Le bruxellois: journal quotidien indépendant

1450 0
close

Warum möchten Sie diesen Inhalt melden?

Bemerkungen

senden
s.n. 1917, 26 Februar. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/dj58c9s050/
Text zeigen

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

#.}o«ric»Ks: nsrin ÉD. g briueliiu - Prov '.«cc - lilraugct 3 mois : ï'1. *; r>0 - jVJk. 3.60 Ls« Oi tiiwY fo>te en fk^iu; c <jt ê ;! : que <ta$ t\ i\L,s'\ilSlliAA.Sictux cl cor.r» l«t Uts-V ! AvSIL 1 Jvil.LET 'O.IOO. O-t > tVni;, Ir.ntcfoii |. , ,•» V** d#rT?içr«; i j, ,»•) ,Tt?ine jv»j;r ie QVïîlu: iool» ,*fsj|«juf W;i.*-itre au pru \U ' Mfl's T "Ho:s Fi 3.00- >»!4 2. :0 l-i 1.50 U: 1.2(5 0 TSFïAGE : HO.O00 PAR JOUR Le Bruxellois Rédacteur EN CHF.P : Hei%é Armtkttcl ftBBial taœîliieu Indépendant f. / I Rédaction, Administration, Publicité, Vente : BRUXELLES, 45, RUE HENRI MAUS ANNONCES — f.a ligne Faits divers cl Echos . fr. 5.00 Nécrologie 3XH) Annonces commerciales . 1.;.0 » financières. . . ].00 PETITES ANNONCES La petite ligne 0.50 La grande ligne 1.C0 -—0— TIRAGE : HO.OOO par jour ALL*--..>A& H Si BERLIN, 25 pioicr. — Officiel de raidi : Théâtre de la guerre à l'ouest. .dn siui d'Y près ainsi qu'enué Ai meulières c Alias, plusieurs poussées anglaises déciatchces et pat iie après une intense canonnade, oui été rejc I'.ls. Des missions de reconnaissance ont condui; nos delaçhsmenis "' 'iliaque à l'ouest de Lié fin jus-ti-te loin ;!.;ts l.i position ennemie, où ils ou! jait sa ptisvnniets <t réalisé, des destructions. Dans ia n-gion de ia Somme, la lutte d'atiiiicne par moment s a été: vive, p> incipakment entre SaiJy et Boucha-vesnes. A l'est de St-Mihici, une ëàtiéprise jian-çaise est demain stérile. Une entreprise éi nous, dans la région boisée plus proche de la Moselle, nous a nila 12 prisonniers. Pics de Lusse, sur la pente ouest des Vosges, nos détachements d'attaque eut ramené 30 soldats de ,a position française. Au coûts de là nuit du 23 av. 24 lévrier, un ditigeubie français a été abattu tout en flammes par le feu de défense dans le bois»éi l'est de Saaialben. Théâtre de la guerre à l'Est. ■Front d'armée du feldmaréchat générai prince Léopoia de Bavière: ras d'é péttàme Us sf.>■ c.aux. Front d'armée du général colonel archiduc Joseph: Au défilé des 'Fartaies, dans la partie nord des Ci. :alites bot es, une auaque russe a échoué. Groupe d'armée du ieldmaréchai générai voa Msakeiisen : et JFront de Macédoine. La situation, par. suite de Vaction d'avant postes immine, est inchangée. BERLIN, 24 lévrier. — Officiel du scii : On ns signal c û'opéiaiions de grande envergure. Sur cucu'i front. AUTRICHIENS VIENNE. 24 ,éviter ; Pas i'ét énemerJs païticuliers sut les trois tliéâ-ïics de la h eue. FRANÇAIS PARIS, 24 fnier. — Officiel de 3 h. p. m. : Dans us Vosges, hici en fin de jouir.ée, un de nos detuchemenis a p' néirt dans les lignes ennemies au Vernie ni 'T t"nt- sans sû(Tù's%n eolfp 3e main sur nos Uanch'es fnès de Wissenbach. Nuit coi nié sur le wsie du front. Un de nos dittg ables a bombai dé au cours de la nuit, les usi-u > en activité dans ia région de Bru y ei est renin sans incident à son poit d attache. Quatre cents kilos de project ûes ont été tancés far nos avions sur tes bivouacs de la forêt de Sptncourt. PARIS 24 ici 'ier. ■— Officiel de 11 h. p. m ■ Canonnade habituelle sur l'ensemble du front, sauf deux te ni tivss infructueuses ce l'ennemi sut ncs tranchées av Viola (Alsace).Aucune action d'allant rie. RUSSES PETROCRAD, 22 féviier, — Officiel. Sur