Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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01 Januar 1914
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s.n. 1914, 01 Januar. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/0c4sj1bg3h/
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I I JEUûl 1« 1914 L-'U NION PANS L'ACTION VINGTIEME ANNEE N° 11 - ABONNEMENT! Pour toute la Bt-lgi-Cn a*. „ . . % . , fr.9.00 Sii mois . , , . , , ,4.1(0 Trois moi» » » # » • w Gr.-Du allé dt Luxeialv&QO Scioo poitale. .... .3.09 Directeur i Fei*nand NEUivY Edition tyipt (6 hifr) Edition 10 soir) Edition if. (min) À ■ ■ : LE XXe SIÉCLE Téléphones 3546 et 3B8Q Instant-are omnta, in Chrlsto Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles ANNONCES Annonces ordin., petite ligne , 0.49 Réclames (3° page), la ligne. IJïO Faits divers corps • « » 4.00 Faits divers fin. • * » S.00 Réparations judiciaires » 3.00 Nécrologies ... « » 2X0 Los» annonces sont reçues au bureau du journal 5eentirr.es le - numéro E D I T i O f * po>°-'"HnHHMHaaMBBicBKaiai" - -- ----- LE XXe SICLE adresse à ses lecteurs 0000 « » » • . o et à'ur famille - ses souhaits-les plus iectueux -de bonne, sainte et hei'iise année I«do CE CD ■■ on HE Qa Ba aa.B:B BSJ SB BB BS DEUX QUESTINS INTÉRESSANTES ■ Anvers seraik'I mené par les tarifs de faveur q: les chemins de fer prussns accor= feraient aux laines • »o« Un Anversois dé nos a mis, us adresse la \rès Jutéressirnt>e couimunicatîcci-dessous' : « La Chambre ide commercil'Anvers s'est émue des,mesurés de tarificati qu'on prête à Faclm i mstration. dés cheius de fer de l'Btat prussien. A 1Jinstigation de la. Ohambde commerce dio Brê-mt, l'Etat prussien auifc résolu, paraît-il,' de mettre en vigueur, i tarif exceptionnel destiné à favoriser Phortation, par leis, ports dé Brêiîie^èt do Haiourg, des envois de laines destinés aux ïbures du sud- OUC^L ActuefRo.ine^t; ces- envois semfc en grande part ie par Anvers et ïâ voie i Riiin; mais, un marché plutôt occasionnelle lf.ines australiennes «'étant établi à Trs'te, les Aiile-ma.vds ont pris prétexte de l'Vverfeirede la lig&e j'errée m 'i-taht oe port u céinminica tion avec l'Allemagne par .•> tjmol de« Tauern, "pour réclamer une ariffction de faveur. Que faire à cela? Au point'de vue purement écono que, on ne saurait trop _ déplorer 3a teada.y qu'ont certaines administrations à attirer, moyen de favvurs (.(tarifaires», les tran&î ts vers des trtfcés pluis longs,- au détriment es concurrents-qui offrent -la route la plus m rte. Mais comme il n'est pour ainsi d ■ auc-un Etat qui n'ait'fait quelques conoes: ns aux idées protectionnistes, i'1 est assez n; irel que l'Etat prussien soit amené, lui an s s à prendre-des mesures* exceptionnelles poi attirer yer«s se^ ports nationaux la p;!û grande somno de iJïe rost-ble. On peut cependant dire que les eh iinfc de fer prussiens ne suivront pas cette litique avec un bien grand enthousiasme. Il esit manifesta* que las intérêts u -corn mer ce de Brème, Hambourg, voir >-tcttin, sont en opposition avec ceux de 1 dustrié rhénane, notamment do la région ti importa itj dn Maq'rflie^m, et que le ch-eA de fer l'entrera pas en connue .-.ce ouveiiavec la /oie fluviale du Rhin sans scu'leveivio. vi-ves iJ " :c. compr de la yuissaifce'du'pai'c'ic^wiire aîleï ir,nd£jui voit lans toute tentative faite pour atthr l'im->optati'.vn des laines directement versas porte le la Baltique, un préjudice pour lahroduc-;ion iairfière indigène. Enfin; l'on ne saurait oublier quie lftlminis-jratkxn prussienne fut obligée, ïl y aftielqaies inné es, d'augmenter considéîablen t. les jri-x de son barème des voyageurs .^1 que sa iituâti••n pourrait- être gravement jompro-nis:e si elle laissait aller à des réactions le tarifs importantes. En résumé, il faut attendre et...veiller. Lorsqu'on jonmaitra exactement laiature, e êara tère et l'économie* des tarifs pojetee, 1. faudra étudier ie moyen d'y riposfc' d'un*-nanlière habile- &p conformo aiix n^s6ités. ?1 n'est. :pa« possible de prendre «nçmeèure >r^veJ) ti ve da^» s l'espèce. L-b Ghainbrc de connnei^cs d'Anves vou-irait qu ies tarifs de lavèiiar corre« ri ndants nss.ent élab orés de commun accord par les 'ivers ïntereUscs, c'tBt-à-dire les coiîDagnies le laA'Tgatîcn 'rhénanes, ies chemirw de fe^ ►ejnf^ et hoilandai.s crfc des oliem.ine de fer b_ l'Alie-'n^gno inérid-ipna«e, d'Aii^-Lor-aine. de l'E«t et du Nord- français, t, de la Pareilîe entente est t^presqul impos-ib'ii à réaliser efc, d'autre part, 53 fait igno-er îa,constitution dee chemins delèr aile-ia>:ds et l'hé^dmonie sous laqu.