Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 06 Mai. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 24 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/hd7np1xk7q/
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'5»A f VUVI X L* -"W v » T~ -I, Ml lllïlIMU WLW^lUUI-l^ - ". -11-"". ^.,.^.-'.."., -1—. „M. "" jiBBBSaSSRS ■*» SÉDACTION & ADMINISTRAT! îfiu ras ds b Bcurse — LE EATKB Téléphone: Le Havre n* 14, Cirecteur : FSBM82 EUflU Tovlcs tes communications concer la rédaction doivent être adret, a S*", rue de la Bourse, Le Havre» LONDON OFFICE: £1, Panton Street OitUICUl V» »l(II I™iv ABONNEMENTS |Hf P>*tk»....... 2 fr. 50 par mots. » ......... 7 fr. 50 partrfmesto #r»a'*UfF®..». 2 •)».•*. par MM. » .... Tsft.ftf. pai* trtmetf* MH litres m»,, IM. mr && É, 9 * 9 tr, j> par trlmastr ■I PUBLICITÉ fâdrBSSôF à rAdministration turn$\ au Havre ou k Lôndw Annonças 4* pages Ofr. 40 fa ligne Petites atnnonces4* page: Ofr. 30t«fign Les petites annonces sont êgalemer reçues à la Société Européene de Publ cité, 10, rae de ta Victoire, Paris, çrai e WÊ&s jba ■ Otiaftidien belae Darai&sant au liavr [ L'ilflMce île la Dan allemande j m Véeonoiie italienne £a "Banca commerciale" [Correspondance particulière Sito Florence, le I" mai 1915. Les lecteurs du XX' Siècle connaisse: sans doute l'essentiel dies campagnes mené contre la Banca commerciale, grâce a 1 ocelle l'Allemagne était parvenue à domm & vie éoonomiquB et politique de la naw italienne. M. Prêtai, dan® u<n livre «w la Germania alla, conquista delVllalia,QS\ tait ici grande impression et dont je m etopi de ne pas voir paraître de traduction en te gue française, a bien montré les moyens q ont <ïté mis en usage pour obtenir ces resï tais. Ce sont les mêmes que ceux dont souffert votre pays bureaux d iniormatioi très minutieuses sur le mouvement o* affaires, agents très "bien choisis po»wle' compétence et leur patriotisme et introutaa dans tes arm-sciis d'administration des be iques et des industries importantes, ma>i mise sur des grandir jcnrn.iux. Si des rési tats plus complets, ont été obtenus ici qu a tours, cela provient surtout de la faibles financière du pays coïncidant avec un dev loppement économique très rapide. Quand la fjferre éclata, des publicistes ; gnalèrent «vec force les danjrprs que tet sitirationiéisait courir au neys. Treize adn nistratsfurs allemands sur dit-huit de Banca commerciale donnèrent leur dém: sion, spontanément, déclarèrent^ils, mais < réalité sur l'intervention du prince de B J-ow. Il y eut alors un moment d'accalm: !Efn f.évîrr>r-miars lOlîx de nouveaux in< dents surgirent qui furent aussi suivis changements dans le personel dirigeai les discussions viennent de reprendre av passibn et pour des raisons très diverse! l'ouverture prochaine d'un congrès <? AlPés à Paria les grandes difficultés notre Industrie, l'obstination du gwven ment à ne pas déclarer la guerre à l'Ai magne dont les soldats luttent cnnîre nôtres depuis des mois dans les Alpes, «rartout. peut-être, les campagnes de pn>= •ue la Banca commerciale a fait fai feus des journaus italiens et étrangers •a faveur. *** A en croh'e les publicistes qui prennei ici et en Suisse, voire en Allemagne, défense de la Banca commerciale, ! agents de la pénétration germanique o raient, en démissionnant de la préside» Mis fin a,w péril. Mais le public tant s peu averti sait bien que MM. Mangili, J< et Weil sont restés dans le conseil et ce servent une influence prépondérante. L mêmes publicistes s'efforcent aussi de fai admettre qiue l'internationalisme est po la banwuis la condition même du succès que la Banca commerciale est internat raie, puisque des Français et des Suiss s'y trouvent à côté d'Austro-Alleman» Il est exact que des Français et des Suiss se trouvent dans la Banca commerciale côté d'Austro-Allemands, mais, comme en a fait justement la remarque, il s'a de savoir si ces Français appartiennent la Banque de Paris et des Pays-Bas, et ces Suisses ne sont pas précisément 1 représentants de cet internationalisme c