La Métropole

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s.n. 1914, 14 September. La Métropole. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/542j679q2x/
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LA MÉTROPOLE 21e Année No 233 .. - vr? i BÉK le oui Lundi 4 septembre 1914 LA GUERRE i-.-——m—!——i ii i â SITUATION ^es ecnimuniqués la grande victoire " — officiels françaisrnsse C01lfirmée Par !s aille acîiarnée peu- grand-duc Nicolas t quatre jours. - |JS hUMÊS lia S. A. I. le Grand-Duc Nicolas, généralis ' sime des années russes, le télégramme sui ultats importants. gyaCi!B!îî All)58H$ annoncer qu« la bataille générale en GaSici • jp» engagé© il y a dix-sept jours se termine pa ur influence sur les bat # —^ 10 septembre seulement se chiffrent par 101 fîîTlATlQ £11 &»T£1 A *i. <>anon3 et 30,000 prisonniers dont 200 offi mima eu 'v ■ ■■; m retraite ciers. Les armées autrichiennes reculent su eus leurs fronts poursuivies par ixdh troupes rs, 13 septembre, 10 h. soir. (OtffcWl) j ig sepwàW - ° araad"Duc Nioolas- ? piatre jeurs de combats ac-h, lêe, not 1 aia? dt kJmJ KéOORSB dô M dfi BrOGUôVlljC ■de campagne qui étaient -crée* & j l m.\tï*aù>- cmiiiai» 1® virement de retraite. I r * H ion fortifiée d'Anvers pour aUàMuvl. ^t*r*''rïm V*Àl\ m!*™? *r~ I ^ BiWWfiÔiai a faSmeASatemen* ro ces allemandes, sfcatioamées dans le ]hvCnt7n Nordde™'VeÏÏs. lîî i?ont m/*é- &*** ^ ^,98 sm^nts à S. A. I. i > Bruxelies-Leuvain-Malmes, so sont feaidù la Marne au Sud-Est de lie.: es sons la protection des forts da la 2*. .» contre l'*nnsmi qui pordit. Rongnv • ^ ^ f BraWt-l.-Koi, tient encore dans 1. Sud naissAn<;o pour "i aDncJ ' »t d» la sortie, qui avait sembU tant \ naul'%îe <)«*. le. forces adversaires ?*»> r^pectuou?om«.u.. . v n'too qu'tmo .pààtion contre des ™^n l^^^eVraud^XafcimoTt'de "X d'oUserration, laissées par Veanmn ardente sympathie pour la gîmWo armé, de no«s, s'est liorelopp» dnas .Je i£r«n- vllle ^om6aJ ot PoSi-Mousson. ™?» ; î™.™ v™ux «coomnagneut Vota i « ^ de IV1. En Belgique l'annés beige poussa une of- ^ «* sf> ^pertes tripes. . fttait très forte, «râe. ù la tWa feutre vf^ttreuso au Sud" <kTLcre. ' L* TCon do BROQraVlffi! « travaux do tetmsse- , ^ la .«««t* « «««• ^ d" BU0«in3VILLi" ' . • depuis 1/ jours se termina par une grande «i » r»wté? copias uno ^Ui***'inece j u . ^^ire russes. Les Autrichiens battent on # _ __ jtion de conserver à tcit pris ootte retraita .sur tout le front lapant aux main? B . s> 'H MllfpTîl ^ ^ i a forcé les Allemands à y appeler des Russes un. grand nombre de prisonniers ^ XlxJ/Av Joli CJV'ii Lly vï las forces dont ils pourraient encore un matériel important. 1 1 1 • • 1 r dans le pays. (H.™, itoutor). l'Italie unies dans unt Télégramme confirma- t x -, rp - , «t tivenu en tonto hâte vers Bru- , . „ . MOlC d ld 1 Ul ^UlC l»our soutenir le ctioc do nos tronpes. Jjf Q|J COlODel U OF] 0 Londres, 13 septembre. — Les ambas» orj«. déjà engagé sur la route d'Au- ^ deurs de toutes les puissances à Ctmstanti le à Ruyen, a également été rappelé 1 W_ 1 noP1-« protestèrent contre l'abrogation de: champ de bataille; les détachements (10 lîlârCnOV 0161X0 capitulations. Les ambassadeurs des puissaa i . i * t r.„ ici..,.™ r,„; ces de l'Entente ertk rambassad-eur italien pre u\Sv.ir et o - ' - ' Ar^rers, 13 septembre, 10 heures soir. — tentèrent une note identique à la Porte er ia regien au Sud de Bruxelles, ont Télégramme du colonel d'Or- sens, les ambassadeurs allemand et autri coojéré à l'action, do mémo que les j0 ^ Marchorefette, représentant l'état cillcn présentèrent une note différente mai: fusili/u's marins, arrirés à Bruxelles major belge, au grand quartier général fran- soutenant même £>oint de rue. vainques jours. Ç®:s 1® 13 septembre à 16 h. 30. rt? 'JïïLm?.Z slrlr5!%é3^£rSS; ^ Canada donnera enoen **a j>tfr les états-majors français et an- 'Voito allemande a repassé hier l'Aisne déjà i i i « 9*1 i £ 1 in& ?" kïmŒ' et Qës sosuais s i o isui twrunti^a. denx corps d'armée se «ont _ ^îena eraenu. v^ares i ont^-ae- .uet» ei dan, l'u< Fo~,liht<s do se P'j-ter au & Zri SÎ . 