-llo' ls sorit iaçé.^i poar ^supposer, un seul instâit, que s a>tfminiis^raition.s do. î'Allemagr»c|lu Sud seraient contrarier les visée® de l"Ejt prus--en ! • gare à Rotterdam ! En oe qui oonoeme La concurientM cjue lés ortiî étrangers fojvfc iùi port d An ver îa pl/us îdou'pabW est ineontestablçment elle de. otterdah). C'c t de ce eôté que 'doivent •se po: r téu-te otre attention et" tous noà efforts. Le, port -clé -Rotterdiaim est adm'k Jemeaat uitUlo- et, de plus, il r /mmandie lo I\ in ; son ftjK)rtan,'X*giandi"t à mesure que c te voie uvial.. permet aux bateaux d'attei lie des ofnt.s situés de plu§ en plus haut Vr>, l'in-irk i1 r. On est arrivé à atteindre Strasbo g, puis iâle, • 'lis Reinfelden, et dans peu < tv.mps n ■ pàrviviidra à" Constance et au 1 • de oe om jjjprës avoir permis aux bateav de re-îon.t^v les hauteurs de la chute <l Rhin K>yeunant une demi-douzaine d'écli cfi. Au point die vue teehndqiue, la quesi în doit tre suivie par la commission chargé» ie sui-relv s travaux qu exécutent nois conc ï-rents. In matière do tarification, on peut re irqucr uo des ïbrainsports importés par le«vpoi*ts éeria'niais îadôâent à 1 Etat belge, s tme en as.de {larcourfl kilométriques pilus lo çs, une art, do taxe moindre que si le tran ;orfc se lisait a u départ d'Anvers. Cela provient de oe qu'en trafic bel 3-néer-indaits les taxes sont calculées sur ks dis-inces réunies et que, d essors, la écrois-luce de s barèmes se manifeste d'ui ! façeç lui? sensible. Il se ni."' -m lit de faire le rc.vé des Utrch(indiaes de o". pour la'-Belf;i< e, im-ortéc.i ou exportée* peuples ports mer oJlandaïcompara! i veinent aux v rclian-? se- d<ï ou pour la ilollande, impo /es ou tbi)rt('.cs p".rde.< fjprfs de mer behje ' Cette étude serait le..poi4îi tjé.pî v.d'uiio 2\'i; îoi-î .1 a f : et"de.,la mieo en vijieiir de esuiv;-; qui affèrr. M'aient/1-". ^tuatJ, rAn-ens ,eit contivs-arn lû^nfc surtout, 'Kaàjçièôo-îents so-uvent diLolitaole^ d-v: chemit <ïo fftv lis ont rindu les yards... M. Caiteau chez le Roi!... Ainsi que nou^ l'annoncions hier, le Cor scil des Hospices de Bruxelles .a tenu, mardi une réunion pour « régulariser un versemén de 418 finance, montant dlu déjeuner offert MM. Mesureur, etc. » Aucune opposition ne se produisit et I « régularisation » fut décidée. Sans dout fit-on, illico, une collecte des'linêe à jeter le bases de la cagnotte régularisa+rice. Il nous revient que les souscripteurs n sont pas sans éprouver quelqfi'embarras -ft sujet des questions de comptabilité que po<s cette régularisation. Leurs préférences ac tu elle s vont à une solution %qui reporterai les .418 francs au compte de 1912. Cette idé est excellente, car il est interdit de modifie un compte approuvé. " Ils en seront "quittes* pour régnlariser lenj régularisation. ' L'essentiel est qu'ils aien rendu l'argent. *•» Au coure de la môme s «m ce, le Conseil de Hospices s'est occupé des faits signalé ivant-hier par le « XX0 Siècle » concernan les circonstances du décès de Mme Mour naux à l'hôpital Saint-Pierre. Le Consei avait d'urgence demandé un rapport sur ce faits. Oe rapport ne peut être que la confirma tion officielle des renseignements de fai QUi nous avons publiés. Lq Conseil des Ho fi f^cjs lo .lendra-t-il public? Est-il reconnu pa :o rapport cjue Mme Mourmaux, lors de sor admission a l'hôpital, avait été inscrit) îcinme catholique? Reconnaît-il que rien n'g îté fait pour assurer à la mourante les se ïoùrs dé sa religion ? Quelle est l'excuse in moquée, par la direction de lJhôpital 1 jST< i'excuse-t elle- pas en disant qu'elle ignoraii a gravité de l'état de la malade? — ce qu serait le comble 1 Peut-être estiinera-t-on que- ces question intéressent le publie. *•* La séance du Conseil des JTospices réserv< lux