Le messager de Bruxelles

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s.n. 1914, 29 November. Le messager de Bruxelles. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/ms3jw87c54/
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LE MESSAGER DE BRUXELLES JOURNAL QUOTIDIEN, ECONOMIQUE & FINANCIER Abonnements : Pendant la durée de la gruerre 3 francs par mois (Bruxelles et faubourgs) JLvis. — Adresser toute correspondance à la Direction du Messager de Bruxellfs Dépositaire pour CHARLEROI et environ* : M. MOUTEAU, 37, rue Ohavane, CHARLEROI. Rédaction et iVcImiiii^li-îitioii s 1, Quai .du Cliaîitier, 1, Bruxelles. - Téléph. A 1610 DERNIERES NOUVELLES Communiqué officiel allemand. i Berlin, 28 novembre, à midi. — La situation | n'a-pas varié depuis hier sur notre front en Flan- | dre occidentale. L'offensive française, en Argonne, a été repous- I sée. Dans la forêt, au nord-ouest d'Aprémont et dans les Vosges, nous avons repoussé des attaques françaises. En Prusse orientale, la bataille continue. Près de Lowicz, nos troupes ont repris l'attaque. Le combat dure encore. Une offensive violente des Russes dans les environs de Noworadonisk, a été repoussée. Au Sud de la Pologne, la situation est inchangée i Communiqué officiel autrichien. Vienne, 28 novembre. — Les combats autour de | Kolubar prennent une tournure favorable. Nous j avons gagné du terrain sur les différents joints du front. Nous avons fait 900 prisonniers et pris une batterie. Le mauvais temps et une ch :te de neige particulièrement abondante sur les hauteurs retarde les opérations. Un retranchement e nemi près de Lazarevitsch a été pris. Nous avors fait là 8 officiers et 1,200 hommes pribonniers" trois canons, quatre caissons de munitions et tro's mitrailleuses.Le corps d armée parti de Valjevo est f' vant Kozierici. Le communiqué anglais ne nous est pas parvenu. Dernières dépèches Londres, 28 novembre. — Le « Times » annonce, d'après une dépêche de Yarmouth, qu'un bateau de pêche toucha une mine dans le Pas-de-Calais et sombra, avec les neuf personnes de son équipage.Berlin, 28 novembre (officiel). — Une dépêche du « Daily Mail » annonce que Dixmude serait à nouveau au pouvoir des alliés. Cette information est inexacte, Dixmude est toujours occupé par les troupes allemandes. Constantinople, 27 novembre. — Le consul russe à Tàbris se trouverait parmi les victimes de l'insurrection.Bordeaux, 28 novembre. — Le moratorium français est prolongé jusqu'au ltr janvier 1915. Amsterdam, 28 novembre. — Le a Niews van aen Dag » annonce que lorsque l'explosion se produisit à bord du « Bolivark », une partie de l'équipage, qui avait eu la permission d aller à terre, se disposait à revenir sur le navire. Elle échappa donc miraculeusement à la mort. La force de l'explosion fut telle que les navires dans le port chassè rent sur les ancres et que toutes les vitres volèrent en éclats. La cause de l'explosion est encore inconnue.Bordeaux, 28 novembre. — Les bâtiments et ate- • îiers de l'administration des Ponts et Chaussées ont été détruits par un incendie dune extrême violence. Des dépôts d'huile et de charbon, ,situés dans le voisinage, ne purent être sauvée qu'à grande peine. Les dépâts matériels sont très importants.Le Havre, 28 novembre. — Le vapeur anglais « Malachite », faisant route le 26 de Livery^ol au Havre, a été coulé à quelques milles au nord-ouest du Havre par un sous-marin allemand. Le capitaine du sous-marin donna dix minutes à l'équipage du <i Malachite » pour quitter le boni Peu après, le vaisseau fut en feui et le sous-marin disparut. L'équipage du « Malachite » est an - î sain i et sauf au Havre. Berne, 28 novembre. — Le conseil suisse a édicté l'interdiction d'exporter du cuivre, du zinc, du nickel de l'étain, du