13 ^c-mbre. - M. WM Lau de. a™»**, allemandes en retraite T™m»i vers.Yafencfeoncs, aurait hier soir ^Angloterr^^'tst" engagéi Nord de »fv Frauco. 4«ja®sé .^ntoing. , lians la guerre sainte. Sek>n mes information* «xudUtatfon a déjà été signalée dans . %tre Sm.yons et Reims, e"n^l 7 a peu de gens dans les Etats-Unis dont îec îuniqué du gouvemomont l'rlinçais du T)>!/rî ^ IL ,°ll >Î^„ jS,, c„ i "'e"rs ro sont j)aa avec nous ot si lord Iv't ,ml>r, 11 " a R3? Jr îi hn9r a «"«o™ d9 soMato du Canade l'Argonne il tenait encore, mer soir. T^ai- ^ aura< fReuters Te.1 Oo ) use de cctto concentration d* toutes mont et Lonpigv^-V-PhâMî»" mais avait per- _ ^ * rs aMomandee disoonibles dans lê pays, Revignoî. et Tîrabant-le-Roy. _ . _ . . r . ». , . Pn Lorraine Tes forces ennemies qui te- T • • rm«s. .eBl ti'ouroo ft « fm do la „.-wt t» Me»r«.e batknt en retraite. Tfm» ild ffilSSlOn DelfiT© journee on presence d'un ennemi su- -»^îs ont poussé jusque Momenv et Pont-n- " en nombre. Son » epii*-»*ent sous An- Mousson. Nombreux nionroments de traita onv "SP'fo'ffi TTn -i c st eff-^vué auiom-d'i.ui. J" personne? et de vn-»«Sri«!I ^.enalwi le 12. dllA Ij ldlb~ U Illc , . A '-a r .c~—*"Zo T*-Cî"^''r!<^\r€fl'Z. ) arntéo do campagne coatfawe a ebre r rr o , -, T ,, r,n,nnemen:«V™t,quir, JI J(( à wna>»btksor des forces imitantes yjj yJlljT? 1 « composée do MM. Henry Carton de Wiart. a en Fiance le p!ns pressait besoin. nministre do la justioe, de Sadeleer, Hymane mrte* do c«s quatre joTirnéfls de com- rlii s-ïÂvnÂwn I 1 ^ ^ andei-vekle, ministres d'Etat, qui a été .t importantes ot mont,., bien l'a- fl|j JÛÏÏfB oenfc «le la lutte , de menu que lor. _ naître au président des Etats-Unis la situa- rencontres, le tir l'infan- Paris, 13 septembre. Ordre du général taon difficile dans laqu-elie se trouve la Bel- rlemand^ s'est montré très inférieur mTche,f arraéfâ :r , . .n • et de l'éclairer exactement sur les V 1' ou résulta oue si le rnmhr, <\~ , bataille qui se livre depuis o.nq jomi-s actes des troupes allemand-os depuis leur ar- e. l! OJ resutt* qu<? SI H> mmba-o û-er- s'^heve en uno victoire incontestable. Un riv<^ cn Reîciqne. n'a pas d'antre obiets et ost msrr considérable, leq blessures reti'aite des lre< 2me et 8me années aifeman- ne p-,s sur tap^, mène de façon hy- géntVcfej pou grarea de notre cô^e. des s'accentue def/ant notre gauche et notre nothétique.une intervention éventineTile dai ca- "•n wt naa do ir.Ame du côb ennemi. c°ntro à son tour. Minet de Washington dans la conflit quo di- solda's a«i dire de leurs officiers' ^ ^ aITmo? df 1 g}?*01 commence a se vise actuellement l'Europe. £oku.«, a a cure te îeui^, oniciers, au ^ord do Vitry et de Sermaise. ; l'roove de beaucoup do saj<;-froid et partout l'ennemi laisse sur place de nom- „ , pa.rfnitenumt ajusté étaiÇen consé- breux blessés et des quantités de munitions. | RC Jr G 1 ' I 11 H Cl trbs œ<iurtiri«r. Partout nous faisons des prisonniers en ga- LuO STlliuUillitiliu «U S IISUC » ' gnant du terrain. Nos troupes constatent les r traces de l'intcaisité de la lutte et de l'im- «««{ nppn partance des moyens mis on œuvre j>ar les uUlildvub^UUb ^ - VElemands pour essaver de résister a notre (rs FlanrW élan <1, rcpiise vigonre.isode Voffensjp. Londres, 18 septembre. - L'Aga-Kh«i. Jll .L IdUUI tî Cela a Jetenmné le succès. Tous offiraere. ohef sp.;rituel des musulmans de l'Inde, ost sous^officiors et soldats vous ayez repondu a 1rrivé „ lVngîeterre. n offre ses ressoirc<?s ,„( fait f|f9pmn« T00S V0US avez biOT ménté ie * Ofr^ personnel pour la guerre: mais ' drni0S a pafcne. / TYwirm? ^omrne il n a pa« reçu d'éducation militaire. An ii<4i . a (gne; Vit v :1 se déclara prêft <\ seirvir comme simnfe sol- de nos volontaires > 3»tt - ( ^ tot- (Reater-S Teiegnwm -C,v.) La Croix-Bouge allemande jncjjqnation américaine raden lee-RouIers un violent omba.t a PQtîîrmPP I ent.ro treupes allemandes et belges. Gui (WAlrjj flfiSU' iPQ nrfiMfïPQ 9 !?0 !