La dernière heure

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s.n. 1914, 02 Februar. La dernière heure. Konsultiert 19 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/cn6xw49d2f/
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La Dernière Heure N. 33. NEUVIEME ANNEE. BGBEBUX : 9, me Sî-Plerre ï BRUXELLES. En stmain* : de 9 à 6 1/2. Jours férié* ; de 10 A midi. M h ^ Annonces et Abonnements 43 70 [ÔlBpni 5 Réd. 4040 Parlem. 89 13 Direct. 9571 ï LE PLUS GRAND JOURNAL BELGE, LE MIEUX RENSEIGNÉ L— L- r L.U O yf\rt IN bbïïielles ABONNEMENTS pboyinch Fr. 1.00. . . UN MOIS . . » 3.00. . . TROIS MOIS Fr. 4.00 » 0.00. . . SIX MOIS. . » 8.00 » 12.00. . . UN AN . . . » 16.00 V V -Stf I » ; -a # » U« U/ Cmm W IM tmm Z V I I IH CIPVQ CENTIMES TOUTES LES SEMAINES ■^'Édition Illustrée (16 pages) Tilt NfTMfinn ES mCVTTMFS JA n tlNÙtlOIN tz ABONNEMENTS Pour l'Etranger las prix de Bruxelles,l« port en pins. Il n'existe pas d'abonnement mensuel. — Pour Bruxelles indiquer en s'abonnant si l'on désire recevoir l'édition du soir ou relie du matin. — Les frais do recouvrement sont à charge des abonnés. LUNDI I FEVRIER 1614 SERVICES DE PUBLICITâ 1 Les annonces et réclames sont reçues aux bnroaa* lu journal et à 1 Anence Flavas, 8, Place des Martyrs, S 1er étage), à Bruxelles. (Téléphone 585). luibpmj Réd- 4040 Parlem. 89 13 Direct. 9 571 || " . . AUJOURD'HUI PAGE SIX AMANTS MAUDITS NOTRE NOUVEAU FEUILLETON UNE BELLE ŒUVRE DE MARC MARIO LES INFLUENCES ET LES TRAITS QUI SE TRANSMETTENT Il faut fonder une famille, donner des défenseurs à la patrie, montrer l'exemple des vertus domestiques, garnir le pot-au-feu conjugal, dit-on chez nous aux jeunes hommes et aux demoiselles à marier. Si le conseil paternel peut être aisément suivi dans nos contrées, il faut savoir pourtant qu'il n'en est pas de même en tous les pays. Dans l'Etat du Wisconsin, par exemple, cela ne va pas tout seul. Voulez-vous prendre femme? — Attendez un peu, vous dit-on, on va vous mettre en observation pendant six mois, examiner vos différents systèmes, vous faire une ponction à l'épine dorsale pour analyser votre moëlle épinière, une autre au crâne pour apprécier votre cervelle. Votre fiancée a toutes ces qualités requises pensez-vous; elle est jeune, jolie, musicienne, connaît un peu d'anglais et beaucoup de tango". Cela ne suffit cependant pas. Il faut tout ji^abord qu'elle ait son •'«Vtoc=w i(Cr£o"iia que Six muis pfus tïru, apiès uvoir subi les mêmes épreuves que vous. Telle est la dernière manifestation de l'eugénique ou œuvre du perfectionnement de la race à laquelle l'Etat du Wisconsin vient de soumettre les futurs époux. Le premier mariage, sous ce nouveau régime, vient, en effet, d'y être célébré récemment. Le but de l'eugénique est, on le sait, d'éviter les hérédités malheureuses.L'hérédité fait, depuis des siècles, l'objet dcf graves préoccupations du corps médical mondial; elle a été l'objet d'une série de congrès; elle a fait couler des flots d'encre. « Quel monstre — disait Montaigne il y a trois siècles — quel monstre est-ce que cette goutte de semence de quoy nous sommes produits porte en soy les impressions, non de la force corporelle seulement, mais des pensements et des inclinaisons de nos pères? » Les Romains avaient coutume de marquer par des noms caractéristiques, les signes héréditaires qui se transmettaient dans certaines familles. Ainsi ceux qui héritaient d'un grand nez, de lèvres épaisses, d'une bouche démesurée ou d'une grosse tête, s'appelaient respectivement, les nasones, les la-beones, les buccones