La corbeille: journal financier, industriel, maritime et commercial

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s.n. 1916, 02 Dezember. La corbeille: journal financier, industriel, maritime et commercial. Konsultiert 20 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/n58cf9k428/
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Fondée en 1905. Edition de guerre, New 47 et 48. IVix : 10 centimes. 2 DECEMBRE 1916. LA CORBEILLE JOURNAL FINANCIER ET COMMERCIAL Administration-Direction F. Sels. n v.- m* a- i . ™ « . ». Affilié à l'Association de la Presse Financière Belge. Bureaux: 103, Place de Meir, ANVERS. Téléphone 4293 Publicité financière: 1.00 fr. la ligne; Annonces commerciales, Avis d'assemblées: fr. 0.50 la ligne; Emissions, Rapports et Bilans à forfait. Abonnement pour le pays fr. 5 par an. » pour l'Etranger fr. 6.50 par an. Chronique de la Ville FAUT-IL LE DIRE? En suite à notre articul-et sur cette question nous avons reçu la lettre suivante:Anvers, novembre 1916. Monsieur le rédacteur, Je tons félicite sincèrement pour l'article d' ionid « Il ne tant pas le dire » de votre numén du 11 (novembre courant ; si tous les Belge étaient aimai, la. vie ne serait pas devenue into îérabJe telle qu'elle est maintenant. ■Masïheareuseinient le mot d'ordure d'à présen est: « Arriver à n'importe quel prix et par n'im porte qnel moyen t. Les belles qualités d'antai sont envolées, « vertu, hommeur, probité », vain mots que l'on ne retrouve plu» qu'à l'état su jxtrJatil A présent, on me trouve iplus que « égoïsm individuel » ; c'est la faute aux meneurs qui on toujours raïé aux foules leurs droits et n'ont ja mai» parlé de leurs devoirs. Le socialisme a fait du bien à la masa onrvTdère, mais il a aussi fait beauoouip de mal parce que, je le répète, il a été mal enseigné. L'humanité est très fragile à marner et, at tentiori, messieurs les meneurs et éducateurs de, maœea, en criant au scandale et en reproohani à um. olan l'exploitation, la spoliation et la mal honnêteté, attention, dàs-je, die ne pas faire pas detr d'un clan à l'autre oes poisons subtiles ai «Détriment du bonheur et de la fraternité de 1; oamjnumauté. Malheureusement ce sera éternellement ainsi tant que l'on n'aura pas, pour nous éduquer e nous diriger, dtes hommes d'élite, non seulemen à la parole facile et enveloppante, mais des hom nies à main ferme sachant diriger, conduire cha cnm dams son droit, mais aussi dans son devoir et oe pour le pêns humble des êtres oamme pou: Je pftus riche. Trouvera-t-on jamais un homm< de cette trempe? Un patron d'usine. Nous avons cru à un moment que ce1 homme se dessinait à l'horizon, par son talent oratoire, par son énergie et par ses capacités. Hélas ! des événements fâcheux onl brisé l'idole, il n'en reste que des morceaux.La suite de la lettre parle de l'instruction des masses et termine en appelant ur sauveur. Chambre de Commerce d'Anvers. — Lisez donc, Messieurs les dirigeants de notre Chambre de commerce, ce qui se passe à Bruxelles. Cela suit le présent articulet, et ne devez-vous pas reconnaître que vous avez laissé vos membres dans l'ignorance la- plus complète, qui plus est, mis la Chambre de commerce d'Anvers, jadis si .puissante, au niveau d'une nullité dont on ne se soucie plus: Si le f.f. de président avait trop d'ouvrage par suite de ses fonctions à la Banque d'Anvers, il aurait pu se décharger-de ses fonctions. ■ En tous cas, jusqu'à preuve du contraire, nous considérons la Chambre de commerce d'Anvers comme administrée cahin-caha ! Chambre de commerce de Bruxelles. — Chacune des différentes chambres syndicales et sections qui composent h Chambre de commerce de Bruxelles e: successivement convoquée pour procède au renouvellement de -son bureau. On sa que ces organismes sont au nombre d 115 pour un total d'environ 3,500 men bres. C'est en janvier prochain que le délégués de ces chambres et sections s réuniront pour nommer le bureau de 1 Chambre de commerce elle-même, qi préside avec tant d'autorité M. le sén; teur De Lannoy. C'est au cours de cetl séance que le bureau de la Chambre doi nera