Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1917, 03 Dezember. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/222r49hq96/
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4®» Année. - N* 1142 - Ed. B ^aesssss ABONNEMENT Bruxelles - Province - Etranger Les abonnement* sont ceçi»? exclusivement par tous te* BUREAUX r)E POSTES. I.es réclamations cottcumsnt Je* abonneihent doivent $tre adressées exclusivement nti bureau <le poste qtil a GClivré l'abonnement. PRIX S ABONNEMENTS: : - S m 4s î mois * Pf. 3,00 Ft. 6,00 Fr. 3,0© TiîîAîSe Î 125,000 |i&r joisr DIX CENTIMES Le Bruxellois ,T c> ï r k» rsr a quotidieh indépendant Lundi 3 Décembre 1917 ANNONCES Faits divers et Echos ....... t.» ligne, fr. S 00 Nécrologie 3C0 Annonces commerciale» 8.09 Annonces financiètc-s ...... . . . 2.00 PETITES ANNONCES. . . La grande ligne. 2.00 Rédacteur en chef : Rrxp ARMAND Rédaction, Administration, Publicité, Vente : BRUXELLES, 33-3"». rue de la Caserne TIRAGE : 125,000 par jour ^wmiaaaBaiaesmaasmmtiKticamscmmewBKtai^v^-^^mm COMMUNIQUES OFFICIELS ALLEMANDS BEL'LIN, Z décembre (midO■; Groupé d'année du leid-auueenal gtnêiai pïi.ce héritier Einprechï de Bavière; En Flandret le feu d'artillerie, modéré fa \jonrnie durant, ,> augmenté c soir, de part et d'autre de ¥astch:4ndç6 e, jusqu'à la plus gr.n. W violence et est- de meurt-. t'use durant fa tiu>k éga'.cni "t. Les combats -près de- Cambrai pont muent. Dans le secteur d'inchy jusqu'à &ourlon une t vG action cl a. tU^rie s'cet dé-, rovfiè l'après-midi, après nùs propres ci fruc-Utocw s Qntr?'p mes Des attaqués d'anilîerte tuner,v$ "lit été étouffées à l'ouest Jc Mocu-turcs. pir notre-feu. it- t'est de Mit-urnes, elles ec s-mt écrou'é.s de t uv. nos ligne». Le vil toge rit' Masn lires fut débarrasse de l'ennemi. A cette occasion, tle* prison n trs furent ramenés. tssante* ifrotrc-attaques jurent dirigées pat l'ennemi «***<. dt's forces nouvellement amené "s, con /<• lté -positions §ih ifui furent {irradiées sur le: rive occidentale du l'Escaut. 'Après une lutte acharnée, p.ts.stant jusqu'au cr tpi('cidc/ r< a» . tons r-jeté 1 ennemi. Des cava-ors hindou*, ac.ourus d'Epehy, furent 'Ccrasés par n'J.re ft u. b s attaquC-s d'mjan^e-fie, U pfànchéex par i 'n-nCpi-i cûnt-rc nos lignes _ à l:ouest eu Ye-ndhuù'e, ap èt une pré paratum ' d'art II ''rit, fur nt vouées uu môme i-chtc. Les Ajournée d'hier a coûté j>art~cul<crf-ment de teurdes. per ps u t Anglais. J'limeurs centaines d<' prisonniers d bieurèrent en r nos mains. •Nous avons ramené jusqu'ia, de lu région du tomba.', 53 can» s "tigats t. plus de cent nti-' trai-lëv'sés. vsivups d'armés du p mes impérial allemand : Au no.-d de F-.iion.. des groupes d'assaut ont ramené des pr s >r nt rs d'une entrepris'-' couronné... de sue is. Vue agression française, à t'oit "p. de Brimon . échoua. S>tr la rue orientale de la M&nst, le feu 'd'art lletu- ne s'est -t'an-iué que p:exagérément. r Groupe û a-race du duc Ailwetht: De part et il itufrt d'Altkxrch, action d artillerie accrue. TiiSkitre t s i?. guerre à l'Est. Pdi d'opéra i'us de que qui envergure. àxojt en ^acwd&ias. 11 tre les acs 'rOehrtda ht dt l'rCsptt, ainsi 'Que dans la boucle, de la Cietyia, le feu d'artd-'lerie s'est ranimé. A l'ouest du lac d'Ochr.dt! cl av. IVardar, engagent 'nis de rccànnfâssancfi couronnés de succès. Taéaire as h. guerre italien. Il'.en de nouvtat. m-1'! iy. !