La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 22 November. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Konsultiert 18 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/hh6c24rp57/
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LA MÉTROPOLE PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES ONE PENNY «OHT: CIMQ CENTIME» gOLLAHDE: VIJF CENT MJTHEIIT : DIX CENTIME» Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 24-mb AJN JNJliili JEUDI 22 NOVEMBRE 1917 No. 326 LA GRANDE GUERRE Calme relatif sur le front italien Propositions de paix de la Russie M. •— Les déclarations de M. Clemenceau Sur le front italien, la situation continue à présenter le même aspect. La me nace ennemie dans les vallées supérieures est toujours sérieuse, tandis que sur la Piave inférieure, la résistance de nos alliés né ralentit pas un instant. Le grand danger semble donc être que les Austro-Allemands ne débordent le long des deux rivières en suivant leur cours supérieur en vue de descendre dans la plaine et forcer ià une bataille quand "toutes les réserves disponibles auront été amenées. Les Italiens, cependant, s'efforcent de déjouer ce plan en résistant courageusement sur d'excellents points d'appui formés par Monfenera et le Mont Tomba. Le communiqué ennemi se borne à dire que de violents combats se livrent sur les pentes nord à deux points qui forment les dernières lignes de défense protégeant Trévise et Venise, au nord. La ligne tenue sur les sommets du massif des Sept-Communes décrit un arc de cercle convexe et se relie par une crête dominant le village de Frisoni, avec la coupure installée à San Marino dans l'étranglement de la vallée de la Brenta. Dans cette vallée même, les Italiens ont reculé depuis Sismon jusqu'à oe village de San Marino, c'est-à-dire sur une profondeur de 3 kilomètres environ. Les positions occupées sur le plateau des Sept-Communes sont encore loin en avant de la plaine ; le massif montagneux y possède derrière elles, du nord au sud, une épaisseur de 10 kilomètres jusqu'à la dernière crête pouvant servir de ligne de défense et de 20 kilomètres avant d'atteindre le bas des pentes. Par la vallée de la Brenta, le trajet, jusqu'à la sortie sur Bassano, est plus court; il mesure 15 kilomètres, à partir de San Marino, dans une gorge très étroite aux lianes escarpés. Les progrès de l'ennemi dans cette gorge sont évidemment subordonnés à ceux qu'il peut réaliser lans les massifs qui l'encadrent; mais il suffit qu'ils se produisent dans l'un l'eux seulement. Or, l'ennemi approche J'avantage du but sur la rive gauche, ;ntre la Brenta et la Piave, que sur la 'ive droite au plateau d'Asiago. Entre la Piave et la Brenta, les Ita-iens n'ont malheureusement pas pu conserver la vraie ligne de résistance au sud le la coupure de la vallée de Cismon. 3n ne dit pas au juste quel est le front ictuel, mais l'occupation du Mont Pras-solan donne à penser que ce front s'ali-fne à peu près, à travers le massif mon-agneux, en remontant vers le nord-est égèrement, de San Marino aux hauteurs lui dominent Quero sur la Piave. Que- 0 n'est qu'à 6 kilomètres de la sortie le la Piave en plaine et l'ennemi y a léjà fait plusieurs tentatives. Les inondations actuellement tendues lans le delta de la Piave, jusqu'à son ommet à San Dona, réduisent le front lu fleuve en plaine .réellement abordage pour des masses d'attaque à une cin-luantaine de kilomètres. C'est assez :°urt pour qu'on puisse y exercer iltie *>nne défense; mais tout dépend de ce lue deviendront les progrès de l'ennemi n montagne et dans les gorges des deux ivières. Ces progrès doivent être surfilés de très près. S'ils continuent, le epli de la Piave sur l'Adige s'imposera ans perdre un instant. Dans la situation en Russie, il n'y a ;uère de modification. S'il faut en croi-f une nouvelle publiée par le Stockholms idning et reçue par voie diplomatique, J Russie se retirerait prochainement de pute participation officielle à la guerre, vivant le même journal, l'influence des ^ximalistes augmente de plus en plus t-tout le peuple en entier est fatigué de 1 guerre. De là, la nécessité de consi-erer que la Russie est sur le point de onclure la paix. Toutefois, une dépêche de l'Agence 'Cuter annonce que la brèche entre les 'aximalistes et les socialistes plus mo-e'és paraît être définitive. Les premiers énoncent la rupture des négociations tout en laissant la porte ouverte à une combinaison avec les socialistes révolutionnaires de la gauche. Dans quelques jours, la date pour les élections de la Constituante sera fixée, mais ces élections ne pourront guère se tenir avec le degré d'impartialité