connaissance du rapport sur son ai tivrté pendant l'exercice 1916. Les réunions de la Chambre de con merce ont lieu en son local au Palais de 1 Bourse. L'accaparement. — La Cour d'appel eu à s'occuper des appels interjetés ps des personnes condamnées à Anvers pot avoir mis en vente dans leur boutique de marchandises achetées dans les comité de ravitaillement, en les taxant de pri bien supérieurs au prix d'acquisition. La Cour a aggravé les peines pronoi oées par les premiers juges. C'est ain qu'une peine de 2 mois de prison a el portée à 5 mois, une peine de 4 mois à mois. Poids et mesures. — Il existe nombi d'édits et règlements communaux qi actuellement ne sont observés par pe: sonne. Nous comprenons qu'il faut êti large dans certaine mesure et ne pas et nuyer l'habitant plus que nécessaire. Ma ici, il s'agit de victuailles, de ravitaill< ments, et cela devrait être sacré ! et 1 poliœ devrait agir sévèrement. Il existe en effet un arrêté, qui ordonr d'afficher le prix des denrées et marchai dises en francs et centimes et les poie: par fraction de kilogr., si nécessaire. Nous savons que la police a déjà fa dans certaines boutiques des observatior à ce sujet, mais cela n'a servi à rier Deux jours après on affichait de nouvea vente par « livre» et prix en « cens ». A première vue œla ne paraît avoir ai cune importance, mais il se pratique sol le couvert de ces dénominations non ai torisées une véritable exploitation d pauvre monde, qui achète par livre o fraction de livre. La livre ne représente pas toujours 50 grammes, mais souvent 450 gr., ce qi est le poids réel de l'ancienne livre. Le détaillants vendent, dans les quartier communs, la livre de 450 grammes a prix du demi-kilo. Mais il y a plus encore. Lorsque u produit monte en prix, disons oe deu francs au kilo, cette majoration se répei cute plus fortement dans le orix de détai Le quart de livre augmente alors d'u centime, œ qui fait huit centimes au kilc et après deux ou trois augmentations d ce eenre, on se reorésente à quel pri reviennent au peuple les aliments de tout néœssité. Le manque de fonds force ces pauvre g-ens à se t>re>curer ce dont ils ont besoi par quantités minimes. On ne proteste olus, à quoi bon. Si 1 police du Bourgmestre ne sait pas agii à qui s'adresser, Grand Dieu? Le café. — La hausse iniustifiée d café à 22 fr. le kilogr. frise le scandale N'y a-t-il donc pas moven de réaçr; contre semblables orocédés et les arrêté m et èdits du Bourgmestre n'ont donc plu aucune valeur? Nous n'avons pas le temps de nous rer seigner, mais on prétend qu'il y a toi jours à l'Entrepôt d'Anvers des million de kilogr. de café. Le Comité de Ravitaillement ne poui rait-il faire les démarches nécessaire pour obtenir les pièces pour réquisition ner au besoin une partie de ces marchac dises au prix du jour de la mise en entre pôt? Que se passe-t-il à Bruxelles? Là éga lement la spéculation avait fait monter J café à un prix exagéré. Afin d'enraye les manœuvres des trafiquants et de met tre à la disposition des consommateurs 1 café indispensable, l'on vient de décide d'en importer une grande quantité. L programme prévu pour les importation permettra la répartition de rations suff: santés, à un prix normal. La remise a public se fera par l'intermédiaire des ma gasins communaux. Nous soumettons l'affaire à notr comité ! Les gagne-petit?? — C'est ainsi qu l'on appelle tous ceux qui stationner! journellement à la place de Meir, entr 11 heures à 1 heure. Un groupement d'une centaine de per sonnes, les « gagne-petit », dit-on, mai qui ne se gênent pas pour faire des al faires sinon véreuses du moins très usu raires pour le public. Quand donc y mettra-t-on le hola? O: a commencé de les refouler du ooin de 1 rue des XII Mois jusqu'au milieu de 1 place, où ils ont établi leurs pénates, mal gré l'édit du Bourgmestre défendant le attroupements de cinq personnes, et cel sous l'œil bienveillant de la poliœ! Si ces gens veulent faire des affaire qu'ils se rendent à la Bourse comme tou courtier un peu honnête. Le beurre. — Nous apprenons que de puis le 7 septembre 1916 au 15 novembr 