La revue congolaise

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s.n. 1916, 21 Dezember. La revue congolaise. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/348gf0nz0p/
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LA TRIBUNE CONGOLAISE d'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. Directeur-Propriétaire JEAN PAUWELS, 29 Dalmeny Avenue, Tufnell Park, Londres, N. ABONNEMENTS. Conêo"1* ® shillings l'an payables par anticipation Union Portai. - I j en »n mandat po.t.1, LA RELEVEMENT MORAL DE LA RAGE NOIRE, t Dans ses impressions de voyage au Congo, publiées dans le dernier numéro de La Tribune Congolaise, M. Moseley, administrateur-délégué des Huileries du Congo Belge, a parlé incidemment de l'organisation et du développement de l'éducation et de l'enseignement technique dés indigènes. Comme ces questions sont parmi les facteurs essentiels du développement de toute colonie, il nous a paru intéressant de demander à M. Moseley de bien vouloir préciser ses vues à ce sujet. A mon avis, nous a-t-il dit au cours d'une entrevue que nous avons eue avec lui, l'éducation et le relèvement de l'indigène est du plus grand intérêt pour le Congo. Tant que cela n'aura pas été fait, aucun progrès sérieux ne pourra être obtenu. L'avenir de la Colonie dépend plus que largement des indigènes, et pour ce qui concerne notre propre entreprise, reconnaissant ce fait, nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour atteindre le résultat désiré. l'oint n'est possible de trouver un terrain plus approprié que l'indigène du Congo' ; c'est tout particulièrement le cas pour la jeune génération. Elle est des plus malléable et s'assimile facilement les choses qu'on lui enseigne. Si des efforts réels sont faits pour éduquer l'indigène, il n'y a pas de raison pour que le Congo, d'ici peu d'années, ne possède pas dans ses indigènes un soutien appréciable, comme c'est le cas dans les colonies voisines, française et anglaises. A présent, le Congo dépend pour la main d'œuvre du déchet de ces colonies. Cet état de chose, loin d'être désirable, est au contraire plein, de danger et il faut y remédier au plus vite. Si les natifs du Congo étaient aussi bien éduqués, mettons que ceux de la Côte d'Or, il n'y aurait plus un endroit du Congo qui ne serait pas, d'ici peu de temps, ouvert au trafic et au commerce. Les soins médicaux à donner aux noirs, il va sans dire, sont d'égale importance, mais le relèvement des indigènes par l'éducation sera à ce point de vue, d'un précieux appoint. Des résultats appréciables dans ces deux ordres d'idées ont déjà été obtenus par notre entreprise, mais permettez-moi de m'abstenir de vous donner des détails à ce sujet. Au surplus, ce que nous avons déjà réalisé est connu mais peut-être vous paraitra-t-il intéressant d'avoir l'avis du Rév. Père Mortier, supérieur des Missions de Scheut auxquelles a été confiée l'organisation de notre école d'Alberta qui vient d'être ouverte. *«.* * Le conseil étant bon, nous l'avons suivi. Voici ce que le Rév. Père Mortier a eu l'extrême obligeance de nous répondre. Londres, le 18 décembre 1916. Monsieur le Directeur, Vous me demandez quelques renseignements sur la nouvelle école Alberta, des " Huileries du Congo Belge." Je suis heureux de pouvoir vous satisfaire. L'idée de la fondation remonic à l'époque de mon voyage au Congo. Sir William Lever m'exprima alors son vif désir de voir établir une ecole qui pût fournir aux Huileries des clercs instruits et des employés intelligents. 11 avait reconnu chez les noirs du Congo des dispositions naturelles qu'il n'avait pas rencontrées au même degré chez des peuplades de race noire qu'il avait visitées ailleurs. La remarque me parut d'autant plus judicieuse que la même opinion venait de s'enraciner en moi, à l'ocasicon de la visite que je venais de faire dans 30 centres différents où nos missionnaires de Scheut s'adonnent à l'instruction des enfante noirs. Les résultats y obtenus m'avaient paru en tous points très satisfaisants.Il semblait dès lors que le temps était venu de ne plus nous contenter de la formation de catéchistes indigènes, mais qu'il fallait en outre utiliser ceux qui étaient instruits, soit dans la carrière administrative ou militaire, soient comme employés dans les diverses entreprises coloniales. Moyennant une sélection intelligente, une formation technique spéciale de chaque catégorie d'élèves assurerait 1 les meilleurs fruits. Le système a déjà été éprouvé par l'Etat, qui a fondé des écoles spéciales, dont celle de Lusambo peut être citée comme modèle. 