Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1917, 04 Juli. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 30 September 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/br8mc8sk9r/
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S3» ANNELE. — Serb nouvelle. PARIS 3, Place des Deux-Ëcus, 3 Telephone i Central 33-04 PUBLICITÉ S'adresser ó l'Administration du Journal Z,&s petites annonces sont êgalement recues a la Seciété Européenne de Publicity, 10, rue de la Victoire, Paris, qui en a Ie monopole pour Paris. $||fc t-*& T■»■ -* LE HAVRE 28ter , Rue de la Bourse, 28te* Telephone i 04 Beige ABONNEMENTS France 2 fr. SO par moïs — 7 fr. 50 par trimestrd Angleterre .. 2 sh. 6 d. par mots — .. 7 sh. 6 d. par trim. Autres pays. 3 fr. par mois —.9 fr. par trimestre « Le gouvernement républicain fondé en Chine en 1912 vient, — no$i» Tavons dit, — d'etre renversé et i'empereair Pon-Yi, &.%& de 11 ara, replace sur le tróne. Quelleï peuvent être les consequences de cette restauratien, au point de vue de la gueare mondiale? Il semble assez, difficile de les diacerner, car le president depose était partisan da l'Entente Yuan "ohê kaï, au contrail's ,avait été soutfènu par TAllemagne lörequ'il tenta de rétaHir — è son profit — ladïgïiiié impériale. Au début de la guerre, Yuan oha kaï était, au moitos ont été - engagéeè. • 'Xo bataille d'infanterie a fait rage sur IdgW Ie front dè dnquante Mlomètres et elle a été d'une violence éx^ênxs'i^aé.versaire a été BEPOUSSE EN GRANDE PARTIE devant nos tranchées de *prertiière ligne. Les plus vlolentes attaques, eji masses, se sont produites dans le sectaur au sud de Brzezany et de Konjuchy, mais elles ont été repoussées SUB NOS POSITIONS D'ABBET. To-utes les tentatives fflites par l'ennemi pour execute? des attaques dans ce secteur, ce matin, ont échoué avec d» lourdes pertes. Las funéraülés de M. Sdiollaert ont 6u lieu maudi, vraiment belles et imposantes, au milieu d'une atfflueïiee comme SainteAdresse n'elle et de la vacanee du tröne, consécutives a la revolution de septembra 1868. La place était libre a Madrid : aussitöt les Prussiens voulurent la pren'clris', et y installer un Hohenzollern, et Bismarck trouva malheureuseiflent un maréchal prim pour faire son jeu. Que dèmain (et nous esipérons fermement qu'il n'eh Sera pas ainsi) la mönaTchie espagnole succombe, plus d'un maréolial Prim, soit wilitauv, soit civil, se rènóontrera encore, pour se mettire au service de Berlin. Ce n'est pas la seuls le$on que nous devions retenir. De 1873 è 1874, l'Espagne a traverse une période républicaihë qui a été une période anaïch^cfue et dont elle a failli mourir. Castelar, épouvanté de oe qu'il avait vu, disait plus tard : « La République est mortelle pour i'Espagne, mais je ne puis pas le aire, puisque j'en ai été le président. » Akirs, on vit en effet l'Espagne a deux doigts d'une dissolution complete. Les provinces se proclamaient indépendantes. L'insurreotion oantonaliste éclatait k Garthagène tandis que 1'insurrection cariiste éclatait au Nord. Voyez-vous en ce moment-ci, en pleine guetrre européenne, des convulsions pareilles se reproduire en Espagne ? Les soixante mille AlleBiands qui sent la-bas, et e|ui sont tous des agents de Güillaume II, auraient beau jeu a tirer parti &\tm» pareille situation. Les sous-marins, qui déja ne trouvent que trop de commodités sur les cótes espagnples, s'y ravitail leraient en toute libertë, du jour oü il n'y aurait plus dé' surveillance, ©ü il n'y aurait même plus a Madrid un pouvoir central responsible, k qui les Allies pourraient adresser avec efficacité leurs reclamations. Voila, & mmaiTement indiquéec, quel JACQUËS BAINVILLE. ■««"^'UW^ Le general Pétain salue l'arrivée des Américains 6H Franoe Le general Pétain a adressé aux troupes