1916, soit 70 jours, la Centrale du beurr d'An*;ers a reçu 97,721 1/2 kilogr. d beurre, œ qui fait, si les chiffres son exacts, 1396 kilogr. par jour. Où est resté ce précieux produit? Ven du naturellement aux membres, mai comment distribué? N'avions-nous pa raison de faire appel à un contrôle si rieux ? ? A 100 grammes par jour et par habi tant, ce qui fait 139,600 rations par jour et cela pendant 70 jours ! ! ! C'était la ration au moins dix fois rép<î tée et par habitant. Cette fois œ sont les oropres chiffres di Comité qui établissent la situation. ; Le beurre. — Aurait-on enfin solution né le service de ravitaillement du beurre On nous le crie très haut et il n'y a pa de « fumée sans feu ». On dit, car il es trop scabreux d'avancer une vérité en ce temps, et surtout avec le comité d' l'Union professionnelle. On dit. — Il va être remis à chaqu habitant -une carte sur laquelle on devr inscrire le marchand où l'on désire s fournir, puis, après ce questionnaire, o; délivrera une carte permanente sur la quelle le marchand marquera chaque foi les rations délivrées. Attendons patiemment quelque» semaines encore. ANVERS. — Les rations pour le mois de décembre ont été fixées comme suit : 500 grammes de riz, par personne, à raison de 66 centimes le kilo ; 200 grammes de céréales, à 55 centimes le kilo; 500 grammes de haricots blancs, à 1 franc le kilo; 300 grammes de saindoux, à fr. 2.30 le kilo; 250 grammes de toréaline (seigle torréfié, en paquets de 500 grammes), à 1 fr. le kilo ; 1 brique de savon blanc dur (pesant 40 à 50 grammes) pour deux personnes, à raison de 20 centimes la brique. Nos billets de banque. — Un avis de la Banque Nationale annonce que les billets de banque de 1 et 2 francs ne portant pas de vignette, ainsi que les billets de 20 francs à l'effigie de Léopold Ier doivent être retirés de la circulation. Pavage. — Ohé, Messieurs, êtes-vous sourds? Nous vous avcfns signalé l'état scandaleux d'une vingtaine de mètres carrés de chaussée appartenant encore à la V ille, rue Van Geert. On ne bouge pas ! Réparer la rue Quellin, dont le besoin ne se faisait pas sentir. Oui, là le public voit travailler ! Mais ne laissez donc pas les gens se rompre le cou pour une demi-journée de travail ! A la Gare centrale. — Les sujets belges de 17 à 31 ans sont de nouveau admis à voyager en chemin de fer, à condition d"y être autorisés par le Meldeamt. Dix mille francs de messes pour le re>-(k>s de son âme ! C'est la somme qu'un maniaque anversois a stipulé dans son testament. Il y a procès pour savoir si les droits tle succession sont dûs sur cette somme. La prière du pauvre aurait été aussi efficace, car qui donne au pauvre prête à Dieu. Les Tramways d'Anvers. — Il y avait déjà quelque temps que nous rie nous étions plus occupés de cette compagnie, qui, avec une désinvolture rare, se fieAe du tiers et du quart, fait à sa guise sous l'œil bienveillant du service compétent de l'Hôtel dé Ville. Nous avons signalé les travaux marché St-Jaques: environ 50 mètres d'interruption de la voie. La Compagnie ne trouve rien mieux que de suspendre complètement le service et de laisser ses voyageurs, qui ont un coupon jusqu'au marché au Lait, à plus de 500 mètres de là, faire la route à pied sans daigner mettre une voiture supplémentaire au delà des 50 mètres des travaux. Le cahier êtes charges est formel. Cela doit être fait. Mais allez voir s'ils viennent? C'est comme si on chantait ! Attention aux parcours. En passant signalons simplement l'état de la chaussée à côté des rails du tram, rue Carnot, dont les réparations incombent à la Comoagnie!! Monta<rne russe dans une des plus grandes artères d'Anvers, c'est scandaleux. Fausse alerte. — L'administration, y compris M. le directeur, avait promis aux délésrués de la Société des emblavés, d'étudier immédiatement la question de

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La corbeille: journal financier, industriel, maritime et commercial gehört zu der Kategorie Financieel-economische pers, veröffentlicht in Anvers von 1905 bis 1917.

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