / açtw txaïusi-vaaiékfr lu bwczuv «I fe» ratUcwr,6M ™M. — ZSS&auiMoiu co,uxrvta« I" *Lon <**"»* ~U"WTU mtâfvîS* exchui»wni «M <"•<-•*•»» <k <*>*». AMktt."STiUTI8!i ET RïOlCTiON : gn;1j3Bn;..aiix-^îùr'Sas-P»tagài'o», 3Î. Sruxotio*. Ilrf* *«•» wîihwMy^^ $ Petites annonces, la ligne, AMet»**. avant la aimonc**, la Iryno, lr. JtîôOw»- Corps du journal, U figue, tr. 7J6&o~~ BaétmdkMafa U ngcr»*" fr. 5.CO. — HécrohpU, I» ftgHo, llPU^ fW-d«j IZovettr*, Aviê die sociétés, Annonces notariats* U H*ae, tr. S.96. .r-v-A-v», bureaux ds 9 a f$ aawre» -rrwfe» «i A&tngtrcto ;£<ffV\f?*'i''J >os «oh0ssès. direotulli jZujourd'hui : SIX pages. LA GUERRE 1,307° jour do guerre Les ma/ximatfetea s'étant iiiolinéa (lovant leur ultimatum, les Allemand» u oui pas puussé leur intervention militaire au-delà des territoires de If&etitouie et de la La vo-nie. Lutre te golfe dw Fxulunde ei le secteur (le I'8aof, leur rayon d action reste délimité par le ©ours iirfcrieur de la Nar-va, le toc de Pc pu» et le lao <te PskoL Au sad de PskoC, défi déf-aebesn^ifei avances ont ateeu>t ia r*ve £ftuobe de la Wcdikaja, et c'est da<it8 la valtéo de la tiéréertna* d!o tnste mémenre, que se «ont déroul<!s les derniers combats officiellement signalé» à, 1 e*i de Minsk. Dana cerne région, les troupe» alie-ur.uiden se portent au secours de« Légions polonaise* qui rmt jusqu'ioi fort «à fane pour résider à dws gardes rouges supérieurs en nombre. Entre iea voies ferrie* Min^k-Smoi'ansk ci Shmettink.a-E.ief-NjesiiiQ, tes Attemaads, après avoir dApflS«.é Mosyr sur le Pripet, ont afc-teiirt lu i>méper : ils * oooiipeafc la ville do Rjotsciiiza, située sur ce IUhino, à S) kilo-mètres un aval de son confluent avec la Bûrés>inu; 6Ue est durante de plus d& 8c#) klloufèfre» de Pancicnre ligne do baituiUe. Dopais la Ba tirpre jusqu'au Pripoh, les op'îtet lions mâlitairee contre la Gr«.nfie-Russie sont menrîjcs par le feld-marèehai von Eiehhorn. Au sud du Pripet, c'eut l'Oi> kiv*rin« : l'armée du général von Linsm^en y oontian» son acfcon, que nous qu^»fi«ro«9 do tfpoîîcière''. Cette année auis^i opère avec une zapiJifcé ioudrogr&ate, & qui prouvo qu'une kns de ph«a l'ISntczUe s osî fait illusion, sinon sur le nombre, du moins sur la quotité des troape» que 'es Allemands avaient maintenues sur leur front dons l'tëst. Rn effet, les Allemands qui opèront dlans le secteur de Sliitomir-Ber^itficù'iew, sont parvenus d^jii à Fasiof, sur la ligne Kiol-Slimci/uka, :»^ant couvert <ii 400 ki lomètres depuis le 18 lévrier. On peut- dire que leur entrée dans la ca|iitale de l'Outrai ne, sit-u^e à une cinquantaine de kilo mètres au nord-est de Fn-stof, n-'e^t plus qu'une question d'heures. •4. La Russie maximalisto supporte ainvsi Tes cons^uenees terriTirtntf S do fWeuglemact do ses déW^n<fs soi-disant pacifistes à Brest--Ldtovsk. Cette cmcfl? leçon ro&x lclt-ro-mor:e pour les Bonanaane. A peine entsi-lat/G*) les négoeiofeons de Buoareet ont été roin|Hies : les Centraux rej&Wftrt snr l'in-triinsigeaiiec d^s déi^gaés de la Roumanie la resj>onsabll'i^ de cette ru^fcvxe, (iout -le»» effets pratiques n'ont pas tard à fie manifester.Répondant aux appels do la Podolio terrorisée par Ici tiouree rtii-iH» rôvolution-aaires. les Austio-iion^rois ont sur ni: lar^e front franchi lairr frontière. Leurs divisible, qui ont pour mi--sVvn de r^tablh-l'ordre et (Passurer la sécurité des voies commerciales daim les district» qu'elle» traversent, s'appr'.^ut vraisemblablement à d^sceaure La vallée du Dniester. Dis à. présent, ella3 menacent de tourner le no*5 le» R-oumaÀns, qui oceupem la Moldavie, c* une partie de la Bessarabie : menaces ainsi do s:-, voir à bref dfek» <M>«j>se d© toutes comnmnicn'ions, cetfx-ci de^TOirt se résigner à abandonner ce qu'ils oui dépuré quatorz# mois re^i à conserver do territoire uiitio-nal, à évacuer b Bessarai/'e et à ee retirer prétfi])itamment de.'rièie le Dixicster. MalhcaTOfiWïrient jKHir eux, ils se trouveraient là sur le territoire de rOukr*ino.(»rei r"t par la force des choses devenue l'alliée des tlentMux : par »e fait mtVne, ils y ? e-raient coupés cfe conuminiea.»ons ré«fi>liî>neS o»b pr'rvés de tout ravitasiflemcnt normal, d'où il résulte qu'ite n ont que peu de chance >?e réussir à opposer aux Auéti'O-Hongrois iyie longue et efficace résistance. À examiner de sang-fro d li shnstion miH^aire de ta Rotunaaie, on en arrive forcément à Ja considérer comme étant sans | j issue, et à se <î''ro que le seul mo-oo qui | ( leste au gouvernement du roi Ferdinand j t Vempfcber la ruine complète de son mal- t heurt-ux pays est d'accepter la .paix aux conditions imposées par les Centraux. *** ? Si les dirigeants de l'Entente, au lieu de ( rester sourds à la voix des population* r -prouvies qiui demandent la paix à gra^ids P • ris, venaient fcui'in à se départir de leur ' inc^iî^oWkblô iirt*Kini^pf*tr!ce. les o^œia-ions de paix iutfwo&eaot 1'Bapop® oocidi-n- ^ ulo pourraie&t comineneer daoain... Mais à [:eiœ le chancelier aUeanaucl ^ "près une déclamation très rassurant» pour J l'avenir do la Belgique, ar-t-il projxisé la iisoussion h, notre gouvernement du Havre- 'l \ peine s est-ii dic^ré d'accord avec les pjmdpaux {.