La Flandre libérale

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s.n. 1914, 24 März. La Flandre libérale. Konsultiert 19 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/901zc7sd23/
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40* inn�e � Hardi 24 Mars 1914 QUOTIDIEN. - 10 CENT. I. 88 � Marfil 24 Hars 1934 LA FLANDRE LIB�RALE ABOJVIVElMEaVTS BELGIQUE : UNION POSTALE i I moi�. 1 mois. � BOlt. 1Mb Fr. 2.00 400 8.00 16.00 Fr. 3.75 9.00 18.00 36.00 On �'�honni au hurm� fa Journal et dan toot lat bor�aux de poste B�DACTION, ADMINISTRATION BT IMPBIMBRIE BAND, l.RUE DU NOUVEAU BOIS, l,GAND -- R�DACTION -- m mu l��^^S����iriVi^|_m Les trucs financiers dvt gouvernement Lors du vote des derni�res lois d'im- p�t, le gouvernement a d�clar� que les ressources nouvelles �taient destin�es, � concurrence de 196 millions de francs, aux d�penses mobili�res de pre- mier �tablissement pour le service de l'arm�e. Il s'est engag�, de plus, � amortir cette d�pense sp�ciale de 196 millions en 25 ann�es. C'est en ex�cution de cet engage- ment que le projet de budget de la guerre, soumis en ce moment � la Chambre, portait en son article 27: " Amortissement de cr�dits port�s � 1 extraordinaire pour les d�penses mo- bili�res de premier �tablissement con- cernant l'arm�e ainsi que le mat�riel et les ouvrages militaires 7,840,000 francs. " Cette somme de^ millions-040 mil- le francs repr�sente'en effe/l'annuit� n�cessaire pour amortir en 25 ans le capital de 196 millions. Le gouvernement restait ainsi fid�le a ses engagements. Mai� depuis l'�poque o� ces engage- ments ont �t� priB, notre ex-grand ar- gentier, d'illustre m�moire, M. Levie, a f ait son fameux emprunt de Londres. Il a, on le sait,'emprunt� aux Anglais un capital nominal de 302 millions 640 mille francs/�ir lequel l'Etat belge n a touch� que 201 millions de francs. L'emprunt � soit dit en passant � ayant �t� donn� aux banquiers � 73 %, la .diff�rence entre 221 et 302 millions! soit 81 millions, constitue une perte s�che pour le tr�sor et un honn�te petit b�n�fice pour les banquiers anglais. Cet emprunt �tait fait dans le seul but de rembourser les Bons du Tr�sor en circulation, et dont la charge �tait plus lourde encore que celle du nouvel emprunt. L'arr�t� royal autorisant le nouvel emprunt .s'en �tait .expliqu� elaii eaneiit. 'Xe produit de l'�mission, portait cet arr�t�, doit �tre affect� au rembourse- ment des Bons du Tr�sor en circula- tion. " Qu�te �taient ces Bons du Tr�sor? L'arr�t� royal le pr�cise nettement : les Bons du Tr�sor �mis en vertu des lois-de 1906, 1907, 1908 et 1909. Tous ces Bons du Tr�sor ont �t� �mis pour couvrir � leur date l'indi- que � des d�penses tr�s ant�rieures � la loi militaire : les d�penses nouvelles n�cessit�es par celle-ci ne peuvent donc �tre couvertes par cet emprunt de Lon- dres. Maissiemprunter n'est pas difficile �� dap� les conditions surtout eu l'a" fait l'ineffable M. Levie �� assurer le service de l'emprunt, c'est-�-dire le payement des int�r�ts et de l'amortis- sement, est moins facile. C'est en pr�sence de cette diffi- cult� que se trouve le gouvernement, et alors qu'imagine-t-il? Tout simplement de ne tenir aucun' compte des engagements pris lors du vote des lois d imp�t et d'affecter au service " de l'emprunt de Londres, l'annuit� de 7 millions 840 mille francs destin�s � couvrir les d�penses militai- res auxquelles cet emprunt est et doit rester �tranger. C'est � cette fin qu'il a, au dernier moment, introduit un amendement au budget de la guerre. Passe encore si par cet amendement le gouvernement s'�tait born� � propo- ser que ces 7 millions 840 mille francs fussent consacr�s � " l'amor- tissement " de l'emprunt anglais. Que Ion amortisse cette dette-ci, ou une autre, la diff�rence