Le messager de Bruxelles

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12 November 1914
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s.n. 1914, 12 November. Le messager de Bruxelles. Konsultiert 24 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/5h7br8np9n/
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.IpihIî l\AVAmhPA 1914 fFdiliftn P I fi. — \° T ,cx 7V77 m û^n "/ D r*™ 5j|me AnflPA — 1\° I LE MESSAGER DE BRUXELLES JOURNAL QUOTIDIEN, ECONOMIQUE & FINANCIER Abonnements : Pendant la durée de la guerns 5 francs par mois (Bruxelles et faubourgs) A.vis. — Adresser toute correspondance à la Direction du Messager de Bruxelles ! Aucune quittance ne sera ^alable ai elle ne porte la signature du directeur du journal. iiédaeliois et Administration : 1, Quai dit Chantier, 1, Bruxelles. - Téiéph. A 1610 V—I II II,.. JIM >.l »j HilHHHTH 11 WHKgaramu» iM^WfcyilITOIIWnri ■< !■■!—■■ Mil II I A¥I^ LES PERSONNES DONT LE NOM EST PUBLIÉ EN 3e PAGE, ONT LE PLUS GRAND IN- JJ TÉRÊT A SE PRÉSENTER A NOS BUREAUX OU NOUS ÉGRIRE. NOUS AVONS DES NOUVELLES DE LEUR FAMILLE OU DE LEURS AMIS. EN IvI .A.FtG-JU La revanche de M. Cochon Mon service particulier d'information ne ^ m'a pas renseigné sur l'endroit exact où M. ^ ac Cochon, de si joyeuse mémoire, abandonnant ^>rc la chicane procédurière pour le manuel du service des armées en campagne fait maintenant Pro de la philantropie à sa façon. Jan Il est vrai que, si je le savais, je ne vous le ^ dirais pas. M. Cochon a suffisamment à s'oc- C1UI cuper des ennemis de sa patrie, sans avoir à sult répondre aux attaques des nombreux proprié- « taires qui, en ce moment, ne sont pas précisé- par ment sur le velours, comme dit l'autre. Mo Quoi qu'il soit, et si ses occupations »nli- jus< taires lui laissent le temps de méditer, M. Co- Tac chon, au fond de sa tranchée, là-bas sur le I front de combat, doit songer au juste retour neu des choses d'ici-bas. Go! Il y a quelques mois à peine, il collection- rêu nuit les condamnations pour la plus grande S. joie de Messieurs les propriétaires. den Ici, ses véhicules dont une sim-ple cloche de I bois signalait le passage>, avaient encombré la voie publique et entravé la circulation; là- 1 ai bas, aux heures nocturnes, où les lions vont I bôira su fan/are* de ia Sami-Phlyct-tpe,"avù+t, rugi de tels accords que toutes les pipelettes le £ du quartier, abasourdies, avaient perdu le fil voi de leur feuilleton préféré et quotidien, et par- lois tout, en chœurs laudatifs, ses protégés nom- I breux comme les étoiles (des étoiles qui rev. vin fileraient la comète), chantaient ses vertus, dar tandis que dans les arrières-boutiques et dans nei les salons du plus impur Louis-Philippe, les p, grincements de dents des marchands de som- R0 rneil vouaient aux dieux infernaux l'incon- mji cevable novateur qui avait osé porter atteinte aux droits sacrés de la propriété. vil Oui, M. Cochon doit méditer en ce mo- tioi ment sur le juste retour des choses d'ici-bas. ( Avec quelle désinvolture on les a traités le J ces pauvres propriétaires aussitôt qu'on a nei appris la déclaration de la guerre. ] Ceux d'entre-eux qui, exacts comme la fa- ja talité, se présentèrent le ier août avant midi, faj eurent encore quelques chances de percevoir trj|] le prix de leurs loyers. Encore cette chance fut-elle considérablement restreinte du fait p6] des malins qui, prévoyant l'issue fatale des air événements, jugèrent utile de suspendre tous res payements, afin de réaliser les économies que tio les circonstances devaient bientôt imposer... ne: et comment! Eurent-ils raison... eurent-ils tort, ces pré- r£c voyant£ de la première heure ? C'est là une me question que je ne me chargerai pas de ré- ko sou-dre et que les intéressés n'ont d'ailleurs à de débattre pour le moment qu'avec leur seule conscience. et Les propriétaires, eux, il faut en convenir, afj mettent en général la plus grande complai- v;f sance à accorder ce que l'on est convenu d'ap- av peler des « facilités de payements ». Et, bien des locataires, eux aussi, sont remplis de bonne volonté; malheureusement ces bonnes dispositions ne suffisent pas à remplir les bourses. Les affaires sont