Î19 Allemands, forts de 500 cavaliers, ve Les AîHemands respectent à ce point le Droit r""' |JlwUul!uO UÎcy i!!3î('Ju ' la direction i'Ypres, furent rjçw par tant international <5«e privé que fcmrs corps 13 septembre. _ En Amôriquo on eonrri de volontaires embusqués en £ambnlanc.ere a casquette plaie à fond bfanc, ^ ^ ^ des manon,- est arme de fusils en bandoulière de bayon- ,„w ,, „„■ » W j V nctt« et de revolver ï ^ fonrtjonnaares *Eeim«nds pour créer lemi s'avança vivement, mfttant en Ù fait no™ est affirmé par des personnes n . des m.tra.noH««, mais a ftt pri. » yuiout va de. centaines d'ambulanciers à £Mes destiné^'^nf S Unfe par d autres troupes bdges qui fau- . . , . - , ---Tinrent le coaitenu et le renn^soent r>ar dpï htWraleroent !<* r*n;f» allrnsads. L après cela, et 3 en est wj récitant i'nntienne 4ç rajnour de 'a 'ersaire se repli, cn comb.Lt, mais, ..^des conventions sS^^ d^n^ (% A1Wmds' €t !nOTt,>ljt do !'EraP^ X-mT h"%' M tr0ttP6 **** deS AHomands «*«,«»» ; o» qne ces fenite m* ^nées en J _ mitant la signature de l'expéditeur ! »*rtes aUemandes sont do 310 morts et (Reuters1 Tel Oo ) en outre de nom- fengéeS de l'IlC UrC "™~— lertes boises sont très légi». Guillaume II a dit dans son (teuxième mes- O P" !\| TI ÎUÎ |T brillante action, habilenimt menée «««• aprèi la résistant de Liése : Je sera: J « P " » " * <>J» cutée aveo. brio par nos pillants vo- Po"*i <i» oonsMérer 1« Roi comme mon ennem | r S qui se distingueront onove, on peut doit dono à son tour considérer 0 OlSÎTIPrO Itout Allemand comme son ennemi oecmnel. MUMU'W " Mdn hat geschossen ' La traîtrise allerriande établie parties faits Nous avons exposé le système que les fat ves allemands emploient pour incendier e pour piller. Lorsque les s> kiats tentons, wz noui i is par leur mauvais service de vivres roulent piller ot boire, un dos leurs lâche u coun de fusil, le plus souvent de nuit, da-a une rue quelconque. Aussitôt, une patrouille composée de dia vingt soldats se précipite, *>t crie : « Man ha gesohossen • (On a tiré). Les officiers doi nent l'ordre d'effectuer a une répressio exemplaire », ot les soldats brûlent, fusiller et pillent. C'est tout ce-qu'ils demandeni Le coup est fait! Voici un fart OFFICIELLEMENT ETAB1 PAR LES ALLEMANDS EUX-MEMES qi prouve la véracité de notre thèse: Au début de ce mois, ruv St-Servais, à Nf mur, un coup de feu est 4iré la nuit, de 1 fenêtre d'une maison. Aussitôt une patrouill accourt et crie son éternel « Man hat geschoi sen » qui précède la fusillade et le pillage. Cependant, dix bourgeois se sont précipit< à leur fenêtre et ont VU> le leurs yeux vi à une autre fenêtre, un soldat allemand e uniforime, tenant à îa mf n le fusil encoi fumant, avec lequol il a ti é le coup de fei et — comble de cynisme — restant à la fem ^ tre, comme s'il attendait -t répression, l'ii ) eendie et le pillage. Toutefois, en môme tem]?s, les bourgeo ont aperçu à une fenêtre ; commandant a lemand en uniforme qui, ,vans aucun dont a aperçu le soldat. t Que va-t-il se passer? M nute angoissant Les bourgeois jouent le tout pour le.tôu- - Lis se précipitent ckoz l'offi- ier, ot lui disent — Vous avez vu que o\ t lo soldat qui j tiré. Nous sommes ici dix f 'ii avons constat î \o fait. Alleivvous faire fi d • votre propre t - tnoignage, et laisser fusiller dix innocents? Le commandant allemand hésito un instan i On voit qu'il balance enti-e le désir de lav< ) sc-s armes d'une accusation ivave et la bon' . d'un oi*ime odieux. Puis, brnsquemont, il appeile la patrouii . qui attend, l'arme au pied, et commande : —Fouillez cette maison ' On en sort trois soldats fclemands. Le oommandant dit : V'v d. u ->mmes baisse la été. Il cet eonm . né . 'r t«»nrgeois ne soi > p:ufi inq-uiétés: • . —Werhst g<5«tï«6^ en.T .^(Qui a tiré ? Le soldat passa eax. consé# de ;|fferr'v ■ d emx ccmpaguons> «t ; 3Q*nr«n'mandant camp: - ru-r >nt comme témoins. L* w 'dat coupable fi .lc-w'.a nné à mort et huti&ê Voilà un fait...patent, owii-ieïemeîLt. ooa i staté, que les Allemand.