voulu dans l'état d'anarchie actuel. L'armée qui avançait vers Pétrograde a été arrêtée à Lu-ga et alors que les délégués des comités qui sont arrivés à Pétrograde ont fait cause commune avec les socialistes de la droite ou déclare que la plupart des soldats inclinent vers les maximalistes. La déclaration ministérielle que M. Clemenceau a faite à la Chambre a été reçue chaleureusement. "Jamais, a dit M. Clemenceau, la France n'a senti aussi clairement la nécessité de vivre et de croître dans l'idéal d'une force mise au service de la conscience humaine et dans la détermination d'introduire plus de justice entre les citoyens et les peuples capables de se libérer et de conquérir dans le but d'être justes. Ce fut là le mot d'ordre de tous nos gouvernements depuis le début de la guerre. Nous maintiendrons ce programme franc et ouvert- "Devant vous et devant le pays qui réclame justice, continua le nouveau chef de cabinet, nous nous engageons à faire justice jusqu'aux dernières rigueurs de la loi. Ni la considération de personnes, ni les passions politiques ne nous détourneront de ce devoir ni ne nous tenteront de le dépasser. Il y a déjà eu trop de crimes payés sur le champ de bataille par l'effusion du sang français. La faiblesse ne serait que de la complicité; nous agirons sans faiblesse mais sans violence à l'égard de tous ceux inculpés dans les révélations ou excitations dont l'ennemi pourrait profiter. "La censure sera maintenue sur les nouvelles diplomatiques et militaires, ainsi que sur toutes les matières qui pourront troubler la paix du pays et cela dans les limites du respect dû à l'opinion publique. Plus de campagnes pacifistes, plus d'intrigues allemandes, plus de trahison ni de demi-trahison, la guerre et rien.que la guerre. Nos armées ne veulent pas être prises entre deux feux. Que la justice soit faite et le pays saura qu'il est protégé et cela, en France à jamais libre." En réponse aux interpellations, M. Clemenceau refusa de faire des promesses ou de s'engager à des entreprises qu'il n'était pas certain de pouvoir tenir ou mettre en exécution. "La Société des nations, dit-il, que les socialistes semblent espérer comme un miracle dans la nuit, je n'y crois pas parce que je crois pas aux miracles et même si une Société des nations était formée, il ne faudrait pas que l'Allemagne en fît partie. Stockholm et les autres réunions internationales, je ne les aime pas. Il est inévitable que de pareilles réunions, avec la promesse illusoire de la paix, ne peuvent qu'affaiblir le moral du pays." "Quant à ses buts de guerre, ajouta-t-il, il en avait une définition populaire : conquérir." Il ne croyait pas en la diplomatie secrète et il tiendrait la Chambre au courant de tout, dans la mesure du possible. Quant aux scandales, la justice suivrait son cours. A la conclusion du débat sur les interpellations, l'ordre du jour fut adopté par 418 voix contre 65 (socialistes). Les socialistes ont toutefois déclaré qu'ils ne travailleraient pas contre le gouvernement, mais à ses côtés et au-dessus de lui. En Afrique orientale, la situation se développe rapidement. Les troupes britanniques ont capturé le fort Chiwata et M'viti, en faisant des captures importantes, et pris pied sur le plateau de Ma-konde. Soixante prisonniers britanniques furent libérés,tandis que 103 blancs, 420 askaris et 308 porteurs furent capturés. Près de Mandebe, une colonne belge a eu, le 15 et le 16 novembre, un engagement avec l'ennemi. Et la Chambre de commerce d'Anvers ? Quand bougera-t-elle ? Nous recevons la lettre suivante qui, pour des raisons personnelles, est donnée sans signature à la demande de son auteur : Monsieur le Directeur, Nous assistons, si nous comprenons bien, à une tentative de main-mise sur une partie de nos activités nationales. Jusqu'ici, la navig-ation, le commerce et la finance sont intéressés. Demain, l'industrie y passera peut-être. Ces tentatives, qui profitent à quelques-uns, sont faites, nous le savons bien, sous le couvert de l'intérêt national, mais les autres, les commerçants comme moi et tant d'autres, quand le monopole sera confié à quelques-uns, quel sera leur sort? Je laisse de côté la question de la nationalité apparente ou réelle de ceux auxquels sont concédés des privilèges, encore que l'on nous accordera que oe p>oint ait quelque importance. Dans c£s conditions, que font les membres, nombreux en Angleterre, de la Chambre de commerce d'Anvers, la plus importante, incontestablement, du pays? Vont-ils continuer à se laisser faire sans protester? Agréez, etc. X. La Fédération Nationale Belge Notre devoir est d'agir pour ceux qui ne le