bonsiste à introduire l'Allemagne dans l'i tivwé économique de leur pays, ou plut, 'à subordonner leur pays à l'Allemagi Ï1 paraîtrait qu'il en est "bien ainsi. On comprend qrae l'Italie, qui a rompu pacte d'alliance avec la Duplice parce* q cette alliance avait abouti o une subordii tion de l'Italie dans le domaine politiqi soit décidée à faire tous ses efforts pc mettre fin à la subordination que lui tape 5a Banca commerciale dans le domai frxroomiquie, bancaire, industriel et coi tnercial. Un referen&im est pr'ésentem* organisé parmi les chambres de commei sur les meilleurs moyens d'assurer l'au homie d.u pays, d'établir un régime q sauvegarde complètement ses intér propres. Il ne s'ensuit pas que la fiança comm eiale sera nécessairement mise dans l'i lisibilité d'agir. Les patriotes italiens îui pardonneront certes pas son activité faveur d'e l'Allemagne, mais ils reconnu sent sans difficulté qu'elle a produit d'i eellents résultats dans le domaine strie ment technique, qu'elle a fourni à nos ho mes d'affaires un concours qui leur a longtemps absolument indispensable et q wrçourd'hui encore, reste de premier ont Ils ne veulent plus lui laisser la liberté travailler à l'asservissement de l'éconcm rKifcionale à une économie étrangère, m «As ne veulent pas non plus la détrui parce qu'on ne détroit pas, disent-ils, instrument de production aussi bien coi trust que celui-là. Ils ne se bercent pas '.'espoir que tout ce que la Banca comm ciaic perdrait serait acquis par d'aul institutions italiennes. Ils se rendent t: bien compte, comme le déclare l'idea i zionale, dont l'énergie dans cette campaj est bien connue, qu'« une banque est i: institution historien-économique, une cmnu'lation d'expérience, un réseau do Max pour alimenter d une façon plus munératrice la production nationale, qu ne remplace pas facilement. Sa dïcadei porterait un coup sensible 4 l'éconor nationale « (numéro du 16 avril). En réalité, la lutte entreprise contre Banca commerciale, à cause du rôle pi tique qu'elle a joué jusqu'à présent en veur de l'Allemagne, a eu tiéîa sur s^n ai vité bancaire des roperaissions dont il faudrait pas exagérer l'importance, ail qu'on va le voir, mais dont on aurait f Cependant de ne pas tenir compte.. I. disponibilité!! ce. capital du Crédit Haï ont passé, du 31 décembre 1911 au 31 cembre 10i5 de 410 mi llions à 551 millir ■le francs, soit une augmentation de 2S pc 100. Les disponibilités de la Banque â' compte ont passé, pendant la même pério. de 256 millions à 356 millions, soit i augmentaiton de 30 p. c. Les dSsponibil 3 de la Banca commerciale, elles, ont pé J de 669 millions à 667 millions, s*>it une d: nution de 0.30 p. c. Non seulement la Ba commerciale perd l'espèce de mono] qu'elle avait acquis dams la banque lienne, mais elle eubit un commencer! de décadence. *** Dans un pays comme le nôtre pop tion très dense, il importe souverainen d'organiser, d'intensifier la production la rrahesse jen même temps, «i non» voulons pas devenir les vassaux du c , talisme étranger, ce qui ferait de nous. ^ ou tard, les vassaux de l'Etat étran nous devems organiser et intensifiei production de la richesse par des mo; nationaux et dans des fins nationales, telle organisation et une telle intensi :s tion, de la production, qu'il ne faut pas 1_ fbndtre avec les régies qui leur sont m :r contraires, suppose un Etat qui se pi "n icupe de la production et qui soit orga : porn- la production. Nous sommes tr 0 de reconnaître que, jusqu'à présent,, r ir gruivcrnemnpi a son.