ie front a l'ouest, t'en réc'ptoqae de patrouille., d'échtircurs et d'' reconnaissances. Sur le front roumain, d'épaisses colonnes ennemies ont tenté, aptes piépa: -lion d'artillerie, d itta-qi er nos positions êe'.s la légion au nord-est de Dcma-Watra; ci! •s ont ék toutefois an été es par noir.: f-u éi 300 pas devant nos liant h/es. A la tombée de la nuit, les i mpes nu. mies oui réoccupé leurs tranchées primitives. Si.r les autres secteurs du fient, l'habituel lie. réciproque des éclaireuis et des pat touilles de reconnaissance, cou de succès p< itr nos armes dans la région au nord de Brai love. italiens' ROME, 2 3jévtier. — Officiel : Des tentatives laites par i ennemi en vue de p" rcirer dans nos ligues ■' «•( ïugnu (vailce de - A diae/, entre Strrgno et Spcra (vallre de Sugatiu. c! sur le va saut du Monte Cadini (Boite supe rieur) ont écheat 1 Dans la ugioit du col dt Lena (Cordevole sttp< rieur); un détachement ausiro-hongiois qui ave. sut "lis un de nos postes ce campagne a été aussitc re, ussé par une contre attaque. Nous avons fa. qi.ee. :es piiséinicrs. Dan s m nuit ù lin > un a nos ùiii-gcabîcs a lance une ior.iie d explosifs sur i ehump d'aviation ennemi de Prosecco avec une < ificaeilé constatée. Noue uùige.ible est t entré n tieinne. ANGLAIS LONDRES, 23 février. — Officiel. : Pendant ia nuit, nous ut uns amélioré notre pos tien au nord de Uta-.decoml, ou nous avons canqii une parue aune liai n .re einemie; > ptisonm, et un mortier ejjicciclnc ; no:.: avc.ts igC.cine, umé du tarant au sud dé Veti'.-M.namnont; q éiaii occupé i... r un poste énnemi. Ui ; s'oir, n avons etfcrt : une aluni:.e neureu.se eu sed si • Souche:. Un car, in nombre d'ennemis « < des abtis ont été déimiis. Ifi mutin, des cttam. ennemies et, été revissées an sud d 1<-mcn; ri à proximité de bon de Pocgsteat. i.'artilht ennemie c été pic, aetiv, dm-i w té,,m d, la Su me et ait sud i'At: is. m-on* cc:: une «, succès des ttanc'Jes ennemies au se.l d ) près. Dernières Depackes A k nu<uut»ro des Coiamuîiûs. S HottertUa, :.i (âvriïr. -- On an-nonce di LonJ: su « Kiéuwe lV-tcrlaiMâchô Courant » : La Cua bie des Coir.mr.nes ùuit cxah'.'i hter, et Liojd , gt, r&çut ta» auu.cl' a'umble. Son cdscctirs qui a Ji ' luis heure ei a obtecui l'f "K t-Jccès. h\ le premitr ministre, 1 unioniste Mason dcciaia que j le nombre des vaisseaux arrivés et j arti;-, n était pas j un metii de prendre d'une manière légale des mesu-res de panique et pour s'immiscer d une façon aussi ,, drastique dans l'importation anglaise. Asquitii n'étant pas en voix, Runciman prie ta parole il sa place. •j il dit qu on ne sciait que lentement tendu compte du fin.nqtie de tonnage. La plupart songeaient plus s aux gai'is des armées. La restnétkm des stocks de papier pour toutes les entreprises de jour-s naux basées sur tin capital, représente une perte absolument csitaine. Le gouvernement empêchera l'accaparement du papier, par une ou deux grosses entreprises, et soignera pour une répartition équitable. Runciman a dé.clarc aussi que souvent ii n est pas tenu compte des ia*ions fixées par Lotd ïiîvon-port. Si le pays ne restreint pas ïa consommation, il y aura une grands disette avant que la nouvelle récolte soit rentrée, et ia population devra se soumettre peut-être à un rationnement fr.rcé, autrement étendu, li estime légitimes les mesures ou gouvernement en vue ci un rationnement obligatoire. Le gouvernement mettrait aussi à ia disposition des ports et des chemins de fer, des forces de travail