frangaises, l'ordre du jour suivant : 8 Juillet. Demaln, fêtt de Vlndépendanc* des Etats-Vnis, les premières troupes «mèricaines débarquées en France défüerent dans Paris, Elles viendront ensuite neus rejoindre sur le front. Saluons ces nouveaux compagnons d'«rmes, qui, sans arriere-pensee i\e lucre ni de conquête, par simple désir de défendre la cause du droit et de la liberté, vienngnt se' ranger d nos cötés. D'autres se préparent d les suivre qui seront bientót sur notre sol. Les Êtats-Unis entendent mettre d notre disposition, sansc compter leurs soldats, leur or, leurs uslnes, leurs navires. leur pays tout entier. Us veulent payer au centuple la dette dè reconnaissance contractée envers Lafayette et ses comvagncMè. Qu'un seul cri parte en ce 4 juulet de tóus les points du front : Honneur d la Grande Bépublique soeur ! Vivent les Etats-Ünis ! ■ Sous le haut patronaga de M. Poittea£ré, des presidents des Assemblees, des Ministries et du Maréchal .Jeffje, ttn Comité preside par M. Léon Bonnat vient de se óonstituer è, Paris afin d'élever sur Une place pUblïiJie un monument de reognnaissance aux Etats-Unis. Un b&tailloh d'lnfanterie américaine est arrive mardi matin a Paris, oil II doit assister aujourd'hui a la celebration de lanniversaire de Hndépendance des Etats-Unis. II a repu de la population parisienne un aooueil sur lequel nos leoteurs treuveront des détails en tête de 4epage. ~MWV Les CoimuniQués J es Allié ÜSACËÖOINE. — Un avion ennami abatta ITALIC. — Actitité d'artillerie et de pa- 15,000.lprisonniers, 43 canons : TEL EST LIS BÜTIN DES DEUX PREMIERS JOURS DE L'OFFENSIVE EN GALICIE Les nouvelles regues mardi du fr&nt russe montrent que la. victoire du general Bróussiloff se développe avec Venvergutt que faisait prépoir- le communiqué dont nous avons puolié la premiere partit dans noire numero d'hier matin. Les journaux du matin ont publit It debut du premier communiqué russe transmis depuis la revolution. Cette note officielle est un bulletin de victoire. Bappelons id, avant d'en publiet la suite qui nous est parvenue dans la matinee, qu'il annoh$ait la reprise de Voffensive et le brillant succes de nos allies dans la direction de Kovel, dans celle de Zolotchoftj, au sud-est de Brzeszany, ainsi que la capture de 8.300 soldats énneinis et de 164 officiers. Void la suite de ce spletldide communiqué: Lee Allemande et les Tures ent décienché des contre-attaqiies. La possessiondee points varie. ' Au cours de la journée du 1" Juiilei, nous avons fait dans ce secteur 9 officiers, 1.700 Allemands, Autrichiens et Turcs prisonniers. Piusieurs de nos elements ont subi de grandes partes, particulièrement le corps des officiers. ^"t,«"tWTAL DES PRISONNIERS FAif# fcANlTfiÈé COMBATS ÖU 1erJUILLET EST DE 173 OFFICIERS ET PLUS DE 10.000 SOLDATS. NOUS AVONS, EN OUTRE, ENLEVÉ SEPT CANONS ET SEPT MITRAILLEUSES. Front roumain : fusillade. FRONT DU CAUCASE ; SOUS LA PRESSION DE NOS ELEMENTS, LES TURCS SE SONT REPLIES SUR PENDJVIN. NOTRE CAVALERIE, POURSUIVANT LA POURSUITE, A OCCUPÉ LE VILLAGE DE ENQDJ AU NORD DU LAC DERIBAR. NOS TROUPES ONT 0G0UPÉ LE FORT DE KALAMIRAVAN AU SUD EST DU LAC DERIBAR, AINSI QUE LES VILLACES DE ABJKÉN ET DE DEREHUE. Le dirigeable o liia Moutrometz » a lancé des tombes de 18 pouds en arrière de la position ennemie attaquée par nos troupes. Ce même dirigeable a livré cinq combats aériens. Au cours d'un combat aérian avec huit dirigeables ennemis, son commandant, Ie lieutenant Charoff, le capitaine Barbuditch, (e lieutenant Loutz et le eoidat Redko ont été blesses. Malgré une grave blessure, le lieutenant Charoff a ramene le dirigeable jusqu'a sa position et a atterri dans la region deVnos cantonnements. Le communiqué reli&Hf aux operations du 2 juiïlet n'est pas mains remafqultble. Sur les deux premières journées de