et les capito-nes. L'histoire et la science n'ont pas manqué de signaler des traits particuliers à certaines familles ; le nez des Bourbon et le prognathisme des Habsbourg, dont parlent tous les traités de psychiatrie. C'est une tare du genre qui se retrouvait presque avec la rigueur d'une loi chez les descendants d'une même famille, qui fit dire à un homme d'esprit du XVIII" siècle ; le monde oublie, Dieu pardonne et... le nez reste! Du reste, il ne faut pas être grand observateur pour avoir constaté, dans son entourage, des caractéristiques qui se transmettent de père en fils : la taille des individus, le caractère, la durée de la vie, etc. On cite même des cas où des accidents physiques se sont perpétués : ainsi des Esquimaux qui avaient l'habitude d'écourter la queue de leurs chiens pour les atteler plus aisément à leurs traîneaux, ont souvent pu remarquer que les petits naissaient sans queue. L'hérédité la plus regrettable est, sans contredit, celle de la maladie; mais elle est heureusement contrariée souvent par des causes extérieures ou par le dualisme des générateurs.Mais il n'est pas que des hérédités malheureuses, '1 en est, en effet, qui ont produit des lignées de poètes, de mathématiciens, d'artistes. Fétis cite ainsi cinquante-sept excellents musiciens portant le nom de Bach et dont le plus célèbre fut Sébastien. Cette famille forma — chose étonnante — huit générations de musiciens. Une autre, celle des Bernouilli, compta un très gran> nombre de physiciens et de natu ralistes. L'hérédité directe ou immédiat qui donne à l'enfant les mêmes ca ractères physiques, intellectuels e moraux que ses père et mère, es plutôt l'exception; car, générale ment, l'un des auteurs a une in fluence prépondérante sur la mer talité de la progéniture. Mais ce qui est bien plus fré quent, c'est l'hérédité en retou qualifiée souvent d'atavisme et pei met de retrouver chez l'enfant tou les caractères de tel de ses grand parents ou de ses arrière-grand parents. Les faits de l'espèce ont, de tou temps, attiré l'attention. L'un de cas les plus typiques fut conté pa Plutarque ; une femme grecqu ayant donné le jour à un enfan noir fut appelée en justice pou adultère; il se trouva qu'elle des cendit au quatrième degré d'ui Ethiopien. L'irtverse se produisit également l'amiral Ward amena à Londre une fille blanche, de quinze ans née en Virginie d'un père noir iss; lui-même d'un blanc et d'une né gresse. Des faits semblables se passen chez les animaux. Il faudrait, d'c près les éleveurs, six ou huit gé nérations pour fixer un caractère de manière à être garanti cmgS les rotflurjs, béi'é^'tnires. -;•> On ne saurait don<£ trop" tëm compte de l'atavisme quand on spï cule sur le progrès moral, sur 1 passé et sur l'avenir de notr espèce. R. H. JVi IN ... » lO.UU || M. CAILLAUX S EXPLIQUE A SES ÉLECTEURS > SON PROGRAMME FINANCIER Màmers, dimanche. — M. C&illaux est venu rendre compte, aujourd'hui, à ses . électeurs, de son double mandat de député et de ministre. Dans le discours qu'il a prononcé au banquet qui lui a été offert, il a fait allusion aux attaques passionnées que - lui vaut la continuation de sa politique ! républicaine et démocratique. Le ministre des finances a constaté ^ ensuite le désarroi financier qu'il attribue à l'insuffisance des mesures prises - pour équilibrer le budget alourdi par le développement économique et les améliorations sociales nécessaires et par les e impérieuses nécessités de la défense na- - tionale, dont il fut l'un des premiers à t reconnaître l'urgence. t Le ministre justifie, par