La Flandre libérale

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s.n. 1918, 22 Dezember. La Flandre libérale. Konsultiert 19 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/qv3bz62h2f/
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44* Aniiét. — Dimanche 22 Déerabrt 1858» BIBL UfflV, P f ma t 10 fSEfTTIRBES V 41. — Dimanche 22 Déctmbra 1918. ABONNEMENTS Momentanément 2 fr. 50 par mois ou 7 fr, 50 par trimestre 4J!w Pour l'étranger Ie port en sus. REDACTION, ABM1N1STRATI0N ET IMP8IMEEIE: QAND, i RUE DU NOUVEAU BOIS ANNONCES Ponr 'ie prix des annonces, s,adresser an bttSeaH'feJoaraal On traite a forfait La politique économique du gouvernement ••• Nouvelle cwte d'identité Tout Beige devra dorénavant être muni 1 d une carte d'identité, qui sera délivrée jau prix de 25 centimes, gratuitement pour |les indigents.j Quiconque perd sa carte ou est oblige ,J de la faire renouveler paiera un franc. Une amende de 25 francs f rapper a ceux j qui ne seraient pas en possession de la ] dite carte. Telles sont les grandes lignes d'un pro jet en voie d'elaboration. I. — LES CAUSES DU DESARROI ACTUEL Que f«ra-t-iï? Au cours de: la discussion du*projet des finances, Ms Delacroix a eu un mot admirable: f H faut, a-t-il dit, établir 1 égahté df^ Belges devant l'impöt; si on ne réclanYait pas les impots arriérés, ón devrait rfimbourser les sommes payees par les autres coutribuables. " Nous verrons si, au cours de la discussion du. pro jet de loi sur les loyers, nbtré premieo; txendra le même langage, et s'il revendi^raera aussi Fégalité des locataires et Fégalité des propriétaires. Proposera- tol de rembourser aux locataires les loyers qu'ils pnt payés, alors que d'autres ne les ont pas payés ? Proposera-t-il d acjcorder une indemnité aux propriétaires qui n'ont pas été payés alors que d 'Autres Font été % ••• L'arrestation des deputes activistes Voici le tex/fe. de la lettre par laquelle le ^ministre de" la justice a fait part au président de U Chambre de l'arrrestation des deux deputes traitres a la Patrie : " Monsieur le Président, £ J'ai Fhonneur de porter a votre connaissance que MM. Augusteyns Léon etHenderickx' Alphonse, membres 6Ê la Chambre des représentants pour F arrondissement d'Anvers, sont actuellement détenus en vertu de mandats d'arrêt executes le 15 et 17 novembre dérnier. Hs font Fobjet de poursuites pour crime con_ tre la süreté de FEtat et pour avoir méchamment servi la politique ou les desseins de l'ennemi, participó a la transformation par l'ennemi destitutions ou organisations légales, ébranlé en temps de guerre la fidélité des citoyens envers le Roi et FEtat, faits prévus er punis par les^ articles 104 et HSbis du ode 'jénal. J Je vous prie de vouloir bi-m f.iire part a la Chambre de la présente communication, qui m'est diecéejpar le itsPeet de la: prerogative dont ?/article| W, 8 4 dé la Con.stitati)n ii^estit chacüne des deux Chamor^s. " Veuülez agréer, Monsieur ie piésident, Fassurance de ma parfaite consideration.Le ministre de la justice, E. VANDERVELDE. " Ajoutons que ces messieurs portenttoujours a la boutonnière les ordres nationaux. ••• fün député suppJéant arrêté On annonce l'arrestation de M. Elie Hamaut, député suppléant socialiste de 1 arrondissement de Thuin, président de la Federation des bouchers belges, membre du comité regional de seoours et d'alimentation. M. Hainaut serait accuse d avoir trafiqué avec les Allemands en ce qui concerne le bétail. ••• I L'indicateftr des, cheffltins de f er #Enfin! Le ministre des chemins de f er yient de prendre deux decisions qui réjouiront quiconque a simplement un peu de bon sens D'abord, le fameux "guide" bilingue est enterré, fini le cauchemar des voyageurs, on va édïter a nouveau un "guide" franyais et un "guide" flamand. Ensuite, a>. Favenir, les . inscriptions frangaises auront le pas sur les inscriptions flamandes, dans tous les batiments dependant du département. Peut-être que la petite manifestation des Bruxellois qui, énervés de voir s'étaler rien que des inscriptions flamandes sur les boites aux lettres, les arrachèrent toutes, n'est pas étrangère a la decision du ministre. Signalons, incidemment, qu'il y a environ vingtcinq ans, a Fépoque des voyages et excursions estiyales, l'inddcateur