suffisantes pour rendre possible une répartition des marchandises et un déchargement plus rapide des bateaux. Runciman met également son audit- ire en garde contre le retrait excessif des forces agricoles, qu! sent nécessaires e: ne peuvent être remp.aeées par des iorc^s non exercé -s. Prothero doit disposer des mêmes pouvoirs que Lloyd George en sa qualité de ministre des munitions. Quant aux agriculteurs qui savent produire S millions r'e qtsarters de plus, il leur i aie» a volontiers 60 et même 70 shillings par quarter. La question des vivres e.-r Angîeterre. Amsterdam, 24 février. — De Londres à i'« Al-geineen rlanàeisbia. . : pri:: maxima set ce t probablement établis pour les vivres, afin ce prévenir des bénéfices de guerre excessifs. Le contrôleur t es vivres se fera adresser des informations sur les prix de gros et de détail des vivres les plus imp r-tnnts. En première lig. e, il s'agira des prix maxima ' eu thé. On croit que certains négGeiants en thé, pré- ' voyant ies vestriefio:..- d'iœpoi tatica, se sont large- 1 ment couverts et ont fait hausser pîv.c que de raison les cours de gros pratiqué pour ie thé. lerne, 24'féw;/. — De Marsei'ne au « P'OgrèsF de Lv ,n » : Le vapeur japonais « Hankoku Maru » a sombré le 21 décembre, piès de G.tu, li y a peu tâ'espcir qui des oôO passagers il y -.n ait un seul de sauvé. L'Angleterre et le marché russe. : Stockholm, 25 février. — Le r. ésiien; cc l'A'iian-ce Trading Company, a Sî-Pétr.sbov.rg, nioma» l'aik, de passage h Bsigcn, a déclaré au correspondant de !'« Ahenposteii », qu eu fait erreur à i e-tranger, si en ercit que l'Angleterre a supplanté les Allemands sur les marchés russ.s. En réaii.é, le commerce étranger russe a passé aux Scandinaves et aux Amériques. Les Anglais en yr.t seulement à l'organisation pour l'avenir et ils doivent s'attenore à y rencontrer, après la guerre, l:s Etats Scandinaves et l'Amérique comme concurrents principavx. Le bilan commercial de la Russie a.ec 1 An;-tique a pris un essor' particulier. Pour autant q - h srit possible de s'en rendre compte, en peut dire que la Russie a fait de mauvaises expériences avec i Amérique. Les Américains livrent non seulement de mauvaises marchandises,"mais ils pressent ies Ruses de près, parce qu'ils exigent une réception urgente des marchandises expédiées en Russie. Les Russes, très lents, 1 avaient plus faciîc ..-.-ce les Allemands. Les Scandinaves dominent le commerce, surtout dans la branche des machines. Les Norvégiens ont acheté pendant la guerre des régions brisées si immenses en Russie, qu ii» seront bientôt à la tête de l'industrie du façonnage du bois. Le président rtgre. ait que le travail recrganisa-, teur en Russie soit si peu apprécié r. l'étranger, il loua entre autres le résultat obtenu dans ia cccstriction de chemins de fer et de ports russes. C'est ain-s: qu'on peut considérer la communication entre St-Pétersbourg et la mer Blanche c'nr.vte c:m;!è'e-• £ ment stable, et les conditions de transbordera.nt ont fait tant de progrès à Archange!, que le délai d c-m-, magasinage do dix jours est rarement dépassé. L in-dnstrie russe même a pris un essor considérable, mais ne se consacre qu'à la fabrication r'e munitions. Toutes les fabriques tusses nouvellement construite-.. s .vent exctu^venient à la fabrication de muni lions. Le président Falk déclara encore qu'on n'a pas la vie facile à St Pétsrsbourg La ville souftr- beaucoup de ia disette de charbon, et on se chat ft'e par-"i tout avec de l'huile, li assura