^V: presque exclu: v roent à distrilyuer la richesse, à élève î1 taux des salaires, à assurer les travaille •" à fiensionner les vieillards. L'expéri B actuelle nous montre quelle grave er lp nous avons commise. Ce rôle d'agent îs prême de la production cpie notre Et; Jr négligé pour se livrer entièrement à un ts de distributeur de la richesse, a passé n" h peu en des mains étrangères, aux m de ceux qui voulaient conquérir notre exploiter "nos travailleurs et leur imr ll" finalement les mesures de germanisf méthodique qui ont fait tant gémir et ; r~ fri.r les Danois, les Polonais et les . . ciens-Lorrains. Je crois cpie nous, Ital nuis aurons l'esprit politique qu'il fa , pour tirer parti d'une telle leçon. la 0 " Pensée à médite u- c. ® © © j"e ... It, FAUT QUE VOUS NOUS Ai: A r/TOS"R LES ENSEIGNEMENTS 1 : CUEILLIS DANS LE LABORATOIRE r>. MSWSE DE LA GUSRBE. UNE GUE £ qtjt, NS SUIT PAS UNE RFNAISSJ NATIONALE EST UNE GUERRE rî — — —■ rlTLS- sa FJnile HERRIOT, maire de Lyon, sénateur du RI {d Journal » du 4 mai 1916). f tlMREliilûîlliiGEARÛl 5't —"°"— î?1 UN DiSGOUBS «3 DE M. UE MINISTRE HELLEPUT ï-r Jeudi soir a eu lien au Théâtre-I ,t cais de Rouen, une conférence orga io- par M. Jean Ramaekers au prof: es « Fond3 du soldat belge ». IS. Devant un auditoire très nombreux i es trouvaient les principales autorités t à ville, Mme Lonilse Le) rançois-Pillion a Dn une causerie très brillante et d'une é jit tion impeccabde sur n Les Monument à l'héroïque Belgique et l'art flamand d'e si et du XVI" siècles ». 63 Après cette conférence très applaudi m Hclleputte. ministre -1" '""-'culture e ï," Travaux publics a terminé la soirée, 1 demande de M. Lie-a.. ♦soldent de Le" semblée, par une élcKjt.^-iùe improvis dont le « Journal de Rouen » nous ap ul® ce résumé : 10, « M. Helleputte remercie la confère ie, re d'avoir si éloquemment décrit les ri ur ses artistiques de son pays que ses pa ,se eussent pu être un utile enseignement ne un public belge. n- _ Oui. s'écrie-t-il, nous avions des nt sors et nous avons des ruines, beau 'ce de ruines ! Louvain, Ypres, Nieuport nant, ne sont plus que décombres. ;!i l'histoire belge, comme vous l'avez dit, Hs dame, a enregistré dél -ien des oura^ Ija Belgique est demeurée inébranlabl » Cette fois encore les hordes dévas m" ces ont pu se déchaîner à travers nos ne nés, y semer l'incendie et la mort, mai : en ! pas le découragement, ni la renoncint ,s" 1 la liberté 1 Elles n'ont même pas su b: cette bonne humeur caustique qui les m- Père' .> Les Allemands ont pu croire — Uj bien longtemps — que nous renierions : r.' respect du Droit et notre sentiment i (jc Justice, moyennant, comme le disait -jif. ultimatum, " indemnité « payée en jjs comptant ». Voilà deux ans bientôt < re ont appris à nous connaître nous et no un dats ! Notre armée est toujours de is. face à l'oppresseur. de » Le président de la République dai -)■ - discours récent s'écriait : <( Jusqu'au bc •es Nulle part ce cri farouchement récol" "ès eu plus d'écho que dans l'âme belge, i m- avoir détruit nos monuments et nos \ ne les envahisseurs poussent l'odieux ju ne lès vouloir reconstruire. Non ! Pas ( 5c- C'est nous qui rebâtirons, car nous seuls îa- vons, aux pierres nouvelles, insuffi ré- vieille âme belge artiste et loyale, qui ; on nos tihefs d'eeuvre passés. lÇe » Si. t>our notre malhéur. la. cause t lile niquité pouvait triompher ah 1 alors, sè-je voir tous nos monuments rédui cendres épaisses, le dernier Belge ex m- à la frontière, fusil au poing, sur le nier brin d'herbe et la Prusse ne régne :tl" sur un désert ! » ^ » Les Belges, heureusement, ont au ->ri traire une certitude inébranlable de li ». toire finale. M. Helleputte conclut en tant la conférencière à parler de nouve l'Art belge... à Bruxelles. Dans cett n'^ pitale reconquise l'accueilleront demai ,UJ. acclamations d'un peuple libre, orj . leux de son art et de 9on glorieux pas; je » De vifs applaudissements ont sou nè ce brillant discours. ». mûxt ibés LA GUERRE VUE 9E LONDRES ssé mi»- — nca * La gmad© jonr&i( (Correspondance particulière du XX* Siè< ula- Londres, le 3 mai 1911 lent de La réponse à la chute de Kut-el-Am "e ne s'est guère fait attendre. La nouv api- était connue samedi soir : hier mardi, tôt Asquith, premier mrâstre, a annonci ger, dépôt d'un projet de loi établissant sans ' '3 [lai le service général obligatoire, 'ens C'est le plus rude et le moins prévu Lue ! coups, que reçoivent les plans préso fica- . tueux de l'Allemagne, apris la résista con- | de Liège et la victoire de la Marne, êmo i C'est l'Angleterre