Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 02 Februar. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 18 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/w08w951t3p/
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22e ANNÉE. — Série nouvelle,—N* 41 - rm. oauaKSSa « M M»SI« Ms3fr«*»A/1t 9. "P^v^ler f Qî RÉDACTION & ADMINISTRATIF! S te m & ls BiifU — LE BATEE Téléphone : Le Havro tr 14.05 Si?s€lsur : FlEHâîfS HUM? fQjites vus communications concerr.an la rédaction doivent être adressée de la Bourse^Le Havre* LONDON OFFÎCEs gljPanton Sireot (Leicester Square s.w)« LE XXe SIÈCLE ABONNEMENTS B?!&| Frano# 2 fr. 53 par moiâ. [j|||a » 7 fr. 50 par tPlrt>»StP Anglotorro.... 2 9h. 6 <i. par mois. » 7 3h. 3 i. par tri naît Autres pays.. 3 fr. » par m3i3. » o • 8 f>. » par trioiQ3t ^ PUBLICITÉ É5'a£fress«r à l'Administration du fourni au Havro ou à Londres AinDii333 4' plis» Ofr. 4) la U-pa Pjtitos aifi3/iae34* P133: Ofr.33ialtg &es PCM'9 annonces sont égalerai re< (ic+ ù la Société Européenne d.* Put cité, 10. ru.' **l(l V'"'oirct l'arts, qui rw^tsrs^ira hftÊne oaraissaot au Havre I i LES PILLAIS AO PILORI. KO»-"-* I Comment "ils" respectent leur par! ■ on n'en est plus à s'étonner. dp voir I ■ MlematSlft les conventions internat ■ taies w renier leura engagements. Il est b ■ (wns.iidiaiit ûe signaler toutes lœ imqti.t I ,«i ils commentent ; or, il en est une qui £ ■ i&t ne pas avoir été révélée ici et que rarr I .ip, mémoire la nouvelle contribution ■ aùarre imposée à la Be-gique. ■ l/x'sqpe l'occupant exigoa pour la p: I rOèa; foie, d'un peuple ruiné et rançon I nar lw, la somme énorme de 480 rmll.os ■ a' rniit l'engagement (Je ne pas lever .d'au: ■ mifiôt (te Kjiawe si ce n'est pour punition ■ méfaits oommis contre l'armée alterna™ ■ Tijm se fît pas faute d'user et même (l'ai H œr de cette restriction; mais de plus il 11 I rfsmttt la promesse qu'il avait faite en i ■ teunoaiïi, «u profit de l'armée, des somn ■ cm aurafcï't dû servir à l'administration ■ (snriloire occupé. I Dès te début d'août 1014, le gauvernOTi< ■ to'sc avait défendu l'exportation de certe ■ inKKtets, notamment des chevaux, et ce ■ &b««aan faut mainientue par le gouver: ■ mtoat atfcmarad. Les infractions a ces tir ■ (:M aooB^taflwt Ses dlé»Hs douaniers, i I vîfèai être réprimés d'après le droit pet I Mrftalier flra règle la matière. Il ea I ainsi pindant un certain temps. Mats, I beau jour, des militaires allemands fur ■ tïiûisfe à la constatation d'uine contraveniti I ils steiparcrewt dos chevaux qui avaient I saisis h la frontière et, malgré les rôdai I lions de. l'administration des douanes, I Aïn.gère.nl de restituer les animaux ou d I ramer ta valeur estimative, Ils trouvèr H J'oniratifiB si fructueuse Qu'ils la renou I flfeià à différentes reprises; puis, im[ I teit'-s par fce réclamations justifiées de I (toGsaa, ils érigèrent cetto pratique en s I taie définitif. Lé gou verneur général prît, en etlet, I arrête édictant que toutes les infraotii I aux prehibifoins d'exportation seraicmt I gées par les tribunaux mà'4tairt» et qut I moéuil des. amendes et des confiscati I nTvr.ortcées serait versé dans tes caisses I l'année allemande. L'arrêté renforçait I peines ordinaires et devait Cire appU I non seulement aux contraventions qui I tt'aieri constatées dans l'avenir, mais en< I ù cStès qiîi avaient été relevées et dont I tebanaux n'étaient pas encore ssiscs. Il eût été difficile de réunir an un t( I plus d'illiégaliléB. La Constitution \ I «ji'auou.ti .Belge' ne sait dfefcr<dt comtre I $rt dit juge que la loi lui assigne et la C I YO.