dans le marasme, et même en n'acceptant le mark que pour i franc, P® il est bien difficile de satisfaire son proprié- ye taire> quand le total des rentrées ne s'élève pas à un rotin. V. G. gi — ni La 3e division belge obtient quelques 0 jours de repos à la réserve. Son chef, G le général Bertrand, passe quelques ™ jours au Hâvre. cl La reine des Belges est à la Panne. Les princes belges habitent le châ- d. teau de Lord Curzon. d :: Les Allemands orent nossession de CONSEIL PROVINCIAL Installation de M. Gerstein Discours de M. Charles Jansse: l£ \ Installation de M. Gerstein, président d j- l'administration civile du Brabant, à l'Hôte Provincial. r_ Sont présents outre M. Desgain, greffie nt provincial, MM. Ch. Janssen, Richard, J Janson et Ch. Gheude députés permanents M. Gerstein, assisté de M. von Friedberj qui traduit ses paroles, s'exprime comm C~à suit : é- « Le Royaume de Belgique étant occup é- par les troupes allemandes, il est conforme ai "fÉfcoit international que l'autorité allemand 'i- jusqu'à la conclusion de la paix, se charge d o- l'administration du pays. le Dans ces vues, il a été installé un gouver %r neur général allemand S. E. le baron von de Goltz, représentant direct de 5. M. Tempe iî,_ rêur d'Allemagne et un gouverneur civil le S. E. von Sandt dont les attributions s'éten dent à tout le pays. le Le gouverneur général représente l'exécti tif suprême : en d'autres termes il représent à- l'autorité impériale. nt L'exécutif suprême aura le souci de resper M, .«À LCUV, ,oVtivt qî; es le gouverneur général cumulera, avec le pou fil voir exécutif, le pouvoir législatif et fera le ,r- lois dont le besoin sera démontré. n- En ce qui concerne spécialement les prc ■ei- vinces, le gouverneur général a prescrit que ,s, dans chacune d'elles il y aurait un gouvei ns neur militaire et un gouverneur civil. es Pour le Brabant, le lieut. général comte vo n~ Roedern remplira les fonctions de gouverneu n~ militaire ; M. Gerstein, préfet de police d ■te Bochiim, est désigné comme gouverneur c vil avec le titre de président de l'administra •o- tion civile de la province. Cette désignation est rendue nécessaire p£ es le fait que le gouverneur belge a dû abandor d ner ses fonctions. Pour continuer la bonne administration c 'a~ la province et assurer l'expédition des a faires, le gouverneur civil revendique les a tributions que possédait le gouverneur belg ice il demande aux membres de la députatic permanente de vouloir respecter ses fonctior les ainsi délimitées ; de son côté, il s'engage us respecter les prérogatives attachées aux fon ue tions des membres de la députation perm nente. L'apparente contradiction de ces devoi r^~ réciproques ne peut empêcher Taccompliss Me ment de la tâche commun qui est d'assurer re'- bonne administration de la province ; le bi< ? à de celle-ci est le but qui s'impose à nous tou w^0 Et tout d'abord, il s'agit d'assurer Tord et la tranquillité pour permettre la reprise d ^r> affaires : commerce, agriculture, industrie a^~ vie communale. T ai cela doit se consign 2P~ avec l'état de guerre et avec le bien de Ta no e "raée, dont l'intérêt supérieur est toujours fai 1 l'objectif de l'autorité allemande. rai Aussi, espère-t-il qu'on saura éviter tout r ce qui pourrait nuire à l'armée. dé Il aura à cœur de respecter les sentiments trc patriotiques et politiques des membres de la Bc ï députation permanente, sentiments tout natu- j"' e réls ; il nous respecterait moins si, par impossible, nous ne les possédions pas. Mais, tout 55 i en rendant hommage à ces sentiments, il fait , appel à notre raison pour nous rendre compte ; de la situation et la faire comprendre à la po-; pulation. Il serait le premier à regretter tout fait qui serait de nature à amener des mesures Cc qui ont eu tant de retentissement ailleurs et j r qui causeraient des dommages, soit à la Pro- éc: vince, soit à la Ville de Bruxelles, d'autant lei dIus que, dès sa tendre enfance, des liens de ne _ parenté et d'amitié l'ont attaché à la capitale. Au nom de la députation, M. Charles Jans- du _ sens répond à ce discours dans les termes 4,( » suivant : \ « Nous vous savons gré, Monsieur, d'avoir <IU : mmpris combien