finalement que i'er-ganisation intérieure en Russie a beaucoup amélio-ré, les excès dans ia corruption tyant heureusement diminué. Hî.u fio des assurances maritimes italiennes. Lugano, 23 février. — Le taux des assurances maritime,: a été perte k 7 p.c. par ies sécrétés :la-cs licsmes et te gouvernement les a même autorisées rie k dépasser ce taux si c'est nécessaire. Avant la lu. guerre, ie taux tait de 2 p. c. •ci Xiti pi'opagajide pacifiste en Russie. Bénin, 24 février. — De Malmo à la < Kriegs. zeittuig » ^ La propagande en laveur de la paix a pris sans aucun do 'e, tin essor très considétabie J cn' Ki-- '.c. après» l'offre de paix allemand.;. Elle a été arpuvoe cn des sens divers par des fractions de la gauche et de la droite. Un afticle publié par le res « Sitnicchiua » de Moscou, est signinca if u c.t m,- égard, et a provoque- une certaine sensation sans le ;or. r-ays. Le jourr.sl deiïiftncio notâninicni au gouverne-tiré mer.'., de dissoudre 1m Douma, qui est la seule ii cm-•rès pécher le retour d'ane paix, si nécessaire pour la «a» «e «s m fss es ^ j Russie. Le « Rusk je Gi-aschtaitin » déclaiait ces 1 jcurs-ci eue la Russie ne su> pto tcrait pas la prolongation cte ia guet re, vu que ses ressources ne peuvent non seulement pas êtso mises en valeur, mais sont notablement en recul.. . Explosion d'une canonni' re portugaise. Brye, 24 février. — De Lore-1,.0 Marquez à l'agence Havas : La canonnière ^p- tugaitse « Telo » a été détruite sur le Tlambèze j.4* sui : d'une explosion de ehaudière. Quatre personnes ont été tuées, et sept blessées, une autre manque à 1 appel. Une nouvelle déelarcrion de Wilron en peïspecti"e. Coper.a'ugue, 24 février. - P.- Londres au « Po-litiken » : Ou mande de Washington, que Wilssn avait résolu de prononcer au Qc.gtès un nouveau discours, par lequel il s'adresserait encore une feis aux belligérants et aux neutres. 11 donnerait une explication de la situation extraordinaire actuelle, et ferait des proporitit ns visant de nouvelles résolutions qui sont à prendre d'urgence . Au Serai américain. Washington, 23 fést.er (ofi.ji.l). — Wiieoiï a décidé de convoquer le Sénat m séance* extraordinaire peur je 5 mars. Les ifiterdicticus anglaissr- d'importation. Londres, 23 fevr. — Un grr:-ié publie une longue liste de marchanaises d; ut i imitation a été défendue, entre autres Us objets d art, ae vannerie, les livres, les journaux (sauf que;:..tes exemplaires), ie caca.» brut et non préparé, les fleurs haiches et artificielles, le verre, ies gar. le cuir, le vin, ie fil, ia soie, les fourrures, le b is et ie bois de construction oc tout genre. La efense d'importation ne s'étend pas aux inarcban. ses importées avec 1 autorisation ae l'office eu |:irmerce. La^ueitie a» îaraise. Nous lisons dans le .Tag.i, sous la signature de Karl Etigen ijcismiat . j p L abbé Lcr. »rc, qui repiésMiîe depuis de nombreuses années un district é^ctcral flamand à la Chambre des Réputés t-ançaise, a reçu de Roubaîx une lettre qt-i est put iée q«. j ,a presse française ' pour prouver que ia ieniine iè ne en Allemagne. c Qu on remarque, en ettet, u e i. 3 ncfuvelies pro- 1 venant de souri . hr i" s. : -- et e::r,<ô^~ •■ mégis,pourraient frire crchve qu'eu n'attend pas^dtt côté ennemi, la vict.irc si jsonvas' annancée aert is deux ans, de la grande offensive, mais prûicipalé-men du blocus de lamine, ou que hs espoirs d'à.