plomb, des alliages de ces corps, les automobiles, ainsi que de nombreux produits chimiques. . JUTST MJLFtaJE SAINT-NICOLAS S'inspirant d'une tradition d'ailleurs charmante que la grande presse belge• observe scrupuleusement depuis plusieurs années, bon nombre de nos confrères ont soulevé la question de savoir s'il convenait ou non d'ouvrir des listes de souscription parmi leurs lecteurs pour permettre aux petits enfants malheureux de fêter, comme les autres, la Saint-Wicolas.Cette forme de la charité, comme celle qui consiste à garnir de fleurs les couchettes de>s malades ddïlS les hôpitaux est des plus touchante; elle émané d'urtê délicatesse de sentiments, d'une bonté d'esse-nec si pure et si précieuse qu'il est presque impossible1 de ne pas applaudir aux projets ainsi formés et de ne pas aider le plus efficacement possible à leur accomplissement. Les enfants, le petits enfants surtout, fi'ont-ils pas ce doux privilège d'être aimés de tout lei monde puisqu'ils ne sont pas encore entrés dans cette vie d'abominables luttes qui fait, qu'en notre civilisation comme dans la Savan», l'homme qu'on trouve devant soi doit être considéré en ennemi. Personnellement j'adore les enfants et cela ne vous étonnera pas quand je vous aurai dit que j'ai une petite fille de deux ans et demi, que l'on nomme mademoiselle Lison et qui déjà conduit son père tambour battant. Je voudrais donc que tous les enfants fussent heureux, qu'ils aient beaucoup de jouets et d'insondables sacs de bonbons pour leur St-'Nicolas.Cependant, je ne puis m'empêcher de songer que le moment est bien peu propice aux jeux et à la gourmandise lorsque les yeux de tant de milliers et de milliers de mères sont rouges d'avoir si longtemps pleuré et que tant de gens ont faim. Car, sachez-le, si vous l'ignorez, des milliers et des millions de malheureux, non seulement à Bruxelles, mais dans toute la Belgique, en France, en Angleterre, en Allemagne, en Autriche, en Russie, ont faim, et ne subsistent qu'avec le minimum de nourriture strictement nécessaire. Encore n'est-il pas sûr que tous disposent de ce minimum. Les petits enfants, me direz-vous, n'ont pas 1à connaître ces misères et si l'on peut donner une joie à quelques-uns d'entre-eux il n'y faut 'tpas manquer. Et bien non! cette misère est telle qu'il ne faut rien distraire en faveur du superflu des réserves dont dispose la charité humaine. Elles sont encore bien insuffisantes ces réserves et le prix d'un pantin, même d'un pantin pour petits pauvres, car il y a des classes sociales chez les pantins comme chez les hommes, suffit pour donner un peu de pain à toute une famille; pas beaucoup, il est vrai, mais depuis quelques temps on se contente de si peu. Peut-être allez-vous rire, mais il est encore une raison pour laquelle je voudrais qu'il ne fut pas distribué de jouets cette année. Voyez les étalages où s'entassent les jouets. Ils se sont mis à la mode du jour et partout s'allignent des canons et des mitrailleuses perfectionnées à côté dy arsenaux formidables où le fusil de bois voisine le sabre en fer blanc. Des panoplies très complètes et où le moindre détail est observé nous restituent dans toute leur splendeur .des uniformes... avant le combat. En d'autres rayons l'élégante goélette à voiles de notre enfance fait place aux informes dreadnoughs, aux sous-marins et autres destroyers plus hideux les uns que les autres. On voit encore dans les magasins de jouets des dirigeables et des aéroplanes munis d'une artillerie formidable, et toute cette caricature de la guerre me semble, à moi, profondément triste, quand je songe au nombre des orphelins que la guerre a déjà faits et qu'elle doit faire encore. Aux petits enfants pauvres, donnons donc du pain et des vêtements. Et aux enfants des