régularisateurs, comme compensation i eurs,ennuis; une délibération a.gpéable. T 3'agissait de désigner le îégularisateur qu prononcerait le discours au Roi lors d-es ré c-eptions du nouvel an. "C'est au régularisa beur C'atteau qu'échut cet honneur, parc; qu'il a des habitudes... royales et probable nent aussi parce qu'en ce moment l'atl<en-/ion qui ©9t concentrée sur le régularisateu] 3-auwens lui enlève la modvstie nécessaire è lui veut symboliser les vertus hospitalières, Ue sont les inconvénients de la gloire ! Fausse aouvellé Ayant régularisé le versement de 418 fr.. e Conseil des Hospices dispose des 50 file M. Max. Il va les consacrer à un petif >a?fçuek* vin n.- i ; •. Bien» que jSèfefc ntormation soit vrai: inblable, nous n'en )ouvons garantir ^'authenticité. En effet. téï>fcains disent tenir de très bonne source iue les 50 francs de M. Max seront employés i l'aoquisdtîion d'un monument destiné à commémorer la gloire du Conseil des Hos- )ÎC€6. o^-*> Bosiiefiea p©3Ifie|i£@ A Constantino-ple, on se montre confant lu sujet du résultat des négociations -pour-uivies au-sujet des «èf ormes arméniennes. Les renseignements que nous avons donnés 'lier doivent être précisés sur un point : a Turquie ne repousse pas d'une maniéré ibsolue le contrôle européen, mais elle y net la forme, de façon à sauver certaines usceptibilités. L'inspecteur et les spécia-istes étrangers, à pouvoirs très étendus, eront nonimés par la Turquie, mais ckoi-is parmi les puissances neutres et propo-és à son choix. Ils auront à tenir les Puis-ances ait-courant des réformes faites. — Toujours pas de réponse de VItalie la note anglaise sur les îles.de VArchipel. Mais nous apprenons aujourd'hui, u'il y a une dizaine de jours, le gouver-ement hellénique à informé les grajides puissances, par Vintermédiaire de ses représentants diplomatiques, qu'il considère is deux questions de la délimitation de. 'Epire et des îles de l'Egée comme con-•exrs, et il a laissé entendre, qu'elles devaient être résolues siinultanémeht. ' — Les nouvelles relatives à un compromis entre la Russie et la Turquie au sujet le la mission militaire allemande sont con-rouvées, et, en tout cas, démenties. On lit officieusement à Saint-Pétersbourg que es informations, de source étrangère,sont Présentées en grande partie sous un jour nexact et parfois même franchemeni-aux.— Le préfet de Salvniquê vient de noti-ïer aux consuls que les capitulations t aientabolies dans la Macédoine grecque, les consuls lui ont répondu qu'ils étaient ans instructions de leurs gouvernements. — La Chambre des députés autrichiens : tenu mardi soir une séance où elle a approuvé Les décisions de la Chambre des eigneurs modifiant les décisions concer-'■ant la réforme de l'impôt sur le revenu, lu commencement de la séance, le chef les Ruthènes avait déclaré que ceux-ci vaient décidé d'abandojiner leur obstrue-Ion contre la réforme fiscale, en raison 'es dangers menaçants qui en résulte-2ient pour le régime parlementaire. L'OBSERVATOIRE Uccle, SI décembre (7 h. matin). — La pres-ion est forte sur l'ouest de l'Europe et faible u nord-ouest de la Scandinavie, sur l'est de Allemagne, la Russie et la Méditerranée. Le maximum (776 mm.) se trouve sur le înii-e de la Grande-Bretagne. Los minima observent à Bodœ (756 mm.K sur la Pologne noins de 755 mm.) et sur le golfe de Gênes. Le l^aromètre descend "Sur l'océan, au nord ?s 4l.es Britanniques et sur Je, nord-ouest du mtiikr.t.; il monte partout ailleurs, Un vent Ia.b!e ou- modéré souf-lle, d'cnjrf ud ci: est. su.; nos cbntnû..s, où la tëmpéra-ire est comprise e.niic 2W5 sut le littoral çt ■ (i ei Ai de une. Previsrons : Vent e. à N.-E., faible; beauj Dans la neige Les sports d'hiver à Chamonix TREE BIEN! Le seul argument que comprennent les mufles ' On joue on ce moment au théâtre db le-Gai té une ignoble revue qui n'est qu'un Ion:' et idiot b:asphemè contre touLce que le catholiques respectent. Au demeurant, la sauce est assez grossièrement épicée pour donner la mesure exacte des entrepreneur^ Ljui vivent de 1 ordure autant que de l'ant:-L'iérica.lismé.Perdant toute réticence, l'auteur a cu1-pouvoir se.livrer, concernant 1e Frère FL-undieii, à une insinuation fort peu eoura 5-euse, mais suffisamment claire pour 'consti :uer un outr^ce nettement caractérisé. Or. , sait qu'il existe chez., nous un comité qui s est d nné pour mission de poursuivre impitoyablement le3 moniteurs des prêtres et- % ies religieux. Il a fait constater par d;es tc-noins honorables l'outrage dont est- vietim -. Frère Fiarai<lien. L'aute-n* «Je la t- f e directeur du théâtre s expliqueront devant , a justice. L»f? assignations» «.