les charges extraordinaires actuelles, l'échelonne-~ ment des emprunts nécessaires, afin de - ne pas imposer aux contribuables des . impôts inutiles pour des dépenses qui , doivent se répartir sur plusieurs exercices. Les dépenses permanentes nor- - maies doivent être couvertes par le seul r produit des ressources actuelles du Trésor, car l'équilibre du budget est aussi nécessaire qu'une armée et une marine S fortes. e M. Caillaux préconise une politique d'économie et de contrôle. Il combat D vivement la politique fiscale, qui tend c simplement à augmenter les impôts in-t directs et aussi les impôts directs, les-§ quels sont actuellement injustement ré- C _ partis. s< Le ministre affirme que ses projéts no 1< 3 contiennent aucune pensée d agression 1' t contre une catégorie quelconque de ci- h r toyens, mais tendent simplement à as- h surer la justice fiscale en taxant modé- h rément les fortunes modérées et en de-1 mandant aux classes riches de consen- h tir des efforts appréciables mais toujours v mesurés. Le ministre reconnaît qu'il faut tou- d S jours tenir compte, pour les impôts nou- n y veaux, des traditions, des habitudes et, j en quelque mesure, des préjugés, mais il ajoute qu'il ne faut pas non plus se " laisser effrayer par des fantômes. Le ministre a terminé en mettant en i garde les classes riches contre les dangers de la résistance égoïste et aveugle à •" et en souhaitant que chacun comprenne c - qu'on ne peut s'épargner les douleurs q nécessaires du progrès. — Havas. • ù Londres, dimanche. — Le vapeur aile- k 3 mand « Hera » a coulé près de Fal- q à mouth. s< Dix-neuf hommes de l'équipage ont fi péri. Cinq ont été sauvés t ar un canot de sauvetage. — Reuter. ei Lf. NUMÉRO s CENTIMES Il char^ des abonnés. .'ÉTAT ALBANAIS EN GESTATION I LfrSIÈGE DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE A VALLONA lesséeen^ÉÉant d'une charretti Les épo^^MÉrl.. demeurant impass' ail-Halo^^^KrMolen beek-Saint- J ean î trouvaient teoir sur le siège d' :ur chafjft^g&ée d'un cheval, angle du^B^^Hvd;de l'Abattoir et d' . rue de |9S|Hg|jjprsque la voiture fu surtée >n à deux chevaux .ncé au trot.^ Le choc MtjSgfe vi >lentet Mme Dek.. it projetély^Bp^ oavés. Elle est gra îrnent bl(§âgÉ|ièu c due et aux jambes La policyjB||fla troisième division , ressé p:ro|^H|i»alJ à charge du ca donneur. ; Le Dantjfp des Liaisons faciles Guillaume S..., demeurant rue Dillens Ixelles, ] faisait h\ huit dernière, 11 mnaissance d'un particulier avec le iiel il visita divf'a ?çs brasseries. Comme il sortaii ir l'une d'elles, soi auyel aiji se jet? • - ]ui et lui enlev; , \rv 'une cinquante ytiC A JLX k '• * >'> "i- « ' » Le coup fait, le voleur porta de si vio nts coups de poing au pauvre homm< l'il tomba à la renverse, lorsqu'il pu i relever et appeler au secours, le mal .iteur était déjà loin. L'officier de police Paul » ouvert un< 1 quête. îl L'Abbé Lemire et l'Eglise 3 Hazebkoucx, dimanche. — On annonce b » que, ce matin, à la messe de 6 heures, ' en l'église Saint-Eloi, à Hazebrouck, fc L l'abbé Lemire, s'étant approché du banc cj - de communion\avec d'autres fidèles, s'est k vu refuser le sacrement par le doyen » officiant. — Havas. î1 la • Un Inconnu meurt g< dans une Pharmacie £ rc SE Un homme âgé d'une quarantaine d'années, se présentait, samedi soir, dans une pharmacie de la chaussée de sj G and, à Molepbeek. Il venait à peine de jG > franchir le seuil de la porte qu'il s'af-1 faissa. -r On se précipita aussitôt au secours du malade, mais tous les soins furent inu-1 tiles, l'infortuné succomba