-oints de vjc défendus par le président Wilson, que la presse chauvine .c •Je rjEmerito, appuyé f,nr fjUeJqnee-mis ('e b ..es hommes d'Btat, s'empresse do procla- J! eier que toute négociation est impossible e< . <iuo seule la force de? arm-cs peut décider n • ntre les Àlhés et ia Qjiadiupiicc. Cette attitude e3t (i-seap^'nurte pour ceux qui malgré l'accoutumance des massacras ont ooiuicrvé des seihfiimenls d'iaimaiate. r E% eat meompw-hensible et paru'u s»prf- ^ merneLt dangereuse îi ceux qui no >© payant c pas fl<» mots, &o soucient avant tout dé ta réalité des faits. Bma raies, sans doute, T sont ceux qui persistent eneove, connue tous s y eJoi\-fi£ent naguère, à ckiocxurrir mie ' preuve de faiblesse dans les offres de paix » •'le l Aliewagro. Les événements survécu s depuis sa première proposition soleiuitlle de Œ décembre 1916 n'aotoriseut pins pareille lontaisie. Dopitis lors, aons avons vu la .touma nie miso h or3 do comlxit, la Russie crouler et la force militaire de l'Italie subir une épreuve déeaetreuso. On objectera qn'^n revanche l'année 19.17 ^ aiiporti* aux Àlli^n le concours dol'Amé-nque. C'est vrai, mais fl ne faut pas ou-wjer que la guerre amis-marme, qi« a pro- f voque cette intervention des Etats-Unis, a ^ conté h P Entente dix millions de son tonnage maritime et lui crée les plus grandes chmcujtfs. Que Jes dirigeants do l'Bntentse osent daus d< condit-ons rejeter (î>,niWe to'.to id«f-c a® négocier la paix, railà, répétcr*-le, ce fe jjj" est m0(>mpr6l)enstbîe. Peut^-tro nous gi mrar-tron quHts savent, des choses que noua ne eoDnaleson» pas 1 Mais c'est ce qae l'on . 118 objectait dàjà lor^'iue nous déflorions, il y a quinze mots, leur refus d'enfer en oomposiîion. Il n'en reste pas lo ^ nous ont depuis lors conduits de ue acception en déception. Il n'®t plus m: possible à eaiix à qui la haine et la pas- de on n ont pas fait perdre toute raison, cleoo j»t irS Vi°lir 1U<3 l'inl*aneié!«iailc« obstinée de nu l°yd George, Cilomenceau et consorts tic »s menace d'une irrém**3iable eatastrophe. qu {es. j Négociations de paixj Borliir, 1er mars : m l^a doiégiti«eu russe tst arrivée au jour- (l'Uui à Brcst-Litovsit [ituir it»iireu ^re lJs -* négociation». ÊUe e-st eouipo®*» wiikm B-t.u: • MM. soiot«l>.of, visita'*; i'ttiwao, u«-tpgia uiMt» de riMt'i**} C'Lliciiérnie et Kaia-' Jhtui, au ministre ; Jufta, aiijoint au mwirtro ciu omancree; rainipsl Alwatei, iio l'V'UU-niajnr (fe la ii>:tri"c; L)ai»lûf, Ad sîi ' (lovant et Lipju, de 1 ûmt-marjor dte ïapmfe, et ' ® P"'' l'cirstaiisowiiBli, ainsi ip,o numlnv lie Si<-"t - «i-<ieiu ; j t reH et de stéDograi>LeR. ,L,V°- 10 c>ec- Brest-.Ivitovsk, 1er inr.rs : r^e |>ans une réréniou pi-ékminaire tonue per 'p aff •os présidents des d^l^a#ipna des Puis- anvcv ' i &HO * ceiiti^Uw et de lu (fcW-gation ru^e, il a été tvancts ctuO ia première aSiombl^o p^nâère ^aja, et (^Lérués aiuudt Mesu lo 2 mars, à 11 h. ot^e du matin. srniers 0 H 0 BcrTîa, 3 mars : , abe- D'après une information de la„GaaoWede ôgious \'o3s", lo Goinlt^ (sxécutlf des soviets an p. it . décidé de ue pas donner de pu4>Iic6té aux rieurs raj^)orLs sur les négociations de paix de , „ Kresfe-Litovsk. Biss ci t«# , aprts Amsterdam, 1er mai*s : nt at- L*„AIg«ii€»u II andefcblad" ' apiprond ûe sourco généralement bien knfor^'o q*e ia kl i" paix ay .1n^ été conclue eutre les Puissiinces ; ^ la coiffera lés et POukralne — ce qui pirmeutca ( . ^ l'AJJeuia^ne do «Saposer do grances qu&i- i if-iLLe. ^ — OQ Cr04t que la (fi:e:Uou du ' cs ';lé jouera un rôle tiU imijortan-t Ut* des e-WiiP-- I1^(yiia,tions ({ni auront pour but la reT1' n- i,y?Q t ellement do la- eojwantujin économwiu^ entre 1.Cru- la HoJlanda ot l'Allemagne, convention qui ijugen empirera fin mars. twrous L « opère Berlin, 2 mars : aouvo pe ^ MOaze«tte de V'oefy" : 1 — Les négociations do pûix avec la Rou- & manie pouvait être eowdfr^efi^ comme ayamt ( tuandie éehoué, oar il sotnbao quo la rép>>nse o'u roi s IVnHr.aud aux itoi>o^tiens drî la Quindru- ( , ilice n'a pas été gfUt^aisnnto»'-' j t dlans D'atl as journaux prétendent avoir a^'-TÎ 3:>*t (.,'e source Jvutorisée q«0 les nt5goeiatioa>s do Lr, i*»ix ouïra les I^uissatiees centrales et là , . l' Roumami? ont ét^ rompues. Ils ajoute;H qi'e , Vn-1 ° yb von Kiîhlmann cl io comte Czornrâi ont : ..-V1" été appel') à Brsrt-Liiovsk pour 4-uer le Kilo- de poix avec le gjouvernemout masi- j p us malisté. t Budapest, loi- mars : nvsi Tes Ll0 eorrcsçor.dant- viennoh du „Pestei tnoctdo Lloyd'' apprend do soin ce bien informée, Biesu- 0Uje l'âceoi^ aves la Ponmaire s5 heairte j lettre- toujours à de grandes difficultés. I.cs Rou- l raa'ns émotJtent des prétentions que 1 état de nt été ûe jV4ifie en aucune façon. On ne , Pin- conçoit pas sur quels faits ils peuvent ?e -m1.nie 'yveer P°ur s'oppo-cr nos exigences. Il nt -b» n'est pas possible qur'ils s'appuient, en l'oc- ] mani- "urrcnce, 5».u- la \x>^ition strat^rjr.e de leur artaéo qui se trouve, de notoriété puMiM,e, ie ter (^ana une situation des plus pr,'caire. .Lar- , iution^ rûée roumaine, aussi b'ea qrc le secours que , ny, fourrait lui cf.Y'r rjîntçnte, n'cnfrc-rt pîus rs di- 143 cosnpte. ^ils persistent dans établir -our attitudfe, qui ne peut avoir pour r«ul- vcie« ta.t que (fesposCr leur pays à une catastrO- , s tra 1-^e, il fauura leur dfmontrer que nous înt (\ sommes prC*t3 à faire valoir nos droits par j nré- 'ôS arinft3' jusqu'à co qu'on en vienne, à \ e rorl ••a58-r' *l 11,10 concivion plus s. »ne de j i>vfe, c» il est provoir, do.vS ce cas, qu» "s ainsi "Puissances CoLvirales no a.^ moutseroni toutes a,,pft^ conciliantes dans leurs c-ondi- ;3wicr ! "1!S <ic P°ix" ■ n f"/>r7a ^ il iKitâo- Bal"1. 1er mars : ' ' On mande do Vienro au „BerIiner Tago 3 -f1- Watt" : , «**£ — Le comte Czenrin a été rcru en an- 011 v . iiienco î>er 1« roi Ferdinand de Roumanie ^u'iV après 1 échec des négociations avec le g^iie- r:ii Averc3cu. Au sujet des hésitations d«j r idi.