-ront lancées i lans quelques jours. M" Mesdagh plaidera >oui le religieux insulté. < O-O-» J les étrenaes des radicaux-, socialistes ans Contribua- ! Mes du Halnaut. i — ï>5<orî<« , Uae nouvelle saîgnée s d'un (leiai-ffiiîlion ! Le Conseil provincial du Hairuiut, voulant [ ©connaître la bienveillance avec laquelle 'e orps électoral de la pro\dnce a permis , 'augmenter les- impositions provinciales de \ açon à les porter do 2,735,000 en 1900 à t ,600,000 francs en 1914, soit au double, vient f le décider de créer pour 1914 UNE TAXE ^ fOÙVELLE DE 1 P. C. sur le revenu cadas- ^ L-al^qui opérera dans les revenus des con tri * uables, une nouvelle saignée de près d'TTN >EMI MILLION de francs. ( En même temps et pour remercier les bra- f es et généreux habitants du Huinaut de leur £ lonne volonté, le Conseil provincial a décidé " JN NOUVEI EMPRUNT de. un million huit ent mille francs qui sera probablement por- c é., dans le courant de l'année 1914 à TROIS i IILLIONS de francs. _ \ Il est d'ailleurs bien entendu que si. comme j out le fait prévoir, les contribuables du H n- s laut manifestent leur satisfaction de ces c aagnif.ques étrennes, le conseil provincial, , oujours reconnaissant et généreux,'les gra ifierà pour 19i5 de taxes nouvelles à concur- f ence d'un nouveau demi million . Et tout cas, à partir du 1er janvier 1914, d ;s habitants du Hainaut auront l'immense t atisfaction de pouvoir dire qu'ils sont dans « i province où les contributions provinciales o ont le plus élevées ;-en effetAils paieront < 'AR TKTE D'HABITANT,. .environ CINQ e RANCS! . l )'—<3 O-—-T- ■ — (j Périssent les colonies« s ,Ot n Le « Matin n d'Anvers s'étonne que nous r. sions dire que, sans les missions catholi- d ues, il n'est pas de Civilisation possible au r ongo A l'entendre, seules fes coloniés^évan- élisées par des protestants sont, prospères c i, civilisées ,et l'islamisme lui-même 6ei-t s-lieux que té u te.-autre religion l'œuvae civi- sat'rice. d Vraiment, il faut que la haine du catholi- sme aveugle bien le journal libéral anver- c' >is pour l'amener à raisonner de la sorte. 8 pore-t-ii donc qu'on ' pourrait citer plus 'une colonie où le protestantisme r'a pas * i assurer au profit des mdigènes le respect 3 la vie humaine? Faut-il lui rappeler le v imoignage vendu naguère au catholicisme s ar l'« Etoile o qui constatait que, dans P Afrique du Sud, seule l'Eglise catholique a J i taire admettre l'égalité des races? Quant 'l'islamisme, il n'est pas nécessaire d'être P ut.holi.que poui reconnaître quek graves ^ ang-ers sa propagation fait courir à toutes a s colonies où il réussit a s'étendre. n Nos Hbéraux, eux, font fi de tout cela. ^ s ne voient qu'une chose : combattre l'in- xence du catholicisme et même du christia- $ isme : périssent les colonies plutôt que ce rineipe ! ^ P. S. - La -( Flandre libérale » est — itureilemcnt — du même, avis que le » Ma- n ». Le « Bien Public » repond très juste- C1 ent au journal libéral gantois en lui rappo v .nt oue l'Acte de Berlin a pris soin de ,r ■otéger spécialement les missionnaires . v HRETIENS .-à l'exclusion dés autres^ et- % vil n fait en cs-la que. consacrrr ro]>ini<>» e _ Bxumitig fond 'i; sur l'hisN>ii:Çf qne^ « le ^ iris' i • posskle une y^rt-u particulière' >ur ifétir r de la barbarie les - os inéulteM c. -leur fair-f» franchir . a ci-I ii r»t miè- h •s étapes do la civilisation, a A propos de,Fourrures -A FOIRE DE NIJWI-NOVCOROD ET LES MARCHES EUROPEENS. —VENTES ETRANGES. — PRIX INVRAISEMBLA BLES. — FOURRURES TRUQUEES ET RENARDS ARGENTES. On sait quo Te plus grand marché du londe. on fait de fourrures, se tient à Nijni-fovgorod. Mais il en existe, en Europe, e très considérables aussi : à Leipzig, à C'o-enha.gu.ej à Londres même- il y a des mar- h.