- j - S'e.r le champ de bataille près de ''ambrai, 'de for es contre-!.t":àq"ues anglaises éot-lrz tes 'positions que nous avons conquis s hier < nt été rçpoûsséôs. kvr les autres fronts, n n de fiouvoau, AUTKIC H$EN VIENNE, 1er déc -mbfg : Théâ-re de Ut guerre italien ; Des cotaques italiennes contre W Monte i'erttca ont été r°-poussées.Théâtre de lu guu n à. l'est ; Situation inchangée.En Albanie; A l'ouest tk■ Kortea, -des ban des de volontaires a bana s ont fait échouer une cMaque française jkti ont con .'rc attaque engagé' sans /t ard, BULGARES SOIMA, 30 aov. (UUK1CJI/; . . Sur les Jfroau c-u Jte.acoUoittOr: Daus le> regicwi db jjlK)uj-a, vioitn ,c, csuimm&d-o.. tour les au tires iront î■ . ùl div'c.siOii. l'.'itj'c le Varuat ot le iîi-c de D&iran, uo^ cU uu.^i-t^ïvriits ^.ic rc-ooiuiâ^bSBoe - C»J U attaqui-. Uu .teiuiclu>o»^sine- j uiies. FRANÇAIS —.F AIIIS, 1er dr'mbre (officie}), 3- h. F.M.: wrDej ifétikai-iv&t d, toup de main ennemis dans a -région de l'-Oivre (nord-ouest de F 'ims) et C-n Argontie, aux C'ourtcs-Vfta-uss s, ont échoué sous nos feux. U notre coté, nous a»*h, féttss, des incursions vers Sainte-3lane-à-Fg, dans la rég on des ttauis-de-31citse êt ramené 'des .pionniers. Sur la iivc droite, de la Menue la lu le d'arh'<'i e a augnieu.é d'intensité dans le secteur lit an mont-Bots de Chaume et a été niiv'iè d'un-" violent" attaque ennemie sur nos positions au nord dubos des FftSses. A deux reprises, les assaillants ont été. reje-és 'dans leurs tranchées; aires un vif combat, no •tre l.çjn" a 6*4 intégra Cment 'maintenue F A RIS, 1er décembre (officielj, il h. F.M.: Actions d'aï >Jerie vio entes 71 ans la région .de Si-Q.ut}nim et au sué de Jnvincourt. Sur la -ive droite de ! Meuse, nous avons repoussé I tin Coup de mo -n ennemi sur nos tranchées, au nord-ouest de Bezonmrux Journée calme partout ailleurs. ITALIEN lïOME, 30 nov. (Oificiti) : Le ckiol d'art ii'fiif, qui oeviçtu. cio plaë ce plus Jïiteose siu tout ic front, a été parcîcu-Éèf! rasiàt vioiewt sur le liatit pia-toau ci As^ago ©t d.ms la pîaino du Piave moyen et infé-- rieiu'. Dana te sec - :ir i'. ]« côte, un mo.sitor bri-ta-TinVjno a coitpô uu pont de bateaux jeté par i uMieon tsitr it Jieuve à la hauteur de l'assareiia. l'iès d'Asiate, uo avion ea>ncani a été des-CMtdn au coii!i> d'un combat aéi'iein. La nuit dernière, nos aviateurs ont vio-lomment bom-ixtardé les oan$]. s ennemis établis entre Feltro ot Foosstso. ANGLAIS» "LQNDKES, 30 nov. (Officiel): TJirj cïétacheineat ennemi, qui tentait d'atta-flu-Jjr hier soir par surprit» nos lignes établies ' 'âaâs .les ..onyiii-tnc de Gavi o;le, a eué repeussâ par notre feu avant qu'il eût atteint nos tranchées.Cette nuit l'artHteic c nneimc a été active sur un certain nombre de points au sud-ouest et à, l'ouest de Cambrai, ainsi qu'a l'est d'Y-• jorc-s. Deroieres Dépêches L&j conférences des Alliée. Paris, i .r déc. (LIa.vas). — L'assembles préparatoire à !a coufcicnco d« l'Eta-'-Major in ter-allié, a eu lieu ce matin. Lloyd George, !<> générai Wiieon, L*rrd Milaer.et té générai Si-byJs se ectnt rendus h'er à- VciBa\.lt««. Ca-dorna est également rentré à Versailles. Xtd i»ttie a« Lcrd LAasâow&«^ ! Londres, 2 déc. — L'agencé Router pubfe l'avis « «utn'entiqtt'"" » du gouve^^cm^n a.igiais sur la lettre de Lord Lânsdowne et dit que ce d ruier n'a parlé, <teo» cet-t^ lettre, que pjur i sou propre compte. Avait do l'écrire, Iyjrd ! Lansdov.no n'a pris conseil d'aucun mernbie du gouvernement et ue s'e«t- mit; en rapport à ce sujet avec aucun d'eux. Iz-'s ministres nu-rai-ut iu citte lettre avoe la litômé suiprisJ qu : celle de tout le monde; les idé à éintsea dans la lettre ne serai nt "n aucune façon celle^ du gouvernement anglais, et elles ne peuvent nu U'mvnt gigu fier qu'un changement quel conque soit survenu datte