-*. erôcrmâmGS pou ver > vérifier .sans peine. La révc'ation ■■ ■ dnie ■ un hasard, à la pour éprouréo par un on eier d-e se chargea- d'un crimo par trop époa , van table. Tl constitue Ta PREUVE du sy -tème en ployé par les Allemands pour pililetr, poi inoondier, ]xnir voler. Nous attendons que la pre ; :o aîlemaude n f » e fait syïb^to'jM.itiqijc. Four le premier soldat be!g qui prendra on drapea allemand Nous remercions chaleureusement ceu de no3 généreux lecteurs qui Veulent cor 1 tribuer à la réalisation de 1a belle idé ! qu'un des leurs nous a suggérée et qui cor ' sisfce à offrir une récompense extraord: naire à ceux de nos braves soldats qui on conquis ou qui conquerront certainemen I sur lo champ de bataille un drapeau en ' tiemi ! Un de nos abonnés, M. C. W., de Bru xe-lles, qui nous a offert généreusemen cent francs, suggère à ce propos que ! somme recueillie soit converti en une o plusieurs MEDAILLES D'OR MASSIF 1 gardant toute sa valeur intrinsèque, e que le bénéficiaire pourra utiliser à so: gré. Cette proposition nous paraît exccllen te. Nous étudions sa réalisation et nou ferons connaître dans quelques jours 1 suite qu'elle comporte. Il est entendu que nous laisserons tou jours au bénéficiaire, la possibilité d'<: changer en tout temps ces médailles con ^ tre leur valeur intrinsèque. Un autre de nos lecteurs, P. W. Co. nous dit en nous envoyant son obole, qu'i voudrait voir passer par nos rues un pa villoo allemand, pris à l'ennemi, et noi «un drapeau allemand», qu'on a déj; trop vu par le passé. Il est tout à fait entendu que jamai plus un drapeau allemand ne passera plu chez nous sans qu'il ait été conquis d' haute lutte sur le champ de bataille! Nous faisons enoore un vif appel à no amis pour qu'ils nous aident à complète: la somme demandée. Les moindres don sont les bien\*enus. Voici la suite de notre souscription: SOUSCRIPTION Report : frs. 499.-P. Magis 5.- 0. Trebels, propriétaire de la future Carlton Taverne, avenu© De ^ Keyser 5._ E. Hénoux, doreur 5.- Anonyme J. N. G. ' 10.- Fornand Rondeau 5.- M. Celis 5.- En Hollande La rôle da l'année Sons le titre « Le peuple en armes », M H. Colyn, ancien ministre de la guerre e: Ho-llande publie dans le « Jonge Man » u: long article sur le rôle de l'armée des Pays Bas, dont voici un des paragraphes finaux « Enfin, me référant enoore aux « Ham burger Nachrichten » du 11 août, il 6'agi (actuellement) d'un nouveau règlement d' la proposition dos forces dans l'Europe ces traîe; d'une modification de tout l'organisai politique du vieux monde. » Cela « peut » conduire à la nécessit d'abandonner notre neutralité. Si une oart de l'Europe entièrement nouvelle doit ôtr tracée, si tel doit être le résultat de la lutt entreprise, il « peut » se présenter un mo ment où «nous aussi» nous pourrions devoi faire entendre notre voix. Non pas aveo l'en vie folle et ridicule de ftiiro de la gronde poli tique, mais pour garantir nos intérêts lors di règlement final. Et qu'on ne perde pas d rue, que quelque deux cent mille homme le troupes entièrement fraîches vaudrai en trois fois plus à la « fin » qu'au commoncc ment d'une grande guerre. »A cette fin aussi, l'armée (hollandaise loit « attendre», prête à passer aux acte55 — «Priez Dieu, mais tenea la poudr sèche. » 'Au pays wallon A Wayre Un habitant de Wavre, qui a assisté à l'entrée des Allemands à Wavre, nous a na-oonté oomme suit ce qui s'est passé dans - cette ville. t Le jeudi 20 août à 7 heures du matin, les 1 uhlans entrèrent à Wavre où ils établirent , leurs champ d'aviation à La Barrière. :i , Environ 250,000 Allemands défilèrent dans t les rues de la ville. Ces troupes étaient haras- - sées de fatigue et mouraient de faim, elles a ooutinuèrent, à traverser la ville le vendredi t 21 août. A ce moment, se trouvaient en ville doux régiments d'artillerie et d'infanterie. Vers 9 1/2 heures du soir un aéroplane fran-I çais vint inspecter les lieux, projetant la ii lumière de ses phares sur les différents oam-peinents allemands. Une fusillade épouvan- - table eut lieu pendant 20 minutes; pendant a oo temps arrivait en ville la 3me compagnie e du 16me régiment d'infanterie. Quelques s- soldats (7 hommes ot le capitaine von Scho- neberg) furent blessés, et un tué. s Le matin une partie de la ville était en i, feu. Le commandant de réserve WiGebrandt, n prétendant que les civils avaient tiré sur le? e troupes allmandies, de nombreux habitant* |» furent emprisonnés comme snsprots, dans les i- éooles pendant que le bourgmstro, un éche-vin et un employé de l'état civil étaient prisonniers à l'hôtel de ville. 