bientôt. Le cadavre a MA transporté à is Z£-r \ ; fenCTflft ; Voici le signalement de l'inconnu : g i Taille 1 m 70, figure allongée, cheveux ■ et moustaches châtains, vêtu d'un par- I dessus et d'un pantalon bleu fonoé et f*"d'un veston et gilet gris et d'une chemise fi bleue à lignes blanches. ™ H u"r etage;, a d UN INCENDIE FAIT OUR 300,000 FRANCS DE DÉGÂTS Hity, dimanche. — Dans la nuit de sa-edi à dimanche, vers trois heures, un .cendie s'est déclaré aux Emailleries andenkieboom, à Huy. Les émailleries importent de vastes installations com-•enant les bureaux, la conciergerie, des agasins, l'atelieT de peinture, plus un iste hall abritant les ateliers d'em-mtdssage et des agrafeurs. le tout couvant une superficie d'un hectare. L'incendie 3'est déclaré dans oe dernier elier, qui a été réduit en cendres, ainsi îe son contenu, consistant en outillages machines. Il ne reste qu'un mur me-îçant de s'écrouler et donnant soir la le des Jardins. Par mesure de sécurité, circulation y a été interdite et la rue t barrée. A 7 heures, on était maître du feu, mais > l'atelier d'emboutissage, il ne reste le des fers tordus. Les dégâts sont évalués à 300,000 fr. L'usine occupait 425 ouvriers, qui de-•ont subir un long chômage. un pere iaii: evaaer sa une a un refuge Le juge des enfants de Gand, avait fait acé, il y a deux mois, dans un éta-issement religieux de la rue Terre-euve, à Bruxelles, une enfant de qua-rze ans, la petite Berthe 0..., habitant tez ses parents rue St-Liévin, à Gand. Ce matin vers 11 heures, le père de la llette, accompagné de ses deux fils, vint voir au parloir. A un moment donné, profitant de l'ab-nce momentanée d'une religieuse char-:e de la surveillance de l'enfant, il en-îloppa celle-ci dans un grand châle et us quatre s'enfuirent par une porte dé-bée que la petite Berthe leur avait ,ns doute désigné. L'officier de police Voisier de la 2me vision, averti de ces faits, a envoyé le finalement de la petite fille dans toutes s directions. Jusqu'à présent, les recherches ont été fructueuses. LA PAGE FOOTBALL J LA TROISIÈME "SIX DAYS,, BRUXELLOISE ■■ i - , i Comès Cameron Crupelandt Moran Perchicot ( Mac Namara C. Dethier Stol Van Houwaert D'Awans Walthour 1 Lapize Trousselier M. Buysse Huybrechts Vandenberghe î A. Spiessens Vandevelde Verri Root Persyn l "□ IST O-IR/DTTIFIE lEŒ] CO^CTTIE^IR/EliT'I'S î C INTÉGRAUX ET LIBERTINS LA GARDE BELGE DU VATICAN UN PROGRAMME SINCÈRE LES VRAIS HÉRÉTIQUES A On sait qu'un certain nombr# r^ffl—l dé*enseurs de l'Eglise se L/i J 1 sont constitués en groupement indépendant, avec un journal et un programme, pour faire la chassa à l'hérésie et dénoncer tous ceux qui, par appétit politique, éduloorent la doctrine de l'Eglise, et composent avec 1« malheur des temps. Ces « flaireurs d'hérésie >, comme le» appelle l'organe broquevilain, viennent de publier « le programme des catholiques romains intégraux >. " Perinde ac cadaver,, € Le catholique romain intégral accepte intégralement la doctrine, la discipline des directions du Saint-Siège, et toutes leurs conséquences légitimes pour l'individu et pour la société. » II est « papalin, clérical, antimoderniste, antilibéral, antisectaire. » Il lutte pour le principe et pour le fait de l'Autorité de la Tradition, de l'Ordre religieux et social dans le sens catholique de ces mots. Il considère « comme des plaies dans le corps humain de l'Eglise, l'esprit et le fait du libéralisme, du démocratisme soi-disant catholiques aussi bien que le modernisme intellectuel et pratique, radical ou modéré, avec leurs conséquences ». C'est la profession de foi complète, la déclaration de soumission entière au Pape et aux évêques, en tous les domaines, l'affirmation de l'hégémonie religieuse en tout. Guerre à la tolérance En réalité, les intégraux sont des clé-ncaux sincères qui disent le fond de <â£NE R A L.E Ote^.C .