la po.uique de guerre d i pays, qui reste toujours la môme, telle qu'elle frit espoeé1' par le» premiers miniaitre® siw.e Wfs, par Asquith, Bonar Law et Balfour. Cebt^ politique a été dô.Cnn n?e pa-r différents discours et le plus nettement pfcat-étre jxrr celui prononcé réc^inmen par Ciemesiceau, disant que lé but de gu_>rre que l'en peuxeui:, c'est... la victoire. L'avmÙJiice ruf;' 3. Amsterdam, 30 nov. — On mande d-1 Pô-tregrad au « Timet » : Kryletiko a erdonué aux axmées d-' cesser le combat mais de se tenir sur leuie gardes, d'éviter le3 fraternisations et d'a«xndro Le résultai des négoêiâ-ti- HE. Vienne, l"r d;c. — La r'ponsc du gcuv^r-nèïn'ent ausfcro hongrois au télégramme circulaire laissa du 28 novembre a été reçu"* radio!é-légraphiquemcnt- à Tsarskoïe Sf'lo, durant la nuit du 28 novembre. L » dite station radioté-tégraphique a accusé réc pt.on d' la d'pécha par radiotélégramme, le 30 novembre, durant ia nuit, Les élections poux l'aeseiubléa législative. Victoire maximalise. Àcie'erdam, 1er dée. — !>' Pétrcgrad au « Times » : Lee maximal «tes eut obtenu 6 sièges, te& cadets 4, lts socialistes révolutionnaire-. 2; les auircs partis n'eut pu obi u.r au eun »ègt>. La L^nqu.- d'Etat R/_ trouve r.ctuel-lemont au pouvoir dès ïuaximaiietcà. Toutes les autres banques sont fermées. Las documents tecreta. Stockholm, 2 déc. — La publication d u do-otïm"uts secrets continua et provoque toujours j'o plus vif mtérêt. Parmi les derniers actep diplomatiques révélés, il on est deux particulièrement intére£san;s. l^e premier cone-rne une offre de l'Albanie Méridionale à la Grèce. Lé 22 nov. 1914, '<« ambassadeurs d • Ruser®, de Eraucse et d Angleterre ont déclaré au gou-vernement grec à Athènes, que la Grèce, recevrait en partage, le sud d" i'Alban.o, à l'ex-cCptien de Vaiona, pour le c?s où elle viendrait df suite au secours de la Serbi;. Veii ze-ios, en échange d'une intervention immédiate, demanda la garantie de la Koumanio contre une attaque de ta Grèce par les Bulgares. La Rountanie n'ayant pas fourni ce.te garantie, la Grècfi n'a pas prêjé son appui à la Sj-rHe et, par le fait, l'offre de l'Alban e devenait caduque» - " -i Ùîti'z de teTfîièires en Asie Mineure à la Grâce, Le 18 janvier 1315, l'ambassadeur d'Angleterre à Athènes, déclara à Yenfeeloe, sur 1 or dre de son gouvernement, qu- s' la Grèce ve-su'it au secours de la Serbie, dans L oas.d une nouvelle intervention de l'Allemagne, l'.-e pais-s né s de l'Entente aooord&rai-nt à ht Grèce d'importantes cessions de territoires sur la côte de l'Asie M.neui-c. Le 15 janviét 1915, l.« mi-uista'cs pîénipotentia;ï'« de Grèce à St-Péters-bourg, Paris et Londres, remirent aux différence gouvernements, la réponse de la Grèce, qui contenait toute une série de conditions. Lj 20 janvier, Ven'zelos exposa à l'ambassadeur angiais les desiderata de .a Greco relativ m-u^ à l'Asie Mineure. L"s pourparlers entamés furent arrêtés par d'autre^ poui*j)ai'lers con* ceiraant l'intervention de la Balgarie et définitivement interrompus par la retraite de Veni-z'i03, survenue le 21 fév. 1915. Lo 9 mais 1916, M. Zojgrafos, ministre grtc des affaire» étran--gerremit à i'amb;ssadeur d'Ang.eterre à A.hèncs, une note dans laquelle le cabinet exprimait le dcs.r de reprendre ics négo. dations interrompu s par la chute .de Ven z'- ies. Le 30 mars, tes puissances do l'Entente reprirent i"s négociations en s- déclarant prêtes à concéder à la Gièce, le vilajet d'Aïdt, pour le cas où la Grèce interviendrait centre !a Turquie. Il était et pulô qu cette offre serait, nulle et non avenue, si la Gièc-e ne déclarait pas