15 Tj& capitaine Willebrandt exigea uno oon-trdbution de guerre de 100.000 francs à pave» 0 le 23 à midi et dans une proclamation ordonna à tous les hommes valides de se trouver -• à l'hôtel de ville à 5 heures de relevée. T.n -• natiique s'empara des habitants: nombreux : ?u.rent ceux qui s'enfuirent, qui dans les bois a qui dans les villages environnants. Environ é ->50 Wa-vriens se rendirent à l'hôtel de villç L à l'heure indiquée et vingt d'entr'eux recurent mission de faire la patrouille avec les t- soldats allemands pendant la nuit. Ce fut m1 r vrai oalvaire pour ces malheureux qui furent ,e obligés de voir iroendiipr certaines maisons sous prétexte que la veille on avait tiré. Los e pillards no restèrent pas inaetifs car outrr 'kvh 57 maisons brûlées, ils ont pillé et saccàg*1 33 maisons. Plusieurs habitants furent liés aux canons pondant trois heures avec 1a menace de tire.T -- lo canon au moindre mouvement. Le diman-it e^e l'exode des habitants continua et lorsque ■n l'absence du capitaine Wifflebrancli, le lieu-1 Bumberg se présenta ]>our encaisser V ..;. 11 :, "t de la contribution df . 5'X) habitants h t \Vvrre. . î^a stjmme pa-vée j'fr la vufle a etoTaro s • - -»1 .-"00 f.rânes onraretu. - • (_>n fit remarque^ au Henieiit.iît Burnber-;: U que ,.i hï: seul fait prodiMfcaic ei • >re QOV't:* .a vviie, knî ii^ji-.ar-tx-v •; i-ia.-; acienii i- et Croix-Rofcgo cv UHe, ^vaéueraient M vâk le lendemain et les bks^R'-7 tjitic.v.r i- trouvaient être plus de 200, seraiWity^'I-i"^ r mÎ9 sans soins. Depuis ce t>amps la tranquillité régna jus-i- qu'au 28 août, quand de nouvelle^ troupes '.n:jMihï.iidos a. !-> cipa» .-t x.Vav7-j c. réô-:.• "ont la somme de trois millions^ dont un ver-cernent payable immédiatement et les deux R -Mitres ie ier septembre. I-te emmenèrent 13 >tag?s avec ceux ; trois furent libérés le 'eiuleniain. Un quatrième rentra le 5 septem-[1 Hre*ot vint réclamer la somme de deux mil-lions sans quoi la ville serait bombardée. Les otages avaient été dirigés sur Gem-bloux, de là à Beau mont, ensuite à Fourniers, où iis se trouvaient le 4 septembre. K A la rentrée du quatrième ota<re, le capitaine von Schbnfe'd qui se trouvait encore en traitement à Wavre a donné une lettre nour le gouverneur .militaire allemand à Bruxelles, disant qu® lui ne pouvait pas dire qu'il avait été blessé par une a:rme beilge, et que t depuis il était soigné à Wavre mieux qu'il t ne l'aurait été chez lui, et que les soldats _ allenrands qui avaient été soignés dans le-•ijmublanCes avaient été teifflement bien traités . qu'ils avaient demandé de les laisser à Wavre. j. plutôt quo de les transporter dans d'antres villes, et qu'en conséquence il le priait d'é- 1 nargner la ville. . Les fusillades de Liège ^ Les crimes des Allemands autour de Liège ont été particulièrement nombreux et plus odieux peut être que partout ailleurs. A Soumagne ils ont fusillé 270 hommes, s au hameau de Labroul dépendant de Soiuna-i gne ils ont fusillé 81 hommes sur 82. A Her-mée, il resto dix maisons debout. Warsago, . ifouron-le-Cçante est anéanti. A Spontin, _ tous les hommes ont été fusillés. A Andenne où tout est détruit, il y eut 400 fusillés. Les Allemands y proclamèrent que tous ceux qui se présenteraient volontairement au-» raient la. vie sauve, mais fusillèrent tous ' ceux qui se présentèrent. A Lincé, oommune de Sprimont se passè-i rent ces faits particulièrement horribles: Un i offioier allemand venait do terminer son dîner chez M. Nandrin, gros éleveur de che-. vaux, quand il avisa