riches, donnons l'horreur des luttes fratricides en proscrivant de leurs jeux tout ce qui rappelle les combats. Puissent-ils, nos enfants, quand ils auront des cheveux blancs, raconter à leurs petits enfants : ... En ce temps là, les hommes avaient inventé des machines très meurtrières qu'ils appelaient des canons et avec lesquelles ils se massacraient les uns les autres. Heureusement, la guerre, elle-même, les a guéris de cette folie; ils ont détruit tous leurs canons et ont décrété les lois les plus sévères contre ceux qui en fabriqueraient désormais... V.G. Demain paraîtra notre carte de guerre n° 4, comprenant la partie inférieure de l'Aisne, avec le terrain des plus récents combats. Cette carte, très importante, paraîtra sur une largeur de quatre colonnes. LES QUOTIDIENNES L'Impôt de Guerre Nous n'avons plus la moindre illusion à nous faire, imis contribuables, nous allons devoir payer un impôt de guerre assez sérieux, puisqu'il s'élève à 150 centimes additionnels. Et cet impôt propriétaires d'abord, locataires possédant un mobilier ensuite, nous le paierons sans bonne humeur, évidemment, mais parce qu'il faut que la signature de notre ville, devant ceux qui lui ont consenti un prêt de 25 millions, ne soit pas moralement protestée. Nous avons déjà consenti tant de sacrifices matériels et moraux, que, vraiment, ces 150 centimes représentent, même additionnellement, peu de chose. Il est probable que ceux qui ont quitté notre ville supporteront, avec nous, le poids des charges qui nous incombent ; on a établi, à Gand ot à Turnhout, d'excellents ukases en ce sens. Il se-ait souverainement injuste que les braves gens, qui ont eu le courage de supporter la tourmente, contribuent à totaliser l'impôt de ceux qui ont mis leur personnel à l'abri. Des paniques étaient évidemment excusables au mois d'août ; les souvenirs d'Aerschot, de Louvai'n et de Dinant n'avaient rien pour nous inciter à continuer un commerce dans des conditions évidemment'périlleuses. On peut excuser ceux qui, • à ce moment, ont cherché abri au delà des frontières, et ceux qui, sous le coup d'une peur excusable, ont abandoimé la patrie. w Mais à présent, il n'est plus question de panique ; et il serait souverainement injuste que les gros commerçants et les rentiers riches, qui se sont mis à l'abri, se puissent dérober 'aux conséquences « immédiates » de l'impôt. Il serait vraiment trop beau qu'ils puissent payer les arriérés dans deux ou trois ans, y compris même les intérêts légaux. N'oublions pas qu'une pièce de cent sous vaut, en ce moment, plus pour nous qu'un billet de cinquante francs en temps normal, et c'est nous qui allons payer immédiatement, cent cinquante pour cent de ce que jious oavons d'habitude. il faudrait, pour rétablir i'equiiiDre, ou bien que les « évadés » payent plus tard, au moins trois fois le montant de ce que nous allons payer, ou bien qu'on'poursuive, impitoyablement, le recouvrement de l'impôt de guerre par la vente de leurs propriétés, s'il n'est justifié qu'ils sont absents pour le bien du pays. M. S. ! Au sujet de l'impôt de guerre, dit le Bien Public, différentes solutions furent discutées. D'aucuns pro-' posèrent de répartir les 25 millions entre les com-f munes proportionnellement à la part qui leur revenait dans le fonds communal. D'autres proposèrent de répartir l'impôt d'après le nombre des habitants ; d'autres préconisèrent l'idée de prendre pour base le total des taxes communales perçues en 1912. Toutes ç ces propositions furent écartées successivement et l'on décida finalemen d'établir la répartition d'après 7 le chiffre des contributions directes payées à l'Etat : 3 contribution foncière, contribution personnelle, droit , de patente, taxes sur les sociétés anonymes créée s par la loi du