des chemins de f er était imprimé a nonante mille exemplaires, tandis que Findicateur flamand ne F était .qu'a cinq mille! ••• Avalanche de lettres Nos facteurs viennent de nous distribuer toute une série de lettres venant de France, d'Angleterre et de Hollande, et remontant aux derniers mois de 1914. C'est Farriéré de la censure postale qu'on liquide. •©• La guerre et les theatres bruxellois Pieces de guerre... Episode de la grande guerre... Tous les theatres de Bruxelles nous en donnent. Au Molière: "L'Ame beige" • a la Botibonnflère: "La Cure de l'abbé Javel" ; a la 'Scala: "Ouf, ils sont partis"; au ViëüxJBruxelles: "Tripleboche" ; a FAlcazar: "Débochonsnous". Pour lon'gtemps ' encore, nous verrons les revues mettre sur la scène tous les faits les plus drólatiques, ^es incidents les plus joyeux et des tableaux nous remémorant les épisodes les plus tragiques de ces quatre années. ••• Retraït des monnaies allemandes. — Compte de cheques postaux a circulation fertnée L'arrêté du ministre des finances en date du 7 décembre courant, rel'atif au retra it des monnaies allemandes, accorde a tout deposant de plus de 1^,000 mares la faculté de remettre ile récépissé de ce dlép^t.au percepteur.des posies a.Feifet d'en faire porter ie möntant sur ran pompte de fier Nous avons pubHé dans notre numero dé jeudi -dernier ï1interessant article d'un de nos correspondants, qui s'est fait l'écho du vif mécont/entement qui règne actuel'lement dans les milieux commerciaux et industriels a i'égard du gouvernement, auquel on reproche en term es amers de paralyser par son intervention la reconstitution économique du pays au lieu di'y aider de toutes ses forces. Il y a, sans doute, une part d'exagération' 'dans bien des critiques qu'on lui adresse, car il se trouve, pour solutionner Ie prob'ème du réappTOvisionnement de la Belgique, dans des difficult es tres réelles, provenant de la penurie des stocks disponibles a l'étranger, de la limitation du tonnage et des moyens de transport, enfin du souci de sauvegarder notre situation monetaire: dif fioultés dont Ie public ne connait pas tou jours tout e la gravité et Fétendue. Mais au demeurant, il faut bien reconna-ï'tre que par ses lenteurs, ses' tergiversations et :1es tendances de sa politique économique, Ie ministère devait provoquer fatalement 1'effervescence que nous oonstatons aujourd'hui. Dé ja, a/u moment de la liberation! du terrjtoire, oe fut une consternation, une stupeur générale, lorsqu'on apprit que ni de gouvernement, ni Ie Comptoir national qui avait été fondé au Havre pour favo_ riser la reprise de l'activité économique en Belgique, n'avaient rien fait, riem acheté, i*ien commandé pour subvenir aux premières nécessités; ils savaient pourtant que nous manquions de tout, que l'enniemi nous avait pris toutes nos mar. chandises, nos courroies, nos hu il es, et sans pouvoir naturellement regarnir nos magasïns et remonter nos usines du jour au, lcndemain, ils auraient pu, tout au moins, négocier d'avance quelques achats ou certaines options pour les matières premières les plus indispensafoles a une reprise partielle. Le Comptoir national s'-exeusa, enddsant qu'il avait vainement sollicité «les credits nécessaires, et Ie ministre a'Uégua, de son co té, que les 'allies n'avaient pas voulu ouvrir des credits ni arrêter des arrangements quelconques avant que la guerre füt terminée, voulant rése-rver a cejle-ei I toutes leursïorees etTtoutes leurs disponibi'Ktés. On s'inclina devant ces explications; persenne ne s'attarda a des recriminations, d'a il leurs oiseuses, dans Fespoir que, sans per dr e de temps, chacun dans sa sphere dTactivité, allait se mettre a F oeuvre pour ooopérer activement a la restauration- économique de la commune pa trie, enfin libérée des grif f es de FAllemagne. ••• Le röle du gouvernement beige, semblait-il, était de faire tout d'abord de pressantes démarches auprès des allies, afin qu'ils envoient d'urgence a notre pays épuisó, pillé, dévasté,; le plus de marchandises' possible; et il n'était pas •douteux que ces instances recevraient le meilleur aocueil et que les puissances de F Entente f eraient dans ce sens» tout ce que les disponibilités en stocks et en tonnage leur permettraient. Il faïiait