- 1 famer le peuple alK-mand sont tout au moins aussi c grands que ce- x mis dans les monceaux de muni- s tiens accumulés a 'a frontière ce l'Ouest. i La lettre de l'abbé Leraiie ait que les soldats al- t lemands allant en congé dkz eux drivent emporter de=, vivres de la France, parce que leurs familles -, n'ont rien à manger eliei; eiles. On donne comme j exempte que les haV ants français du tet rite-ire ce- ! curé vendent aux perinÉssicr.naires du rfe. c' i co> te , à Ronbaix €0 centimes le kilo, et q il est vendu par les permissionnaires dar.s leur pstne à raiseti I de 1 mark la livré. Supposons que ce.te lettre cite la «critc; 'es Français devraient en conclure deux choses d'abord i — et c'est co qu ils font — que tes vreres so-.tt très restieint-es en Allemagne, et en aotond lieu — c'est ce qu'ils r.c font pas'— que les l-rançais man-! geiit mieux dans tes teiritohes cccttpés par les barbares que les familles de ceux ci. E: si c'est flnei, il y a là ces barbares très sin-1 guiiers Des gens qui laissent leur famille dans j l indigence pour gpuvuir mitux saigner les sujets des ennemis! Cela n'est pe-ssiele que parmi les ha-j bitants non ci'.iiisés des bois et des cavernes; des I hommes civilisés ont 1 habitude de- se <.not,ir. au j (renient. Napr-i avec lequel ies Anglais aiment 1 à comparer ;'Empereur allemand, aurait simple-! ment déclaré aux ennemis affamés qu'aussi iong-! temps qu'il y aurait eu une miette de pain dans les ! territoires occupés par s: s soldats, les fanrles j françaises ne souffriraient pas ce la faim. Et tl au-1 rait tenu parole et au ait attenté t.us l.s habitants j dts territoires occupés avant q.:e le far. me de .a | faim n eût huppé ses compatriotes, /.ils NapoUkn était un héros violent et se trouvait à la iéte de la J nation la plus éclairée et ia plus civitisé. de la j teire. Si lui et ses hommes avaient e é des bat bar ' I res comme les Allemands, ils arnaient souifert ettx-' I mêmes de la faim plutôt que de sonner a manger I à satiété aux ennemis. Napoléon et ses sclàaîs de I la grande nation ont. transport, leur ci. ; isa.ion en j Egypte et en Asie-Mineure ; à Jaffa ils ne savaient 5 I que faire de leurs 4000 prisonniers turcs; finaie-" I ment on les mit sur la plage et ou les abaitib avec " | les canons, les fusils, les baïonnettes et les sautes. j Vciià une opération de gens civilis s 1 Mais des bar-" j bares laissent leurs femmes et l|2ui's eniants souhi ir j !î I de ia faim, pendant ^uc ies ennemis eji leur peu- j I voir vivent largement. >• i A ce point de vue, je dois supposer que; le mot s I « barbare » ne signifie autre cltjse qu u imb cite » t- I et pem-être les Français le pssjser.t ils en leur ier ■s intérieur. la I La guerre sous-riariae. i Amsterdam, 24 lé- 'ier. — Laidirectton du « Rot-1 terdatti.-iche Lloyd » a reçu un !t légramme d'où il s. ressort que ie vapsur « Menadd» au.ait éga e seM ;x été torpillé. L'équipage et ies paisagers ont été satt-je I vés et débarqués aux îles Scilif. Le vapeur floue je j encore et set» remorqué; à Fatriouth. is j Coicgne, 24 février. — D'Ai/sterdàm l la « Ga le zette de Cologne » . Le miitjs ère françt is de'la ,t marine annonce que le \apeuij pèstal « Athos » a le été torpillé dans la Méditerrat^-e. A bord se trou-e- I valent des troupes sér galaisesl à des! -latton de i n- Ftance. li appartena t aux Mesageries Maritimes et la 1 jaugeait 12,447 tonnes. l*£P£CH£S ; ( Re pi od uites de l'édition piécédenie.) Les combats au front de l'est Berlin, 23 février. — Au front de l'est, l'activité est devenue plus intense ces derniers jours; toute-lois, les conditions ciimatériques