i,r septembre 1913. C'est cette dernière solution qui a été jugée la plus équitable ; la conférence des bourgmestres a e été unanime à s'y rallier. e La part incombant à chaque contribuable dans la répartition, sera déterminée par le chiffre des contributions dont il est grevé, mis en rapport avec le montant total de la taxe. On aura égard aux rôles t se rapportant à l'année 1914 ; toutefois pour les 50-S ciétés par actions, leurs administrateurs, commis-s saires, liquidateurs, etc., il sera tenu compte des bilans arrêtés dans la période comprise entre le 16 r juin 1913 et 15 juin 1914. e II est à noter <jyç la taxe sera due par chacun des ',t contribuables à titre personnel « -saflS qu'il puisse en faire retomber le poids sur autrui ». C'est la première fois qu'un impôt de répartition est établi chez nous. Jusqu'ici nous avions toujours eu des impôts de qualité ; la charge s'élèvera pour chaque contribuable à 150 centimes additionnels ap-s proximativement.Les banques devront être remboursées à la date du 15 juin 1915. Depuis quelques jours déjà, les employés des ad-e ministration's communales se sont mis en rapport 1- avec les receveurs des contributions et procèdent au e relèvement des rôles. Ce travail demandera de deux à trois mois. I Nouvelles du jour Les personnes dont les noms se trouvent dans la cinquième liste de recherchés que nous publions en troisième page, ont intérêt de s'adresser au bureau du journal. -M-f Un de nos rédacteurs a pu visiter les camps des prisonniers belges à Munster et à Soltau. Nous donnerons prochainement le récit de son voyage. En attendant, notre ami nous signale que nos prisonniers sont, sauf bien entendu le moral, très heureux; ils sont bien nourris et parfaitement traités ; aucun ne formule une plainte. ♦ ♦ ♦ Le bureau de la Presse de Londres a recueilli des notes prises par des témoins oculaires, se trouvant au grand quartier général anglais, qui prétendent que les Allemands ont récemment amené un nouvel engin sur le champ de bataille. Il s'agirait d'un canon « silencieux », travaillant automatiquement ou mécaniquement. On n'a pu, jusqu'ici, se rendre compte de son fonctionnement. Auicun bruit ne se fait'entendre lorsque le projec tile est lancé, et son explosion seule fait connaître sa présence. Jusqu'à présent, toutefois, les effets de cette nouvelle arme n'ont pas été efficaces.Ce canon silencieux est tout à fait intéressant ; notons que d'autres témoins oculaires nous ont l'enseigné que les Allemands emploient aussi un auitre canon. Ce canon ne quitte jamais l'usine, les projectiles sont dirigés par des ondes nertziennes et vont tomber où l'on veut, soit en France, soit en Prusse orientale. Il est vrai que, si des masses explosives peuvent être mises en mouvement par des.ondes hertziennes, il n'est pas besoin de canon — mais l'inventeur n'a pas pensé à ce détail. ^ ^ ^ Le gouvernement allemand aurait permis à nouveau l'emploi du polonais dans les écoles officielles, notamment pour l'enseignement du catéchisme!+-M- Le gouvernement des Etats-Unis vient de décider de lever un premier ban de 500,000 hommes et un second de 300,000 hommes, grâce à l'appoint desquels la force de l'armée américaine se trouvera doublée. Le gouverneur russe de Lemberg est mort d'une attaque d'apoplexie. ^ ^ ^ Le port d'Arkhangel est, dès à présent, fermé par les glace-. Les brise-glaces ne parviennent plus à frayer un passage aux navires, malgré tous leurs efforts. On se demande maintenant par où s'opérera le transport des vivres et des munitions envoyés d'Angleterre en Russie. On craint à Stockholm que les Anglais et les Russes ne fassent délibérément passer ceux-ci en travers de la Suède. A propos de l'Exposition de peinture qui se tient en ce moment, disons qu'une centaine