-.iiad "d'î La Haye S décidé mie ï'udrai I (raton du territoire occupé dioii avoir 1 I sauf est. cas d'e nécessité absolue, d'aï I Ses lois en vigueur. Les tribunaux cor I tioMids ôi&icnt régulièrement dùs'igïiés I la toi diouensère pour oonnaitre des lof I Sens aux prohibitions d'exportation, et I eu-pposaiiû tai|e la fréquence des "délite ji I <iàt des oaneiians plus sévères, il n'( H ratMemoiit nécessaire d'enlever la jnridic I tte ces délits aux tribunaux ordtiKuras [ I Katiriiiisr aux tribunauux milîtiaire's c I inanris. On pourrait donc renouveler I {(ras les argumeûjs que M. 'lliéodor, te < I (cageux b&ionmer du baiTéau de Bruxe I a soulevés contre les tribunaux d'exeep I e!) matière de loyer. Mais ce a'est* pas tout. En visant nrv I Ses délits déjà oommis, l'orrété méiccaui I sait 1e g.ra«l -principe de la nioii-i'étroaçt: I des lois qui, en matière pénale, est d'a.| I oaltav pgouremse. De plus, en ordom I çàe le produit des amendes et canfiaoa.t; I >'?erioœées serait, versé dans l'es caisseï ■ .i'arméo affièmande, il établissait, en réa I ccrairairement à l'enga:gemenl pris, une i I \"alle oantebution de guerre; comme fou I des tonds à une armée belligérante conat I Hœe vorikilile opération de guerre, il vi< K cncoMs la Convention de La Haye qui dé: I d'oj>lig£r les popula fions ù prendre pa. I ces epérailoins de guerre contre leur pa Eafin oette irtesure biessait d'autant i Ejos tajotïônnaires des douanes dans I conscience et leur patrioiisme qu'ils avo I fcésîté loii<!t<jmps à reprendre leur ser I (f:t qu'ils ne s'y étaient résignés que su [ fvromesse formelle, faite par l'occuf I d'emipJoyer inlégratement les fonds re I nnpé ^ territoire Nous croyons savoir qiue tes fonc I maires compétents ont protesté très én« I <(uemenl contre la mesure en question. I ont d«nc fait tant leur devoir et on ne I 'ouïr adresser asicitn reproche. Mais ih I fenrierat anos doute encore la réponse I gouverneur général... I IVélioss pas les héros des p?@mi§fës klsiil ■ • nôoejnrrient, uq confrère français a> I sait cet ap-p©! aux autorités militaires. E' 1 : fi > commentait en ces termes : « Ils sont légion les combattants des I miènes semaines (lo la guerre qui tnav I vent ces heures difficiles et héroïques i K 'toutojj, se signalèrent par maintes ac I d'éclat, et qui en sont encore à attend I réoompense légitime de leur courage I leur dévouement, commençant môme à K ter sérieusement qu'elle vienne jamais t considérations s'appliquent de manièn I solue ô, ceux de nos braves qui ont conL I depuis Liège. H L'institution de la croix de guerre K nous est d'époque récente, c'est entendi Cependant, la valeur dont firent pireu\ B combattauts d'alors ne le cède en ri i celle dont témoignèrent plus tard nos c B rades p'uc< heureux en des heures de si I moins tragiques et moins poignantes qu i 'lcs Quo nous avons vécues. I Combien des nôtres ont mérité mille K pour une Cette distinction qu'ils attei [ cri0°re ' t<eur héroïsme a été constaté, | ceux qui pourraient en témoigner sont t< I plus tard, victimes du leur, ou bien or I dispersas dans d'autres corps de troup K hasard des formations nouvelles. Et le £ I quartier général et le ministère ne con I sent que l^s propositions hiérarchiques ■ a là un oubU qu'il faut réparer p^-rce I coR8tit\ierait une injustice. — On annonce à Londres qu'en r f des aifficiUiés que fait lu Suède les H postaux (îestin;''s h bi P.ussie. h la Rr _ 'in peuple qui compret •fi La Norvège s'inquiète