un poste téléphonique ' avec les notes du télégraphiste militaire qui 3 l'avait eafflplové en dernier lieu. ? Tl accusa M. Nandrin d'entretenir des intelligences avec l'armée belge et le fit fusil-5 1er. Le fils Nandrin abattit à son tour l'offi-■ "1er allemand et fut fusillé. Et l'on fit boire ; \ Mme Nandrin et à ses deux filles âgées de 30 et de 32 ans le sang de l'officier allemand ! La personne qui nous rapporte ces faits dit nue malgré les vomitifs qu'on lui fit prendre. - "horreur de_cette abomination fut telle c!ip7 - Mme Nandrin ou'elle serait s'non morte au moins dans un état voisin de la mort. La première encyoiique tia Pape Benoît XV Rome, 11 septembre. — L' « Osservatore Romano i> d'hier soir publie la première encyclique de Benoit XV. Dans le début de cet important document la Pape dit qu'il ne se croit pas, pour ce qui . regarde sa personne, en état de remplir la i tâcha oxtraordinaircment grande à laquelle i il a été appelé par son élection h la Papauté. - Sa Sainteté déclare cependant avoir oonfiance : en 1a clémence divine qui, après lui avoir - imposé la très lourde tâche de la dignité pa-t pale lui donnera également les forces néces-a saires et le courage pour supporter cette - charge jusqu'à la fin. ? Plus loin lo Pape exprime sa grande douleur et son horreur pour l'image terrifiante ' de la guerre qui se déroule devant ses yeux. ? Une grande partie de 1'-Europe, écrit Sa Sain-? teté est en feu et en flammes et rougit sous ? le sang des chrétiens. - Avec les sentiments d'une véritable affec-r tion paternelle Sa Sainteté déclare embrasser - tons les enfants de l'Eglise. Le Pape promet - aussi de ne rien omettre et de ne rien r.égli-i gar de ce qui peut mettre fin, aussitôt que ? oossible, à wffie aussi terrible catastrophe qui ? z affligé l'Europe. A tous les enfants de l'Eglise et surtout - iu cïergé et h ceux qui appartiennent aux ordres religieux, le Pane Benoit XV, en con- • n mat-ion de ce qu'a déj h fait le Pape Pie X. recommande de demander à Dieu, par des ? prières publiques et pnrticulièrea qu* la znerrs puisse prendr* fin. GontiVna à I histoire DOCUMENTS ANNEXES (Suite.) Les protecteurs de i'écote allemand Nous recevons la lettre suivante: Anvers, le 12 septembre 1914 Monsieur le Rédacteur en chef, du journal La Mépropole, Anvers. • Monsieur, J'espère que vous m'excuserez si je re viens encore une fois sur la question d l'Ecole allemande pour une question o mou honneur de citoyen est en jeu. En m référant aux arguments de M. Itscl^rt dans ma réponse à votre article du 7 cou ran-t, je croyais avoir suffisamment- mio , point que ma souscription ne portai qu'un cachet do bienfaisance et n'aurai certes pas eu lieu sous l'empire de la cir culaire anti-nationale de 1913. Il paraît cependant que d'aucuns trouvent au contraire matière à douter d mon loyalisme. L'honneur est le seul biei que beaucoup d'entre nous sauveront d cette maudite guerre. Je tiéns au mien e n'entends pas qu'on m'accuse de faux fuyant. Pour être bon patriote point n'es besoin à mon avis de le orier sur tous le toits; et si dans ma lettre en question j n'ai pas dit quo mon sang bout quand j songe au crime odieux dont l'Allemam s'est rendu coupable envers notre patrie î • i?'il ne saurait en être autremen i; ->u " qiîic-^nque a d'être belge jSuis-je assez oîa.ir cette fok-i? - h r j i.Et quant à ceux qui» au îieh d^d- nigre •An riot.% dÀîi-revraient s'édifier 3u les priîiciocïs^ -!C.yp?]ijsrne que j'ai ii»cuî enfa :U, qu'ils, aaprè'« -de feu'rs chefs aii..fnî^' uëtJ'%ïiô (; aux chasseurs éc.-'r^n'w. 6t'qu'ils, prein nent connaissance des lettres cie on -pi ?'