La Flandre libérale

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s.n. 1914, 20 März. La Flandre libérale. Konsultiert 20 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/6688g8g49w/
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minimin 40* Inn�s � Vendredi 20 lars 1914 QUOTIDIEN. - 10 CENT I� I. 79 � Vendredi 20 Hars 1914 LA FLANDRE LIB�RALE BELGIQUE x UNION POSTALE t I molt. I nota. Fr. 2.00 4.00 Pc 3.75 9.00 ( moto. 8.00 18.00 lm 16.00 36.00 On t'abonna m bureau dn journal at �ana tous les bureaux la poste R�DACTION, ADMINISTRATION ET IMPRIMERIE 0AND, l, RUE DU NOUVEAU BOIS, I, GANO -- R�DACTION � ABONNEMENT! ET ANNONCES : T�l�phone 32 T�l�phona 13 3S N�IS RE SOMMES PAS PB�TS� �?*?� La situation de la Belgique au point �e yue international n'a jamais cess� de pr�occuper les esprits clairvoyants. C est pourquoi cette angoissante ques- tion de la d�fense nationale a toujours passionn� le parti lib�ral et o'est pour- quoi, avec une compr�hension tr�s nette des r�alit�s, il n'%n* h�sit� � collaborer- � toutes les tentatives qui ont �t� faites pour am�liorer l'organi- sation de l'arm�e. une nouvelle loi de milice a �t� vo- t�e il n'y a pas bien longtemps. Elle devait �tre la cause et la raison d'une refonte compl�te de notre r�gime mili- taire.' Ceci a-t-il �t� fait et dans quelle me- sure ? Tel �tait le point int�ressant qui se posait. La gauche, par* l'organe de M. Dev�- ze, a voulu en avoir le c�ur net et a questionn� M. le ministre de la guer- re. L'arm�e est-elle en �tat de se mobili- ser? Les forteresses peuvent-elles se d�- fendre ? Le moral de l'arm�e est-il meil- leur?* , Questions pr�cises assur�ment et qui " sont la clef de tout le d�bat. Que peut l'arm�e si elle n'est pas en �tat de r�- pondre � des ordres de mobilisation ! Qu'est-ce que la d�fense nationale si celle-ci ne peut compter sur le concours effectif des forteresses ! Quelle force de r�sistance pourrait offrir a l'enva- hisseur une arm�e d�moralis�e t On le voit, le terrain sur lequel M. Dcv�z� s'est plac� est excellent. On a r�organis� l'arm�e. Soit. Mais comment? M. Dev�ze a apport� des pr�cisions � l'appui de ses dires. La p�nurie des effectifs est ind�niable: il y a eu une d�ception d'un tiers pour 'les compagnies 'sur pied de gu�tre. Soixante -huit bataillons,.pr�vus don- naient en temps de guerre" soixante- huit mille hommes ; aujourd'hui cent et huit bataillons ne donnent plus que les deux tiers de cent et^huit mille hommes, soit soixante-neuf mille hom- mes, c'est-�-dire- que l'augmentation r�elle de l'effectif de l'infanterie est de 1,000 hommes ! Voil� un exemple de ce que valent les efforts faits jusqu'ici. Il y en a d'autres. Non seulement on manque d'hommes, mais on manque de chefs et il faut, pour combler cette la- cune, er�er des officiers dans de d�plo- rables conditions scientifiques. Rst-ce tout? Non. � "' Les effectifs de guerre comprennent non pas 50 pour cent de r�servistes mais plus de deux tiers ! On a mainte- nu sur les contr�les, en phis des classes des treize derni�res ann�es, des classes plus anciennes. Dans l'artillerie on ne manque pas seulement d'hommes et de chevaux, mais aussi de canons ; or, M. de Bro- queville aura beau ergoter, pour qu'une artillerie puisse �tre utile... encore faut- il la pourvoir de canons ! Il en manque si bien que pour les prochaines grandes manoeuvres les divisions agissantes " emprunteront ?'