Le métallurgiste: organe bimensuel de la Fédération nationale des métallurgistes belges

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s.n. 1914, 01 April. Le métallurgiste: organe bimensuel de la Fédération nationale des métallurgistes belges. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/br8mc8s62j/
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ORGANE, MENSUEli de la Centrale des 3SflCéfca.Iluxr"jgïi=iïi'Oi!* de X3iol^i«^'o;<fc> Pas d<? droits sans devoirs 8d!HlfllStr8tiOH I HI8IS0H DO PEUPLE, rQ6 JOSBPil-St6¥6llS, 17, BrHX6ll88 Pas de devoirs sans droits 37,000 EXEMPLAIRES ^1 27,000 MEMBRES Centrale des Métallurgistes de Belgique Appel pour un Employé Une place d'employé est à conférer au Bureau de la Centrale des Métallurgistes Belges. Les postulants doivent être âgés d'au moins 16 ans et faire partie de la Centrale des Métallurgistes depuis au moins un an ; ils devront posséder une très bonne instruction dans une des deux langues nationales et avoir les notions de la seconde langue. Le traitement initial est de ioo francs par mois avec une augmentation mensuelle de io francs chaque année, jusqu'à concurrence de 225 francs par mois. Les postulants seront appelés à subir un examen de capacité. Les demandes des postulants doivent être adressées au citoyen G. Solau, Bureau de la Centrale des Métallurgistes, Maison du Peuple, rue Joseph-Stevens, 17, à Bruxelles, au plus tard le 10 avril prochain. Le candidat désigné devra entrer enj fonction le 3 mai prochain ; il devra faire une année d'épreuve avant d'être nommé définitivement. Pour le Comité Centra : LE SECRETAIRE. Pour le Pétitionnement Pour le Suffrage Universel Le Parti Ouvrier Belge organise en ce moment un vaste mouvement de Pétitionnement -dans tous le pays en faveur du S. U. Certain de nos membres ne mettent pas tout l'enthousiasme que nous sommes habitués de rencontrer chez nos affiliés. L'on invoque, comme arguments, que le Pétionnement aurait dû se faire avant le grandiose mouvement de grève d'avril 1913, et que la volonté des travailleurs de Belgique a suffisamment été démontrée par ce dernier mouvement de grève générale. Nous ne contestons nullement la valeur de cet argument. Mais, puisque la Commission du S. U. qui est composée par des délégués de toutes les fédérations politiques et des cen trales syndicales ont jugé qu'il y a lieu de procéder, encore une fois, à cette démonstration de la volonté du Peuple, il doit être du devoir de tous nos membres de ce joindre à ce grand mouvement de pétitionnement, pour que le nombre de signatures recueillies dépasse les quatre cents mille grévistes du mois d'avril 1913. Le Conseil Général du Parti Ouvrier organise une semaine du S. U. du 5 au 12 avril. Nos membres doivent et seront dans les rangs des propagandistes, il profiterons de ce mouvement pour faire à domicile une propagande syndicale en même temps que pour le S. U. Jamais les métallurgistes ont boudé à la tâche, cette fois encore ils seront dans les rangs, que chacun se fasse inscrire dans sa commune respective. Camarades, pendant la semaine du 5 au 12 avril, il y a du travail à accomplir, pour cela vous sacrifierez votre dimanche matin et vos soirées. Nous connaissons suffisamment nos membres pour répondre pour eux. Le Secrétaire National. arbitrage et Conciliation L'on attribue l'insuccès des Conseils de l'Industrie et du Travail au défaut de sanction friappant ses décisions arbitrales. On conviendra cependant que le « Nul n'est censé ignorer la loi », appuyé par l'amende et la prison, n'empêche pas qu'il se commet chaque jour des délits. Ce mal résiderait donc dans le manque d'une éducation adéquate au fonctionnement d'une institution de ce genre. Nous en voyons une preuve dans le fait que, là où une association de travailleurs parvient a conclure une contrat collectif du travail, il est rare qu'une clause ne stipule que les différents qui pourraient survenir au cours de son exécution, seront soumis à l'arbitrage.Dès lors, apparaissent ces constatations évidentes : 1° l'association est,le bien tout indiqué pour parfaire l'éducation ouvrière dans les questions ayant trait à l'organisation du travail; 2° de l'association découle le contrat collectif qui, en se substituant au contrat (libre et individuel, diminue les motifs de conflits et donne aux records conclus une appli cation d'autant plus facile qu'ils ont été débattus et acceptés par les deux parties. D'ailleurs, n'est-il pas démontré que les grèves sont moins fréquentes là où les syndicats sont puissants? Les patrons y regardent à deux fois avant de livrer bataille à un personnel organisé. Au contraire, là où il n'y a pas d'association, les exploiteurs préfèrent courir la chance d'imposer leurs conditions, plutôt que de concilier. Alors, comme le mécontentement existe malgré l'absence d'action méthodique d'une force organisée, il s'en suit une source de conflits. Un gouvernement, réellement intentionné de doter l'industrie d'une institution efficace d'arbitrage et de conciliation, s'imprégnerait de ces faits. Il faciliterait l'éclosion de syndicats ouvriers en prenant des mesures contre le boycottage des travailleurs organisés, et en revisant la loi sur les unions professionnelles pour la débarrasser des chinoiseries qui empêchent les vrais syndicats de demander la reconnaissance légale. Nous ne doutons pas qu'un Conseil de l'Industrie et du Travail, composé de représentants de syndicats, élus par des syndiqués, ne donne des résultats autrement appréciables qu'un tribunal quelconque, rêvé par un ancien procureur, conçut par l'étroitesse de 1 vue d'un économiste bourgeois. Mais, ce serait faire œuvre démocratique; ne l'espérons pas de notre gouvernement clérical et t réactionnaire. Il est trop l'émanation de notre ! bourgeoise capitaliste pour doter le pays t d'une institution qui soit un semblant de con-t cession du Capital au Travail. A défaut de loi, si les patrons voulaient 3 considérer les travailleurs comme des colla-3 borateurs, que de grèves l'on aurait pas eu s à enregistrer! Pourquoi ne pas instituer ces -l Conseils d'usines où une fois par mois, eux e ou leurs représentants se réuniraient avec un u délégué ouvrier de chaque corps de métiers de l'établissement, pour entendre leurs doléances et leurs desideratas? Oui, que de s grèves occasionnées par des innovations par-i- fois mal comprises ou dues aux vexations des s sous-ordres trop zélés n'éclateraient plus, u car le patron ne se croirait plus astreint de it tout couvrir quand même, soi-disant pour it sauvegarder son amour-propre blessé de i- maître. Bien des conflits peuvent être aplanis par 12' Année N° 4 AvriUl914 tÊKrn0ÊmMmtrnÊimmÊmÊm^mamÊÊÊÊmatÊÊmammmmmmmmiÊm . i

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le métallurgiste: organe bimensuel de la Fédération nationale des métallurgistes belges gehört zu der Kategorie Socialistische pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1910 bis 1939.

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