L'appel: hebdomadaire libéral estudiantin gantois

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s.n. 1914, 21 März. L'appel: hebdomadaire libéral estudiantin gantois. Konsultiert 19 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/zp3vt1hk6m/
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>* mm ✓ ■ m, , ORGANE HEBDOMADAIRE DES IlfUDIANTS LIBÉRAUX GANTOIS. M ^Veraaz à nous,' noua sommea la jeunesse , Affilié à l'Union de la Presl Périodique Belge, A l'œuvre tous, et qu'on le reconnaisse. Venez, venea, nous sommes le printemps. et à la Fédération Nationale (mi Étudiants libéraux. Le feu saoré des soldata de vingt ans. ABONNEMENTS : Un an : Étudiants ï'rs 2,00 An-iens Étudiants » 3,00 W Bourgeois >.4,00 r Professeurs et Protecteurs » 6,00 Annonces Tarif et conditions sur demande. I ______________ REDACTION UT ADipHTRATIOST: GAND - 116, Chaussé ( de Gourtrai. — j t responsabilité des articles es'J laissée à leurs auteurs. Il sera rendu compte des ouvrages dont un exemplaire aura été envoyé à la Direction. L'Appel fait l'échange avec ses confrères Les articles anonymes ne sont pas insérés, les manuscrits ne sont pas rendus. La reproduction des articles n'est autorisée qu'à la condition d'en indiquer la source et le nom de l'auteur. V- MWCHW pasomair. Nous apprenons la mort de M. Hector Séaut, beau père de M. le professeur Thomas. Nous exprimons à notre vénéré professeur nos respectueuses condoléances. La Rédaction. VENDREDI 27 mars à 8 heures au théâtre Minard, soirée de gala des ETUDIANTS LIBÉRAUX « ALLONS... Y ! » Grande revue politico-estudiantine en trois actes et prologue Avec le concours des brillantes étoiles parmi lesquelles, il faut citer : la gentille commère ANDRETTE la-sympathique NORDYS le langoureux JOCOND l'impeccable Eugène CHARLES l'humoristique SIMON le désopilant MONMOND. Places à, fr. 6, 5, 3, 2.50, 2, 1, 0.75 et 0.50. On souscrit tous les jours de 11 à 1 h. au local des Etudiants Libéraux, café iviétropole, place d'Armes. Airppos du Projet de flamao-disation de l'Université de Gand. - Une déclaration de M. P. Lippens. ^ O En réponse à notre article paru dans le dernier numéro de l'Appel, M. P. Lippens, quatrième candidat libéral de notre arrondissement aux prochaines élections législatives, a bien voulu nous honorer de la lettre suivante : Gand, 18 Mars 1914. messieurs les Rédacteurs de «l'Appel» 35, Boulevard Léopold, Gand. Mes Chers Amis, Je fus un peu surpris que, mon opinion sur l'Université flamande vous intéressant, elle vous était inconnue. A la réflexion je me suis dit que c'était fort naturel : il y a déjà deux ans que je l'ai fait connaître ! Et je ne puis m'attendre à vous voir compiler, les doctes journaux de ces dernières années pour apprendre qu'en 1912, à l'assemblée générale de l'Association Libérale qui a précédé le poil pour la désignation des candidats aux élections législatives, je me suis exprimé comme suit : « En ces derniers temps, la lutte rela-« tive à la création d'une Université 11a-« mande a été particulièrement âpre. « L'ardeur de la lutte me paraît avoir « entraîné les deux camps opposés à des « exagérations. « Pour ma part, je crois sincèrement « qu'une Université flamande répond à « un désir légitime et à une nécessité « sociale pour nos populations. « Convaincu de cette utilité, je serais « mauvais Gantois, si je n'espérais voir « se développer cet enseignement supé-« rieur complet dans la ville de Gand « elle-même. , « Mais avec la même franchise que « celle qui m'a poussé à me déclarer « partisan d'une Université flamande à « Gand, et à lui reconnaître une action « sociale, à laquelle une Université fran-« çaise en Flandre ne peut aspirer, je « reconnais que les arguments invoqués « en faveur de la suppression de l'Uni-« versité existante ne m'ont pas con-« vaincu. $ J'espère qu'il sera possible de voir « coexister à Gand les deux enseigne-« ments supérieurs, et, s'il est vrai « que les Universités sont des foyers de « lumière, j'espère en voir rayonner sur « la Flandre le double éclat. » Ces paroles me paraissent fort claires, et je m'étonne d'apprendre par vous que certains journaux, dont vous négligez de préciser les articles, m'en imputent d'autres. En 1912, les esprits étaient très échauffés. On ne concevait alors que deux façons de voir : pas d'Université flamande du tout, ou bien l'Université flamande indissolublement liée à la destruction de l'Université française. « Qui n'est pas avec moi, est contre moi » se disait chacun, et toute opinion n'était admise que pourvu qu'elle fut extrême. Je m'inquiétais peu du