-vr s 'ft Rwiiiwano, la question se pose savo'r t. r " 1 si c« p4y« peut escompter dos Coudhâons de r (t' paix pluvS favorables lors de la conclusion p 11 ' e de la jrttix générale, en continuant la guerre ! ^ aux côtàs dee Allk'-s. ihitb>n Seio!ri k;ur'e vraisemblance, les négocia- \ arrive tiair3 r<r'Lmain^ auront d^ù répondu ir'ga- I Uremeut ù oe;,te question, non pas tant que a ; qui la COîlfiejlCe de la Roumanie dans le succès. a nand I des armes françaises et angiaises ■, mal- ! eoi t 'e 11101110 du monrle ébranlée, nviis, p'iree eue, se basant sur l'evpérîenée acquise, le S paya est convaincu qu'il ne doit pas fonder de grandes ee-jA-ances sur la dvfeuse de f ses intérêts par ses Oo&Riés. A côt^ fe ces \ eu tk enusKÏ^tr^vliona d'ordre pratique, la question f i tiftiis ^ res"t>onsHb3Îiu> j'oreoundle que vont t randî 30,UIQer les négociateurs, ne don pas être leur ,îe Vlle,- _ H saeùw entrevue da comte (^zertun avec ]a r;0î r! îd n- *fflîontr« ino U» niignci-tertrg n'ont pu Be (Hcirîcr 'i pr«n<Jie une d'iernihin-don, ront^r' ,: i;ini prcooii« de la Ilcnnianic. et fl, ixnir rJu '^ e^pàreiit que Je lioi prcnilpït lui-ya'nio la fc» décision filiale. Don» les SfAèr» l ien cl ivre, 'aftata'es, ou estime qng si ia Roi so df:i- r,, les <'H't ^ continuer les négociations sut 'aj \ lin«e3 prt'Beutfos par 1» QnacImpHce, sa d-- £ Tine c|^on ontraînemet un rdaaniemant du Ca- jj (,a binet roiunnin. Au curpins, ks coramunica- . j icUi- t'°"s ê,n®' 1H1 roi ' I'ci'àirMuad par le comte ;; le'et ''m»™» n'ont pas eu le eaau:i{-n <!'ttr. ui- j!, :ider timahun- .*• eeusc Berne, lty mars : «•n» -1*® "berner TageMstP a in!erviuW5 ,MW,. takdsto-e de Rosuaanie à Berne. Celni-oi n», nr? ^ ulk? d iliu^iona couceru^nt la oon--ant t':iS?LOQ ™ la paix. ,a — La Hoinnonie, ditil, ï(.n fnte*e de 8Ϋner nn traite (Jo paix qol ri'truira peut- " fl' 4're pour lonctsœps tons les espoirs du ' un. î^^'0 roumain.» or . a; e" IK;<^ re^onsatla non seiileme^t la v' tsarisle qa! a foro.' la Eournsnie à >" i de °3tTir 011 PiCtT® P»r un uliinatom formel, >'• éill. raais an.s^i la trahison du g*>uvenîejr.6nt 7a niosimaliata qui a amenô la catastrophe rou- ' -! mata®. °£ 1 « gouven-ement, boleheviate s'est même }u empar!; de la fortune nationf-îe d« la Hou- Ia manie c, a saisi un milliard derosù à la M banque d Ktat russe. — tj; !;rt Les êvënes&mïs cie Russie tou- — ^ ïdes Cologne, 1er mars : toi On maivte d'Amsterdhm À la ,,Gazette rot iaus de Colonie0 : idée I>es amljewadeurg de France et d'Ange- s ce 'erre ont qafeté hier Pétroçrrad, accompo^ v- ous gnés die leur personnel, ous #»# l'on Pétrogpad, 1er moacs j plo- Do l'Agence Télégraphique : ,jU 'en- — Kéuiiis en assciu*jî/1e pléniôre, le3 mate- V/ pas lots du détachement d . Is ngfors ont d'eidé <la -îits '-e rester à leur po*to jusqu'à la dernière Le dus minute. Ils ont commencé à évacuer les objets >as- de valeur et loua les navires onit quitté le jyi e ne pari. Cronstadt est catme. Les mu/telota sont de de euihousiastca ot prêts à défendre La révolu- les >its deux, iyé Ltt-tnajor du front septentrional a eàt •lie. quitté Twer. Des détachements «,'e la Garde ^ „ Rouge ont été envoyée a Ikrlagoi© et «lit ' d'autres jx>iuts. La mobilisttti »n coatûiiue eu na-ie ; les to.<ia;s oub&ent leur» fatà^u«a ei iont pr.-ta à *e ba»t= o. P.i pel, situé à vin^t jour- verbes de KO val, u été occuj^j i4kr la GarJ« lJs Lîlaacho. L/acttvifcé de l'aïufierîo faut croir-s Sï.ic : a l'avance do» Allemands. u»i- »*« Lai-a- Paris, 1er mars : joint On maïKi© (»o fo* rugi ad à l'Agence Ha vas ûtei, que la si'unfl.-oa n a jms cuiux^o uiaiisi ia i sfi c api tôle ru«i>o. La vi-lê e^t trita^uiile. Ou t et couwnue à prendre cks nte^ui\>à ee^traoïvtli-ecr<-- «îaires |>our s oyposor a l'arrivée de»s tro««4ies alietaaiKfes. Les diélaobetatrius ue ga^ut^> routes partent pour i-e^iorcor loa ttou^^os cki Soviet, «ortout uauis la tfcrection ue l'SLoL per Les ambastiadeurt» français et anglais out UH.-Cr quiltâ Ptîtrograd dana l'âpre midi du 20 îi> k été vriyr. Les ojnsuls soui rcat^s a lear poste, tuière »a* 1 h. Vienne, 1er mars : L'Agence de la presse ]>olonaiso annonce que lo général Dowbor Musnufcd, oomman-iaat deb trouves poionaisea, a dtan:mdé au j'e de har.t comiuuaaemout allemand que des offi-nrvii ciers alleniauds as^oi'eat une aoûoa cornai ■ » muiio des woaj/ca alle>mandes efi poioixaitiea do contre les maximalise». «*« Lonflr<îS, 1er mai-s : On nir cdïe do petrograd au ,,'iiini s ' ; de — l^es légions jwlotuiises ©einijlent colla-i ia borer uveo leg Afigiaauds. ua ville de iiisisk L-tees a été occupée i#r des solilacs po&onuis d uc-entra eor-J a» ec ies Alleinaudy.- Ces dom ers ont uan- désarmé 40,1.00 Itu^ics, qu; ûs ont euisla-tc 1 du r^âefcés. dcB ■•l' Xi- FéLograd, 1er mars : sntre Do l'Agence Télégrapliique : qui — lie val est tombée hier au pouvoir de la Orie Blanche csihoraenne, a^myee par ifueî^ues d*tft«h''«iM*.W ai.!«ïK*s;d». Nous y avons envoyé aujourvThui on ck^tuchement pour r--mbLr 1"ordre révolutionnaire. Rou- Les troupes r'n'olutionnaii-es ont empêclié ^ajtst ^e grands pelages à Kovgorod. Sons la • voi «jenace de la bourgeoisie qui e est eiupaice idru- ibj pouvoir, les govn?rs oui occupé la ville, Le.i IxiRirgoois ont «'té repoussas par d-es TV*'*' membres tKi Soviet ea l'cintre a <>'• rétobli. 