enfin éveillée, tout éoc- ! fjère éveillée, à la guerre, prête à ne v nis'1 que pour la guerre — pour ne pas en n r" - rir. ■Çtre : C'est l'ennemi le moins attendu âe ' iive- | persén'érent dans la lutte et s'en rlévé r le j le plus formid-ble champion, urs, C'est l'écroulement de tous les esp 3nce d'une paix boc'ie, amenée par les ar reur de Casement ou les discours de Morel. suit a pç,, Il est intéressant de parcourir les J naux d'opposition, puisque la journée d' B()]* marque leur incontestable triomphe, a os(1y une lutte de près de demx ans. Ce trion est loin de les enivrer : ils entendent a' îouif- t0fU^ TU en n'en mésuse pas. Autrement Usa- c,ens — s>i^ y en avait — qui conserva eus, ''espoir de « saboter » l'application du l'Ira chain Bill en seront pour leur courte hc Il ne s'agit pas de dépeupler les ci tiers, les mines, les usimes de muniti Il s'agit d'y remplacer las hommes jei — sauf ceux que des compétences tec p ques « exceptionnelles » rendent plus u encore là qu'à l'avant — par des boni plus âgés. U s'agit de rev.iser la liste exemptions accordées, deoniis le prei ___ Bill d'obligation, avec une facilité pa; RE- scandaleuse. U s'agit d'emo'.loyer aux —_ vaux des champs tous les prisonniers IM- rrcrsnds, que l'on né voit jamais trava ici. RRE En un mot, la loi devra être appli. jjto progressivement et intelligemment, j envoyer toujours plus d'hommes si. INU- f,™t. sans diminuer l'activité des in tries travaillant pour la guerae. I Un dernier trait, saillant, de la sé tdne. d hier aux Communes. Quelqu'un s' plaint que la loi nouvelle risquât d' ner au parti de la guerre les sympathie « Labour Party ». A peine ces paroles étaient-elles pro f D lu cees aue M- Stanton, le député de Mert Ûll ?e ievait, et protestait contre tout rt hypoérite. • çt Laissez les ouvriers à eux-mêmes » criait-il et et ils seront aussi loyaux oui- ( autre partie de la nation. » TE Ce qui semble, indiquer que, avec 'e r des tt anti-compulsiomnistes », a aussi ran- fin la domination de ceux qui, sviivai ■E Kefr^dreSSi0:^, aiB1ÔIlt à E le m se GUT le la , P-,S' T~ A J'hBure où j'écris ces lis , fait les derniers grondements de la cri« v?nt décroissant : on annonc 5 de £?e es chefs des révoltés XV f'é fusillés. D autre part: M. Birrell, s< taire d Etat pour l lrlande, a donné c? mission. 3, M. _ t des fB LES FAITS DU JOt nciè- -»o»™ rôles vrojet de loi sur le service génère pour yran/le-Bretagne a été adopté en deuax lecture par 328 voir, contre 38. Les nati t . listes irlandais s'abstiennent. emin Lef cnnséiuences des émeutes d'IrU coup ne s arrêteront pas, sans doute, à la dé Mais SWn Birrell ; lors Crewe vient c ma noncer, en e4{et, jiu'ime enquête allait ma- oysygrtc - ^ ---r fana. i — 61 ' __ _ z VU- haute 'tmhisoJ:aSRmenrtfra impli'ut on a . uiinir ^ l heure ou paraîtront ces lignes, exas- conna'^o, sans demie In teneur de la ponse allemande à la note des Etats-l ■ rias 1 ?-ar con*B<lu<™t superflu de laire lotre notons cependant que la le la , î ?,o! S?-® a Te^u de «on cotres leur dan de, Aeu,'-yor'£ ««c information Va or et ^5" d*Tnier moment l'horizon couvert de nuages. 3 EOJ_ bout, On annonce officiellement aue le Tlri tag se reunira le 0 mai ; â l'ordre du is un est inscrite une motion socialiste demam ut ! » to suspension des poursuites contre la i n'a Puté Lieolmecht : d'après fa Tribuna I iprès Itnecht aurait été remis en liberté. illes, r.nvw u,v ^ unr- nouve,!e demande du prési nou' CarTan™ relative au retrait des trm =r la <ïméncames landes à la poursuite de V r fait gouvernement de Washington t 1 d'opposer un refus formel. Carranza aurait prévenu les Etats-l nnU" 'î"0 S ft* dR.son armée ont bearu puia- île peine a empêcher leurs soldats d\ ts en quer les Américains et Von admet à V pirer hington que des incidents de celte na d'r; mettraient les Etats-Unis dans l'obliga r que d envahir le Mexique. MMVWVWWI yjc Les journaux hollandais annoncent qt invi- c1lasse, 1916 sef* appelée sous les ar; iu de s a seconde Quinzaine de iuin. 3 ca_ WW/UVWW n les Le corresponde' ie