aussi faciliter les importations de toutes manières, simplifier les forma•lités• indispensables, laisser libre cours a 1'initiative privée qui ne demandait qu'a agir, en se oontenitant de l'appuyer et de l'aider. Au lieu de cela, le ministère semble s'être préoccupé avant tout d'empêcher que M. X..., qui est uni commercant de guerre, ou qui ne s'es #t pas bien- conduit pendant F occupation, reicoive des matières premières avant M. Y..., et que M. Z... qui avait f ui a l'étranger et y avait préparé tous les elements de la reprise de ses usines, ne beneficie de eet avantage sur des compatriotes restés en Belgique; dès lors, pour être plus sur de parer a ces dangers, il applique un remede souverain, en fermant les ffontières jusqu'a o« qu'il puisse mettre en vigueur un système de réglementation capable d'éviter tout abus de ce genre. En attendant, c"est 1'interessante classe des fraudeurs seu'lie qui se trouve favorisée. N'est-ce pas stupéfiant et ne croirait-on pas rever! Que le gouvernement recherche les moyens die combattre l'aceaparement,de f avoriser avant tout les industriels et lescommercauts les plus éprouvés par la guerre, qu'il puniisse surtout tous ceux qui se sant compromis avec l'ennemi, soit en faisant agir la justice, soit en mettant leurs firmes sous sóquestre, soit en les taxant comme'on l'a fait ail'leurs pour les entreprises de guerre, rien de mieux et tout le monde y applaudira. Mais il ne parailt pas se douter que le consommateur qui attend que les marchandises arrivent et que les prix ybaissent, que la Classe ouvrière qui doit se remettre ana travail, que le pays tout enticr représentent des interets urgents et immédiat® dont la sauvegarde doit passer avant teute autre consideration, et qu'il f allait ménager tout d'abord. Si encore la réglementation des importations, telle que la conceit le minastère, avait été d'une application simpile, immediate il n'y aurait eu que demd-mal. Mais tand is que chacuru se rend' compte corabien il est urgent, tant au point de vuie social' qu'au point de vue économique, de hater la reprise, si partielle qu'elle doive être ,dain£ •les.'-'dé.bti.ts, de notre activité commerciale et in-dustrielle,- q«ue deYons-nous .constater;? •, I#8 minostre des affaire» *con*miqufe», plein de bonne volonté et animé des meilleures intentions, attend ses fonctionnaires, retour du Havre, qui devront s'installer et avoir le temps de se retourner. Il est sollicité de droite et de gauche et ne sait encore' qu donner de la tête. Le Comptoir national, de son co té, n'est pas pret a fonctionner. Son administration, composée de Belges ayant séjourné a • l'étranger pendant la guerre,- a dómissionné, comme elle en avait pris 1'engagement dès sa constrtation, pour faire pd'ace, en partie, a des personnalitesqui étaient restées au pays. Toute l'orga-ndsation- même du Comptoir va -être remaniée ou complétée. Mais en attendiant, il ne peut prendre aucune initiative ni mesure importantes. Quant aux autres organismes qui doivent jouer un röle dans le système de réglementation gouvernementale, les groupements industriels et commerciaux, beaucoupi n'existent pas, d'autres doivent ëtre refondus ou reorganises, afin d'acquérir la personnification civile. Que durera la mis e en route de tous ces rouages? Et n'est-il pas impardonnable d'avoir commence par fermer les frontières d'un trait de plume, au lieu de les ouvrir toutes grandes, afin que la Belgique recüt le plus de marchandises et de matières premières possible, par toutes les voies et de toutes les facons que la liberté du commerce aurait utilisées. C'eüt été 1'anarchie, a objecté le ministre, M. Jaspar. Que veut-il dire par la? Pourquoi le libre essor des transactions et dè l'initiative privée aurait-il été fatal aux interets généraux du pays en cc momentci 1 N'est-ce pas plutöt du cöté de la réglementation a outrance qu'est le danger et ne devons-nous pas envisager avec inquietude la tendance facheuse que semblent révéler les pro jets du gouvernement, a adopter les conceptions théoriqiues dés économistesen chambre qui l'entourent? ••« Nul ne conteste, .assurément, les excellentes intentions du ministre des affaires' éoonomiques, mais nous craignons qu;il n'apercoive pas le danger qui nous