immô drattment sa volonté d'intervenir et de parti-oip"r à la guerre. Dans sa réponse, en date du l&r avril, le e/teuet Gounaras déclara qu'il é ait prêt à intervenir dans la- guerre, et ce, immédiatement, si les puissances de l'Entent,; 6e déclaraient prêtes à commencer ^n commun avec k'6 troup s grecques, les opérations conLre la Turqu.e. L'intervention de la Grèce fut subordonnée à la garantie formelle qjo l'intégralité du territoire gr.c serait assurée, pendant toute la durée de la guerre ot après. Les acquisitions terr:torial€e de la Gièoe, en A:d^ M neuro et ailleurs feraient l'objet de d scissions uitérieur.6, pi us étendues. Les pourparlers ne furent pas continués, après un mois, pa.ee que le® puissa.nca de l'Entente ne désiraient évidemment pas fournir la garantie qu'il n<. serait pas touché au territoire -grec <du côté de l'Ep'ro et ' n Mseédoinc,' do ea.-te que le cabinet Gouttai-s déc ria de continue» à^obser-ver ia ueutral té. Lo,, ôvénemtaèts buï mer. Rotterdam. 1er jdôc. — Du « Mat- b^«de » • le vuiïier américain « Fr-"n'inac « ( 1,70*11. br.) ; a été abandonné éu rn^-j le v'.peur américain « Mariponoe » (3,158 t. br.) a sombré, cle mô-ni.' que »e vapeur anglais « Jargoon » (501 t. br.), le voilier anglais à parrit Bel « (136 t. br.'), U' vapour norvégien « Charlotte » (597 t br.), sent pasiiés à l'état d'épive. I> vapeur fraonçaig « P.L.M. 3» (2,284 t- br.), Je voiiioj suédois « Aima » et le voilier néer'andiais « Zwaburr » ont échoué. « Vienne, 1 -r dix. — Le 28 novembre, an ma-ti>.i, des grtni]«fc de nos torpilleurs ont fait un«-pcmss>.c de r sonaai^ancî' à la côte italkiiixio. Un groupe ».p'ryut et canonna un convoi de transport au sud de l'embouchure du Motaure. La .locomotive fit .cxpîoùiou et le convoi fat foitemcnt Cndiommagé." Durant la canonnade, lia navire se trouvèrent exposée au feu très efficace d'une- d.; nos batteries de campagne d1 calibre moyen. Un autre groupe de navi.ea ccmb?tt,t les baiteri'V, navales d-> oa-ibre moyen, près de Cor&mi et de Drimi'ai. Pendant et après ta canonnade, les nav'r-es furent attaqués eant stusc&s par 1 . s aviateurs enni mis. Loirs du retour, les groupe ctc navires ap"rçu-renit plusi'-'ure unités enîie-miea qui, se soais-trayant à l'attaque, virer .nt de bord vers lo nord -ouest. Près d'Ancône, des untc-'s eniie-mies ont été bombardées p»r nos hydro-avions. Tous 1-e® navires sont r(..'U':ts c niplètemeat indeinn s. Berlin, 1er doc. — D'après des nouvelles di-gn t-. de foi, le navire autemiebi e ho'-km-daiï « VTliesïngen », qui débarqua le 14 novembre lYqu'pagp du batoau-phaie « Noordhitxl r » a été e nouné lors de son rrtoan- par uu de»;royer anglais. Les greu -d s sont al é_c s'abatiUSï to.it, à l'avant et à l'arrière du vaisseau automobile. L^s journaux hoîlaatbiis n- disent r .en jue-qu ic. de cet incident, — —— .i • " . DÉPÈCHES (lleproetmies de l'ètltîtott pueédente.) La revanche des Allemands devant Cambrai, B-'iiin, 1er déc. -- Après l'échec sang'ant-c; o&mp.:et d'« Itj grand.-» batailles anglaises eu Fltafidrc, pour > s'cmp-krY d - la base- soue-sik rine ailstiiande, ot après ia défa.te colossale du ft-on' Uiiilbiràe ue L'Entonte en Itaiie, ics-. communiqué.* anglais .Vc'Caient pu, jour peur .jour, dtepEis- le 20 r.*af.r , A vttpn{-s-nfcei' leur commencement de &ubcès près de Cambrai, do-mnit là p.us grande victoire de la guerre ou front de l'oiies'. Journellem nt, leurs radiotélégramn^Cs rêpéiaiomt à l'tmv -"fiinpjor-tanc' du terrain de h. tttcui-s conquis près de. Bourkin tt ce' .Fontaine, qu ils on.