L'appel: hebdomadaire libéral estudiantin gantois

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s.n. 1914, 07 März. L'appel: hebdomadaire libéral estudiantin gantois. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/4b2x34n816/
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Année. — N. 16. ÎO CENTIMES il NUMÉRO. Samedi 7 Mars 1014. L'APPEL t V ABONNEMENTS: Un an : Étudiants Frs 2,00 Anolens Étudiants ... ... » 3,00 Bourgeois . » 4,00 Professeurs et Protecteurs » 6,00 Annonças : Tarif et conditions sur demande I t REDACTION ET ADiBIIBTS S KATIOÎIT : GAND - 35, Boulevard Léopold. La responsabilité des articles est laissée à leurs auteurs. Il sera" rendît «OinpfeflJBS*T>wçages dont un exemplaire aura été envoyé à la Direction. L'Appel fait l'échange avec ses confrères Les articles anonymes ne sont pas insérés, les manuscrits ne sont pas rendus. La reproduction des articles n'est autorisée qu'à la condition d'en indiquer la source et le nom de l'auteur. A LA GÉ. JEUDI 12 MARS-TONNEAU DES PROFESSEURS- Le Comité de la Générale a l'honneur d'attirer l'attention toute spéciale de ses membres sur la date fixée pour le TONNEAU DES PROFESSEURS : JEUDI 12 MARS, à. huit heures très précises. La fête se donnera dans la SALLE DES FETES DE LA MAISON LIBÉRALE, marché aux Grains Le Comité espère que tous les membres de la Générale uuront à cœur de prouver par leur présence* l'attachg^ U1CU.U ai/ ... * professeur? "beraux. * r nombre se fait malheureuse- Le,àe plus en plus rare, et il importe H)r leur montrer que plus que jamais jyus attachons du prix à l'estime et à, assistance de ceux qui nous sont conservés.La séance, qui comportera comme d'habitude un nombre considérable de numéros de chant et de déclamation, commencera par une conférence de Monsieur le professeur Mahaim de Liège Monsieur Mahaim, qui a acquis par ces travaux de sciences sociales et juridiques une réputation mondiale, et qui est en outre excellent orateur a consenti à faire tout exprès le voyage de Liège à, Gand pour venir nous parler de LA QUESTION SYNDICALE Par là il nous a donné une fois de plus, un témoignage de la générosité avec laquelle il se dévoue à tous les étudiants qu'ils soient de Liège ou d'ailleurs. Aussi n'est-il pas étonnant que les sympathies qu'il a recueillies dans le monde un^versifcairè dépassent de bien loin les limite^ de l'Université, ^où il professe. Les vingt-deux délégués g'an-y^s^jui l'out vu assister ail jjblîgrês de Liégè. je" plus ..nom breux encore, qui ont appris à la connaître au CongrèsGand de l'année précédente, auront à cœur de dire à leurs camarades quel est celui qu'il nous faut acclamer Jeudi. C'est la'venue de Monsieur Mahaim, qui désire repartir le même soir pour Liège, qui nous a forcés d'avancer l'heure de notre séance. Nous insistons donc auprès des étudiants afin qu'ils soient exacts. Le Comité. ***************** A propos du Bal des Crèches. Nous avons été fort surpris de l'émotion causée par la publication de notre inter-vieuw d'une jeune fille féministe moderne. Nous sommes bien convaincus que l'auteur des propos rapportés n'a pas cru que ceux-ci seraient analysés aussi sérieusement.Nous avons vu quant à nous dans notre distinguée collaboratrice, une sorte de La Rochefoucault au petit pied, qui désirait répandre sur la foule des danseurs et organisateurs le flot de ses sarcasmes et de ses plaisanteries. Nous tenons en tout cas à bien marquer que le Comité de Rédaction n'a jamais eu l'Intention de désobliger les dames patro-noooeo uco uiecnes, pour i œuvre desquelles il n'a cessé de témoigner la plus profonde admiration. La Rédaction. ***************** Charité et Politique. Réponse à la Dame de la bourgeoisie qui nous a écrit une lettre anonyme pour riposter aux articles parus dans l'Apprt sous le titre: iA la Fancy-Fair Catholique.» Madame, Je n'ai pas 1 honneur d'être l'auteur des deux articles incriminés. Peut-être ne les signerais-je même pas, estimant qu'il n'est pas nécessaire, d'ordinaire, de démêler et de condamner publiquement les mobiles supposés d'une attitude, et qu'il suffit entre honnêtes gens de mettre en évidence quelle est la ligne de conduite que dicte le devoir, pour que le mauvais mobile, dépouillé des prétextes, se trouve réduit à l'impuissance. Pour employer un langage plus concret, je ne vous parlerai plus, Madame, de ce travers étrange dont la divulgat.i on mU I ces dernières semaines, tant de gêne dans les réunions, mondaines : de la grimpo-manie. Vous' même, du reste vous vous taisez à son sujet, et je vous en suis reconnaissant, car, je n'aurais jamais eu le front, n'étant pas votre confesseur, d'opposer une affirmation à une dénégation de votre part. Je vais donc vous supposer d'entière bonne foi; j'imaginerai que vous avez été à la Fancy-Fair catholique, pour vous amuser, et sans réflexion, parce que vos amies y allaient, ou bien même après réflexion et trouvant bon ce que vous faisiez. Votre argument est simple : la charité nattas de couleur. En principe vous avez raison, et ce n'est pas un libéral qui songerait à vous contredire. Oui, nous devons espérer qu'un jour la charité ne connaîtra plus de parti, et qu'entendant uniquement la voix de la misère, elle cessera de