il doit être pénible à des et ictaç t»*- .ri'omÉ» r*ï*o.fonH4m**nt at- [Reliés aux institutions nationales, de voir une la |utorité étrangères intervenir dans les affaires provinciales dont la gestion .leur est con- to: !iéç. Mais mes collègues et moi, nous con- pr naissons trop bien le Droit international et ™ ' de privilège qu'il donne à l'occupant pour ne pas nous incliner devant une situation de fait que nous ne pouvons que subir. di n » Vous nous avez promis de nous aider fe r dans l'accomplissement des devoirs de notre e charge et vous avez réclamé notre concours. » Dois-je vous dire que, soucieux id'ac- cô ■- complir consciencieusement le mandat que ui nous tenons du corps électoral et du conseil ■r provincial, nous continuerons à faire tous nos ^ 1 efforts pour assurer la bonne administration e] de la province. Notre tâche en ce moment, Cl e est lourde : notre chère province est saccagée f- et quelque peu livrée à l'anarchie tout au tr t- moins dans un grand nombre de communes. Cl 3; Il est urgent de ramener partout Tordre et n la tranquillité. a, is II est aussi, bien des misères à soulager. m à Enfin, la reprise des affaires est hautement > désirable. i- Vous nous avez dit que vous désiriez con- c tribuer avec nous à assurer la bonne adminis- g, rs tration de la province de Brabant. ,ei e- Nous prenons bien volontiers note, Mon-la sieur, des bonnes dispositions que vous avez s< ;n manifestées à notre égard et de la promesse ■ s. que vous nous avez faite de respecter les lois re belges et de tenir compte de nos sentiments es patriotique.De notre côté, nous vous donnons et l'assurance que nous serons respectueux des er prérogatives que vous donne le Droit de la r_ guerre ». Nouvelles du jour Le roi des Belges a fait mander auprès de sa personne le docteur Depage, qui s'est immédiatement rendu à son appel. Il ne s'agit que d'un nouvel examen de laj fracture qu'avait occasionnée au Roi la chute de cheval qull fit avant la guerre. Le comte Henri d'Oultremont, major au 1er régiment des grenadiers, a été ..tué, dans un des derniers combats, d'une balle à la tête, tandis qu'il conduisait ses hommes à l'attaque. On annonce la mort de M. le comte Albert Le Grelle, tombé au combat de Caeskerke, près Dix-. mu de, le 27 octobre dernier. Il était né en 1888 et 1 s'était engagé le 4 août, au lendemain de la déclaration de guerre. Lundi ont eu lieu à Colchester, avec grande so-l lennité, les funérailles du sous-lieutenant Bau-■ ' dour, 24e de ligne, mort à l'hôpital de cette ville, i x ^ 1Q OK.O T û ionnp nffir.lpr ava.it, P.t,£ blessé CM—B IIWIIipWM—i i —— Le statuaire renommé, Georg von Pochmann, suivant un télégramme de Dusseldorf, a été tué. +++ La IX division d'infanterie légère a été retirée de France et Belgique pour être envoyée en Prusse Orientale. Elle a été remplacée par de la land-wehr et landsturm. +-M- Deux aviateurs militaires français sont tués accidentellement à Issy-les-Moulineaux. +++ Suivant un correspondant du «Daily Mail» à Paris, les Français suivant une information à laquelle la réserve est indiquée, ont pris le premier gros canon allemand de 42. +++ Ont été portés à l'ordre du jour de l'armée belge pendant les derniers combats autour de l'Yser: duc d'Ursei, comte de Briey, prince de Croy, comte de la Barre d'Erquelinne, Linateur, Cels, l'artiste peintre bien connu. -♦"M- Du Tyd. — Le combat sur l'Yser ne paraît pas terminé ; le canon se fait encore entendre mais rarement ; des avions des alliés viennent survolei le but de reconnaître les retranchements alle-H mands de Zeebrugge, Dudzeele ; l'entrée en Bel-l|| ! gique est défendue et des patrouilles renvoient III impitoyablement tous ceux qui franchissent la frontière. Le comte Zech, ancien gouverneur de Togo, a été tué sur le champ de bataille du Nord-Ouest. +++ Le baron de Coubertin, président des Jeux Olympiques, annonce que ces jeux auront lieu à Berlin, en 1916, nonobstant la guerre. A Bruges est affiché un avis interdisant à tout habitant de quittter la ville sans passeport. ♦♦♦ La déclaration de neutralité de la Bulgarie, dont nous parlions dans notre numéro de Samedi a été Durs faite suir l'initiative des chefs de