apparatt comme tres grave. Si, pendant les 'hoistilités, tous les pays belligérants ont dü. sub ir le régime' étatiste dans l'intérêt supérieur dés operations müitaires^ si pendant un certain temps encore, la liberté absolue des transactions ne pourra être rétablie, il n'en faut pas moins lutter de toute notre énergie pour que le plus tot possible nous en revenionis a un régime de liberté qui-, seul, pourra rendre a notre pays toute sa prospérité d'antan. L'Etat, s'il doit intervenir dans les operationsrationscommerciales et indlustrielles par suite de conventions internationales, doit le faireavec le souci constant d'apporter un minim'um d'entraves, d"éviter La paralysie dont la bureaucratie frappe tout ce qu'elle touche. Le désarroi actuel en est une preuve nouvelle, mais couteuse, que le ministre nous aurait épargnée en facilitant les importations au lieu de les entraver com", me don de joyeuse entree. Nous examinerons, dans- die prochains nruméros, ce que promet d'etre le système de réglementation des importations qu'on nous annonce et quels röles respectifs le Comptoir national et 'es groupements industriële et commerciaux devront ou pourront jouer dans cette combiniaison. *-»•»*- Un füs de van Notre campagne énergique contre la ( La voici dans sa simple beauté : Lettre ouverte d'un soldat. flamand sous les armes a M. Verhaeghe, batonnier de l'ordre des avocats, a Gand. Monsieur le batonnier, La lettre que vous venez d'adresser aux joumaux au sujet de la,future. ITniversité f la mande de Gand — car nonob- stant vos cris et vos aboiements l'Université de Gand sera flamandisée — neconstitue ni plus ni moins qu'une trahison envers le peuple flamand.jk;s Comment, M. Verhaeghe, vous qui portez un nom essentiellement flamand, exergant vos mandat et charge dans une ville essentiellement flamande, de laquelle vous tenez les avantages et prerogatives dont vous abusez, en êtes-vous arrive a eet état d'esprit, a cette aberration, a cette perversion des idees èt du sentiment patriotique. Sachez, Monsieur le batonnier, — et ceci c'est élémentaire — qu'a la base de tout patriotisme, il y a la langue et la race. Celui qui renie sa langue et sa race est un renégat et dans un renégat, il n'y a pas l'étoffe d'un patriote. Il constitue pour la nation un element de désordre qu'on devrait mettre a l'écart. C'est votre cas, Monsieur; c'est aussi celui des ayocats signataires de la protestation contre l'Université flamande de (Jand, et c'est encore le cas des membres du conseil communal de Gand qui ont vote Finfame motion des fransquillons Braun, Dauge, etc., car ils ont trahi le peuple flamand et la patrie beige tout entière, parce que leur attitude met en peril 1'Union et F Unité nationales. C'est de la perversion, Monsieur, il n'y a pas d'autre'qualification possible; vous êtes au patriotisme, ce que le perverti sexuel est au sexe. Laissez venir le suffrage universel et le peuple flamand vous balaiera. Tout, ceci vous est dit dans une langue un peu dure, dans la langue du soldat qui a fait quatre années de front et de tranchées. Par la force de Fhabitude, notre vocabulaire y est devenu dur, énergique, mais vous Fexcuserez. J'espère, jM. le batonnier Verhaeghe, que vous donnerez a la présente lettre^ la même publicité qu'a votre protestation contre l'Université flamande de Gand. UN FILS D'ABTEVELDE, momentanément oblige de garder Fano- nymat parce que sous lés drapeaux. Il faut reconnaftre que Fauteur decette lettre anonyme manie Yinjure avecun dilettantisme peu ordinaire. Il y metune delicatesse qui semble concorder >avecla haute lignée dont il se reclame. MaisArtevelde, le glorieux ancêtre que s'attribue a bon compte ce pseudodéfenseurde la patrie, ne serait certes pas fier desa descendance. . Artevelde ne bornait, en ieffet, pas la notion de la patrie' a la langue et a la race, sentiment: Ce qui fit de lui un homöie d'Etat remarquable, ce qui est son C'est a détruire cette grande oeuvre d'union, rêvée par van Artevelde, dès 1340, réalisée si péniblement pour le grand bien de la Belgique, que nos flamandiseurs s"-appliquent dèpuis un demi-siècl.e. , d La lettre de notre correspondant oecasio'nnel aura eu eet avantage de^nous permettre de le montrer une fois• dë plus^ Doe division