de la garant e6 illusoire des puissances .0- Jll ~ ,a. Quand, en 1907, la Norvègo so sépara ,el K Suède, olle obtint des grandos puiss Jje ces — Grande-Bretagne, l'rance, Bussû Allemagno — un traité garantissant. : .e_ inuigrite territoriale ; en retour, eiie s'ei n(, gagea à no faire de concession territor ^ à aucune puissance sans l'autorisation j.g garants. de Ce traité met la Norvège, au point do le. international, dans une situation qui i ml pelle par plus d'un côté , le régime do r trulité garantie qui avait été iimposé h ni PS pays par le traité de 1S39. llii 'membre ic? parlement norvégien, M. Sigurd Ibsen, iXu clarait l'autro jour sans ambages que régime empêche la Norvège de jouir int tons ses droits de nation libro. 'ns Aussi l'opinion norvégienne, à la lum tte de^ derniers événements, s'est-eUc insui le- "r>ntr,e cps entr^v^s. Le « ■ rô- fanvier nous anprend que le statut în le- national de la Norvège est devenu fort ml nomùaire, et rru'un mouvement puiw [ut s'est manifesté en faveur de sfm abolit un Préeisérriont. Ip iraité de 1007 <W{ e •nt rer le fi février 191R : il se renouvellera a m. automatiquement pour dix ans s'il n'est été dénoncé doux armées h l'avant : (Vit lia- quelques jours. îa Norvège doit don( ils hiyytnnp^r snr sa destinée. 'en Le débuté Ibsen, dont nous venons d< an»t ter l'oninion. a prît* la iéfe du n'i^ive-rr ve- auqu^il se sont TMiKi^ruement r«yi^s or- îo.q dénulés soeîa.ltsfes, et il noRern in la snmment f/i rmeaffon devant le Parler ys- en séanc-p secrète. On croit mie le gouvernement s'onno un à ,^n dénor etstînn du traité : î] eraint mi )ns geste ne soit mal' interprété dans les ju- eonstatices actuelles, et on prévoit qu te Norvège vivra dix nouvelles années ; >n.ç ie régime illusoire des garanties. de Mais ce revirement dans l'opinion ne les gienne est une indication oour nous, juc Scandinaves, natures froides, réfléol sc* mrlî&ment emballées, n'ont pas attend <Jre années d'indépendance pour être édifiés les ]n valeur des traitas et les inennvén^ du vreu de neutralité perpétuelle. T .a f?r; ; .9 guerre aura évidemment achevé len^ victîon. on rouvrant î^urs voux de fnrer pon h spectneïe du forfait austro-aliernan ****' dp nrw m-alf^nrs inaf^nd^is. UlS- {émnms lointains et nidler énrnuvés du f^a-nd drnmp en firent très eonrînsmn oui îmT h Iftiir v«e natîonnÎA. nno"p Tpoon T>enr r nflvq d^nt lo« niinps fumnntes et le or" de w'IbVrs de tombes iporten isti- r1 ncvs Wn-sions et de notre confia lion Ou Ponl-Euxin JCHU- au Golfe Persiqi tion »o<( sme Le feu do la guerre est allumé pa ais- dans le vaste pays qui fut le bereeài monde. Ce pays, c'est la formidable basaltique que bornent la Mer Noire i Caspienne et l'immense plaine limoneuï ons Tigre et de l'Euphrate. , jg Los Russes, descendus du Caucase pa ljl£ routes de Kars et d'Urivan, soni parv lou] aujouixl'hul, aprè3 des fortunes divers nnjj. prendre pied sur le plateau d'Arménie, i ^ e la région d'iirzerourn et le lac Van. En )]gi( son immédiate avec oette vigoureuse c 'end s've' d'autres troupes russes opère! x Perse où eUes occupent syatématiqueme Irie PaySi suivant la rnétiiodè classique qui nlus guère, leur réussit si bien au T'urkesU L ,r sans y rencontrer l'hostilité farouche leur opposèrent là les tribus belliqueuse vj'' kiians de Boukliara et de Kliiva. Seul; _ i„ Kiiurdes de la région frontière, sur les an( du lac Ourmia, mènent une guerre de ] c/' sans, mais qui sera sans doute réduite i oc] quelques sévères expéditions. Au reste, sentiel est la poussée russe autour