3 do Dô petites colonnes d'automobiles aïle-mandes avancent va-s So':TOgp. 1 >es troupes qi-c du Soviet ont fait sauter les jionts, ou for-°;»t :i;io avec une activité fiévreux l'olotsk et ' ie Kev\el. L'ennemi n'étant plus qu'à unedis-tance de 1Ï0 verstes d'Opoisehk, l'ordre a été donné de retirer !cs forces et de détruire les ponts. Après avoir rétabli les ponts, les Allemands se sont emparas de -tei kosenovkin. n,'e, Toutes ics mesures sont prises pour dCv ^rte t'eadro la li^i.c Luoki-Bolojo^e-Pskof. La lou- rCpjr ge de P.si;of par nos troupes du Soviet, t de :, e t pas coii'iria^e. Des reuforts sont mV ne cessaires. Des Lilbles troupes alicman<les ?e avancent lentement vers Luoga. Ti A pris avoir occupé Kos^of sur le Don, t'ec- le 25 février, les troupes révolutionnaires icv^r ,;e sont einpar^cs de Pe.r,s»onovska et apr* s 'Or-e, avoir avancé srr un front de plus de q>. a<-^ai~ rante verstes, elles ont pénétré .h Novo-<•'- isoberkask. L'ermcmi, commandé par le» pins ^t'n. r<u;\ .Vie-* - -J et Koru»!:»;, a :<xr 1'- rLu,^ Éans ja direction cPAfcnsaa" aja sur Je Don e? «ul- cberobe à»?c retrer l'intérieur du district •tro- itiîli.tahe du P>on. Près de li< siof où se «OUS trouvent les forées révolutioimaii-os, un eoim-l^r isat s'est engage avec l'arrière-^i.rde de à Komilof qui envoie toutes ses forces pour I- pénétrer à EJiateiin^taf. qutt roni Stooliliolm, le" nui s : -ndi- On t'li.gT44«bie d'fbi-.viranda que la partie sud-ent de ki Fir lande a été ueM-ov/e de .-;ardci9 roupaa • ju3';u/à Kexv.liofm. Hijr, la oo/urauiricafion t^légra;";îiiqué aveo Torn^ a 'té rétablie, do mémo que celle avec Cbr's-tianiastadt et Viikule. ao- une Rome, jr-r mars : •jic- iTne d'Iig^'Jiio.i finlandaise est arrîvve h de îîomo pour obtouJr d ; Gouvernement i: ilien 'o'r la reconna." :auee oj fi aie-le de ia nouvelle de république. La di'-légali m se coruposo d"u i i'Jn f-.résîd'jnt, M. Kr.^ie- Wolff, et de O& x dé-^rre l'hués, Bersuis et Knvinau. On. sait ? ko l'j s. r^ne et la Fiunee ont d\ii reconn-.i 3:a" I i-:iîépen>Tuice ds la Finlande., ta» et s (pie le '/ru- mivdstrô bri ■anrûijuo dos ait.-;ires étrangères que a formula la réserve d'im accord pwjiiab'e aveo la Russie. La d-'l^gation sera re-ue ^'s prochainement par le jouverucmoiiti espagnol, iree ,% te Am-feivltun, 1er iwar* : on- D'après «no information de l'Assocififccd de Presse, le Japcn sq ^er-aif- adressé auiv EUws-ces XJu&fs et a us ABiég p->ur leur pro>x>scr d'e ion fia-rendre une action militaire commune Silure et f,;i'à iatrr d-iv-i ;& il se-ait prit à t't marcher se--' : il s'agirait en tout prépaie,-Heu de mt<rô en sûreté les atooks de toute ^oi nature e*iCrcs>o-~is lo loa^" du Transs'.t/'riôj». L-e3 Elftfts-Unis se monii-eait peu enihou-ï*é mais on ne do.de pas qu'agi cours et des rîéîttsérations ils so rallieront h Hi oro-nie l o^on ja:r-ov,sise. D'autre paH, une d-'pè-*en c'.io Reurt'-r parle dl.'? 3 entrevu - orre M. ï>»i-::1- forr ai.'Tiit eue ave'1 î-ambas a i?irr du Japon •es à Londres. Knfin. d a; r's une i.nfoxtnwrt.k> KH^rajjhiqjue de Pékin v<* ue par le j.Ttnieu", Ja- il ne s'agirait pas'en Po^ce din o a;Tr<'^ !?a- ri on japonaese contre la R-css;e, mris fout ûfce simplement do la mise en s ■rot'» de5W,0tV"' ul- tov- es de munitions qui se trouvent en Si !''rie. C ^ EN AMÉRIQUE ►n- ^ Washington, 1er mars : (in M. Lan si n^ a fait savoir à la Commi% ut. «••on des ;YÎ:ires étrangères de la ChoiU r^-du ' 08 re^r seatants que la France et t Jta'.ie oni aecopto en principe le projet d'acotinj» 1 ja réciproqno vsont l'enrôlement de icjr>* i-a-5 ^ lionaux daas l'armée des Ltats-l'nH, et<e- J lel, ''' dts Américains dons leurs arm^s. ^et ' int accor^ e.t analogue ù ceux conclus avec >n- l'Angleterre et le Canada. •: 1-e Sénat a a ecrdé un crédit de 10 nSl- ' lions de doil rs pour loger le personnel et ' .u- Ia maui-d'aïuvre employée aux construet'nms ] ja navales. A partir du 20 mars, l induslrio des en- . •y-ais artificiels ?em placée sous le cou- ; trôle du gouvernement. ^ Londres, 1er mars : [ Lo„flJorning Post" apprend de Wasbîng- 1 ton que le colonel ITou^o est- arrivé dan? ' tte cet'e ville, ce qui fait supposer quo le pré- ^ skîc^it Wilson dr'^sire délibéicr ave'-i son ftmi \ ?e- sur îa répo.ise à faire au di":ottrs d|a coml'c ,• ,'U- Vf.n IlertTing. , ♦** New-York, 1er mai a : Les journaux les plus import;mts «crivtait 1 qu'il n'est i^as possible d'admettre que 8 te- l'Alieniooi-o entre en possession des parties ^ dé da territoire russe limitrophes •& l'Lmpire. ^re l^e ,,New-York Times" a'exj.rime ainsi : sts _ L'Allemagne doit être contrainte a , le évacuer tes provinces russes. C'est le but i', >nt do guem1 umnédiiaK que doivent poursuivre d lu- les AlUiés. La sauvegarde de la civilisation a eât intimoaient liée au s;ilut de la Russie. !' de cor-iMurncuÉs officiels I: »** . Gard y 3roir4 CoEocaimiquas des Paîu^arices Centrales Au moment de mettre sous presse, 1e con muniqué allemand ne nous est pas parvern lavas » * * () Berlin, 1er mars: — Officiel du 8olr j u En Champa^no, ainsi qu'entre la Meus torui- Qj ja nous avons exécuté de îru( tueuats netites opérations. aructe Rien oo nouveau à signaler des autre <os clii théâtres de guerre. -aîvot •** oitt B^rrlin, 2 mars. Officiel r 3 fi> Sur le il>éàtre 3optentrk>nal do la «ruerr LK>ste. navale, surioNt datre la mer d'Irlande i fc dans la Maaolie, n<w sous-uiarius ont er core coidé 23,000 Umnes brut. Parmi les ns vires coulés se ti'ouvalwnt doux vayeura $i( nonce c|eux ^ at00») et de 1,000 tonnes brut. ,U: iman- vapeur de 3,500 tournes, fortemout chargé, lé au iorpillé dans la Muuehe en plein couve olfi- puissamment protégé. coin- Il a été constate notamment que, parmi le laibcs aaviros détruits, so trouvaient lo. voilier moteur anglais a Kia Ora w, 1e voilier