ème fils av\ ect en riment-e.n ront du Brésil pour aller rejoindre son corps Je vous serais fort obligé, Monsieur 1 Rédacteur en chef, si vous vouliez insère cette lettre dans votre prochain numéro et vous prie d'agréer avec mes remercie ments anticipés, l'assurance de ma haut considération. A. BORN. Les fournitures allemands: de ia guerre L'Industrie nationale, l'importante re vue qui mena si vigoureusement campa "ne contre la faveur trop réelle dont le Allemands jouissaient auprès des ad mi n situations publique, signala à mainte reprises que l'administration de la guerr n'était pas exempte de cette dangereux infiltration. C'est toujours, comme nous le faison remarquer au commencement de cette en quête, la même confiance aveugle et dan gîî-rpuse. • * • L'Auto-Matador, appareil extincteu: allemand, publie comme réclame Pattes kation suivante : En suite des expériences à l'aéro drome de Brasschaet le 10 mai 191S par votre représentant en Belgique je vous prie de ne faire parvenir (S, huit appareils extincteurs Matado, Auto-Aère pour le service de Vaviw• tion militaire. Ces extincteurs devront être fournis endéans le 15 jours à dater de la présente. i A Monsieur Gustave Hornig, J Directeur do la Matador, Brabanter Strasse, 25, COLOGNE. Plus récemment encore la Métropole a • signalé le nombre et l'importance des installations électrique qui furent si imprudemment confiées aux filiales des maisons allemandes Siemens-Schuckert et A. E. G. -Or nous savons aujourd'hui, de source L> certaine, que l'installation toute récente j de l'éclairage électrique dans les forte de ? la seconde ligne de défense à Anvers, qui ) n'avaient pas encore leur équipement définitif a été effectué en partie par le per-1 sonnel et avec les dynamos et autres maté-t riaux de PA. E. G. réquisitionnés à cet t effet. Waak en Sluit ;• Il y a quelques années, les An verso is ? perspicaces furent douloureusement sur-i pris.de voir intaller chez eux la société de 5 surveillance «Waak en Sluit», à laquelle t on accorda immédiatement des avantage* qui n'avaient pu obtenir les sociétés an-t versoises similaires. s On lui accorda notamment l'autorisa^ ? tion d'armer son personnel. • Tout le haut personnel inspecteur por-] tait le sabre et la longue tunique alleman-. de. Des brochures avec illustration signi-t ficative montrant les «veilleurs» réunis de Cologne, ne laissaient aucun doute sur l'origine même de la société. Voici ce qui r x>nfÀ r.t cette brochure : SOCIETE DE SURVEILLANCE -j ' WAAK . EN S.LVIT t Société anonyme ,» tV'_ ' Bureau : 16J2, M arc h ë-(t u x-S ou lier s : j '* 'l'éléph'me 4309 . -\rî & de (Jnéyi,inr;T7c v ' "'m. ! Sociétcs"he -fc?..? •:r viW-ahic cn A l'instar de cette institution c. or r analogues se sont constituées dans le coiffant des dern tires années d<ins presque tons les grands centres. En dehors des nôtres, on vit bientôt dec sociétés semblables se créer dans plusieurs villes, qui prirent, quant à l'uniforme.9 mx insignes, plaques etc., l'apparence de 3 7a société de surveillance fiJTaaÀ en Sluitn c.t ce pour faire croire à Vhomogénéité avec nos sociétés, mais qui, assurément n'en ont rien de commun, puisque les riô» très, ont toutes été organisées et installées sur le même pied que celle de Cologne. 5 En ce moment nos sociétés fonctionnent ' à Augsburg, Berlin, B eut h en, Bonn s!Rhin, Breslnu, Dûsseldorf, Eberswalde. Gleiwitz, Halle, Hambourg-Altona, Tîei» de.lberg, Kattowitz, Kiel, Cologne, Kô-nigshùtte, Copenhague, Crefeld. Knnig** 3 h erg, ÎAiurahutte, Lvbeck, Manvheim, Wiïnich, Mysiowiti, Keumilnster, berg, Posen, Ratibor. Schwientochlov itsr Stettin, Strasbourg, Swinemundey Vienne, Wurzbourg. Zabrze. * v • Voici les dispositions prises par la so* ciété pour la durée de la guerre. SOCIETE DE SURVEILLANCE WAAK E F SLUIT 18," Marché aux Souliers, à ANVERS L'administration de «Waak en Sluit»f . ne présence de la situation est tenue momentanément de faire son service en bour• rjeois si non rien n'est changé dans Vexé» cution de sa surveillance. , Les hommes sont porteurs d'un permit , de port d'arme, délivré par VAdministra-i tion Communale ou d'un permis de sen • vice. Anvers, août 101 i. L'ARM RUSSE SEPT MILLIONS D'HOMME Pour le service militaire la Russie dispo do plus d'hommes que n'importe quel pa d'Europe ou d'Amérique. Chaque année, i million d'hommes environ atteignent l'âj du service militaire. Do oo nombre on prei 3G5,000 hommes à peine, pour la raison bii