la Gazette d<5 T rueil- à Sofia télégraphie que les autorités j taires roumaines font actuellement ligné grandes réquisitions de vivres pour l'ar roumaine. Legouvernementangla et les Belges | ——no«--— UNE DECISION INTERESSANTE POUR LE COMMERCE BELGE "LE) La Chambre de Ccanmerce belge de L< 5. dres nous prie d'insérer le communiç suivant : " Le bateau « Erymanthos » qui av H quitté Anvers fin juillet 1914, en desti: . tion de Hadffa, fut capturé par ta mar anglaise le C août 1914 et déclaré par tribunal de Malte comme bonne prise. La cargaison de ce navire consistait pi des cipalement en marchandises belges de ID1)" niées à des Turcs. Les lois spéciales et nce trêmement complexes régissant les pfi de guerre eurent comme conséquence .en" confiscation presque totale de ce chai' lvre ment. lcm" Par ce jugement le Tribunal de Malte posa à nos nationaux des pertes très :ou® portantes. Us auraient pu essayer de r lant verser cette décision en Cour d'appel, m une telle procédure eut fait encourir j °'r3 sieurs milliers de livres de frais, et le mes sultat restait problématique. Après maintes démarches auprès de.s torités anglaises pour surmonter ces di euhés, la Chambre de Commerce -,ur_ Londres obtint l'appui de la Légation hier fotre Ministre att'ra l'attention de 3r^s , Edouard Grey, sur le dommage subi par phe i beiges. ,ant I L'honorable ministre anglais voulut t ,jjt | se rendre aux raisons exposées par ient ^ Pa'^,' Hymans. U a étendu à cet effet pr0. pouvoirs du Prize Claims Committee à l dres qui étudiera à nouveau chaque lani . mande et pourra, le cas échéant, rév: ons les décisions prises par la Cour de Ma ]neg ; La Chambre de Commerce mettra au p< les différentes requêtes et les transme' fciIgs ^ légation pour qu'à son tour elle i mes re l'attention du Foreign Office sur (jes griefs do nos compatriotes. Nous cons nier rons ce',e décision du Ministre des Af ■fois res Etrangères d'Angleterre comme un b tra- Seste de sympathie et de loyauté vis-à aile- nous, et une nouvelle preuve du d Hier c',u a "Empire Britannique de toujours n assurer le concours qu'il est en son j ■ voir de nous donner. jour l'eus les Belges ayant des intérêts d , les marchandises à bord du via rieur tt J d manthos » feront bien de s'adresser f Chambre de Commerce belge à Lon dont les bureaux se trouvent. 24, St. Di tan's Buildings, St. Dunstan's Hill, E. i mee P.-S. — La Chambre de Commerce b Stait cherche à connaître l'adresse actuelle alié- MM Van Lejoiseele frères (ci-devar s du Courtrai). M^\{. Willems et Draffuet (ci-dev\u non- | GaJld)- }jyr> ' ' ^ ' " ,gTet M. Warocquéesten excellente sa 6'é- — - »Otc ■ >I~, oute Plusieurs jocroatrx ont -annoncé dej bgne ®ne quinzaine de jours la mort de M pris députe Raoul Wa.rocqué. N'ayant pas it la apaisements au sujet de l'authenticité îaïud cette nouvelle, nous nous sommes abste de la reproduire. Hi Nous avons aujourd'hui le plaisir d prendre que le député de Thuin est en es ues, lente santé dans son château de Marien ir- d'où il se rend chaque semaine à Brnxej LE "DAÎLYMAIL " FÊTE SOI 20e ANNiV£RSAI i io Notre grand confrères de Londres rjj Dailij Mail vient de fêter le 20* anni: | rï saire de sa fondation. Le Daily Mail a le droit <îe célébrer cet a: versaire avec joie et avec orgueil, car il un des journaux anglais qui ont le mi , prévu les événements actuels et qui on \ plus travaillé à y préparer leur pays. eme Ainsi que lord Northcliffe le rappelle d ona- le numéro jubilaire de son journal, le D Mail avait prévu depuis" longtemps "■°e guerre contre l'Allemagne et le rôle im tant des luttes sous-marines et aérien fir' ^ avaiil fait des campagnes ardentes i 5~5. en convaincre l'Angleterre Depuis que la guerre a éclaté, le D —-*• Mail n'a rien épargné pour obtenir . . l'opinion anglaise se pénètre de la grand : ue de l'effort nécessaire, et il a le droit d', fier du vote du. service obligatoire, ca est parmi les principaux artisans de on qu'en a pra appeler sans exagération Té. révolution. •nis. Les campagnes du Times, du Daily i des ?t