-pu s'ad u g**r> grâjs à l'engagement d'une très fo'-r'uo in ta-ut ne o» d'une maar- de. tanks. Les partes qu'ils ont subies de co cu&f depaas'.-nt colles d.e plus sanglantes batai.ies de E,andre, Après l'échec clc leur tentât.V d - percée du 24 novembre, vo cj que le 30 novembre, d.e coixtre-atfcaquéa a-lemaudme ont arraché à nouveau aux Anglais, la majeure partie de ci terrain de h ml/ tu», si chèrement payé. L'ennemi, qui 3'ea;, défendu optntâa-ement, n'a pu t- nir tête à 1 infanterie allemande qui assaillit avec un entçam incomparable, les hau.teurs oocatpées pir r.nnemi. Appuyé' éuCrgiquCiuOnt par l'artillerie, e'L-réussit, au cours d'un combat acharné, au sud de MœuyrCe, à atitoiiidio notre ancienne pc&t-tion et à avancer notre ligne au delà de la roûtl'-'t^'Arra? à Cambrai. 1/Cg Angiaia lurent Vjetés, avec d 's pertes sanglantes, sur Grain court, Auneux ot Cantaing. La contre-attaque v n a nt du sud, contre la position d'irrup tien entiOin.e, pa ya les Lignes ennemies et aboutit à l'occupation clos villages da Gonne lieu et ^e ViiK'rs GuLs-ain, situés au-de.à d!' notre position ptïmière. De ce point jusque pré» de Vendhuille, nous avons récupéré notre ligue primitive. Nous avons fait 4,000 pri sonuiers, dont 150 offic.crs. Durant cotte chaude ba.'.aille, nos aviatenre ont pris jcaat, d'une faible hauteur, au combat t-irestje. Vers le soir, le commandant anglais chercha à regagner du terrain près de Gcnnelieu, grâce à rengagement de tanks et de oaval.rie. Notre feu do défense exerça d<e ravages tie-rribles an se n des colonnes d'assaut serrées ennemies ^ échouer ccmplète-m ut l'attaque ennemie. Après ces âpres combats, le feu d'artillerie resta intense durant toute la nuit &ur les d:vers secteurs. Le 30 novembre est un nouveau jour d'honneur pour nos combattants de l'ouest, qui défient iné-braolibioment et victorieusement depuis des anrçé-S, ks armé's anglo-françaises souvent numériquement supérieures; ils ont de nouveau prouvé que maintenant comme alors, ils sont toujours animés du même e&prit irrésistiblement dispesé à l'attaque. En Elandre, des patrouilles ennemies qui s'avançaient au nord est de Poe<kapeile, sous un feu partiellement intense, ont cté î-epous-sées. La nombre des prisonniers amenés le soir du 29 novembre' à l'est de Nieuport, s'egt accru d'un officier et 29 hommes. Au nord-est de Soissons, notre artillerie a canon né avec succès des objectifs qui en va-laient la peine, tandis que nos troupes spéciales d'assaut ramenaient des Français hors d s tranchées, malgré leur rés stance, prè3 d° la ferme de Grosvoie à l'ouest de Septveux. A l'ouest de 'a M'use, le tempe s'étant éclair, ci, l'activité d'artillerie a augmenté et acquit près de Beaumont une force considérable. En divers endroits, nou3 avons fait des prisesnniers. Clemenceau et les Anglais. Berue, t déc. — Dans un article de fond du (t Daily News », le rédacteur en ohof Gardiner, t us «e tilae « Po tir quoi donc luUons-nous alors»? » remet vertement en place Clém-enœa-u. D fait ressortir que ics Alliés luïtout, csi bien avec Wiison pour une pnix d-v>nt aboutir à un* « Ligue ck« Nations » ou bien avec Cié m-nceau pour une pais qui exclura.t cc-t idéal tt> qu'il Xai«iul se décider pour l'une, de ofs alternatives. Ii dit que Clemenceau se refus® à eritr r di-.ns une « Ligue des Nations » domt ferait partie l'Ai-emagne, qu'il était impossible de détruire, même après une victoire, une pu s sunte Ligue des Peuples, l'entourer d'un ennemi armé jusqu'aux dents, ruiner son système économique et l'exclure du marché mondial, tend s que l'A-lemagne ne chercherait qu'une chose : reconquérir sa liberté commercsia.le et ss venger. Cela