Voffensive, nes allies rfont pas 'fait- moins de 15.000 prisonniers, et capture 43 canrOm. Officiel. Pétrograd», 3 juillet. FRONT DU SUD. — DANS LA DIRECTION DE ZOLOVIEV. NOTRE ATTAQUE S'EST POURSUIVIE AVEC SUCfJES, AU COURS DE LA JOURNEE D'HIER. Lj. REGIMENT DE ZARAISK l|EST EM-PARE DU VILLAGE DE PRE&OWCE&. NOS TR013-PÉS GLORS'EUèÉs-^AP-PUYË'ÈS PAR UNE DIVISION FINLANDAISE ET UNE DIVISION DE GRIMEE, ONT PRIS D'ASSAUT UNE POSITION ENNEMIE FORTEEV2ENT RETRANGHEE, AU SUD DU VILLAGE OE SBOROF. PRES DU VILLAGE DE LERCHILOF, NOUS AVON8 ENFONCE TROIS LlCNES DE TRANCHEES ENNËMIES. L'ENNEMI A REGULE DERRIERE' LA RIVIERE MOLAIA STRIPA. LES FINLANDAIS ONT FAIT 1.560 PRISONNIERS ET CAPTURE QUATRE CANONS DE TRANCHES ET NEUF LANCE-BOMBES. LA BRIGADE DE ZLOMATSKI A FAIT PRISONNIERS 62 OFFICIERS ET 3.150 SOLDATS ET CAPTURE 15 CANONS AINSI QUE DE NOMBREUX LANCE-BOMBES, DONT LA PLUS GRANDE PARTIE A ETE RETOURNEE CONTRE L'ENNEMI. Dans la direction de Zolovlev, oü nous avons fait, dans les combats precedents, 6.300 prisonniers, officiers et soldats, pris 21 sanons et 16 lance-bombes, les prisonniers continiient a affluer. Dans la region de Brzezany, oü nous avons fait également, au cours des combats precedents, 53 officiers et 2.200 soldats prisonniers, la lutte a diminué de violence,y-ifitelr^'Sur to reste du front : fusillades. BBZZgSXZXtm- -**- CE <&ÜE DIT L'ENNEMI A VIENNE : A BERLIN f Les Russes ont réussi h élargir la brèche Officiel.Berlin, 3 juillet. FRONT LEOPOLD DE BAVIERE. — Entre la Baltique et le Pripet, Vactivité de combat ne s'est intensifiée tttte prés de Rig» et de Smorgon. Sur le Sockod moyen, duel d'artillerie violent. Des attaques russes isolées sur la ligne de KovelLvtik ont échoué avec de lourdes pertes, ainsi qu'au sud de la Slota-Lipa. La bataille a continue en Galicie oriëntale. AU COURS D'UNE ATTAQUE EN MASSE DECLANCHEE SUB LES 7IAÜTEURS DELARIVE OCCID'ENTALE DE LA STRIPA, LES RUSSES ONT REUSSl A ELARGïR DANS LA DlRMCTlOjN. DU NOBD LA BBECHE F AIT E LE JOUR PBECEDENT. L'arrivée de nos réserves a arrêté l'ennemi. Prés de Koujuchy, dans la matinee et dans l'aprèsmiai, des attaques russes sont »«n«C* se briser de&ant nos nouvelles positions ; l'ennemi a souffeb-t de loufdes partes. Plus au sud, l'ennemi n'a pas eu jusdta'te» la force de renouveler ses b&/tqite* contre nos p»sitions dei Jmuteurs prés de Brzezany. -VWVM-" L'OFFENSIVE S'ETENDRA-T-ELLE ? Un vibrant ordre du jour aux troupes du front Quest. Petrogroa, 3 jüÜlftt.^— Le commandant du front ouest a publié l'ordre du jour suivant : L'armée du front sud-oftiest a vaincu l'ennemi et enfoncé ses lignes. Un combat décisif a commence, qui doit decider du sort de la liberté russe. Nos frères du front sud-oueet avancent victorteusement ; i'9 aftendent de nous une prompte assistance ; nous ne serons pas des traitres ; l'ennemi , entendra tonner nos canons. ■I'invoaue l'exemale des trounes du front Paris saluera aujourd'hui de ses acclamations les premiers soldats amêricaïfls venus des Etats-Unis pour prendre leur part de Veffort-qui doit achfier d'abattre l'Allemagne. Les Belqes qui se mèleront A cette occasion d la population parisienne ne seront pas les moins empresses d fêtet ces nouveaux allies. Ils savent trop combien les Etats-Unis ont pris d cceur la cause beige et de quelle dme ils ont jure de rendre d ia Belgique dans l'Èurope de demain la place que méritent l'héroïsme de nos soldats et le patriotisme de nos populations opprimées. Il suffirait de feuilleter la collection, du XX' Siècle pour retrouver par duaines des declarations des Roosevelt, des Elihu Boot, des Josiah Boyce, de bien d'autres qitimontrent que la violation dp la neutralité de la Belgique a été le point de depart et la cause déterminante de cette evolution qui a conduit les Etats-Unis de la neutralité