empêchent l'ex-t édition d'importantes opératiens. Le récent effort que nous venons de faire prés de Mestecanesci revêt une importance spéciale, car notre succès empêche définitivement lc-s Russes d'essayer encore de s'emparer de nos communinca-tions transversales dans la vallée de la Bistritza dorée.Dans la vallée de 1 Oitos,des contre-attaques rus- 1 ses ont été iepoussées, tanais qu une attaque de 1 armée de î archiduc Joseph a été couronnée de succès près de Slanic. La ténacité avec laquelle les ; Russes résistent à cet endroit s'explique sans dou- 1 te par leur désir de couvrir leur centre d éiape ' de Tirgul-Ocna, qui se trouve déjà à portée du feu de notre artillerie et qui établit le contact avec les troupes ae montagnes russes postées plus au nord. I Pour les puissances centrales, la situation s'est améliorée en Roumanie pendant l'hiver, grâce au rétablissement et au développement du réseau des voies ietrées et des routes. « Dans 1 entreptemps, ia tactique aileman^e d'at- t: taques locales continue à l'est. f Après" avoir efficacement pénétré dans la position " russe établie près de Radulesze, sur le Iront ue ia Putna, nous avons prononcé, je 22 février, des at- " taques à i'est de Brzeczany. Au cours de notre pre- li miète attaque, nous avons fait — notre com„ uni- ° que d'hier le signale — 250 prisonniers, parmi lesquels deux officiers, et capturé deux mitrailleuses. ° Nos attaques ont été 'caractérisées par une préparation minutieuse, par ia collaboration complète des ' troupes d'attaque — artillerie, lance-mines et aviateurs —- et par un succès rapide et des pertes mini- 8. mes. Aptes une e.uite mais eh Lace préparation Cl d artillerie qui a mis rapidement hors de combat Ses batteries ennemies, ks troupes d'attaque aiieman-des ont pénétré dans la position russe. Elans 1a zo-ne coupée par notre feu ne barrage, le reste dts dé-fenseurs. -ptaeyelis Ipc ri «somluiax û« tnç ! sans perles. 1:. CS-raiitude aatéiicaine «avers rAfietoagae. Berlin, 24 fév. — l;n quittant le territoire de ci i'Empire, Ses secrétaires américains de 1' «Asso- q' eiation chrétienne de jeunes gens» se trouvant au et service, s'occupar.t des soins aux prisenciers de guerre, ont adressé au gouvernement allemand l'a- m dresse suivante : « Nous, soussign s, secré a res américains de h l'Union ebrét- ntie de jeunes gens, qui avons été *~ honorés de la faveur extrêmement amicale du mi t-nistre des affaires étrangères, en tr.nt qu'hôtes au gouvernement impérial dans les trains spéciaux ce 1 ambassade américaine et qui quittons les lieux où notre activité s'exeiçaiï dans 1 intérêt des prison- û-niers de guerre qui nous étaient devenus chers, c nous voudrions exprimer par la présente notre plus cordiale gratitude pour cette attention. 1 Depuis notre toute première visit. ci entrée en c fonctions jusqu'au moment du départ, 1 amr.ié et 1 ia bienveillance nous ont été témoignées par toutes les autorit is et officiers avec lesquels -nous avons eu l'hcnneu! de collaborer, dans une mesure tout à fait exceptionnelle, et bien que la douleur e: la des- £ illusion au sujet de cette soudaine interruption d u-ne œuvre qui promettait tant, soit grande, c'est 1 pleins d'enthousiasme pour l'hospitalité reçue qu - 1 nous rentrons au pays natal. » Berastorfl est-il en route? Copenhague, 24 fév. — La Compagnie des navi gâtions réunies ignere toujours si le vapeur f : recette Vlll», à bord duquel se trouve 1 ambassadeur allemand à Washington, a quitté Halifax. Depuis son départ de Nev, York, une semaine s'est déjà écoulée. Depuis lors, aucun télégramme n'est parvenu aux armateurs au sujet e u navire. On admet que le vapeur a déjà quitté Halifax et que le télégramme < ad hoc » a été intereepté par la censure anglaise. 