1 Ce ne sont pas les élèves qui manque-, ront. En effet, l'empressement des noirs 1 vers les écoles a été, je dois le dire, le plus grand émerveillement de mon voyage ; au Congo. Je n'y croirais pas, si je ' n'avais vu de mes yeux les files d'enfants 1 se rendant par centaines à l'école. Les • classes de Luluabourg comptent 1977 1 enfants ; celles de Hemptinne, 2250. Une ' des écoles fondées et entretenues par la : Compagnie du Kasai m'a particulièrement intéressé. ' Je pus donc donner le plus complet ; assentiment au projet que Sir William - Lever avait en vue; je lui promis volon-î tiers notre coopération, dans l'espoir de ; faire œuvre utile tout à la fois au relève- 2 ment moral de la race noire et à la pros-1 périté des entreprises coloniales. r La guerre a forcément retardé l'exécu- > tion du plan. Ce n'est qu'en mai dernier t que le Père Dereume, ancien Directeur de - l'Ecole Coloniale de Nouvelle-Anvers, put quitter Londres pour aller au Congo - mettre l'école sur pied. En octobre, il 1 avait 23 élèves, réunis dans un local pro-= visoire, en attendant l'achèvement de la 3 construction des classes. Le fonctionne-s ment de l'école était régulier, parce que s les premiers élèves étaient déjà au courant i des éléments de lecture et d'écriture appris > dans une école voisine. s Quant au côté éducatif du programme > à suivre, je me permets une suggestion. 5 La question est délicate et exige la plus grande discrétion. Le noir doit être élevé 1 par degrés sur l'échelle de la civilisation ; • ce serait une grave erreur de l'y hisser > d'un bond, au risque de lui enlever la t conscience de la supériorité sociale du 1 Blanc. Mais, d'autre part, il y fi grand " avantage à l'initier graduellement aux f bonnes manières et aux habitudes sociales 2 des peuples civilisés, ce qui est un pre-1 mier pas vers le ' ' self respect. ' ' Dans ces conditions, notre espoir com-' mun est que l'œuvre réussira. Elle est ' sous tous rapports capable de produire les 1 résultats que le fondateur en attend. Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l'assurance de mon parfait dévouement. 5 Rev. Pere Mortier. ■> i ; Nos Informations 1 3 Le départ du Colonel Malfeyt. " M. le Colonel Malfeyt, vice-gouverneur général, désigné par le Roi pour remplir les hautes fonctions de commissaire royal dans les territoires de l'Est Africain • Allemand occupés par la Belgique, a 1 quitté Londres, le 9 courant, pour s'embarquer à Tilbury, en destination de Tabora, via le Cap et Dar-ès-Salam, et non le Katanga, ainsi que nous l'avions - dit par suite d'un lapsus calami. s M. le colonel Malfeyt a pris le train à 3 la gare de St. Paneras. Sur le quai on remarquait parmi les personnalités venues pour lui souhaiter bon voyage : MM. Périer, Charles Scheyvaert et le Lt. Camus, du Ministère des Colonies ; A. De Bauw, directeur général du Comité Spécial du Katanga ; Alex. Van Opstal, directeur de la Cie Belge Maritime du Congo; le capitaine Van Damme, etc. M. le colonel Malfeyt s'est embarqué avec le Ct. Stubbe, son secrétaire, le Ct. baron Greindl, son aidc-de-camp, le capitaine Goor, capitaine de navire et le juge de première instance Marzoratti, qui l'accompagnent à Tabora. Sous peu d'autres membres de la mission Malfeyt iront rejoindre le commissaire royal à Tabora. Ce sont : MM. le comte lieutenant de Briey, chargé de l'organisation au point de vue économique - des territoires conquis, son commis, M. Maertens, et le chef de culture Mortehan. t Concernant le départ du comte de Briey, - ajoutons que le Roi a bien