frar ^ais " Bérafler tranejiortant du bois d nnnes de La Rochelle à Gardiff, ainsi qu les chalutiers anglais fcLomnmiwlern, "Snow • >tropw, "irox., "Léonore^, "Koselnal», "ed L>oHa^ trop r, " lrox r, 14 Léonore „t " Rosebud „ nlsisk ■* Idals „ et " Onya ,, d ao 0lk^ Vienne, 1er mars. — Officiel do ce midi lâfcute A l'ouest de la Crenta, les îtalions or prononcé une akaqne qui a échoué. Appelées sans cesse à l'aide par le gor ' vernement ot la population, dont les appol étaient devenus particulièrenuail preaeant (je ces derniers jours, les troupes du feldrmar<! chai Bdhiu-Ermolli ont pénétré on Podoli 1 ^*°r et ont aiteint In ligne Novo-Slelitza-Chotin 18 y Komenetz - i'odolsk. Les (titachemcnts qu imeut avancent le lonç des voies' ferrées et de roules importâmes ont pour mission de rt jêclié tablir le calroo ot l'ordre dans les terri i la toirea qu'ils traversent et de protéger le paréo voies comraerciales nécessaires aux importa ville tio*13- Jusqu'à présent, près de 10,000 Rus ji' 1 ses ont déposés les armes. Des quantités con ; «dérables 0c munitions, de charrois et d "tSibn. matériel roulant ont été capturés. alhôh + ^ i^es Constantinople, 1er mars. — Officiel : "rT Noi troupos do couverture soirt entrées ' 1 Hoft, à l»cst de Trébizonde, et à Asch Kalch 3 dia- ^ l'ouest d'iîlrzeroum. e a —i- -* dé- Berlin, 23 février. — Officieux î l les En marchant sur Psfcof, nos troupes ont ét de cordialement RceuelHics par la population ; dan diverses localités, le conseil municipal est allé • dCw ^CU1 rencontre Poor l°ur oifrir lo pain ot le se En l'isthonic, les socialistes «révolutionnaire . a comlkaitcnt les maximahstc3. 11 s'est constitué u Viet, comitô qui a proclamé l'I-istlionie république ai Dé- tonorae. i-p cliui de la elicvalerie et plus do 25 mdee Baltes ont été transportés do Rêvai h Pétrograd Un grand nombre de Llvoniens ont aussi été cr Don levés de Dorpat et d'auixca villes. Toutes le air-.ç, len.i'.es qui a .uor.t été ar:-téea ont été relâcliécs En Oulcxaîi-.o, nous continuons b> rétablir l'oi '1 ^ B ijrc. Da:::' co pays, les ebemins de fer et les rot <l'ua'" :c3 sont généralement en bon état. Lo bruit cour OVO- q.jl? j0 con're-gouvenieinent boîchevls'e do l'Ot le» k rai no s'est esifui le 20 février do KhnrUoff. Plu duiitt- oMca avn' c-^nt, plus lca troupes allemandes •îor i C' i!<,ci>nUlics a»fc enthoÛBtaarno. Un grand nombr strict d'Allemands ILéa dans 1© pays ont demandé gy Cire rapatriés ii cause des dommages qu'ils ot coin- 6(18 dans leurs ûliaires. , " 'L'fîntenté cltercbe à entraver nos négociation 3 e avec la l>o;unauie et lui fait croivo qu'elle l'a pour ,i .a nîiiifàircincut. Nous no pouvons pas tolère plus longtemps, la s.nration indécise qui exist ••> :r le front en Roumau'a ; en eor.séquenco, no prépai- :iîs sont faits pour reprendre les opéra partie «OiiS jnîlita'rcs à l'oxpiraiion do 1 armistice. , ^ En Fr le, la si t nation ne s'est pas inodl j,, Héc. Los ''ratioiî? ont «'-té peu importantes ; t ' ; pop d?rion p.tfend l'a»do allemande. On estime qu ij j ^ Garde Ronge est forte do 100,000 fi 125,00 xîr's" hommes. Après la priso de Ko val, toute la Ilott russe parajt s'étro rassemblée à llelsingfors. Le Rœscs y ont aussi iranaiéré un grand nombr l'avions et do canons. vO ^ L'unarcliii régne daus le Caucaso. iHeu ^ 1 • " Communiqués des armées alliées dut 3 : dé- . , Paris, 1er mars. — Officiel do 3 heures Y. Dans ki région n beat de Chaviguon ",a.'! rci.::t.mi, hier, vers 8 heures, a lancé, aurcf pie lo un ri' bombar dement, deux colonnes ii l'ut --ère.-, taque da nos lignes." Un violent combat corps lab'e à cor]>s s'est engagé qui s'est terminé i re ue notre av• natale. L ennemi a été refoulé après L'i'.iat. avoir subi do tortea pertes. Des prisonniers r.out restés entre nos mains. Une autre ten t live Rur nos pstits p«> -tes au sud-est df . ,. v t.'orhv-ny n'a pas eu plus de succès. Pen * 4 •lant la nuit, l'activité des doux artilleries aws- -,'i^t m: i:.toniie vivo dans toute la région de de-- i.'raoroiè, entre Miette et Aisne, et dans le 9 er. r,eoieur de Ueims. L'bosjiice civil de lteims it à a « iô ir. vndhi et boralKinlc syst'uvitlqucment »nier pen-dnnt l'incendié. I*>n Champagne, la nuit toute 1 également marquée par nos séries de ritti bombardements cur nos prcmKrcs lignes, no , ' taniment dans la région des Monts, do part " ^t ^f.'iutre de la Suippo et vers la Butte-ohts tiu^psuii. (;e matin, une très vive attaque nro- L-nnontie, déclanahée sur nos nouvelles posl-*iojiaf uu^sud-ouest de la Butte-dn-Mesnil, a té brisée par nos feux et refoulée, -auf en iport J point, ofi" l'ennemi a pris pied dans les rti>: éléments avancés. Vers ia môme heure, * à l'est do la Suippe, un fort coup do main r eiiu-iuii a subi un échec complet. ^ . En Argcune, rencontres de patrouilles. o>;t «îoris avatirt fait des prisonniers. En WœvTC, assez grande activité do l ar-Si iillcrie . vers ia Jhi de la nuit, dans les se«% tcurs de Re^névllle et de Hemenonville. Nuit ■ Inio sur le reste du front. Aviation : Le 26 février, un de nos équl-na.'^y n effectué une reconnaissance photo-^l'apbiquc jus<p/à Maaiemboitrg, é plus de 0 kilométrer à l'intérieur .des lignes ennemies.nfc * 5 •> ,;V}V Paris, 1er mars. — Officiel do 11 heures : >'.ie ^ 1 c°ur3 rie la journée, la lutte j artille- 010 rlfi a >>r'a un eauactère d'assez grande activité dans la région au nord et au nord- T" oveet de Reims, aiftei qu'eu Champagne, prin-ci paiement dans la région des Mollis, vers '"et Tuhuro et do part et"d autre de la Suippo. vec Au s:id ou si de la Rutto-du-Mes:.il, l'ennemi, apiv.s avoir été chassô» par no.