des autres journaux de lord Northc (ja. méritent la reconaissance de tous les al non- de l'Angleterre, mais les Belges leur ssua vent une gTat.itude toute spéciale pour ;-esl sympathie qu'ils n'ont pas cessé de téi: fner à la Belgique et à toutes les œm elges. Aussi sommes-nous certains d'êtite ehs- interprètes de tous nos compatriotes four priant lord Northcliffe et ses collaborate tant du, Daily Mail d'agréer nos félicitations dé- nos meilleurs vœux. ,icb- T La générosité de &ss afrisai: ipes une [(ttre que nous venons de ^ece^ [Ha, d'un de nos amis du Congo nous signale ient générosité avec laquelle nos colonii prennent leur part des œuvres destinée Jnts secourir les infortunes de leurs com 0UP triotes, Le fetal dé leurs souscriptions à ces ''as- verses oeuvres s'élève maintenant à p Itire <ic 400,000 francs. tion Merci au nom de tous ceux dont ces ] gesses ont aliégé les souffrances. AU FRONT BELGE ...—1M%(. 4 mai. — Le bomba.rdement réciproqui repris avec force dans le secteur de I "oss mud'e et au nord. Notre artillerie a pris si nili- son feu des batteries et les minnenwçj de allemands, ainsi que des chalands mée avaient été observés dans le canal do Ha zaens. s "La plus mauvaise nauve que l'ëtat-major ailes: ait pu apprendre... " m- —)'0"— "e Un discours énergique de H. Lloyd Georg ait sur le service obligatoire ine le La Wtl est voté en deuxième lecture 3tt La. Chambre des communes a volé ex en deuxième lecture, PAR TROIS C ses VINGT-HUIT VOIX CONTRE TRE1 la SIX, le projet du gouvernement an se_ établissant le service militaire obligai Ce vote avait été précédé d'un dise im_ de M. Lloyd George. Aucun ministre an im_ n'était plus qualifié que lui pour soul' en_ l'importance d'une réforme qui toi vais ais y a quelques jours encore, les atla ju. passionnées des principaux journaux ri_ eaux. Reproduisons ici, car ils méritent ( médias partout, les principaux pas* de ce discours que le Parlement angl . longuement applaudi : et « De la guerre actuelle peuvent déc Sir pour notre pays, pour l'humanité, des le§ séquences plus grondes que d'aucune guerre précédente. ien n Les autorités militaires ont. déclari M. les effectifs demandés par elles dev les être assurés immédiatement et que le on- toire ou la défaite pouvaient en dépe de- C'est eneourir une terrible responsa ser que de repousser des demandes ainsi lté. 1 mulées. ùnt ; » Personnellement, j'aimerais mieux ■tra chassii de la vie publique que d'avoir s itti- ; conscience d'avoir repoussé les conseil les autorités militaires. dé- n Nos conseillers militaires demanc fai- que tout homme disponible fût instri eau prêt à entrer en campagne. Le gouv -vis nient, à l'unanimité, a reconnu qu'il 5slr impossible de repousser cette demandi ous tivée comme elle 1 était. iou- n 11 est vrad que les Alliés ont dans semble une supériorité écrasante en ans mes. C'est sur cette supériorité que jê îry- mou espoir, mais il.faut que ce soi . la supériorité en hommes équipés. 1res « Pour que la Russie puisse armer ins- nement ses forces, il est essentiel q 2. n France et l'Angleterre qui, elles, pe îlge équiper leurs soldats, mettent imm<3 le ment en ligne toutes leurs forces < t à nibles. n Cela est essentiel, l'ennemi le sa it à notre décision d'appeler sous les dra\ tous nos hommes disponibles est la —4 mauvaise nouvelle que l é1at-ma{or gi i > allemand ait pu apprendre. flte » Le paya, dans son ensemble, est i i vêtir de cette mesure dans laquelle ! puis rien trouver qui soit contrairi iujs principes libéraux. [e » Est-il contraire à l'esprit dérnocr« nos 9"® l'Etat demandte. lorsque sa vie e de ICT> les services et le concours de toi nus citons ? n Aucun pays ,dans lhiswrè, n, 'ap- à'1™ Péril sans le service mi: Cgj. obligatoire. iont " Tout corps sain doit pouvoir fart jcs pel à tous sçs membres pour sa défen —^ la. Grande-Bretagne, Dieu merci, n'es uns paralytique incapable de faire api service de tous ses citoyens. _ » La France, messieurs, se défei HB moyen du service obligatoire et c'est j . moyen dm service obligatoire