voulu le 1 décharger, sur sa demande, de la direc-i tion de la Liste Civile, que le comte de î Briey avait acceptée en 1902 pour répon-î dre au vœu du souverain, au milieu des 3 délicates questions juridiques et politiques - que provoquait alors la succession de . Léopold II. En reconnaissance de ses services, le comte de Briey est autorisé à conserver ' le titre honoraire de ses fonctions en , même temps que le Roi lui a conféré : l'Ordre de Léopold et la Croix de Guerre. *** L'avant-veille de;- son départ un lunch s avait été offert à M. le colonel Malfeyt : au Mason's Hall, par notre excellent ; confrère, Léo Weinthal, directeur de î l'African World, qui avait tenu à réunir 3 les amis de Londres, du Vice-Gouverneur 3 Général. Idée très heureuse qui a permis 7 à ceux-ci de passer une heure des plus ; agréables. i La petite réunion, tout intime mais des - plus cordiale, était présidée par M. Léo Weinthal, ayant à ses côtés : MM. t Robert Graham ; C. du P. Chiappini, com-i missaire commercial du Sud Africain ; J. - Ross Townshend, de la British South ; African Company ; Libert Aury, directeur - de la Cie du Mozambique ; N. Cito, - administrateur de sociétés coloniales belges ; Anatole De Bauw, directeur - général du Comité Spécial du Katanga ; r F. Emett, de l'agence Reuter; F. P. s Castellain, de la firme Le Lâcheur et fils ; t Judson, sous-directeur de la National > Bank of South Africa ; Alex. Van Opstal, 1 directeur de la Cie Belge Maritime du - Congo; Frederick Gale; L. Scotland, i secrétaire de la Tanganika et Jean Pau- - wels, directeur de La Tribune Congolaise. A la fin du lunch, notre confrère Léo t Weinthal se faisant l'interprète de toiis, s a souhaité en termes excellents bon voyage au Colonel Malfeyt et a formé e les meilleurs vœux pour le nouveau séjour en Afrique du Commissaire Royal de l'Est s Africain occupé par les Belges. \ Les partants de 1' " Anversville." ^ Se sont également embarqués à bord j de la malle congolaise Anversville : j Pour le Ministère des Colonies (2e liste) : j MM. Delhaye, capitaine ; Paquet, chargé < de mission (service postal) ; Godts, inspec-s teur provincial adjoint des Finances (avec _ sa femme); Jacqmin, agent territorial de 3e classe; Delgof, agent territorial de i6rc classe ; Hunstad, capitaine. t Pour les Produits Végétaux de Haut s Kasai : M. Ducès (4e départ) et sa femme. Les partants de 1' "Elisabethville." > S'embarqueront en janvier, à bord de la malle congolaise Elisabethville : Pour le Ministère des Colonies : MM. Paul Storms, docteur en droit, magistrat à titre provisoire (iire terme) et Isidore , Tyberghien, agent de l'ordre judiciaire ' (iirc terme). Prochains départs. S'embarquera sous peu pour le r Katanga : M. Monseur, agent de l'ordre r judiciaire (3e départ). 1 S'embarquera le - 6 janvier pour le 1 Katanga : M. Cliquet, agent militaire (3e 1 départ) qui vient de faire 22 mois au front - belge. 2 Les rentrants. Est annoncé, comme rentrant, venant 5 de l'Est Africain Allemand (territoire occupé par les Belges) : M. Dellicour, 1 substitut du Procureur Général du 1 Katanga, qui a rempli, avec grande dis-5 tinction, les fonctions de conseiller juri-■ clique du général Tombeur. Parmi les rentrans de l'Elisabethville se trouve M. Bonmariage, substitut du Procureur du Roi à Matadi. x Dans la Magistrature Congolaise. Par arrêté royal du 15 septembre 1916, 1 M. Beken, G. T. P., magistrat à titre . provisoire au Congo Belge, est nommé, - à titre définitif, Juge suppléant du Tri- 2 bunal de ie instance à Lusambo. 