és fort importants par suite du chiffr^ des ransacti'-ns qui s'y traitent, mais ce sont là, es marchés dits « de seconde moin ». et si on y voit des amoncellements de fourrures; arfois très p;écieuses,ce n'est pas la grande 3hue si variée, si pittoresque de Nijni-Nov-orod, au moment de la fameuse grande >ire aux fourrures annuelle, qui vient de se îrminer. EJle se tient,.en effet-, au mois de ovembre, et un ami, qui rentre de là bas, ie foutait le pittoresque de cette foire uni-îrseilenient reputée, qui fait accourir, des uatre coins du monde, des acheteurs do bel->s fourrures). Il me disait le spectacle rare de ces trois i quatre mille baraques de bois où s'éta-nt des trésors de pellel cries. Trésors est le lot exact, car sait-on ou'à cette unique ►ire se traitent pour plus de trente mil-, on s d'affaires? Il me décrivait aussi ces vieux juifs, sales, ïtus d'oripeaux ignobles, abrites sous une >rte de large parapluie. Complètement il-itrés, eee- juifs s'installent là comme chan-Mirs et banquiers et toutes les monnaies u monde se rencontrent chez eux. A Nijni-Novgorod. au milieu de la foule •ouillau.e et bariolée, toute vibrante db is d appel et de chansons, cette foule où •us les peuples sont réunis, les envoyés des •andes naasons do fourrues d'Europe pas-nt, s aiTêtent, marchandent, discutent des *ix, soulèvent négligemment des fourrures îi semblent être je.ées là péle-mêle — alors ie le rusé marchand connaît bien, la place î tout — et qui représentent tout ce que la une polaire peut fournir : ours blancs, vins, skungs, lièvres de Sibérie, ->ppossums, ts musqués, hermines, etc.. etc Entro ces acheteurs affairés ot ces mar-uands qui, sous une feinte placidité, cachent m* désir de termiuer ipromptement les af-ires, passent des gens aux allures bizarres, l'accouti\-.aent étrange : les trappeurs. Ce nt eux qui out, en grande partie, apporté là s inestimables dépouilles, produits de leur lasse. Il en est d'isolés, oe ceaix qui, seuls i a deux, sont allés, bien haut dans le nord, 'rer bat-aii-lc. aux rusés quadrupèdes ; mais en est d autres, par contre, qui font part-ie expéditions organisées à grands frais par lie ou telle importante compagnie et qui nt allés durant tout l'hiver — c'est l'époque i.le poil des animaux, plus fourni, a le plus i valeur — explorer les - régions lointaines abattre tout ce qui bouge, tout ce qui vit. t toutes ces fourrures, toutes ces dépouilles ; bêtes féroces ou inoffensives viennent houer à la foire de Ninji-Novgorod. C'est i-tour d'elles que se groupent les connais-urs. C'est à leur propos que s'engagent des a>rcharfdîiges. dont on ne pourra <t se faire, te ide^e... si l'on ne songeait qu'il s'agit de : bat tre des prix avec des juifs, des juifs i sses,, ce qui n'est pas peu dire 1 Les belle:s pièces s'acquièrent à prix d'or, r elles ne sont poin t communes et donnent uvent lieu à des enchères mouvementées. Aussi, charmantes lectnices,qui êtes si ueves votre .janteau <le loutre ou de votre tour i cou en renard argenté, êtes-vous bien sûres ' n'avoir pas été « mises dedans » ? Ne crai-ez-vous pas que ces précieux objets soient l'imitation? De l'imitation fort belle, soit! ais de l'invita ..ion tout de même. Car — un exemple entre mille — il ne se nd, tant à la foire de Nijni-Novgorod que r les marchés européens, que dieux cents aux de renard argenté— au grand maxi-i.n ! 3r, songez au nombre incalculable de ces écieux renards que vendent chaque année us tes grands magasins du monde entier, issi le prix de ces peaux rarissimes est-il proportion avec leur petit nombre. Un laixl bleu se vend là-bas de 1,500 à 2,000 fr. lis le renard argenté ! Impossible d'en avoir à moins de 5,000 à KK) francs, et on a vu là-bas des .peaux de Lit premier choix qui, en des années peu «Misées, ont atteint 13,500 à 15,000 francs ! Là-bas^ vous lise?, bien ? Et ici, on vous vend pour 1,500 francs des ivates toutes montées en «.renard argenté».' «us voyez comnie c'est vraisemblable ! Ce i est vrai, c:e#t que vous avez une fort jolie irruro, m aiqu'elle, est truqués... Car rien, tant que la ^ouitutc, ne conserve sa valeur, r.t pourquoi vo:ulrie/-vous que les marauds vendissent