que la i cratio italienne s'efforce do délivre , frères retenus en esclavage. » C'est par le service obligatoire <5 " paysan de Serbie a défendu ses monte , ! c'est par lui qu'il les reconquerra. (A] dissements.) eux I " O11"011 ne 110,15 d'se Pas 1ue 'ê Sl f obligatoire provoquera de l'agitation 1 ies travailleurs. n Qu'on ne nous représente pas Ii ■1H11 railleur britannique comme une sor neutre suspect, n Les vertus élémentaires ne son ' " l'apan'age d'une classe particulière c our l?y6ns que d'une autre, et le p ■tréma est une des plus grandes parn My vn1v3'" gur LE MECANISME DE LA LOI !tr® D'aprè? un communiqué du ministê r " la Guerre, le système d'engagement: c® groupe sera remis en vigueur à pari une samedi prochain, afin de permettre hommes mariés qui ne se sont pas eni îîf® et aux célibataire's exemptés par la le *5® le service militaire de janvier 191(5, de i1 e.s tracter un engagement volontaire ave 01" mise en vigueur de la loi sur le s< '. obligatoire. . ■Un nouveau groupe va être constita Tes de permettre aux jeunes gens de di; . an^ qui n'étaient pas Inclus dans les Ies pes du système Derby d© s'engiager 1 ®n ment. s Cette disposition permet aux homme et l'engagent volontairement de ne partii l'appel de leur groupe. On sait que toi hommes susceptibles de porter les n 5g entre dix-neuf et quarante ans ont Cl partis en groupes correspondants classes françaises, chaque classe fran • constituant deux groupes : celui des c f taires et celui des hommes mariés, iiix Srou:Pes son' convoqués sivccessivemen ' 1 groupes do célibataires étant appelé; ' premiers. P " L'Evcning News reriiarque que le dél j, grâce sera nécessairement, fort court, t " loi est votée jeudi proçjia.in, elle entre! vigueur dès le 10 juin. Tous les hor „ «jui ont atteint l'âge de 18 ans depu 14 août 1815 seront soldats à parti , 10 juin prochain. M©ft ds cardinal S*Vi iix- Lyon, 4 mai. — Le cardinal Sevin, a >us vèque de Lyon,primat des Gaules,qui ïer été opéré mardi à l'hôpital Saint-Josej rui I est mort ce matin, à sept heures, ijd- H avait succédé sur le siège archiép I pal de Lyon au cardinal Couillié en a le monopote pour Paris. lie LlilscgDaiïraocÉrÉiioM ad I u api écwmI Mercier Le « Bulletin religieux » de rarehrdiocèso de Rouen a publié dans son dernier numéro; cet avis de MM. les vicaires capitulaires ^ . Le 19 février dernier, le Cardinal Mercie^ e le grand archevêque de Malines, écrivait ^ Rome à son Eminence le Cardinal archevêque de Paris : « L'idée m'est venue d'insister, dans ma Pastorale de Carême, de la présente année, sur vénération, la piété, la reconnaissance des fidè-rpudi les envers ^ Souverain Pontife. Dans la conclu-6ion de la lettre, je propose — et j'aime a croire que mes vénérés collègues de l'Episcopat belge ^iais ^ raUieront à ma proposition — de consacrer ^ire un jour spécial, le premier dimanche du mois ours de à une comsmunion générale aux inten- \ l Cl_i tions do notre Pape bien-aimé. * l «ner " 1-0 Saint-Père a daigné permettre qu'à cette \ \ m occasion les curés des paroisses et les recteurs \ ' ^ des oratoires semi-publics aient la faculté de radi- ^onTïer nux fidèles la bénédiction papale avao " une imfulgence plénière applicable à T&me de l'être nos soI<3ats tombés à l'ennemi. » âges L'illustre Cardinal belge aujoutait î a a J'ai pensé, Emirentissime Seigneur, que la ' manifestation discrète de piété filiale, dont ma DU-Ier présence à Rome m'a suggéré l'initiative, ga-copj. gnerait beaucoup à être généralisée. Je prends iiudre 'n confiance de demander à Votre Eminence Elle ne voudrait, pas arrêter un instant son ai-: qUe tention sur noLre humble projet et le soumettre lient Peut^lre à l'approbation de l'Episccrpat fran-y^c. çnis. J'adresse à S. E. le Cardinal Bourne la nrfj-Q, même prière. » bilitê D'accord avec le Cardinal Archevêque de for- Reims, le Cardinal Archevêque de Paris demanda au Saint-Père d'étendre à la France être la faveur accordée à la Belgique. A la date ur la du 8 mars, il reçut la réponse suivante du s des Cardinal Gasparri. Secrétaire