peuvent^! Encore une Chocheté auront dit nos compatriotes en lisant l'appel de la Fédération nationale belge ? Eh oui, ! encorre une, après tant d'autres, mais une qui vient à son heure parce qu'elle a pour objet de combler un vide que nous éprouvons tous : le manque de contact entre les Belges et le gouvernement. La Fédération nationale belge qui a déjà obtenu satisfactiQn sur un point important de la question des indemnités, se propose, en effet, de faire connaître nos vœux sur des questions d'ordre général aux hommes qui ont la lourde charge du pouvoir. En agissant ainsi, la Fédération nationale ne fera que remplir un impérieux devoir. C'est un devoir pour tous les Belges réfugiés à l'étranger de parler et d'agir pour ceux qui sont restés au pays et qui sont réduits à l'impuissance. Nos compatriotes seront, en effet, en droit de nous demander si nous avons fait autre chose que de nous occuper de nos intérêts personnels pendant notre exil. Que leur répondrons-nous si nous n'avons pas au moins éclairé le gouvernement sur leurs aspirations et sur les nôtres ? Nous ne pensons pas qu'il entre dans les intentions de la Fédération nationale belge d'entrer dans des questions de détail. C'est là une tâche qui ne lui incombe pas. Elle n'aspire qu'à présenter des vœux généraux capables de rallier la majorité des Belges. Mais pour que son action soit efficace, il faut que la Fédération soit puissante par le nombre.C'est pourquoi, afin de permettre à chacun de lui donner son adhésion, il a été décidé de fixer le montant de la cotisation annuelle à is. id. et de réduire au minimum les frais de gestion. C'est en vertu de ces dispositions que les journaux belges de Londres ont assumé la tâche de l'encaissement des souscriptions.Envoyez vos nom, prénoms, adresse et profession à la Métropole ou à l'Indépendance belge. Seuls sont admis ceux qui sont nés en Belgique d'un père belge ou allié. o—o Ne pas confondre... M. Jules Claes, directeur de la Métropole, tient à porter à la connaissance du public qu'il n'est aucunement intéressé dans la publication d'une revue commerciale éditéé par un homonyme, artiste-peintre de son état. 11 prie les personnes qui auraient écrit à M. E. Claes, 32, Regent Street, W. 1, croyant s'adresser au directeur de la Métropole de prendre note que sesseuls bureau sont situés 43, Chancery Lane, W.C. 2. De la censure aux mortiers de tranchées Une lettre de M. Albert Devèse Le lieutenant Albert Devèze, député de Bruxelles, qui prit la parole samedi dernier à la manifestation de la Ligue des Patriotes avec le succès que nous avons souligné, nous fait l'honneur de nous adresser la lettre suivante, qui part d'un point de vue trop respectable pour que nous ne nous empressions pas de la publier. Nous le faisons avec d'autant plus de plaisir que le député de Bruxelles, censeur militaire des journaux anversois en 1914, fait dans sa lettre de 1917 un juste départ entre les services combattants de l'armée et ceux où, à côté de la censure — parfaitement légitime — des faits d'ordre purement militaire, on s'in-nie trop souvent, sous le fallacieux prétexte de " calmer " l'opinion publique — à la baîl-lonner.Cela dit, voici la lettre de l'honorable député de Bruxelles : Londres, le 19 novembre 1917. St. James' Palace Hôtel. Monsieur le Directeur, Au moment de quitter Londres pour rejoindre la batterie de mortiers de tranchées que j'ai l'honneur de commander et que je n'ai quittée que pour répondre à l'appel de la Ligue des Patriotes — je lis le compte rendu fort aimable que vous avez voulu consacrer à ma conférence.Vous y rappelez certaines fonctions que, pendant le siège d'Anvers, j'ai remplies conjointement avec mes collègues Crick et Pécher. Je n'ai pas à m'expli-quer : mis par le Ministre de la Guerre à la disposition du lieutenant-général gouverneur de la position fortifiée, nous y avons assumé, selon notre conscienae, toutes les missions de toute nature dont nos chefs hiérarchiques ont jugé devoir nous charger. Mais il pourrait y avoir une équivoque. Et vous tiendrez sans doute à ajouter qu'aussitôt après le siège, j'ai fait, sur ma demande, mon apprentissage d'artilleur et quie, depuis lors, je n'ai pas quitté la ligne de feu. Ce n'est, donc pas dans un "bureau de la presse" que j'ai mérité la Croix de guerre. Mes collègues et amis auraient facile à vous demander de semblables précisions.Veuillez agréez, Monsieur le Directeur, l'expression de mes sentiments très distingués. ALBERT DEVEZE. r% r* Certificats d'études Avis important Le ministère des Sciences et des Arts nous communique l'avis suivant : En vue de faciliter la régularisation des