faire à certains pauvres un crime de leur opinion, et de les faire choisir entre leur conscience ou leur pain quotidien. Seulement, une question : êtes-vous bien sûre que la charité ait en quelque chose à voir dans la Fancy-Fair catholique ? Je n'ai rien vu de pareil à l'affiche et l'on me certifie que la moitié des bénéfices alla aux écoles catholiques, et que l'autre moitié fut donnée pour la construction d'une église. Si vous êtes libérale, c'était trahir que de soutenir les écoles confessionnelles, et quelles que soient vos oDinK-*" -"Penses vous avouerez qu'il existe a Gand des besoins plus pressants que l'érection d'une église. Mais vous ne vous êtes pas informée ! et parce que les organisateurs avaient eu l'hypocrisie de ne pas mentionner de couleur politique à l'affiche, vous avez fermé les yeux, apparemment pour ne pas voir et vous vous êtes contentée de ce sophisme : la fête est sans but lucratif donc elle est de charité. Pardon, Madame, cette fête était une fête politique. Mais supposons qu'elle ait été réellement une fête de charité. Le principe « la charité ne connait pas de,couleur » signifie : aidez sans distinction les gens de toute opinion. Et, si vous pratiquez la charité indirecte, supposons même qu'il vous commande de soutenir également les œuvres des deux partis. Il ne pourra jamais vous ordonner de soutenir des œuvres qui, tout en pratiquant la charité, en font un moyen d'action politique en faveur d'un parti adverse. Or, cette utilisation qui chez nous est exceptionnelle est malheureusement de règle dans les Sociétés catholiques, non qu'elles excluent de leurs assistance les pauvres d'opinion différente, mais elles profitent de l'acceptation aco OGuvuxo pou» oliminor du 1/igie secouru toutes les influences d'école ou de presse qui leur déplaisent. Les membres de St Vincent de Paul ne se contentent^ pas de délivrer des abonnements gratuits au V)lk, mais ils enlèvent des maisons visitéîs le Vaderland ou le Vooruit qu'ils y remontrent Qu'à l'occasion des visites chari ables, on introduise dans les familles assisses ses idées et son idéal, c'est là un a|e de charité morale qu'on peut admetre. Mais qu'on se serve de son argen pour étouffer la voix de l'adver-saireït éviter la libre discussion, cela est odieu, cela est contraire aux principes libérax les plus sacrés. Quls que soient donc nos principes religieux, nous ne pouvons faire la charité par l'intermédiaire de la majorité des prêtres et de leurs œuvres — non seulement parce que le résultat de leur intervention est un recul de nos idées, mais encore parce que cette intervention emploie des formes qui nous répugnent. On opposera peut être à cette dernière appréciation, que plusieurs œuvres libés raies se bornent à secourir les enfants des écoles communales, et semblent ainsi conditionner l'envoi de secours au retrait de 1 enfant de l'école catholique. La comparaison ne porte pas, car l'école communale n'est pas une école libérale, et sa fréquentation a pour but non pas d'éliminer l'influence ecclésiastique, mais d'éviter qu'elle ne soit exclusive, qu'elle ne confisque l'enfant entièrement et dans tous les domaines. En résumé, Madame, onjvpncnnf même Que votre œuvre eût eu le but charitable qui vous lui supposiez, il y a cent à parier contre un que vous auriez fait quand même, en y allant, un acte clérical et détestable. Enfin, Madame, puisque nous sommes dans une minute de franchise, vous me permettrez bien de vous dire encore ceci, je n'aime guère l'œuvre de la Goutte de Lait pour Us petits noirs, pour laquelle vous vous démenez probablement en ce moment. Je n'aime pas le titre parce qu'il est hypocrite. On sait très bien que ceux qui distribueront ce lait là ce sont les missionnaires. Qu'on l'appelle donc : « Pour les Missions i>. Quand vous m'aurez concédé cela, j'ajouterai que sans doute les missionnaires sont des hommes admirables par le dévouement qu'ils apportent à l'accomplissement de ce qu'ils jugent leur devoir, je ne refuserai même pas de reconnaître que leur œuvre contient une grande part de bien. Mais je regretterai avec l'immense majorité des libéraux de ne rien pouvoir faire en ce moment qui puisse accroître l'autorité et la puissance des missions catholiques, en raison de l'esprit de domination qu'elles ont 'manifesté ces^e^niers temps, de leur désir œ se mettre en marge du droit commun, et >le lepr sectarisme qui les pousse à rééîamer l"e*clusion des francs-maçons de-l'administration congolaise. En résumé, ici encore, quoique dans une moins forte mesure, — nous blâmons votre participation à l'œuvre organisée parles dames catholiques. Et en écrivant ces dernières lignes sans colère, et avec l'espérance qu'elles seront un peu comprises, j'ai le désir d'être entendu, non seulement de vous, que je ne connais pas, puisque vous me cachez votre nom, mais encore de l'essaim joyeux des jeunes filles qui, peu soucieuses des choses de la politique, et toutes à leur amusement, figureront ce soir en de gra-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'appel: hebdomadaire libéral estudiantin gantois gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Gand von 1912 bis 1936.

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