� les canons des divi- sions qui resteront inactives ! Et si en- core les projectiles ne faisaient pas d�- faut, mais s'il y a en a, us ne sont pas fournis en nombre suffisant. Il ne serait donc pas possible, dans ces con- ditions, d'op�rer une mobilisation utile. Ce serait le g�chis, le d�sarroi, la d�- route avant m�me de s'�tre mis en cam- pagne. Ah! si d'autre part nos forteresses �taient l� pour donner une participa- tion op�rante, brillante, victorieuse. Mais elles sont aussi mal outill�es que l'ann�e de campagne. Nos forts man- quent de mat�riel, d'approvisionnement, pour la fabrication du pain, de chloro- forme pour op�rer les bless�s en les anesth�siant. Dans la place d'Anvers certains canons n'ont pas encore �t� mis la o� ils doivent l'�tre et d'autres se trouvent toujours chez Krupp! A-t-on des vivres? On vient seulement de'don- ner l'ordre de les r�unir... et il manque pour la seule position d'Anvers pr�s de 500,000 projectiles ! Les services acces- soires sont aussi insuffisants, d�fec- tueux, incomplets et, d'autre part, il n existe pas de plans d'op�rations de Ruerre correspondant � l'organisation nouvelle de l'arm�e. Tout cela, M. Dev�ze l'a 'montr� avec une grande nettet� et cette situa- t'ou, qu'il est humiliant de r�v�ler 4 '�tranger qui nous regarde, le nays la d�plorera am�rement. On avait l'espoir � < Ans noafelte fourr�e if* naturalisations Venray (Pays-Baa), le S� avril 1879; 24. Marie-L�ontine Vigier, ' institutrice, � Eben-Emael (lambourg), n�e � Saint- Just (Puancp), le 19 mai 1882 ; 26. Marie Desrousseaux, institutrice-religieuse, � Binche (Hainaut), n�e � Tourcoing (France), le 7 avril 1870j 86. Marie- Claire-Joseph Dhalluin, institutrice, � N�chin (HaanaUt), n�e � Tourcoing (Franca). le 26 d�cembre 1870 ; ff. wilhelmine Drees, institutrioe-,reli- gieuse, � Petit-Rechain- (Li�ge), n�e � wickede (Allemagne), la 14 juillet 1878; 88. Julia EyrolLes, institutrioe-rel�gieuse � elihs (Li�ge), n�e � Meyssac (France), le 16 novembre 1881 ; 29. D�sir�-Victor Fidry, religieux, � Ixelles (Brabant),"n� � Paris, le 3 avril 1863 ; 30 Victoire-Jos�"- phine-M�rie Jeuland, institutrice, � Che- ratte (Li�gie), n�e � Cornijl� (France), le 31 octobre 1879 ; 31. Marie�Luce-Au- stine^ Mangin, JjMtitntrice-reBgieuse, � Laquisine (Luxembourg), n�e � Pierre- villeirs (France), le 25 d�cembre 1868 : 32. Henri-Corneille Melis, instituteur � l'Institut des sourds-muets et aveugles, � Maeseyck 'Limbourg), n� � Helvoirt ('Pays-Bas), le 31 mai 1882; 33; Pierre- Jcweph Schuller, direetftir de pensionnat, h 'Hachy f Luxembourg), n� � Stierihgan- Wendel (France'�, le 8 octobre 1859; 34, Pierre-Jean-Guillaume van Osch, insti- tuteur � l'Institut des sourds-muets et *veugles,"� Maeseyck fLimbourcr't. n� � Chaam ( Pays-BasV le 10 ao�t 1886; 36. Emile Fuchs, prefes�f�>ur, �-Mons, n� � La-Chaux-de-Fonds (Suisse), le 18 avril 1880. Soit 35 sur 56. felV FR ATVCTE La mort irag^ua de M. CiIm&He �*f- ### \ 104,170 p�cheurs! En 1913 il a �t� d�livr� 26,638 permis simples � 1 franc; 2,775 permis doubles de 8 francs ; 59,754 permis simples � 2 francs ; 7,691 permis doubles de 4 fr. ; 862 permis simples de 8 et 4,566 permis simples � 10 franca. Soit un total de 104,170 permis, Doux paya! Un ing�nieur albanais, M. Cutearida, �crit � La Politique", de Bucarest, ex- cellent journal fran�ais de l�-bas, une lettre sur la r�ception du roi d'Albanie � Durazzo. Et il annonce cette lettre en ces ter- mes, que reproduit notre confr�re de l�- bas: " Je vous �cris au crayon, parce qu'� l'h�tel o� je me trouve, et o� je paye 30 francs par jour, il est impossible da- voir de l'enore. " Le patron de l'h�tel m'a dit qu'il en a eu une petite bouteille, mais qu elle s'est renvers�e, et qu'il n'a pu s'en procu- rer une autre. " Voil� un heureux pays o� les pol�mi- ques de presse ne doivent pas avoir gran- de importance. ->-�i> ��?-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Flandre libérale gehört zu der Kategorie Culturele bladen, veröffentlicht in Gand von 1874 bis 1974.

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