études moyennes du degré supérieur faites pendant la guerre, le Roi, sur la proposition du ministre des Sciences et des Arts, vient de créer un jury qui sera chargé : 1. D'homologuer les certificats d'humanités ^anciennes et modernes) ; 2. De faire subir les épreuves préparatoires tenant lieu desdits certificats et donnant accès aux grades légaux universitaires.La session du jury sera divisée en plusieurs séries de séances. La première série des séances du jury s'ouvrira à Paris, le jeudi 3 janvier 1918, à 10 heures, dans les bureaux des services belges de la rue Jules-Lefèbvre, 1. Le jury examinera d'abord les certificats soumis à l'homologation; il ne pourra probablement pas procéder aux épreuves préparatoires avant les mois de février ou mars 1918. Pour la 1ère série, les demandes d'homologation de certificats et d'inscription aux épreuves préparatoires seront reçues au ministère des Sciences et des Arts, au Havre, depuis le samedi 17 novembre jusqu'au samedi 22 décembre 1917. Si la nécessité s'en fait sentir, des jurys seront organisés en Angleterre, en Hollande et en Suisse, pour les candidats désirant subir les épreuves préparatoires visées au 2e ci-dessus-o—oLes millions de Schoeller avaient été volé à la Belgique Genève, 18 novembre. — Le Journal de Neuchâtel apprend que les dix millions de billéts français envoyés par Schoeller provenaient directement d'Allemagne. Ils avaient été cotés en Belgique et dans les régions françaises envahies. — Petit Journal. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. Sixième liste Report £ 84 9 9 Fr. 110 M. et Mme Feltesse ... 50 Mme Possemiers ... 50 Paul et Jean De Winter ... 5 0 Lucienne et Winnie ... 20 Idès Floor ... ... 20 Mme Meert ... ... 1 o M. Berquin ... ... 1 0 Mme Kawazoé ... ... 26 A Belloy ... ... ... 26 Mme de Pelsenaire ... 10 Mlle Miessen ... ... 10 Mlle Lavenne ... ... 10 Mlle J. Bisschop ... 6 Mlle de Thier ... . 20 Mlle Bourgoignie ... 10 M. et Mlle Peeters ... 20 M. Rousseau ... ... 10 W. P x o Mlle D'Huyvetter ... 10 Mlle Marthe Hubert ... 20 M. Duhot ... ... 10 Antoine et Yvonne ... 50 Un ami de la Métropole ... 50 Anonyme ... ... 10 Pour le bonheur de nos enfants et le prompt rétablissement de Robert ... 10 o De la tirelire de Suzanne 5 o M. et Mme Kindt ... 50 Oscar Somerlinck, membre de la "Noordnatie" d'Anvers ' ... ... ... 50 De Vereenigde Brugspelers uit the " Tv Gwyn ", Gol-ders Green ... ... 50 Van Aantje en Doke, voor de jonge Antwerpenaren ... 26 De la tirelire de notre regretté Georgy 12 6 De la part de Léon Godts 1 00 J. Van Brecdam ... ... 10 M. Van Brecdam ... 10 V. F 26 M. Co ... ... ... 20 L. B. Minne ... ... 10 C. Gellinck ... ... 10 E. Van de Vyvere ... 6 M. Wilkin ... ... 10 M. Brock ... ... 10 M. Bredal ... ... 10 H. .Laurent ?.. ... 10 Bruynincx ... ... 10 Mertens ... ... 10 Produit d'une cagnotte : une famille anversoise de Richmond ... ... 10 o Guil. De Meulemeester 1 10 Anonyme, Worcester ... 100 Total £ 93 12 3 Fr. 110 Le sous-marin vaincu Déclarations de M. Lloyd George et M. Daniels Lundi, au cours du débat aux Communes, sur son discours de Paris, M. Lloyd George déclarait aux applaudissements de l'assemblée que la menace sous-marine était définitivement écartée et il ajoutait que samedi dernier cinq sous-marins allemands avaient été coulés. Cette nouvelle considérable de la découverte de moyens appropriés pour contrebattre la menace allemande va enlever à nos Bolos une de leurs armes. Réjouissons-nous-en autant que de l'avantage naval obtenu. C'est un pas nouveau, quoiqu'en puissent penser les gens qu'attriste par avance la perspective d'un écrasement de l'Allemagne, vers la victoire qui libérera le monde de l'odieux cauchemar de la domination tudesaue. Ce qui est plus important encore, c'est la déclaration que vient de faire M. Daniels, secrétaire de la Marine américaine : " Le sous-marin a failli jusqu'à présent et faillira à remplir la fin qu'espérait l'Allemagne. La situation est contrôlée par les nations contre lesquelles est menée la guerre sous-marine et bien que celle-ci continue à constituer un danger pour les navires marchands, des moyens ont été trouvés qui réduisent considé- . rablement l'efficacité du sous-marin. M. Daniels ajouta qu'il avait été coulé plus de sous-marins durant le six derniers mois que pendant toute l'année précédente." Si l'on en croit une publication officielle américaine, 80 sous-marins ont été coulés en igiô et 80 durant le dernier trimestre, suivant Sir Geddes (1er novembre).

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londres von 1914 bis 1919.

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