«•ECTIOM tfine* réelle <Te l'KgTise. Ils veulent réagir contre c la manie ou la faiblesse de tant de catholique» de vouloir paraître c conscients et évolués » « vraiment de leur temps » et « bons enfants », en face de l'ennemi brutal ou hypocrite, tous prêts à étaler leur tolérantisme, à rougir sinon à médire des actes de juste rigueur accomp plia pour l'Eglise ou par elle. » Le clergé à la sacristie Ce mouvement est autant dirigé contre l'ennemi du dedans que contre l'ennemi du dehors. Il s'élève notamment contre l'exploitation du clergé et de l'action catholique de la part de tout groupement politique, et en particulier contre l'engouement social qu'on veut inoculer aai clergé « sous prétexte de le faire sortir de la sacristie pour n'y rentrer que trop rarement ou en cachette ou tout au moins avec l'esprit absorbé par le reste. » Voilà une bonne parole. Les catholiques les plus attachés à la religion reconnaissent donc le tort que les prêtres jetés dans la mêlée politique font aux idées religieuses. L'Eglise n'est pas "intégraiiste,, Ils ont, faut-il le dire, peu de chance d'être entendus. D'abord, l'Eglise elle-même est la première à ne pas se montrer intégrale. Pour le temporel, elle sacrifie souvent le spirituel. C'est l'Eglise elle-même qui montre l'exemple de l'atténuation de sa doctrine. Les catholiques soi-disant libéraux ou sociaux, ne font que s'engager dans la voie que leur ouvre l'opportunisme papal. On l'a bien vu à propos des syndicats interconfessionnels allemands : le pape a fini par admettre l'in-terconfessionnalisme dans certaines conditions.Les libertins ont du reste sur les intégraux un avantage considérable, ils conquièrent l'influence politique, la galette, les places, les subsides. Les congrégations et le Vatican aiment mieux cela que les doctrines, si intégrale» qu'elles soient. Un Chauffeur qui n'a pas de chance Depuis une semaine environ, M. S.... îemeurant quai à la Chaux, propriétaire i'un coquet taxi, avait obtenu la con-îession d'un stationnement au coin de a rue de l'Angle et du boulevard Bau-iouin, à Molenbeek. Les débuts étaient difficiles, mais le ïhauffeur espérait que par la suite le3 t courses » deviendraient plus nombreu-les.Hélas ! la fatalité s'en est mêlée, cette luit, alors qu'un employé, M. Van D..., e remplaçait à la direction de la voitu-•e, un grave accident est survenu. Vers quatre heures du matin, le taxi renant de la place Rogier, a voulu en iviter un autre venant en . sens inverse st est allé se jeter violemment sur ie efuge établi le long de la voie du tram, >rès de la rue de Laeken. Le conducteur a été assez gravement >lessé et transporté à l'hôpital. L'auto est pour ainsi dire hors d'usa-;e. Les deux roues d'avant ont été arra-ihées et le moteur est complètement dé-érioré.Un réverbère, qui se trouvait à un© les extrémités du refuge et sur lequel a voiture s'est jetée, a été renversé. Cet endroit paraît assez dangereux! >our le roulage, car, il y a huit jour» nviron, le réverbère placé au côté op-osé, a été couché sur le flanc dans de» irconstances analogues.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La dernière heure gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Bruxelles .

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