1 Par arrêté royal de même date, M. Gaspar, A. G. J., magistrat à titre provi- - soire au Congo Belge, est nommé, à titre - définitif, Substitut du Procureur du Roi ; près le Tribunal de i° instance de Coquil- 2 hatville. ; Par arrêté royal de même date, M. . Hérinckx, J., magistrat à titre provisoire . au Congo Belge, est nommé, à titre défi- , nitif, Substitut du Procureur du Roi près 2 le Tribunal de ie instance de Lusambo. Par arrêté royal du 30 novembre 1916, 2 M. Marzorati, A. F. G., docteur en droit, - est nommé, à titre définitif, juge de Tri-5 bunal de i6rc instance de Stanleyville. S M. Marzorati a été mis à la disposition 2 de M. le commissaire royal Malfeyt, en qualité de conseiller juridique. Le Colonel Chaltin. Nos coloniaux apprendront sans aucun doute avec un vif regret que lé brave Colonel Chaltin, que nous espérions voir arriver en Suisse, a été refusé, pour la seconde fois, à la visite médicale à Constance, de sorte qu'il a été renvoyé au camp où il était prisonnier jusqu'ici. Nos congolais au front. M. le capitaine Ecuyer Louis de Norman, un ancien congolais, qui retournera au Congo dès la fin des hostilités, et qui se trouve actuellement au front, vient d'être décoré de la Croix de Guerre et nommé chevalier de l'Ordre de la Couronne (avec attribution de la palme de guerre) avec la mention : " pour sa belle conduite habituelle et l'audace et l'énergie avec "lesquelles il a conduit nuitamment une expédition ayant pour objet d'amener des prisonniers, opération qui a pleinement et brillamment réussi " (ordre de l'armée du 6 décembre 1916). Précédemment M. le capitaine Ecuyer Louis de Norman, a séjourné dans le district de l'Ubangi, d'abord à Ekuta, comme chef de secteur, puis à Bwado, comme administrateur territorial de ière classe. A chacun de ses deux séjours, il a du être rapatrié pour maladie. Ami intime de feu le brave commissaire de district Van der Cruyssen, qui l'avait signalé au Gouvernement local comme un aide précieux pour l'administration de la région très sauvage et difficile de la Lua (les deux tiers du district de l'Ubangi), M. l'Ecuyer de Norman se trouve actuellement sur l'Yser, près de l'endroit où ce courageux chef de bataillon tomba glo>-rieusement et en héros. Dressé à son école, il a voulu, là où tomba son chef et ami, montrer que les Africains sont en toute circonstance dignes de ce beau nom de Congolais, qu'ils savaient, à l'instar de leurs chefs, se sacrificer pour l'honneur et pour la Patrie. Il était un de ceux qui par leurs fonctions territoriales se voyait dans l'impossibilité de pouvoir combattre en Afrique Orientale Allemande. Pendant la guerre, il devait rester administrateur de territoire, mais il préféra démissionner aux Colonies (A. R. dui 6 juin 1916) pour pouvoir combattre sur l'Yser où il se trouve depuis le mois de mars de cette année. M. l'Ecuyer de Norman est décoré également de l'Etoile de Service à une raie. Il commande la compagnie, la plus brave peut être du régiment, et a sous ses ordres une trentaine de décorés. *** Nous avons reçu des nouvelles au sujet du corps des autos-canons de l'armée belge en Russie, corps dont fait partie, ainsi que nous l'avons annoncé, M. A. Polchet, fonctionnaire au Ministère des Colonies. La campagne se poursuit d'une façon très satisfaisante et nos soldats remplissent tout leur devoir le mieux possible. Malheureusement le corps a déjà subi quelques pertes cruelles mais il a remporté aussi quelques succès appréciés. A deux reprises différentes il en a été fait mention aux ordres du jour des armées de S.M. l'Empereur de Russie et ils ont valu à nos braves soldats l'approbation de notre Cher Souverain. Mort de Melle. Marguerite Cassart. Mme. Cassart, veuve de notre ami le regretté Florent Cassart, un de nos héros congolais, vient d'être douloureusement frappé, par la mort de sa fille, Melle. Marguerite Cassart, décédé à Paris, le 30 novembre 1916, à l'âge de 15 ans. L'inhumation provisoire a eu lieu au cimetière de Bagneux. Nous présentons à Mme. Vve. Cassart nos condoléances les plus émues pour la perte cruelle qu'elle vient de faire. Les prolongations. Sont autorisés a continuer leurs services à la Colonie après l'expiration des dix années prévues a l'arrêté royal du 27 mars 1912 : Par arrêté ministériel du 30 juillet 1914 : Jusqu'au 31 juillet 1914, M. Fris-ciotti, G. P., conducteur de travaux. Par arrêté ministériel du 15 mai 1916 : Pour une durée qui sera fixée ultérieurement, M. Etienne, E. J., médecin-inspecteur.Par arrêté ministériel du 15 mai 1916 : MM. Di Nucci, V. U., lieutenant de la Force