à perto ? ^oiis vous dirons, dm s un .prochaiih article,., mmont on est à « triYquei » ces irru'j-as dont vous aimez tant à vous parer. OAM. LES RÉFLEXIONS DE M. GRAINDORGE La presse la plus avancée est bien obligée d'accorder que!qn attention au grand vieil lard, homme de prière et d'étude, qui vient de mourir à Rome. On ne peut, en effet, éviter de parler du Cardinal Rampolla; impossible de rendre compte des événements politiques de France, d'Allemagne, d'Espagne, de comprendre les mouvements d'idées en Angleterre et en Amérique, de saisir les doctrines sociales que font valoir les catholiques dans tous les pays où ils ont accès à la vie publique sans évoquer la figure de Léon Xfll et de son fidèle secrétaire d'jiïtot. Bien que le Royaume d< Dieu ne soit pas de ce monde, l'Eglise est nécessairement mêlée à tout ce qui agite les sociétés humaines; vivante dans le temps et l'espace, elle conditionne par sa morale l'ac livité de millions d'adeptes de tout âge et de toute race qui sont des pères, des mères, le* citoyens, des gouvernants, des gouver nés. Aux uns et aux autres elle parle de leurs devoirs et de leurs droits; sa doctrine est un extraordinaire levain d'énergie. Au regard du politique avisé qui a suj en uiesu rer la force, L'Eglise est donc, un facteur social de premier ordre. En ignorer la consti-j tu tion et la hiérarchie, c'est se plonger dans la plus absurde fiction qui se puisse voir. Ijes législateurs bornés qui tiennent d'aussi ridicules gageures ne tardent pas à recevoir de la réalité un rapide démenti. En Behfique pourtant, la rupture des relations diplomatiques avec le 6'aini-Sièqe e*t au programme de toute l'opposition. Quelle misérable attitude le b>'.s anticléricalisme u'impose-t-il pas là aux chefs éventuels du Gouvernement! D'avance et par ordre il* doivent se mettre des œil-ères et s'inoculer cette malachie jacobine que le Teimps appelait Vautre jour du nom allemand rf'einsc?-tigheit : vue unilatérale de choses. Comment! Dans un pays en majorité catholique vous renoncez à faire éventuellement appel au Chef de cette Eglise qui domine., dites-vous,la conscience de ses adeptes 'l Vous pourriez entrer en pourparlers avec lui, négocier dans une atmosphère sereine des ques lions irritantes, de nature à troubler la paij Ultérieure, et volontairement vous coupez les ponts? Par le stupide orgueil de vos théo ries, vous refusez les t yards et la considération qu'il est prudent d'accorder à une autorité qui décide de ta paix ou de la guerre de-âmes. Et cela froidement, par calcul prémédité! A notre tour de dire : vous êtes petits, infiniment petits. T^es grands politiques qui ont rempli Vhis-toue de leur nom ont vu plus clâi.. Il faut lire dans les admirables études d'Albert Validai comment le pénétrant génie d'un Bonaparte, après avoir conçu l'œuvre de fpacifi-cation. nal'Oiude qm- esf. sa vraie gloire,comprit que le fait catholique imposé la reconnaissance de sa hiérarchie et du. Pape, son 'sommet. D'où les négociations qui ont abouti an Concordat. Mais pourquoi aller si loin! Nos propres annales prouvent à Vévidence le profit qu'un gouvernement, même hostile à la religion, peut tirer pour le pays d'une attitude simplement raisonnable. Quand un groupe d'exaltés, ayant mal lu le Syllabus, voulut mettre en doute le loyalisme constt tutionnel des catholiques, il suffit d'une parole du Pape, prononcée à la demande d'un Frère Orban, pour clore définitivement '.a dispute. Rompre avec le Saint-Siège, ignorer Léon XIII, Éampo'la, Pie. X ou Mgr Merry del Val, c'est s1 obstiner, fut-on libéral, radical ou socialiste, aans une erreur dénotant, l'absence complète de-ce sens positif qui est la marque de l'homme d'Etat. Graindorge. LtS NUUVhLLES Lo nouvel-an à Ste-cudule La consécration de l'année nouvelle ai Sacré Cœur aura, lieu dans l'église Sainte Ondule le 2 janvier, à 5 heures de l'après-midi pour les dames et à 8 11 1/2 du soii pour les hommes. Toutes les personnes pieuses sont invitée? à assister à ces magnifiques cérémonies.Ce 11< du soir, exclusivement réservée aux hommes sera terminée à 9 h. 3/4. Notre industrie sucrièrc Les comices agricoles des région sucr-ièrcf-viennent d adresser