signifiorait que la conclusion de la paix ne marquerait pas le ronouveau du monde, mais bien une ère de préparation de la prochaine guerre. La voie indiqués par Wil-son, que tous les membres de la Ploutocratie doivent considérer comme la bonne, mène v't3 une Association des Peuples. Wi son n'est pas entré en gu 'rro pour le plaisir de répandre Je sang, mais bien pour conduire le vaisseau de l'Humanité dans d'autres <-»ux. Wiison ne poursui-. qu® le but de donner au monde la « Paix anidr.oaino », c'est-à-dire une paix mon'diaie qui ferait table rase avec le milrta-risrn.:: pour mettre le Droit à la p'-ac® de la Ptusuance. Le discours de Clemenceau qui si-gn fie clairement au peuple athmand qu'il n€ peut avoir aucun espoir, ni aucun aveu r en dehors du ni iitarismé, peso comme une née^s-s.té absolue ot urgente ja dissipation de la confusion qui règne parmi k's A'liés au sujet de buts d;;. guerre. Si le refus de Clemenceau d'adhérer à une « Ligue des Natic-ns » d vait deve-n r la pierre angulaire de la politique d?<s Pui&sanoes de l'Eu ..nte, la g't-'rr-' d'Wj s. continuer jusqu'en dernier acte de la tragédie. M vis s'ii doit y avo t une «Ligu - des Nauoits», ii faut 1_- proclamer bien haut et il faudrait alors aussi m<,ttre en harmonie le3 propositions de paix, et l'attitude à observer vis-à-vis de i'Ajemsgno avec les aspirations de celle ci. ju» mz; i e^ta Aqa pond^ue de lord Lasedonn» Dauj l'édition A du « Bruxellois » d" samedi (u. 1141), nous avons reproduit, d après les txrraiHS qu^ nous avait transmis le té.cgraphe, tes deckiatioxi, de iord L ttiadowne, relatives aux obligation qu. s »mpt»aie.nt à la Conté renot de Paris, actuellement réunie. Depuis, us journaux hohandas et allemands ont reproduit, presque intégralement, la iot-trear.icl', de près de d-eux colonnes de journal fptr Panciou ministre d s affaires étrangères bàtann-qucs, ac-ueliemeut ministre sans p.u.vrf.<wd L&n&-U<'\v-i»c,- u fair^xiraîlac, a i'in&tt d- ses ccdègu.8 (lu cabinet, à ce qu'il semble, dans le « Da.ly Telegraph », le journal le plus répandu d'Angleterre. De ta lecture des tdieta»-« éilnises da<ns cet ar-iclf- par Lord JLan&downe, il appert qu'il s'agit <a d'u.te manifestation pclitiqnc d'une haute portée. • • Lord Lansdowne déclare, entr'auti'es. qu'eu ce qui concertw- les revendications terr.tonales des Aniés, certaines d entr'elles sont devenu s pour ceux-ci note eL'aite nte et que d'autres au-ron. probablement b a ieoap p 'rdu oe leur iro_ ]x>irta.iJce primitive. Seuie ia question de la Bel g que testerait onetnre iniégi-alemen. main, tt n ae au protuK r p an du programme global d s Al.i-s. Si i'ou devait arr-ver à uae revision de là carte du sud tôt de l'Europe, il faudrait quo les Anglais tkmanduit qu'une do.isian défi^i-tùV sait rés rvee et qu"' 'a question soit l'éeo-iue dans une atmosphère dégagée de toute cou-.ra.nti , twr un échange de vues empreint de franchisé,- entre le® Allies. Parlant de la continuation de la gu.rre, lord Lansdowne demande : « Que seraient les bien fa.ts d ■ la Paix pour Us peuples, si o'-'t; j^up'Oo sont finalement épuises à tei point qu'ils n auront même plus la force de tendre la m.iin vers cette paix 1 A mon avis, i' faut que la paix soit réalise*, aaïasuot q.ie la mo.ndre jiossibi'ité de le faire, son ofxre, afin qu'une catastrophe mondiaie générale soit évitée, car tous ;es peuples des paye belligérants reconnaissent pitt cette guerre a déjà trop duré. » Si c tte manifes a. ion pol tique clc lord L-n., doavn-e revêt on eile-même une importance capitale, les commentaires et les discussions qu'elle a suscités