1! est établi à présent que ie vapeur n'amène aucun courrier postal. Parmi les passagers se trouvent de nombreux Scandinaves. La Francs a besoin, d'une prompte victoire. Paris, 22 lév. — Dans des ccmmentai.es, abovt-lt dam ment coupés par la censure, au sujet des efforts français et anglais dans la guerre actuelle, le ' journal «La France,, écrit qu'en doit rendre justice à l'Angleterre de ce qu'elle a lait, mais pour la France « il est absolument nécessaire qu'une prompte vieteire soit remportée. L'Ang-.terre doit faire des sacrifices plus considérables ». Eile devrait prendre exemple sur la France ;i!i laîfle mai.r-,t tenant ses derniers homm s. « Les rîcrutem t.'s anglais sont un jeu d'enfant » comparativement à j. ceux de a Fiance. L'heure d'ete en Angleterre. Le ^ Nieuwe Rctterdamsehe Courant » apprend »t- de Londres, que la commission parlementaire chsf ii gée d'examiner le projet oc loi sur îsrtrGuuci. n ut de l'heure d été, a recommandé cette mesure à it- 1 unanimié. te Ls parti ouvrier et ie cabinet national australien. a- Londres, 24 lévrier. — Le « Times » apprend de la Siiuey, que ies ouvriers craignent qu'un cabinet a rational, comme celui qui vient d'étie constitué par u- M. Hughes, ne soit difficile à renverser plus tard, la l.rrsqu il aura tenu les i vi.es du gouvernement peu et dant quelque temps. Pour ce motif, lis annpnc .ni qu'ils combattront ie gouvernement; ils tspèicnt arriver a la dissolution du Parlement, grâce à leur inljuence au Sénat. Augmentation ues tariîs postaux en Suède. Le « Svenska Dagblad » annonce que les tarifs postaux sont à la veille de subir une augmentation en Suède emprunt français aux .Etats-Unis. Londres, 24 terrier. — La banque nev/ yuikaise de Bonbright and Co a ouvert pour un an un nouveau crédit de 15 millions de dollars à la maison Schneider du Creusot, contre une tiaite de trois mois. Le crédit est garanti par des banques fian-caises et par des bons du Trésor français payables à New-York. On dit que le raux d'escompte des traites s élève à fi.5 p.c. La conif reace économique à Rome. Le « Times » annonce que, du 12 au 14 mars, se tiendra tt Rome une conférence économique, ayant le même objet que celie qui a été tenue à Paris. Mort d'un dramaturge espagnol. Madrid, 23 lévrier. —- Le célèbre dramaturge espagnol Joaquim Dicenta est me-rt à Alicante. lz guerre sous-maiine. Fias de £2,000 tonnes coulées. Rotterdam, *24 février. — Les vap_uis anglais « Borrima » (11,137 tonnes;, « Henaiey » (4,yo3 tonnes), le vapeur de pêche « Piéton Castie » U45 tonnes;, et ie vapeur grec .■ Lactis » to,y04 tonnes).Rotterdam, 24 février. — Les \apeurs anglais « Luudy isiand » (3,095 tonnes), « Lucent » ( 1,4u9 tonnes) et « Sunderland » (4,o49 tonnes), ont ete couiés. Rotterdam, 24 février. — On annonce aujour-d nui en Bourse, que la frégate norvégienne <t Fall-soli Sion » jaugeant biut 1,965 tonnes, a été coulée par un sous-marin ailemana. Londres, 24 février (Lloyd). —- Les vapeurs an-giais « Gienadier » et « Trojan Prince » ont été' coulés. rtiust^rdam, 24 février. — D après ies journaux augtais ies vaisseaux suivant sont signaits man-quants par le Ltoya : Le vapeur « Ba,.eaui » 3,000 tonnes) de Lcnares et les voiliers anglais « fclal-ttc u, « Brockiesbv iietic rntnmhia » ,i f