Publique, Hultberg, P. T., lieu tenant de la Force Publique, Coussement, J. B., administrateur territorial de 2Mme classe, Boucher, F. T. L., chef de bureau de ièrc classe du service des Secrétariats, et Rieux, G., agent d'administration de 2iémc classe. Sont autorisés à continuer leurs services à la Colonie après l'expiration des dix années prévues à l'arrêté royal du 27 mars 1912 : Par décision ministérielle du 28 juin 1916 : Jusqu'au 28 janvier 1916, M. Thuysbaert, C. E. H. E. C. M. J., agent territorial de ièrc classe. Pour une durée qui sera fixée ultérieurement : Par décision ministérielle du 20 juin 1916: MM. Fredrickssen, J. H., et Piré, H. E. A., capitaines de la Force Publique.Par décision ministérielle du 5 juillet 1916 : M. Achten, M. L. T., administrateur territorial de ièrc classe, et Lombardi, R. V. M., chef de culture de iire classe. Par décision ministérielle du 11 juillet 1916: MM. Nyblom, C. G., Simonatti, F. A. G. C., capitaines commandants, Populaire, V. A. A. A., administrateur territorial de ière classe, et Felicelli, F., administrateur territorial de 2i4me classe. Par décision ministérielle du 11 juillet 1916 : Pour une nouvelle durée qui sera fixée ultérieurement, M. Martinez, J. N., ingénieur de iÈre classe. Fin de carrière. Par arrêté royal du 12 mai 1916 : Il est mis fin à sa demande, à la carrière coloniale, de M. Delhaise, C. G. F. F., administrateur territorial principal. M. Delhaise est autorisé à faire valoir ses droits à une pension. H élevés de fonctions. Sont relevés de leurs fonctions pour cause de maladies ou infirmités graves et permanentes les rendant impropres au service d'Afrique : Par arrêté royal du 15 mai 1916 : M. Tummers, J. M. F., commissaire de district de i6re classe. Par arrêté ministériel du Ier mai 1916 : M. Outelet, O., ajusteur-monteur. Par arrêté minstériel du 5 mai 1916 : M. Goyvaerts, J. B., ajusteur-monteur Par arrêté ministériel du 15 mai 1916 : M. Sutinen, A. M., mécanicien de ière classe. Par arrêté ministériel du 25 mai 1916 : MM. Vermoesen, F. M. C., sous-directeur de stations de recherches, Lemoine, H. A., et Schepens, M. L. C., commis-chefs du service des Finances. Par arrêté ministériel du 25 mai 1916 : MM. Pollini, A. P. G., chef de section de i6ro classe, Balaine, L. A. J., vérificateur des douanes adjoint de ière classe, et Van Craen, J. G., charpentier. Sont relevés de leurs fonctions pour cause de maladies ou infirmités graves et permanentes les rendant impropres au service d'Afrique : Par arrêté royal du 10 juillet 1916 : M. Viérin, R. P. M. E., administrateur territorial de 2itmc classe. Par arrêté ministériel du 24 juin 1916 : M. Roussel, J. L. A., commis-chef du service des Secrétariats. Par arrêté ministériel du n juillet 1916 : M. Bock, E. J. V. E., sous-chef de bureau du service des Secrétariats, Wathelet, A. F. J., agent militaire, Deweze, \., agent territorial de 3i£mi classe, et Antin, K. E., mécanicien de ièrc classe. I Les démissions. Par arrêté royal du 19 avril 1916 : La démission de son grade et de ses fonctions offerte par M. Liégeois, J. P. A., lieutenant de la Force Publique, est acceptée. Par arrêté royal du 20 mai 1916 : La démission de son grade et de ses fonctions offerte par M. Coutelier, G. A. A., administrateur territorial de ièrc classe, est acceptée. Par arrêté ministériel du 15 mai 1916 : La démission de son grade et de ses fonctions offerte par M. Sjobeck, K. B., agent militaire, est acceptée. Par arrêté ministériel du 15 mai 1916 : La démission de son grade et de ses fonctions offerte par M. Degreef, E. J., agent territorial de ytmr: classe, est acceptée. Par ordonnance du Gouverneur Général du 9 juin 1916 : La démission du grade et des fonctions qu'il occupe dans la Colonie, offerte par M. Alanko, O. W., JEUDI, 21 DECEMBRE, 1916. 15e ANNEE. No. 20.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La revue congolaise gehört zu der Kategorie Koloniale pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1910 bis 1914.

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