de rarmée irangaise 'C'est la 132e division de F armee franQaiise qui iera, mercredi prochairn, son entree a Gand, oü elle passera les deux journées de Noël. Les troupes entreronit en ville vers 9 heures, par la chaussée de Swynaerde. La 132e division, püacée sous les ordres dm general Sicre, sera passée en revueparle lieutenant general Degoutte. Ellese compoise de 3,900 hommes d'infanterieavec 180 officiers, 200 hommes du génieavec 8 officiers, 640 artilleurs avec. 64 officiers et 50 cavaliers avec 10 officiei's,soit en tout 265' officiers et 5,090 sousof-f iciers et soldats.olSr*1 Voici l'itinéraire qui sera suivi par los troupes: rue de FEcole Normale, boulevardvardde la Citadélle, rue de Courtrai, rue basse des Champs, place du Commerce, rue dhr Söleil, place d'Armes, marché aux Oiseaux, rue de Brabant, rue digue de Brabant, rue de FHandre, place Laiuirent, rue dim Limbourig,, place St-Bavon, marché au Beurre, rue Borluut. La revue sera passée devant l'hötefl de ville, vers 10 h. 30, par le lieutenant general Degoutte, commandant de la 6e armee. Déja plusieurs families demeurant aux environs diüi quartier de St-Jacques, se sont offertes spontanément pour loger chez el les un ou deux officiers On préparé des logements pour les soldats dans la caserne Albert (nouveau séminaire), au convent des Augustins, ainsi qu'a FAthénóe. * * * L' administration communale présentera ses souhaits de bien venue aux commandtamits des troupes. Les enfants de toutes les écoles de la Ville, a partir du troisième degré, seiont places, sur le parcours, anu boulevard! de la Citadellle, a la place dn Commerce, a la rue dé Flandre (statue, Lie vin Bau- A 3 heures de Faprès-midi, les musiques militaires donneroint un concert au mar_ •dhé aux Grains, et a 6 heures, un autre concert a la place d'Armes. La ville offrira, a 5 hl 30, dans les salons du Grand Theatre, un ditner airx officiers supérieurs de la division francaise.. Au diner seront invites des officiers supé u rieurs belges, quelques Autorités et \?' «•• La conduite des troupes I lettre du Robert Schoner blic allemand contre affiles en pays ihttitm es journaux berlinois publierit' une chargé d'affaires bavarois', M. qui met en garde le pu les bruits tendan cieuxqui pretendent que les troupes doc cupation alliées se livrent a des vexa-tions:et des brutalités contre les populations caviles. Ce sont de pures calomnies et de purs menso^gies, écrit-il. Des rapports authentiques signalent que Hes troupes ennemies, en particulier les troupes franchises et américaines,. se conduisent irré-procbablement. In ce qui concerne les mesures qui ont été prises par les Belges, dans les villes occupées par eux el-les sont la reproduction fidele des mesures prises par les Allemands en Belgique, en France et en Pologne. Cette campagne de calomnies et de mensonges, termine M. Schoner, est Foeu-vre de la reaction militaire allemande qui sefforce de réveiller. les passions cnauvines et d'intoxiquer les masses, comme ën aoüt 1914. " ••• Le butin abandonné par les Roches Croirait-on qu'a l'heure actueïïe il existe encore sur le résau beige plus de vingt-trois mille wagons, chargés d'ex. plosif8, munitions, materiel de guerre et marchandises diverses abandonnés par les Allemands 1 Cet état de choses n7 est pas sans causer de vrves preoccupations a l'administration des onemins de fer. .' ••• . ' Le père des regiments f Jamands et wallons .Sous ce titre, nous lisons dans le "Belgisch Dagblad", de La,Haye: ' Le Vlaamsch Verbond du sieur Van Oauwelaert, en Belgique, exige, comme minimum la division de Farmée en régiments flamands et wallons, ainsi que la separation administrative,^ én attendant 1 mdéperidanoe politique ;der la Flandre, comme les activistes Font exigée. Point d'affaires! Le peuple flamand ne suivra pas ces semeurs de diseërde. Il sait en efflet que la division "#ë. Farmée n'est gu une intrigue alleméhde (een Duitsche intrigue). Le père du système' est un certain Antoine Picard que von Bissing récompensa en lui donnant une chaire a FUniversité allemandie de Gand'. Suivant une information d*i'Tedegraaf", un mandat d'amener ia/ète*ianeé contre Ant. Picard. Le i^iiubsf*? Viorbond!?* peutf être

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