Wiy nés) a sombré. Lugano, 24 février. — L'agence Stefani avoue ie ccuiage ou vapeur de transpoit « Minas » et ajoute que le navire a tié coule- à 160 milles u i ouest du cap Maiapaa (r'eioponèse). Une partie des troupes a été débarquée par des vaisseaux survenus ultérieurement. Berlin, 24 lévrier. — Neus avons mentionné que le vapeur u Lada » avait é;e coule le 6 février. Or, il résuite dune enquête qu'il a été c^ulé à ton et il est admissible que les propriétaires du navire et de la o<j'gaison, seront indemnisés. Londres, 25 lév. (Lloyd). — Les vapeurs anglais < Bclgier» (4583 tonnes), «.Natcbfield» et la barque anglaise irinv-ernaulG.; (1410 tonnes) ont éto couks. Amsterdam, 24 fov. — Les navires ce i Amenka Linie restent à l'ancre à New- iork, sur.sni une décision aes armateurs. U n y a pas à suiger a une reprise du trafic d outre-mer. Ajjpei au service auxiliaire en Angleterre Londres, '24 février. — Le goirternemeir. anglais fait, publier dans tous ies journaux un appel dont suit le texte : Service nations!'. Le pain que vous avez mangé à votre déjeuner a été fait a 1 aide de céréales apportées en Angleterre par un navire. Ce sont des navires qui amènent la \ iaiide de mouton et de breuf que vous ache.ez. Lés rayons de 1 epi.ùr sent j itins de marchandises qui ne peuvent a; river en Angleterre que pu> la mer. Sans c^s prodrrts aliment tgires et des navires qui les amènent, vous mourriez; de faim. Les Allemands le savent : ils construisent des sous-marins pour couler ncs navires parce eu i J espèrent gagner la: guerre c-n nous affamant. Unj nation sans nourriture ne peut ni combattre, ni vivre.Vous devez triompher du danger. Vous devez ré, pondre à la menace par la \oleiité et léneigic. li tau- construire p:us de navires peur amener pius de vivres; il laut produire plus de produits alimentaires . Le gouvernement vous appelle. Tous les hommes âgés de 18 à 61 ans ont ie devoir de s'otfrir volontairement à taire le travail qui doit être f ai :. Il n'y a pas de temps a perdre. Le travail attend des bras aux champs, dans les chantiers, dans les ateliets, [ dans les fabriques de munitions. Si vous êtes apis ' à ce travail, n'ii sitez ni ne tergiversez pas. Du moment que vous avez une paire de mains et la tete 1 sui les épaules, vous êtes capable d'un effort, et le uavail est urgent. Rendez-vous immédiatement au prochain bureau de poste ou de service na.tonal et ? lai,es vous inscrire comme volontaire. Si vous vou-1 hz, en remplaçant dans le service ci . il y* homme, apte au combat, eue ia pa .». soi: r*merv e a oref .'.'lai, faites-vous inscrite vis aajou-ù Uui dans k J liste du service de i a-nue industri':* Une brigade an^laiiO anîi»jU«. Constantinopîe, 24 février (*">'-). Il n est pu» possible aux Anglais de pcvrs uv.e pus longteror* leur aventure après leur dernière défaite su sud île Kut-el-Amara. Au cours du combat du 17 devant r.c* positions de Feilahieh, une brigade d'Anglais do le couleur, qui s était avancée jusque dans nos trau-et chées a été exterminée. D'après les dires des priât sonniers et des informations d'autre source, plu-o, sieurs navires chargés de blessés anglais sont parti- tis dans la direction du sud. Les pertes anglaise* ni au ci . rs des derniers combats, dépass-at 30,000 nt liommes. " Ed~ a CINQ CEBT1HES î-«mdl 26 Février 1917

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le bruxellois: journal quotidien indépendant gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Zufügen an Sammlung

Ort

Zeiträume