succès qu'on ferait à la mienne. Depuis, le temps a accompli une partie de son œuvre : il a calmé les passions. Oi|étudie. On discute. On arrivera peut-êt*': à s'entendre. En tous cas beaucoup deiaantois, naguère résolument hostiles à * oute Université flamande (qu'ils se soi viennent !) disent aujourd'hui avec résignation : « Eh, bien ! soit ! qu'on en fas.se une, mais pas à Gand,.. . là-bas !.... bien/loin d'ici ! » Je voudrais, mes chers amis, que vous ne parliez jamais ainsi. ' Si vous considérez l'Université flamande comme une funeste utopie, ou même comme une fantaisie coûteuse, combattez la bien franchement. Si au contraire vous en attendez, pour ]p- "euple flamand, des bienfaits sociaux, n'agissez pas comme si vous aviez le secret espoir de lui voir une vie éphèmère, et surtout, ne cherchez pas à l'éloigner loin de vous ! Comme flamands tâchons que cette Université soit forte ; comme Gantois, tâchons qu'elle se dresse fièrement à Gand. Faut-il pour y réusir, que l'Université française disparaisse de notre cité ? Ceux qui le soutiennent, font valoir des arguments nombreux. Il y en a de bons et de mauvais, mais les meilleurs me paraissent insuffisants. — Je voudrais d'autant, plus qu'on renonce à poursuivre simultanément ces deux projets, que la revendication d'une Université flamande doit ni être, ni même (à tort ou à raison), avoir l'apparence d'être un prétexte à moyens d'extirper le français de la Flandre. Car, ainsi que vous le rappelez, j'ai défendu devant vous cette opinion que le bilinguisme ert Flandre est un phénomène stable, qu'il est vain d'espérer en chasser une des deux langues au cours des quelques générations prochaines, qui seules intéressent l'homme politique, ennemi de l'utopie. Poursuivons donc énergiquement tous ensemble la création d'une Université flamande en bannissant toute arrière pensée jusque dans son apparence ; que les uns, concédant une Université flamande, ne cherchent pas à en faire un fantôme ; que les autres, la voulant grande, n'agacent pas inutilement ceux qui, en Flandre, parlent le français. Votre dévoué, P. Lippens. *** Voilà une déclaration fort opportune et qui dissipera bien des erreurs ou des incertitudes. Et sans doute, M. P. Lippens avait fait, il y a deux ans, une déclaration fort nette à l'Association Libérale; mais beaucoup de libéraux en avaient, comme nous — confitemur — perdu le souvenir; tandis que d'autres, en apprenant les ravages récents causés par le microbe du flamingantisme rabique dans les rangs des représentants Anversois, avaient pu redouter que M. P. Lippens, lui aussi, se serait au cours des deux dernières années converti à la thèse outrancière. Pourquoi M. P. Lippens ? uniquement parce que le^ LaatsteNieuws, sans peut-être lui imputer d'opinions précises, patronait sa candidature. Or, on connaît le vieil adage : * dis-mois qui tu hantes et qui te hisse sur le pavoi, et je te dirai qui tu es »,.. Eh bien ! le proverbe en a menti. La déclaration nette et franche de M. P. Lippens est de nature à lui ramener beaucoup de suffrages, à lui en enlever peut-être quelques-uns aussi, mais en tout cas à Lui rallier toutes les sympathies. Quant aux opinions qu'expose la lettre ci-dessus, elles sont trop conformes aux idées et aux sentiments que nous avons nous-mêmes exprimés dans notre précédent article, pour que nous devions y revenir. Que l'Université nouvelle se crée à Gand, si c'est là, comme M. Lippens le pense une nécessité pratique, personne n'aura le droit de s'y opposer. M. P. Lippens, en finissant, nous invite à poursuivre énergiquement la création d<jine Université flamande. Voilà qui est fort bien; mais nous pensons que la majorité des Chambres est acquise à une pareille institution et, qu'il suffirait de l'initiative du premier député venu pour en faire adopter le principe. Un de nos mandataires ne pourrait-il en prendre l'initiative ? « Vive l'Université flamande de Gand, pas de flamandisation ! > nous sommes heureux que ces idées trouvent en M. P. Lippens un aussi vigoureux défenseur, et nous le remercions d'avoir avec tant de netteté proclamé sa manière de voir. achère. Quelques sophismes calotlins. Notre confrère l'Etudiant Catholique, réunit d'ordinaire sous la rubrique : « La Graine au vent » une poignée de 3= Année. — IV» IX ÎO CENTIMES LE NUMÉRO. Samedi 21 ilVEazrs 1914 ■ —- )

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'appel: hebdomadaire libéral estudiantin gantois gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Gand von 1912 bis 1936.

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