au Parlement une pétition où ils signalent le danger qui menace notre industrie sucrière et demandent qu'on apporte un promp; remède à la situation. La culture de la betterave est ie pivot de l'agriculture belge; elle intéresse une population extrêmement nombreuse; ses indus tries annexés pourraient permettre l'emploi judicieux des fruits des 65,000 hectares de i-erger, actuellement expédiés à l'étranger; par les pulpes, les feuilk-e, les collets et les né lasses, elle contribue à 1 engraissement général du sol et à l'élevage du bétail. Or, depuis 1903, année de l'entrée .en vigueur de la convention sucrière de Bruxelles, e nombre des sucreries belges n'a cessé de lécroître; il y avait 103 usines en 190.3 : iprès dix ans, il n'en reste que 68. Le nom >io d'usines a Jonc diminué de 40 p. c., les imblavements betteraviers ont subi un dé-rheb de 22 p. c.. la production sucrière a di-ninué en 1913 de 70,000 tonnes, soit 30 p. c.. oit uae perte de £0,000,060 de francs pour a Belgique, sans compter la perte due à ous déchets de la culture betteravière. Les comices agricoles demandent donc que 'on réduise les frais des transports des sures et qu'on abolisse complètement les Iroî'ts sur ces produits. Us font /aloir, à l'appui de cette demandé, iuô lés frais de transport des sucres sont axés au même tarif qu'il y a cinquante ans. lors que -la valeur du sucre a diminué d'e 0 p. c. et celle des droits de 50 p. c. Ils font remarquer en outre que tous les rocluits alimentaires étrangers sont dégre-és de tout droit de consommation, le café u planteur brésilien ne paie pas de taxe, ; thé du fermier chinois est exonéré dé tout roit, le chocolat jdes fermiers exotiques est bro de toute cha ge, la banane du colon ongolais entre en franchise de tout impôt, eul de tous les produit? de consommation, 1 sucre est frappé d'un droit exorbitant, seul î sucre, produit alimentaire o lge,est frappé 'un droit de 80 p. c. de sa valeur. Le tabac idigène,.considéré comme nuisible au point e vue médical. cst>-dégrevé complètement à meurrenee ^ de la consommation p^rson-elle; il jouit donc d'un régime de faveur., lors que" le sucre, alimopt, par-excellence, 3«> frappé d'un droiL- prohibitif. Meubles de styles, Insta Jatîons complètes. A. -•> A*.» x\ /"o aeo .. n • . n ... .1 Les Etrennes îrrrand parti fibéraiL Un portrait peu ressemblant, iea que peint par le parti libérai lui-même Aux approelles de ila * Saint-Sylvestre, «Etoile Belge» a la reposante habutudie de sisser en revue les événements politiques de année qui fiait. Cette fois, elle procède à *"ij examen de mscience... l'examen dd conscience du gou-u-neraent, de M. Woeste, voire des socia-stes, sous les directions spirituelles* de « Etoi-le Beige »... On devine q ue le libéralisme sort de là sans îpentir ni ferme propos, mais tout auréolé tout couvert de palmes, de fleurs et de déniât ions. En-effet, pour 1'«Etoile Belge», l'an 1913 it marqué par deux grandis événements po-tiques : le v ote de la loi militaire et la grève ■nérale, et chacun de ces événements fut mpîement l'occasion, d^in triomphe pour ie •and parti libéral. Notre confrère attivbue froidement à oa arti tout l'honneur de la réforme militaire., est parfaitement inutile qu'à notre tour rus fassions à ce sujet une solennelle revue e fin d'année. Tout le monde sait dans tielles conditions a été faite la réforme mîli- . lire — nou6 faisons nôtre- le mot de 1'«Etoile e:!ge>). Car'pour doter le. pays d'une année plus rte il ne suffisait point, comme le firent rtains libéraux, de -répondre : oui, avec auvaise grâce, au vote de la loi, ni de ré-md-re : non, comme le firent les autres libé-ux. On ne peut oublier, on effet, ô triom-îant.e «Etoile», qu'une grande partie les \putés libéraux vota CONTRE la loi mili-ire. D'autre part, ceux mêm^s qui s'en dé-ivrèrent partisans eurent grand soin de fuser au gouvernement les ressources dont création était indispensable pour appliquer loi, c'Vst-a dire Êianis lesquelles la loi n'eût é qu'une œuvre morte. Les libéraux, auxquels l'« Etoile » attribue 'honneur de lo reforme militaire», ont eu, t contrafiuv, une attitude sans honneur et ns fùsrté. Ils ont laissé aux catholiques scul3 responsabilité de ia réforme do l'armée. 