n'est pas grande. Mais ce n'est pas cela qu'il demande; il demande que cette somme soit affec- t�e au" service "de l'emprunt, c'est- & dire � son amortissement et au paye- ment de ses int�r�ts. Or la premi�re annuit� n�cessaire au remboursement de l'emprunt n'est que de 68$ mille francs. Permettre d'affecter 7 millions 840 mille francs au " service " de l'emprunt, ic'est donc permettre de consacrer plus de 7 millions au paye- ment de ses int�r�ts. La presque totalit� de la somme pr�- jue pour le payement des d�penses mi- litaires de premier �tablissement serait ainsi d�tourn�e de son objet et servi- rait �" payer les int�r�ts du fameux em- prunt de Londres. . . Et pour t�cher que la chose passe inaper�ue, voici le petit truc oue le gouvernement avait imagin�: ABONNEMENTS ET ANNONCES i T�l�phone 32 T�l�phona 13 Ponr la ville et les Flandres, s'adresser an bnrean 4n lonrnal. � Pour te reste dn pays et l'�tranger, s'adresser i l'Office de Publicit�, me Neuve, 36, � Bruxelles. Et la chose aurait sans doute pass� inaper�ue sans l'�il attentif de M. Me- chelynck, qui fait partie de cette sec- tion, et qui, dans une note au nom de la minorit�, d�voile et attaaue vive- ment le petit truc." Mais � quoi cela servira-t-il.? La ma- jorit� docile dira " amen " et le tour sera jou�. - La [inaction v�c�euse fe l'article 16 do projet scolaire -�m Le "Bien public" convient qu'une omis- sion typographique s'est gliss�e dans l'ar- ticle 16 du projet de loi scolaire, mais oette omission ne constituerait pas une r�daction vicieuse et il appartiendrait au gouverne*�*�* de r�tablir l'erreur- k�s de la coordination de la nouvelle loi avec les dispositions des lois des 24 septembre 1884 et du 25 septembre 1895. Le "Bien public" ouMie d'ajouter que l'omission typographique qui vicie l'arti- cle 16 du projet de loi a �t� reproduite : 1. Dans le tableau comparatif des dis- positions de la loi organique des 20 sep- tembre 1884�15 septembre 1895, qui su- bissent une modification (texte actuel et texte nouveau). Voir document 308. Chambre des repr�sentants, page 98. 2. Dans le tableau comparatif du pro- jet de loi et des amendements propos�s. 3. Dans le texte qui a �t� vot� par la Chambre en s�ance du 14 janvier 1914. � 4. Dans le document n. 18. S�nat de Belgique, page 11, contenant "le projet de loi d�cr�tant l'instruction obligatoire " et apportant des modifications � la loi " organique de l'enseignement primaire" tel qu'il a �t� vot�- par la Chambre "et qui a �t� sign� le 18 f�vrier par le pr�- sident et par les secr�taires da la Cham- bre. Dans ces conditions nous ne pensons pas que le gouvernement puisse modifie* ces textes sans un vote de to Chambre. P. CNUDDE. P.-S. � Nous apprenons que M. le rap- porteur Fl�chet vient de demander au gouvernement le projet de coordination du nouveau projet de loi avec les dispo- sitions des lois qui restent en vigueur. P. C. seign�. Les chiffres et les renseignements qu il publie sont compl�tement inexacts. ### * I lsioelsttM !� u prme bilgt +^^nei.qenta'ne de Journalistes ��# assis* t� al assembl�e g�n�rale de l'Associa- tion de, la presse belge, tenue, hier, �v Bruxelles. - Dans le rapport annuel du pr�sident, M. Ji. des Essarte a insist�, entre autres* MU les heureux effets du congr�s de Wand, qui fut suivi de la belle r�ception. des journalistes belges, � Londres, par" i institute of Journalists. Apr�s la lecture et l'approbation d'au-; tr�s rapports, et le renouvellement statu-- tone d une partie du comit�, une longue' discussion s'est �lev�s? au sujet de l'Union* professionnelle qui vient d'�tre cr��e, � Bruxelles, par quelques journalistes, edj vue de faire obtenir � leur groupement la personnification civile. Dans l'occur- rence, il s agissait de Bavoir s'il n'e�t