d'artistes et peintres, aquarellistes, graveurs, sont représentés à cette exposition. On y retrouve Van Holder, Smeers, Léon Frédéric, Thomas, A. Verharen, Marcette, Claus, Rousseau, Baertsoen, Wystman, Éjtobbaerts, Danse, etc. Le but de l'exposition purement philanthropique, est de venir en aide à la caisse des artistes restés en Belgique. ♦ ♦♦ La décision de l'Allemagne de considérer le transport du bois travaillé ou non comme contrebande'de guerre, est fort critiquée en Suède. Le commerce du bois est l'une des sources de richesse de ce pays ; depuis le début de la guerre, l'exportation du sapin en grumes ou en planches a presque complètement cessé. Près de 20 millions de bois attendent, sur les quais suédois et norvégiens, l'ordre l'exportation. C'est pour les deux pays une question vitale; il y va des moyens d'existence de nombreuses industries occupant des mil-; liers d'ouvriers. Dans l'attente que les démarches ' entreprises par le gouvernement suédois près du. ' gouvernement allemand soient couronnées de suc-. • cès, de nombreux négociants ont fermé les por-'. tes de leurs magasins, t +♦* ; Le journal « Stampa » annonce que le crédit de 200,000,000 de lires, votés pour la marine italien-1 ne, servira à pourvoir à l'armement de 10,000 m&- I rins de réserve et à la construction de sous-ma- 1 rins, reconnus indispensables en cas de guerre navale. 2 +++ s Une bonne initiative. — On peut lire à la vitrine de nombreux immeubles de Saint-Josse-ten-Noode, - l'avis suivant : « Les habitants de cette commune ne voulant pas encourager la mendicité,ne donnent rien aux men-. diants. Ils versent chaque semaine une cotisation e au comité de secours et d'alimentation local. » Voici un exemple qui devrait être suivi partout. 0 II ferait diminuer, dans des proportions notables, s le nombre invraisemblable des mendiants de pro-r fession, qui prennent nos maisons d'assaut, encombrant la voie publique et rançonnent le passant. Loin de moi l'idée qu'il ne faille "pas faire, - largement, Ta charité. Il faut donner tant qu'on t peut, c'est le devoir social, encore faut-il savoir u à qui donner. * Il faut que l'on soulage vraiment la misère et , non qu'on fasse des rentes à des individus sans honte, hommes ou femmes, qui font actuellement des bonnes journées en menant mendier leur pro-géniture effrontée. Donnons beaucoup et sachons à qui nous donnons. Quant ail reste, un coup de balai s. v. pl., messieurs de l'autorité, a -f-M- s L'amirauté anglaise ayant réquisitionné les va- II peurs de la ligne Rotterdam-Harwich, ce service est suspendu jusqu'à nouvel ordre. ♦ ♦ ♦ s L'ambassadeur du Chili pour la Belgique et la Hollande, s'est fixé à La Haye. a La fin de « l'U 18 ». — Un matelot du contre-è torpilleur « Garry », qui recueillit lundi dernier l'é-quipage du sous-marin allemand, qui fut coulé, raconte l'événement de la façon suivante i « Un croiseur sorti dui port depuis peu.de temps nous signala qu'il venait d'entrer en collision avec 1 un sous-marin. Le capitaine du « Garry » donne i- immédiatement l'ordre d'appareiller. Dès que nous s. eûmes franchi la passe, nous aperçûmes le péris-é cope du sous-marin. Nous approchâmes à toute vitesse. Au moment où nous n'étions plus éloignés du 1- navire que de- quelques encablures, celui-ci émer-i, gea. Le capot fut ouvert et le capitaine parut, agi-tant un mouchoir blanc et suivi de plusieurs ma-telots. Nous prenions les mesures pour approcher Dimanche 29 Novembre 19H (Edition P.L.G. — N° 49) L>e Numéro ÎO Cmes 30me Année. — N° 157

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le messager de Bruxelles gehört zu der Kategorie Financieel-economische pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1946.

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