-' coatrc-alta-t5I- qncs «les points où il avait pénétré ce matin, est revenu h l'assaut avec des forces nouions vc^63- Apres plusieurs tentatives infructueuses, qui lui ont valu do lourdes pertes, il est parvenu n reprendre pied dans uno CQ" partie des positions que nous avions con-od~ tpjiscs le 18 février. Bar la- rive droite «le la Meuse et - en W'ojxïq, l vunemi a bomb n dé violemment nos preniièrea lignes sur le front Beaumont-bois [ng. do Chaume, ainsi que dans la région de Se i ans eheprey, où un fort coup de main ennemi a _• été repoussé et nous a donné quelque» pri-^r;'v sonniors. Bur deux des points attaqués par 1 l'ennemi, an cours do la nuit dernièro et ml'c aujourd'hui, les troupes ennemies spéciaîi-. ées danw les raids se sont heurtées des éléments d'infanterie américaine. Les alliés de 1 Éntente ont partout in ii-itenu leur ligne wil intacte, infligeant it l'assaillant des pertes sensibles et lui faisant, sur chacun d^s points, des prisonniers, ies # re. * * . Londres, 1er mars. — Oîfieiel : ^ Des troupes ilu Staffordshire et du Ches-ï«ire ont exécuté cette nuit une heureuse at taque au oord du chemin de îer Ypres-Sta ?re de.". ; ella^ ont fait, quelques prisonniers. Cette nuit, près de La Vacquerio et l'est d'Ypres, quelque® duels d'artillerie. ••• raies Ruine, 23 février. — Officiel i * Sur I03 deux rives de la iire«Éa, la ca-nonnade ennemie est devenue plus violente 10 com- hier matin. Nos batteries y ont énergique-rvenu. meut répondu ; en ouvre, elles ont très efficacement bombardé des trou pesa ewismies <iui jr : se concentraient dans la vallée de Sslnt-Meuse Laurent ^moute Grappa) et sur le col de , jjqo. la lieretta. Sur lo haut plateau d'Aelaco, nos pa-autres trouilles ont pénétré dans les lignes ennemies et se sont emparées d'une quantité importante d'armes et de munitions. Au nord du Ponto Piave, un boulot italien a touché en plein uu convoi automobile. ?nerre 24 février, les batteries amdai»«s olu '«e et descendu un avion, qui est tombé en flam-» eu- mes près do Nervesa. ltvi na. .i. ra CiZ un fl Lt. Un JLa, g-uerre navale rgé, a —— convoi Hotterdnm, 1er mars j . | Le „Niouvve jRotteixtiiuselie CoiM«nt" aa- i'er à aouc<3 lô lou6rc „6oh.-l3^J a péri. fran- , is de Stockholm, 1er mai* : i que On m.'uide des îles cPAfcnd rpwi le vapeur Snow- fini Hidais ,,Afiitriogwif", a^act à bord dos "eda gardes rotures, a touché une mkio à pro&i- sbud mité des îles et menace de sombrer. ***> Berlin, 2 mars : midi : Lo mécontentement des armateurs anglais s ont provoqué par la poétique guerrière inau-i ;^t»rée. par M. Lloj-d George manié à un anpolâ Iiaat diaiwaon. Lors des gnZEva» ant4ri«ur«s. séants e lurent les row^suiiviuiti» de la navigation -maré étaient oooedérés oonune lo§ porte-dra- 'odolie i-e«u de l'eapinsion briteuniçfae, car cftiaque îhotin- tfvtenavm de l'empire morwôal ao^lnis ftng-3 qui meatait lo l>es*xin ^»s moyens do ccsamnni-t des eaVion et, jmr ricochet, 1© copitnfi engagé ae ré- ;,ur^ ^ cjuintiers navate et dwis les sociè-r^ies ' 'a navkjàîiott devenait die jour e» jour iporta- •1 r3 considérable. Vu sous cet an^W, lo? 0 Rus armateur» anglais ont considéré an début îs con- eottn gtierro cocome un stnnple „bu^inc-ss aa et de usual'', comme sir Groy s'exprhnah en 1914 quand la gucr.e sous-marioe eft venu leur n importer queLjrje désillusion. Depuis beau ûl : temps ]e9 nrm itj^nrs non senlemsntt voient r'écs à couler sans rémission leurs ^lus b^awac n<v. lialch, \irps pour la perte dt.-^jwci» lis ne touchent aucune indemnité, mais ils se voient contrai nts de me'-tre le reatwnt do lour flotte à . , îa dîs]x>sition de l'Etnc et à se plaeer soits dans ca tutelle- fl n'est dès lors plus question de allé à bénéfices plantureux à encaisser pour fre*s ls sel. en temps do guerre. nnaires Le journal spécial ,,Fatr Play" Ai 31 ;.»n-tué un vicr concilie aux pï'opriitiiii^» do navires ue au- do vendre leurs s!«am«ps, vu qu'il faut do 250 compter avec l'éventualité ds<s paK^ri-a d^i tté^en ^^^lisme et l'exploitation do la navigation 108 Z eU r'5S'B î1" rEta'- 1 cli ces. " ♦ "" .-ÏS ' DÉPÊCfES DIVERSES [t court ■* » p°« BAla' ler m;ira ! , * ,ont Les journaux annoncent que la frontière nombre franco-suisse est fermée aujaurdfhui à midi, ndé k •*» ls ont Berne, 1er mars : L'état-major de l'armée communique ce dation» qjji suit : \ v - —^ février, vers 11 h. 20 du soir, existe 11 avmlear a. survolé Merisiiaujweni, tfcms ie 3, nos eauton de Hchaifou&e, et, cinq m imite» plus opéra kird, des violentes détonations se sont fait !. entendre sur différents points-Après ^'e lon- inodl- gues recherches, on déeouvi-it dans 1 après-39'• la «n;di du 27, dans Ja forêt de Lirngerber, i"* (mu < nlxe Scbaifoiœe et Mert-^viujeen, t^itux i"uottc grandes excavations, des arbres en'iomma-rs. Les p1'8 et im certain nombre d'éclats de bom-Do'mbre d'aviateur. Lca écl-îts étant de même nature que ceux trouvés lora du dernier bombardement à Muttenz, Mea^ikon et Kallnach, il faut le^ ées considérer comme d'origine française. «** Berlin, 2 mars : ures : La „Gazette Générale de l'Allemagne dn f!!r°à -Nortl ' «""»« qne les â&ata imrlementeircs l'.- t °.]lt démontré que le peuple allemand efitdé-corps uilîô à 8(3 Plier au^ conditions de %*ic criées nô è P°r -a guerre au cours de cotte quatrième aprè.Q année de lutto et est prêt à continuer les mi ers sacrifie;;», qu il s'est imposés jusqu'ici, dm. s j ten la conviction que, eo faisant, il olîéit à 11 de une nécessité patriotique et historique. p?n **. leries Berlin, 2 mars : r lje ,,Germariia" écrit au sujeù des d^Iibé-- leims , ations ^ R^ic'iscag ; wnent 7~.