bienveülante d l'alliance qui fait grincer de rage et de peur les Allemands aux abois. Dès le mois de septembre 1914, le piriC sident Wilson accueillait les envoyês de la Belgique avec une sympathie qui avait touche tous les Belges. Depuis tors, IHIlustre homme d'Etat a formule en des term.es venqeurs le verdict de la conidenc» universeile sur le crime de VAÏlemagne contre notre pays. o Nous ne pouvons pas rester neutre» vis-d-vis des bourreaux de la Belgique », disait $ y a quelques mois le professeur Josiah Boyce de VÜniversité Harvard. Aujourd'hui, c'est tout le peüple amért* cain qui répète cete parole et qui t^enf Vécrire en Europe d la pointe de l'êpie, montrant A l'Allemagne, suivant la parole d'un grana Américain d un de nos cóüaoorateurs, qu'il place ailleurs que dans la caos*e au dollar le. vrai sens d» la vie. Cest de cela que les Belges tiennent^ & remerder aujourd'hui leurs grands allies en même temps qu'ils leur iüent leur impérissable gratitude pour l'aide généreuse apportée d leurs misères. Ces sentiments sont ceux de tous let Belges. Pèrsonne, peut-ètre, n'en a recu phis de preuves que M. Brand .Withlockg ce tèmoin du martyre ietge qui prendre la parole aujourd'hui au rwm des EtatsUnis eevant le tombeau de Lafayette. Le grand diplomate américain & qui notre pays doit tant de reconnaissance sait que nous:sommes let interpreter, ie A êouf nü^r'^êt^Jg-''én-xrcctt&Sfori*' w:4®wr-^»---■-■-■-,■ ffhui le premier/baïaillon de Varmee 'Alt general Pershing au cri de : n Vivent le» EtatsUnis ! » LA MISSION BELCE ACOLAMEE A CHICAGO New-York, 3 Juillet. •— La mission balf» a été, hier, a Chicago, 1'objet dune manifestation enthousiaste. Elle a êt'É recus par uhe commission ayant^ii sa Wte le major Thompson. La mission qlttittera aujourd'hui Chicago'jm peur se rendre a Milwaukee. (Radio.) Victim» de la guerre, Frans Schollaeïf en est assurément une. Il aimait son pays ds l'amour calm» et profond du terrien : par ces liensf mystérieux que la vie rena d» ptois en plus étreits, sott cceuï" trémi attaché 4 la Gampine eü il allait retremper sen énergie cUaqü* fois que ra«co$*» pldssement des nombreux devoirs qu'il Svait assumes lui laissait un instant OS répit; sen eeeur s'était attaché teut aussi profondément a sa viUe de Louvain oü la familie ds sa mare avaitv avant l*y., occupe une haute situation. La gn&rre est venue l'arracher du cadre qui fut celui de toute sa vis et porter la devastation dans ces v&ages qu'il connaissait si Men. dans cette cité qui était son orgueiL L'inexpiable eiime dont Leuvain fut le theatre l'atteignit dans ses -fibres les plus secretes et altera une «ante déjè ébranlée. An Havre, nous vimes la maladie le miner progreSsivement. L'espolr de revoir cette ^Belgique aimée le soutinf longtemps et faida a supporter les plus crueues souffrances i maïs le mal trioeapha & la Le nom de Frans Schollaert est intamement lié aux événements publics ds cea Vingt-ciiiq dernières années. Le pam catholique perd en m. 'tm de ses chefs les plus respectés, un homme d'oeuvres qüi fut entre tous un réalisatefir; sa foi religieuse lui donna de la vie une conception austere, qui fit de lui le satviteur de tous. Secrétaire, ensuite président de TAssociation conservatrice de Louvain, Présidentdu Comité des Ecoles adoptables, fondateur, avec M. Helleputte, du «Boerenbond» et de la Gilde des Métiers et Négoceéj secrétaire des Congirès de Ma. Tines, il fit preuve dans ces domaines vai Ties de l'activité sociale, des feautes quaj lités de dévouement et d'abnégation aul furent la reale de\ cette noble existence. Il fut de ceux oui donnèrent a la kbert* de l'enseignement sa fl»rai«on la plus touffu* ; ia direction des CEuvres Scolaires de Louvain f et sa taehe twAférée ; 1]

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