d'Etat de Sa Sainteté : -jent bien reçu la lettre de Votre Eminence, ut et relative au projet de demander à tous les fidèles ^ranoe une communion, le premier diman-était ohe de mai. aux intentions du Souverain Pon-i mo- fjf,^ en témoignage de respectueuse gratitude de filial attachement. *en" « Je m'ernjpresse d'informer Votre Eminence qiie le Saini-Père a appris avec une vive safcis-base faction ce pieux phojet, et a daigné accorder aux < Curés et aux Chapelains d'oratoires publics el semî-pisblics la fnculté implorée, de donner c® P ,1- Jour-là la Bénédiction papale, avec indulgence !vent p-PP^eab!e ft tous Tes d^unts. » diate- En conséifuence, MM. les Vicaires Capifrï-lispo- laires invitent avec instance ;ies fidèles «ïu Diocèse à communier et à prier très spécia* tty ei lement, le dimanclie 7 mai, aux intentions icaux <3u Souverain Pontife. Cette invitaion leur plus sera transmise, le dimanche 30 avril, et rap-néral pelée le dimanche 7 mai — pour ce qui concerne la Bénédiction papale — au prône du >n fa- la messe paroissiale. je ne MM. les Curés, Supérieurs des séminaire* > aux et institutions ecclésiastiques, et Aiwnôr;ers donneront, immédiatement après la gnmJÔ® itique Messe du dimanche 7 mai, la Bénédiction st en napale, suivant le rite et la formule d^3 îs les Riiuel Romain (V. l'édition diocésaine, p. 233,234). i été Des avis anaJoigues ont été publié?, dans itaire les autres diocèses de France. e ap- — ■ ^ i ! „ ,f. se, et t pas "*"]—! " «1 au VOIR EN DEUXIÈME PAGE : 1(1 Un fac-similé du n' 62 >ar le lémo- de la r ses "Libre Belgique" iplau- Jl irviea » larnu . ^ Die relation intéressante s ie la Bataille fle User ii ces —»o«—— M. Josepli Reinach, qui, sous le psevûo* nyme de Polybe, signe dans le Figaro de remarquables chroniqttes de guerre, ncrus re de communique les bonnes pages d'un volume ; par qu'il fera paraître incessaip.meni sous ,1e ir de titre : « La Guerre sur le front occidental », aux chez l'éditeur F as quelle. 11, rue de Grr-;agés nelle, Paris. Le passage de ce volume rela-i sur tif à la bataille de l'Yser est pou-r nous, oon- Belges, du plus vif intérêt. L'éminet auteur nt la (ies « Commentaires de Polybe » y décrit rvice le rôle héroïque joué par notre armée, ai historien et en ami des Belges, reconnais-• afin sant la part capitale que nos soldats ont prise dans ce grand drame où se joua le groti- sort de la deuxième phase de la guerre, et 'gale- la disproportion entre les forces qu'ils mirent en ligne et le résultat que leur cons-s qui tance et leur valeur obtinrent. Toute notre, qu'à armée, à juste titre jalouse de sa gloire, en is les témoignera gralîlude à Polybe. rmes é ré- X aux çaise Le maréchal French fait commencer la Sliba- bataille des Flandres le 11 octobre, à des Cas combats de cavalerie dans les bois au Nord 'i les du canal d'Aire à Béthune et à l'arrivée les du II" corps sur cette ligne. En réalité, une accalmie relative précéda, comme dans La ai de nature, les grands orages. Le vent se levait Si la et de gros nuages se formaient lentement, •a en Ce calme précurseur, ces préliminaires xmes (11-17 octobre) de la bataille furent génê-is le ralement favorable aux Alliés. Les Franco» r du Anglais ont prolongé la gauche de l'armée^ au Nord d'Arras, sur un front Givenchy-Estaire-Bailleul, en face de Lille ; leur ex- «trème-gauche a atteint Ypres, qui fait saillant, en face de la ligue allemande Menirf Roulers ; plus à gauche, les Belges, sus rche- l'Yser, avec Tes fusiliers marins à Dixrnu-ivait de, petite ville de 4.000 âmes environ, au )h, y j milieu d'une ligne incurvée. Leurs deux di-| vTsions 3e cavalerie sont l'une sur la Lys, ■isco-1 l'autre sur le canal de Terneuzen. 1912. la bataille des Flandres, l'une des plus Samedi 6 Mai 19Î6 „ Le numéro : 10 Centimes (5 CSNTIMSS âU FR0K 7,2 ANNEE. — Sérieiiotr uyelle.—N«53

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique gehört zu der Kategorie Katholieke pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1940.

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