1 les voici, maintenant-, qui prétendent me-t-:3 une plume à leu>- chapeau ! Halte-là ! Uno .rtio des libéraux a combattu la loi mili-ire; l'autre tp art ie a voté cette loi, poussant la dépense, jurant qu'on ne faisait pas sez. Mais quand il Vest agi de payer, tons sont défilés avec le plus 1x4 aplomb. Voilà, n en çipq colonnes mais en quoique.: lignes, beau rôle joué par le par à libéral, (lotte médie est de celles oue l'on siffle »t tous les plaudissements de 1« Etoile b ige» ne tracs-rnieront point en triomphe la misérable roba«cle de ses amis. De même, pour notre confrère, c'est le parti >éral qui eut tous les honneurs de la grève nérale. Rappelant, avec à-propos, que ce jyen d'intimidation ne pouvait pas réussir, connaissant que le gouvernement ne pou-it pas prononcer la parolie attendue sans m promettre la dignité ministéne'll^ », Etoile belge» constate que la grève fut un liée complet. Cela dit, elle distribue aux cialistes et... au gouvernement une pluie pensums, * Ce fut une faute de la part de? chefs socia-tes, écrit-elle,d'agiter la menaoe d'une grève. fut, de leur part, une faute encore plus irde de ne pas empêcher la grève d'être'dé-Ct fut une faute non. monns lourde, de part du gouvernement, d'avoir attendu le isième appel à la conciliation et d'avon ris-é une partie inutile, qui eût pu dievenir danr reuse. » ^uant aux libéraux, ils se sont montrés «t it est rentré dans l'ordre. C'est M. Hy-tiiis, c'est M. Max qui ont tout, arrangé. \plomb admirable, en vérité! Il nous force appeler à Y « Etoile» que la proposition de Hymans était la mise à l'étude de la ques-n du S. U. et que*celle de M. Max cc^.a^ /'"*• t à ;ho:nmer une commission qui s'occt«$Jt» t de '.'électorat législatif — ce oui reve-t au même. Rien de cela n'amena la c-mei tion,le gouvernement et la droite y voyant 2 capitulation indirecte. Et ies «ocialu es ent tout heureux et tout aises de mettre à la sotte aventure de la grc*Te du IS avril acceptant je que le gouvernement leur lit offert... le 12.mars, étant <xr>ro sémenti • ndu que la commission des XXXI ne s'oe-îérait pôïfitdu S, U. Icgielatii. /audace de notre confrère nous obl'go ii-'i de 'ni rappeler que maints journaux et rrgeois libéraux soutinrent la grève par r propagande et leurs deniers. iiprès tout cela, libre à l'«Etoile bel *e» de mper sur le toit et d'annoncn- à son de mpe que 1913 fut une année de gloire r our libéraux!... te retour, M. Hymans, des choses d'ici-bas!... ou* avons reproduit, dans notre numéro lundi, les principaux ipaeages d'un a^-ticle M. Hymans espadonnait gentiment les raux qui viennent crier : Révolution ! par rou de la serrure et se sau vent quand ils ïndent le pas de M. Hyrn«ns retentir dans orridor. insi que nos recteurs ont pu le voir, il t déf^-dn-du "eproche de tiedeur adressé députée lj;>éraux coupables, aux yeux do Iqucs agites, de ne pas crier aux armes, ie pas cuisiner, pour faire tomber le pro-scoiaire, la }>lus petite insurrection. « Les le m enta ires libéraux ne sont mi des bo-rs ni des choristes », a écrit soirtenci^usc-it et justement M. Hymans à l'adresse de xpress». rès bien, Le bon sens de M. Hymans a t'enablement douché .les manifestants aux Is humides dont réchauffement tumul-ix est simplement ridicule. Mais le leader ral s'est administré, du même coup, un cooiç de poing sur le nez. e qu'il réprouve aujourd'hui avec un mé--.oadémique, il le trouvait fort bon il y a ans. Quand ley boxeurs et les choristes vraient,à l'occasion du projet Schollaert, exercices qui remplissaient de patnio-es angoisses les policiers de service dans aï le, M. Hymans n'a-t-il pas tenu le s; tlet attu la mesure? . " îulement, voilà!... A ce tnoment-îït il raft que ça pommait -réussii*.L'acaddmwnie h Mit de M. Hymans n'a point sa source s la haine des boxeurs, des choristes et révolutionnaires en parapluie. 'e.-itfc ehiez lui, question d^opponbu.nité et de principe. uand ils croient que ça ipeaut *• donner

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique gehört zu der Kategorie Katholieke pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1940.

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