simple que l'Etat n'a pas besoin de pli Ceux qui sont choisis sont les meilleurs i point de vue physique ; la Russie ne peut payer le hixo d'entretenir sous les drapeai des faibles ,dans un pays, où les conditio do l'existence sont déjà si difficiles que sei les plus robustes peuvent résister. Par eui la l'étendue énorme de l'empire et des oe tain-es de races et de tribus qui 1]habiter la force totale do l'armée est toujours u quantité inconnue. D'après des statistique® russes, dont il n a pas lieu do se méfier, l'armé® total® mobi séo sur pied do guerre, y compris ses ré« vos, est forte d'environ six millions d'hoi mes exercés, soit 20 pour cent de la popul tion. Outre ceJa il y a encore l^Opolchina». -milice, qui compte rie 890,000 K 1,000.0 l'homme*. L'cOpolc&sna» s® compose d'hoc me®, â<rés 40 à 50 an», qui ont fait leur «ta-dans la lijrne et dans les réserves. Malg Tour fige, beaucoup d'entr'eux so^t d'exc lents soldats, supérieurs à certains points vue aux soldats réguliers. Lorsque la Russie fut conquise et en val nar ]es Polonais, oo fut 1' «Opolchina» Vijni-Novgorod sous les ordres du priri Po~harskv et du bouclier Min in, qui eondi it Parm^e H Moscou, rejeta l'ennemi hors < Kremlin et sauva le pnvs de 1a dominati ^tranr»Nre. Durant l'invasion de Napoléo en 1812. l'«Opolohina», sous la conduit-e > aPomesohil-e» (las gontilhommes terrier rendit également de signalés services oavs. Outre ces forces, on compte environ 60.0 acndarmes. l'élite de j'armée, et envir 35,000 gardes de frontière, toujours sur pied de guerre. Ce corps admirable, qui fut orpa* rvisé sous le ministère de M. de witte, le fa* maux chancelier, a probablement déjà été et» C action, car ses hommes sont les premiers; ^ \ subir le choc d'un envahisseur, passant har Frontière. se A côté des patrouilles sur la frontière il» ys doivent traquer et combattre les fraudeurs^ m qui font un trafic actif mais danswvMix sur ;e '"s frontières russes et asiatiques. Par suite id des droits élevés sur les articles de luxe et sur mi beaucoup de denrées nécessaires h la v;e. îs s. fraudeur est largement pavé de son audace, lu -winme c® fut le cas en A.nçrlaterre pendant 1» se nériode Géorgienne et le début de la périodf ix Victorienne. T/es cardes-frontière, qui sont is instamment on. lutte avec les fraudeurs ei Js -l'autre b«nd:ts, sont des hommes d'élite, ca^ te -aliers ho«-s ligne, tireurs excellents, endu* n- -a-»'ts et nleins de ressources. t. Les garde-frontières sont peu connus en io -Vhors de la Ruscie ; mais les Cosaque* se sont cait une réputation mondiale de cavaliers en* 'y «-.reprenants, hardis, mérvrisant le datitrer ou l> 'a mort. En tout, il v a R"0.000 Conques, vo-■r- nant non seulement du Don, du Donetz, dtt n- Oaucase on do l'Oural. mn:s également def a- '>rov'nces éloig 'es de la Sibérie. Selon la façon russe d'estimer la^force d'uni >1' ~éf?;ment, il v n lieu de croire ai» îa fores W ^omba+tive effe<-tive de l'armée russe est en* n «ore plus grande que ne le constatent le® y.o dncum-ents officiels. Si le pays est capable iv l'appeler sous les armes une armée aussi ^ énorme, et, eela facilement, que no pourra-t-ir <41e faire dans une centaine d'années? Tl y a environ deux cents ans, P:erre le ;c Orand. vivait une vie paisible près de Charinjç l- Oros® Station ^ Londres, étudiant l'art de la c construction navale. T/a Russie ne possédait tj. -".^ors aucune flotte diene de re nom ; sa popu-lv 'ation était de 14 millions d'âmes. >n Depuis nue Pierre le Grand « ouvrit so fa* n nôtre du côté de l'Europe» la population ds 1" "on Empire s'est- élevée h 165 m*M*ons d'âmes^ s11 ^omme ces chiffres, grâce aux Slaves prolifi» tu nies, sont doublés tons les cinquante bus. 1* Russie aura dans un demi-s'ède. et sans oomp-D0 '-r s"s alliés slaves du Sud, une populatiofi jnjde 330 millions d'âmes, au bas mot.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Métropole gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in - von 1914 bis 1918.

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