ne a>nt pas moins importants. C'est ainsi que, dans une réunion da représentants des partis conservateur et urrionietie, de toj.tes les régions du Royaume-Uni, réunion à laquel.e assistaient Car&on et Walter Long, co lègues ministériels de lord Lansdowne, ft dont t'ag nce Router rend compte, la lettre d. ce dern.er a été l objet de la plus vive réprobation, et Bonar I..aw l'aurait même qualifiée de « meilleur public ». Les idées exprimé s par iord Lansdowne no seraient ce.les d'aucun de-s s collègues du cabinet. Le co iaboratcur parlementaire du « Times » écrit de son côté que la lettre de lord Lansdowne a complètement surpr s ses col ègu< s d i ministère qui l'ont luo avec consternation, pti gonne ne prévoyait cette publication. La lettre a produit en Hollande la plus ri?e s nsation. Tous les journaux néer andaîe la commentent longuement. L' « Algemeen IIa,u-djisbLad » écrit qu'il y vo.t un signe qu'un revirement est à la veille de se produire dans l'opinion publique anglaise, qui no pourrait être entravé, même par les clameurs de la presse jingoïste. Une déc-arat.on sans ambages du gouvernement allemand pourra t, en es moment, susciter beaucoup do bien. Le « Nieuwe Rotterdanische Courant » attache à la lettro une importance capitale. D'après t>e journal, lord Lansdowne, au lieu de se cramponner au principe jusqu'ici admis d'une guerre à outrance, proclame maintenant le nouveau principe d'uno paix de conciliation. Le ton modéré dè la lettre produit une impression agréable. L'effet immédiat qui en résultera dans les paya de l'Entente dépendra ds ! 'état d'esprit prédominant au front, sur lequel uous ne son? mes qu'imparfaitement renàejgnésT. La spéculation sur la charbon anglais en Italie. La likye, 1 déc. — A la Chambi-e des Communes, à Londres, la député Hooilston déclara qt'.e le charbon anglais était fourni dans' les ports ibâîisns, frais tL transport compris, au pr x £0 l'2 shillings la tonne (soit 63 fr. 10 environ), tandis que .c consommateur italien se voyait contraint de payer pour co charbon 480 shillings (600 francs), soit dix fois sa valeur, t que c'était là d-y l'usure imputable aux inteamédiairee. î.a situation jn^ée en Bu«s,:e. Bâle, 28 nov. — Le coloufl Egîi, collaborateur militaire d s a Basler Nàchriçhten », Commentant la situation actuelle des puissart, ces cintralce et de leurs alliés, constate que, depuis septembre 1914, il s'est produit ttno "amélioration cernidérabie en faveur <ie c-'-» dernières. De toute façon, Û n'y a pas de déci-sioa définitive aofiu.se. Celle-ci ne peut s® produire que sur le front ouest. Il manque da bases suffisantes pour pouvoir préjuger do la solution qui correspondrait le mieux aux circonstances. Mais o. qu. apparaît, à p!>.. prea c.rtxin au ooionel Egii, c'esit que ]e Haut-C ommandement d 's Impériaux Sq gard-ra bt«n d» ne'pas tirer profit et avantage de la faibles» actuelle des Alliés ot que dans tes mois les plus rapprochés en peut s'attendre aux événements uécisifs de la guerre mondiale. L'aide américaine arriverait alors trop tard. » L'AR^alsiïioK KUiiSii. La bouu& bt-oLe ues ïioiscnewLti. Stcckbo'm, lea- déc. — Dans l<fc mi ! io'irx bo 6ohevistcs, on est plein de confianc' . La grève des fonction ii air es d-mmue. D-s diplomates iu«ca auraient déclaré d'ores et déjà, eu cours d'emitret.'ena privés, qu'étant donné les circonstances actuedles, on pouvait reconnaître le nouveau gouvernement et rester à sou poste clan» l'intérêt du pays. . ,oo f;o;.aa.,s Qiuttcnt le uo-nt en masse, Stockholm, 1er déc. — On mande d'Hupa-randa : L'ordre des. bolschewiki d entairr r K's irégooiatéous en vue d'un armisto a eu c.