pas �t� d�sirable de voir 'cr�er cette Union au sein de l'Association ou m�me de transformer cette derni�re. La ques- tion pr�alable oppos�e par un des fon- v�o i'wfut vofc�e P�* la majorit� de< 1 assembl�e. , Un�pqlion iu lDiiiiliiioDi maritimes I� re doit aussi supporter les incongruit�s de cet animal. " Celui qui nie s'enivre pas le diman che, n'est pas digne qu'on lui serre la maan le lundi. " � Voil�, de la part de trajets, un don de joyeux av�nement peu banal. > ��� < L'�ilncation f�minine �w�, Echos & Nouvelles 1 risitur dis nxi Maintenant que l'�piscopat a pronon- c�, la presse catnolique publie la r�ponse fort raide laite par le recteur de PUni- versit� de Louvam � la d�l�gation des �tudiants qui �tait all�e lui soumettre leurs griefs. L'�piscopat aurait pu infirmer tout ou partie de cette r�ponse et o'est le motif pour lequel elle a �t� tenue prudemment sous le boisseau. Le recteur d�fend inguibut et rostro le vice-recteur. D�fense d'y toucher d�t- on renvoyer 500 �tudiants. Mais c est la fin de la r�ponse qui est amusante: "Votre demande de d�l�gation, dit le recteur, est encore tr�s vague. Il ne sera jamais question de l'entr�e des �tudiants au conseil rectoral, pas plus qu'au con- seil disciplinaire. Les �tudiants, d�s maintenant, paor le r�glement, ont tous les moyens de faire valoir leurs droits, s ils �taient m�connus. J ajoute volontiers que si vous trou- ves une formule de la repr�sentation de vos int�r�ts, nous sommes pr�ts � l'exa- miner, mais je dois vous dire que je ne vois pas tr�s bien quelle s�rait cette for- mule." "C'est du pur de Broquaville, observe le Matin, d'Anvers. Si une formule con- venable sort de vos d�lib�rations, elle pourra �tre examin�e, mai� il est pro- bable que vous ne la trouverez pas. "La tactique cl�rical� est donc tou- jours la m�me, qu'il s'agisse de l�gisla- tion, d'universit� ou de la culture de la pomme de terre. " Laisser discuter, avec -le d�sir de ne point voir aboutir. " Mgr Ladeuze, en employant l'expres- sion "Repr�sentation des int�r�ts", a &ri�^emmenfc Pens� � la commission des AAAI. Il poH U l'iiieelailon lib�rais Bmitlm. � Un eorl�gi nml L'on sait qu'� l'occasion de l'ach�ve- ment des travaux des installations mari- times, des f�tes et r�jouissances nom- breuses c�l�breront cet important �v�ne- ment. Il est d'ores et d�j� d�cid� que le pro- gramme comportera un cort�ge naval r�- sumant " la Navigation � travers �a aces '. L'on se rappelle le succ�s qu'obtint � Bruxelles, il y a. environ vingt-cinq ans, te lameux cort�ge symbolique : "hem Moyens de transport par voie de terre � travers les �ges ", qui fut organis� � l'oc- casion du 50� anniversaire de la mise tn marche du premier chemin de fer en Bel- gique. Le cort�ge naval, dont il est question plus haut, serait comme une sorte de compl�ment au fameux cort�ge des transports. Disons que ce projet de cost�ge naval existe tout pr�t dans les"cartons du mi- nist�re de l'int�rieur, ainsi qu'aux ar- chives d� la ville de Bruxelf�s?' Ce projet tr�s complet, admirablement con�u, fruit de nombreuses recherches, w-k �.uvre de deux artistes bruxellois; MM Pieter D'Hondt et Valkenaere, qui, �n la personne de feu le savant archi- viste de la ville, J. Van Malderghem, trouv�rent � leur tour un collaborateur jjr�cieux. Toute une flottille, aux sons d*air8 na- tionaux et d� canonnades nourries, vien- drait �voluer dans le bassin Vergote, o� auraient lieu �galement des reconstitu- tion� d'anciennes joutes nautiques tant en honneur autrefois. Le soir, aurait lieu une f�te v�nitien- 5e' �wI

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Flandre libérale gehört zu der Kategorie Culturele bladen, veröffentlicht in Gand von 1874 bis 1974.

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