^n consul rant dans leur ensemble lfts nuit opinions çui ont été émises, ou pent affir-îs de mer que lo gouvernement do Pï'm^re a s, no trouvé dans la représcfitation populaire un so l i fie point d'appui pour la ix^itiiuo qu'il a inoumtrée. taque m posi- 0 * * .il, a ' rl,n' 3 n,a™ ' uf on '-a »vOeuUc:ie Tnv c-s Z■■itnng!,tf annonce 3 les Que, le jour où il a été o£icic5lement an-ro, a iiuncô que M. Lloyd George était indasposé, main <o iremier mi:ûsiro a 't, ' victime d-'tBi atteai-... ' t commis sur ti voie publique. Le cou-pablQ — un sinn-feiuer irlantînag — aurait l.ar- ûr,'êtié* î sec- *** Nuit Roiterdom, 2 mnr-s : On uiar.de au ,,Nieuwe Rotlr-rdamsche éqni. Courant'', que le recrutement en Irfrand© a lioto- été romis pour la seconde fois j\ une date ^ de ultérieure. Au lieu de commencer le 1er mars, J1 commencera le 1er mai prochain, sous la direction du directeur général du Service national. rea : -, •'»Mp •> * * acti- Rotterdam, 1er ma r-, : lord- ^ ô'Athènes r,ue le prtnee régem prin- V'e^andre a ouvert la nouvelle session du vira Porl?mcnt par un discours du Trône. ippe. + A opinions et Commentaires a tin, w„ 'Vue- t'asco max/malisto. irtes, ^ Stockholm Dagbladet n écrit, à la date du uno lévrier, sous lo litre " La Paix germanique w : COn- ~~ -11 11 C:^istû d autre explication pour le fiasco îles leaders bolcbev tioa que le fait pi'ils onsi-• en derent ia situation mondiale sous nn Jour com-t nos P'ètemcnt faux. Dans leur ignuranco complète de -bois 'll suua'ion, plus parliculiéro;nent en ce qui con-, j cerne t Allemagne, ils «e sont imaginés que la uni a '"évolution générale, copiée sur ls modèle russe, pri- allait s'étendre dans toutes les directions à pas par Kéant. I,a paix russo-allemande, telle qu elle 3 se présente, a évidemment (ait envoler les der- ;ia]i- "'vres illusions des jyrolagoniPtos de la révolu-des ^on" Oomiuo l'Allemagne estime aue l'heure n'est lliés i',ns nux !onS® pourparlers, les négociations pren-igne -lront assurément une silure plus rapide. Une ites roi9 '!6 P,,ufl' au conrs d» l'histoire, 11 a été dé-des mmltré qu une aotlon vigoureuse et énergique vaut infiniment nre::x que de longues phrases. 11 appert aux yeux des moins clairvoyants quel service Important r Allemagne a rendu aux Etala do l'Europe occidcîiiale en marchant résolument de Iles- 1 avant. S'il est un pays qui mérite d'être qua-i at lilié de protecteur des petites nations, c'eut bien ~ta ^ 1 heure actuelle l'Allemagne elle-même. Les pays-frontières, où les Allemands son*, salués comme t des libérateurs, en témoignent à suffisance. L'Allemagne a aauvt uns fois de pins le visu* wonde do danger russe. Chronique Braxcliolso On se demande s'il faut rire ou pleurer. Psr ja- pnnespe, on rit de ses malheurs; par contenance ito nnte, on nargue le sort, on é:éve son âme ait ie- dessus de? événements, on attend U tin d» îi- l'orage. 11 faut une philosophie l A maavaise toiv lui t-une, bon visage 1 Autant Oe maximes a'un s4-^t- rloïkx réconfort. Mais tout de môme : 1911, 1015, de 1916f i^i7t i&ig i Un rire si prolongé sent' ia grir maoe 1 r ,a~ Pleurer ne sert à rien. Mais oelui qui rélléciiil ^ a pourUmt besoin d'une attitude. LaqueN» prejKtre 7 la_ Faukll rire les jours de soleil, quand la temp»-je rature atteint au moins 10 degrés? Suspension rUi des frais de charbon, venue du printemps, ap* ui- pan Lion des légumes abondants, pousse ues herbes dans .les paUiroges, aiba que noue ayons du S6 lait pour les enfants et de la vmn<*e moins jvfr-neuse sur les table» ; prochaines promea^es de» champs et des vergers, beiiea moissons «t branches chargées de fruits, o'est-â-dire pain et jofc| pour tout le monde. Autrefois, le prlnWtnp® m' n'évoquait que des idées de poésie; aujourd'hui, il est d'abord un espoir économique. Oh l la:dour de ia guerre I Pleurer? Je voue iate.se juge : de nouvelles of» sa* (enaives en vue I Pour 1«6 préparer, nouveaux coups ue hache dans ie corps des peuples pant^-ixi- lants, Udliabie» et corvéables ù merci d«e notr». nouveau moyen ûge ; impéts, centimes addition nels, emprunts et dottes, encore plus d'oc, plu» de poudre, plus de balles, plus de sang l Mais ais moins de nourriture, moins de viande, moins d» *u- pw» ; davantage de corvées, moine de repos, phi» un de charges ; mo*ie de profit, moins cto àanlé, pins de malades, moins de naissances et puis dà ion moins ; rnofns de joie, morns de plaisir, plu» ra~ d'an?fîoiB«e ; zéro 6cîeftoe, zér» civilisation, r«-o -ue pragrta ; dévots de moWMsatooai des enfants da 1S ans et aussi ceux de 16; on les enverra fc» nj_ laire tner dans les campagnes licucies au mois d» mal — t joft mois de mai, quand reriendras-tut ùè- ~ P0111* la divbilté sang^tfite qin s'appe.le ia P*« ^ hle. Gouvernement», pères, inéres, iee offrent i avec enthousiasme, comme }adis faisaient #.