-t ef-ft i que 300,000 uîidats de l'Ukraine ont quitté p. front. Snickeiiiuo &&.ïali; sa fuite Yt n» -, 1er déc. — Le général Duchomâe <'t les représentants militaires de l'Entente eO sont ontius du quartier général. La station, ruittiotéiégraphique du quartier général .et aux ma ns des maximajistee. Londres, 1er déc. — De Pétirograd au «Times » : D'après It's journaux de Mcs.oa, Du* J/iisEiui.' ?!y»it envoyé tr^ ©rdu du jc-ur a. toutes ' s troupes, en y exposant les me'ifs pour ifsquete u s'était îefusé à entamer ces négociations de paix; il aurait fait i.ppel aux troupes <-n les pr ant de déc arOr si elles é.aieut d'acco.d avec £a taçori d'agir ou non; et, dam» c© dernier cas, il remettrait le oommandement à Kryienko. Amsterdam, l"r déc. (Reuter). — Du «Daily Chi-onicie» : Ditchcnine aurait prié lo générai TschcrbaUch-'tt, commandant au front roumain, d'assumer les fonctions de généra lies .me. La Sibério indépendante. Amsterdam, Ict déc. — Lo « Tekgraaf » transmet des informations de Russie, d après 1 equeilea la Sibérie &e geiait d-.larée rudep n-dante sous Potapini; des mm'stîrea seraient dé. jà nommés et aurai 'nt siégé à Oinsk; beaucoup de localités oui arboré le drapeau sibérien . Opinion d'un diplomate russe. Stockholm, 1 déc. — L'un des diplomates russes lés plus connus et les plus just , meut renommés de Russie, le baron Rosen, vient d'exprimer sén optn.o'n sur les' jxisèib'i'îtôs de poix, a Après 1 maiheur qui a fondu sur la Russie, dit-il, entr'aute-es, il n'y a que ceux qui sont frappés de oceité, qui s"jpaient capables de nier qu'il / -.-ut que la pa.x se-.t Conclue, av c ou sans les Alliés. Il faut naturellement qué la Rusoie f sse son possible pour respecter les traites conclus, mais dans C-s traités ne se trouve pas insérée la clause qtse la Russie doit aller jue-qu'au suicide. » lia guerre sous-marine. Madrid, ier déc. — Da l'« Imparcial » t Ces deniers jours, d®3 sous-marins ont coulé, près de l'î e Madère, le vo.lier espagnol « Bue. n,a Ventura» de Barcelone, ainsi que le vapeur français «Pomone» (4,000 t.), chargé de minerai et de vin, et le vapeur américain « Taresk Si-Robert » chargé de fro-m nt. ETR AWCiliBE FRANCE. — Le /ègn- au aTiyrt». — La «Voesische Zeitung» apprend de Paris par 'a vofi suisse que Clemenceau a fait incarcérer plus de o nt personua.ités diverses, dont quelques-unes appart.enncnt aux administrations municipales ou départementales de Paiis ou de la Seine. On suppose qu'il exisi.e une corrélation entre cette mesure et le mouvmCnb pacifisme. Vol k certes une manifestation a.ueei typique qu'imprévue du « ça dépend des caa ». Quo pense le ministre C.emenceau d s vinikn.t*Sr campagacs que le jouma, iste Clemencr.au do l'« Homme L bi-e » et de l'a Homme Enchaîné » (!!!) a menées contre la consui-e atin da d-fendre la liberté de la presse, de s'exprimer et d'écrire. Jamais, croyons-nous, l'on n'a vu exploiter « ça dépend des cas » ot poser des actes qui relèvent de l'histoire de la paille et de ta. poutre avec autant d'effronterie et de cynis-rac qu'au cours do cette guerre. (Plan). FRANCE. — Fins de gWrre, plv# de sou-i/ - La « Gag.tte de Vcss » a indirectement reçu un té égrammo annonçant que je gouver. Diement français a défendu aux détenteur* d'actions de 1a Société des Naphtès do St-Pê. tersibourg d« participer à l'augmentation du capital wx'ial de cette société.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le bruxellois: journal quotidien indépendant gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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