l'opposition et du ministre Radoslavoff. i ît De la « Kolnische Zeitung». — Des passagers débarqués à Naples disent que 50,000 hommes de ents troupes indoues se trouvaient prêtes à partir à e Ja Bombay pour Marseille. Les passagers ont égale-atu- ment vu des croiseurs français et anglais à la recherché de l'Emden. pos- fait . f pte G ommuniques po- x tout • ares Communiqué officiel allemand. Une attaque des alliés, faite de Nieuiport, dans s e la soirée et x'ecommencée la nuit, a complètement - ro" échoué. Nos attaques près d'Ypres ont avancé tant lentement mais sûrement ; les contre-attaques en-3 de nemies au sud-ouest d'Ypres ont été repoussées ; _aje nous avons fait plusieurs centaines de prisonniers à l'Est, une attaque d'importantes forces au nord ans" du lac Wystytt a été re poussée, nous avons fait mes 4,000 prisonniers et pris 10 mitrailleuses. Londres 10. — Le Lloyd annonce de Yarmouth voir que le navire suédois « Atle » a heurté une mine jçg et a sombré avec une partie de l'équipage. Vienne. — Le, camp retranché russe de B Jr&fu at" - -c,-.. C .V ~ - ««H £ une la nuit d'hier, beaucoup de matériel y a été pris. ' ^ai" Londres 11. — L'agence Reuter annonce de Pré-con- toria que les commandos de Dewet sont venus aux con- prises avec les troupes gouvernementales. Un tj et combat a eu lieu dans lequel le fils de Dewet a été tué. Communiqué officiel anglais. 1 de Pressburéaif 8. — Les attaques de l'ennemi ont diminué de force. On repousse lentement mais lider fermement ; l'avance est surtout marquée au Sud lotre d'e Dixmuide et vers Gheluwe. Le brouillard contrarie les opérations. >U1S" Le fait de la mise en état des batteries de la 1 ac~ côte ne doit pas inquiéter les populations ; c'est que une mesure de précaution inhérente à un état de nseil guerre, mais qui n'a pas d'autre signification. nos Quelques divisions indiennes de l'infanterie de marine ont occupé Fao (à l'embouchure du Chât ition e] Arab), après une résistance d'une heure. îent, communiqué officiel français. âgée Bien de saillant à signaler ; la situation reste t au très satisfaisante pour nos armées, mes. Communiqué officiel belge. et Les alliés ont repris la grande tête du pont de Nieuport. Dixmuide a été fortement bombardée aujourd'hui. Dixmude serait aux mains des Aile- * iger. mands. ment Dans les régions de Bixschoote et Kleine Zille-beeke, des attaques ont égalemsnt été repoussées. con Communiqué officiel russe. . . Sur le front en Prusse Orientale notre offensive imls" s'est poursuivie avec succès dans les bois de Lyck et de Rominten. Vlon- Sur l'autre rive de la Vistule l'ennemi poursuit avez son mouvement de retraite. nesse ^ nents POINTEZ AUJOURD'HUI nons SUR VOS CARTES f des LES POSITIONS DES ARMEES de la —•— En Belgique la situation des armées-se présente ——— ainsi : pour le gros des troupes en Flandre-ouest. Un point exactement au milieu de la ligne nann, reliant Messines et Wytschaete est occupé par i tué. l'armée belge. Les Allemands occupent Bixschoote, St-Eloy et etirée la commune de Wytschaete. Prus- D'autre troupes allemandes en force occupent land- Oud-Stuyvekenskerque et St-Georges (rive gauche de l'Yser), Messines est entre les lignes des deux partis qui ont pris et repris cette ville tour es ac" à tour. Une division belge est un peu au Nord de Lom-bartzyde, les Allemands sont en face un peu au lil» à gud d,e westsîide. x 1 à la- çes p0ints principaux sont naturellement reliés •emier par ulle ]jgne secondiaire où les tranchées des belligérants sont souvent à 300/600 mètres. , , Entre le Nord d'Ypres et la frontière! aucun '.iïf Changement P (Un moyen excellent de repérer ces localités q jg' souvent fort petites est de rechercher leur situa-6 S' tion d'après l'index du Bottin des provinces belges). lit pas Sur les fronts en France aucun changement ap-; mais préciable, si ce n'est que les Allemands ont pris irvoler Vienne-le-Château (dans les Argonnes). — Quel- .. +^,-.4-

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le messager de Bruxelles gehört zu der Kategorie Financieel-economische pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1946.

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