% Carthaginois et les nobles Iucas, qui offraient 4 ^ Molocii la ileur de ia nation, pages sanglante» ^^ d'histoire qui nous fermaient remer les peuples barbares. C'est nous-mêmes, aujourd'hui, qui y? ?ur tons par centaine» de mille n-os benjamins au au monstres de 1er et de feu I Pleurons *usa4 îûl sur ia pauvre Italie 1 Malheureuses populAUon»i ^ jadis riches sur leurs lieiu-euse» terres de fruits et ^ de vignes, aujourd'hui affamées, disputant ®" i'herb* au bétail I Nos Flamands oonnurent pareflle (amiue ver» ,lTs le milieu du sièoie dernier, lorsque l'iniroductloo de dos métiers mécaniques eut ruiné l'industrie de» e"s innombrables pebrts tisserand» des Flandre». Avant peu, peut-être, les peuples broûieront d» in- compagne. Ceia, au XX® siècle 1 Contre le retour res de teiiea extrémités, on croyait à des protection» tut tutétaires : la religion, la morale, ia solidarité, du l'internationalisme, >a 'science, l'industrie, ie» on arts, la raison... «*♦ La raison, la religion, la morale, la solidarité, l'internationalisme, la pitié, la charité, en appel* lent depuis trois ans k l'humanité 1 Dure comme fer, l'ISntente repousse les ouver» tures de pourparlers. Des organes de ta psé&s» française — liberté pour elle, tyrannie peur 1m» ^ autres l — préparent l'état d'esprit pour pro-chaîne offensive, demandant l'instauration <Ie ls Terreur ; arrestation et incarcération finméd/ate de tous ceux qui émettront des douie» sur 1« c® réalité des viotou-es françaises. A cdté de cet-optimisme féroce, y aurait-U piace pour une opinion r, rndépendanteî Ami ou phsonrîier, ie fiouVerne* ie nient du Havre pourrait-il, de son propre chef, lis répondre a l'offre de pourparlers faite en fermé» lit formels par le Itelchstag? Quel bond, o^aii ni- faire d'un coup, lui, mlnuseuie, ce que i'fffijîien»» îs- Russie n'a osé faire que par dtrs chtanins d£fl>ur* r, nii-s 1 11 faudrait un m^acie. Et poui iant, hors «i» ux ia, nous, inajmi-ité beige, nous ne sommes op'au a- centième de nos futures misères I Les fOKCeiiÀ no û- huiient que démembrement et écrasement de» Puissances centrales l Lutle à mort I Nous seron» lx livrés a la pompe pneumatique de ia guerre, ,y rasés jusqu'au sol, séchés jusqu'aux os 1 eS iUre ou pleure» offrent a la pensée deux infinis. Une telle ruée désarçonne la raison} les millions d'hommes, qui, sans se connaître et pour des raisons occultes, décline** îmennina-In hiement semblaliiea et patries, inérllercocut plu» le rire que les larmes ; rire ironique, s'ai fie Vaut ^ en hurlement et huée sur. l'humanité eii^ereJ " Mais qui donc aurait ie rire formidable, ie sar-" casmè colossal qui peut-être feiait tourner kj» ® tètes vers la sagesse t Ah I si le rire pouvait tue? '* ta guerre sous le ridicule ! La pitié û tout essayé •® en vain. Le tbéûlre de ta guerre est ouvert ton» a les jouis; jamais de reléche. Peuples et Parte, mente, assis, occupant les fauteuils d'orcnesUe, baignoires, premières loges et loge de ia prést-«lence, 'isslstent au drame sans tii*er leur mon-lô- choir. Mais Ils pleureront pour les Deux Qrpiio* i<.nes ou ie Bossu, même au cinéma 1 Ah I îa oo «s rnedie des sentiments, l'étrange mécanique huer- malne I a Un joli tableau du comique de notre monde 4 m été tracé û propos de Bolo, le condamné â mort il d'hlar, par son avocat : — Il a trais autos, sept chevaux. I! dîne, ayant M. Cailtaux a droite, M. Mturmer é ganche, M. (loggia en face. Hommes d'Ltat, hommes de Jet-ce très, parlementaires, on trouve chez lui des re-a- présentants de tous les mondes — sauf ceux du -, faubourg Saint-Germain. Sa « sociabilité » e*t n. ' tonnante. H y a dans les scellés des monceaux de lettres. En voici uue de M®« Rostand qui, pvx«r p iui recommander un général, lui écrit : « O pach* magniBcrue 1 » Aujourd'hui, personne ne veut connaftre les relations qu'on a eues avec iui. Oïl ne veut l'avoir rencontré qu'a tabie, et encore ta wagon-restaurant ! » * *■* j* Pleurer I Oh ! quel chemin de (Jouteurs ! Qu«!j» route s'ouvrirait assez iarge et as^ez longue A travers les sang ants, démembrés et funèbres 11 pires, pour y ranger des deux côtés les cereuatii e et li foule des mutilés de .'a guerre 1 Quei bâché* de Nabuchodono3or, combien de lieues de flammes, quelles vagues de feu perçant les nues, si l'on mettait en un brasier unique toutes les ri-lT chesses, toutes les splendeurs, toutes les mer-ver!es de l'industrie et de ta science, tous les documente de la nature et de l'art, maintenant ruine, solitude et cendre dispersée 1 Voila de quoi > pleurer 1 1 Que peuvent penser de teWes profanations k* chercheurs de bien-être au profit générai de l'humanité? Quelle perle dans le sang, quelle Heur u sur ie charnier, quel pur rêve de beauté est, dan» cet ordre d'idées, le peBt grain de blé de Lutfwr tfurbanl< ! Perspective blonde et élyséenne qi4 jure délicieusement avec la perspective rouge d«* champs de bataille. Comme il y a Edison 4 Vienlo Park pour les merveilles de îa physique, il y » Btirbanli à Santa RoSa, en Californie, pour l'agriculture et i'horlicultune : ii procède comme »oa illustré 'xjneitoyen par million d'expériences; oa l'appelle aussi le magicien. Il crée d*innombr** bes variétés de végétaux, qu'il ■ fabrique ■ i»r4-coces et hâtives, selon les climats d'exportât Ottf 11 a créé la prune sans noyau et toutes sortes d» végétaux curieux ou doués de qualités utiles. Ii ne connaît de batailles que celles que livrent te patience et la science pour plier doucement la n*< turc à servir l'homme. 11 a calculé les ml'Jîons dé tonnes que produirait en plus la moisson mondiale annuelle, si l'on parvenait à obtenir une espèce de blé qui donnât seulement un grain d» plus par épi 1 Ce serait fantastiquel II sacrifie * celte généreuse recherche sa vie laborieuse et de* cent;iines. d'hectares de terrains d'expérience. Quelle déception, quel écroulement I Qu'elfe rag» quel dégoûl pour notre humanité sacrilège doh avoir un tel homme I En »emm», rare tu pleurer T PIrtrer ne écran fllwnnir*1* ® Hsre 1918 . jotonal wwBa» ^ x» nSmXc<rT~îê~ omaaw ..... r ^-aj- 1is4y

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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