d' inrir roum et cette poussée se poursuit, senubl -rui- avec un .succès croissant, tant par le ' f]" que par le sud. Les Turcs répandent le -pj.» que coite forteresse, qui n'était ava f _f guerre qu'une bicoque, a été puissam ' ,.r organisée par le système des tranchée* fils de fer et des batteries mobiles. C'est possible, comme il est possible aussi qi Russes en soient réduits, s'ils parvienn investir Erzeroum, à en faire le siège lier. Mais Erzeroum investi, c'est yi t nc^d, la route de Trèbizoïide fermt '3 ; Trè.bizonde, le grand port turc du Poi xin par où toute l'armée ottomane d7 nie se ravitaillait jusqu'ici ; — c'est l'ouest la chaussée'de Kharpout ouverte ires- Kharpout, c'est le cœur même du payi . il le peuplé d'où le gouvernements turc tiJ meilleures troupes.-pj.e. Trèbizonde,. Erzeroum, Mossoul, Bn ep3e- Kut-ol-Amara, Bassorah, ce sent, sur u sntire "nc à peu près droitfc tirée du nord au lions les points stratégiques de la Mer Noi -e la Golfe Porsique. Los Russes menacent de roum et Trèbizonde ; les Anglais occ dou- Bassorah et Kut-el-Amara et ont m< CeS Bagdad ; les affaires des Russes sont . aij- blement plus avancées que celles de }attu glais, dont les forces sont arrêtées pk core par les inondations du Tigre que p chez buonnetles turques. Mais, quoi qu il en soit, il y a là en / e les nie et en Mésopetamie, de tels périls pi en a Crawl Turc, une l'on peut douter que i^ma- ci nourrisse aussi les vastes desseins qu îccès tains lui prêtent encore complaisamme » Mil suiet de l'Egvptc et de la Macédoine. Paul CHOKAE fois ident mais >mbé la revolution en chine it été 1)0(( M au Uile dépêche de Moukden dit que le [rand hre des insurgés mongols s'est augi nais'r des 20,000 homm.es de l'armée de Hni-1 " y Chen, abondamment pourvus de i qu'il tion3. Les insurgés possèdent douz< rvon=>. deux mitra'Ui'uses et nnt h leu l'ancien tao-taï rte Hui-llui-Fou. Ils aison nnont leur marche sur PéVin. colis [T.e mouvement insurreelionnel des nmn. anU ne rt^it r-ns être osrthfmsihl nwc il La lettre de lepiscopat belge à i'éniscfin&t allemand ie ~ r ? . maintenant en mesure de fournir les deux brochures contenant l'une en h texte de la lettre de t'êpiscopat belge à l'épuco- PCI'! Chacune'de ces deux brochures de 32 'rages est mise en vente dans nos bureaux d0 au pri e de 0 {r 10 l'exemplaire. Envoi fran-co contre 0 fr. 20 en timbres-poste à an- minÀîtraJinn du *ownal *28 ter, rue de la Bourse, Le Havre. f - •szspfi Wesgffi®» maBrœrziï£ des M! LES Ll's'pàlX PAR QUANTITÉ. Les deux éditions Iran vue Zrées à raison de 8 FRANCS LE CENT, port non corn- Su- ^Adresser tes demandes avec mandat postal au bureau du Journal au Havre oi à Londres. U u dé- £ lis H^llanâsls eî \'$ïàm ^ è lor-le-Bno 1er- irn" UÎ5 JOURNAL HOLLANDAIS AVOUÎ QU'ON VEUT EMPECHc-R LE FONCTIL mr!- NEMENT DE NOTRE T. S. F. în!^ Un journal hollandais, le « Dagblad- y nZ Zuid Uolland », dana son numéro du 1J y ,P f vier, reconnaît quo le gouvernement hc. .1 ;'ais a entouré l'enclave beige de Baa-le-L ' d'un réseau de œnoos artificielles, devant , .qruel des patrouilles montent la garde. ' » Les autorités militau'es, écrit-il, -■' ■ » empêcher dans cette partie de territoire ( tûioe l'introduction (te tout ce qui poun CM*l sertir à ta Wlégraplùe sans fil : on sait ( ient T(S belges oat établi depuis iongicmps i spnî station de T. S. F. sur lo tonitorre de B °ci> Que les lioliandais sun'ciilsnt le tatfjsp d'a d« appjrfils do T. S. F. sur-leur ternto jous c'est incontestablement leur droit,mais r Me voyons pas comment, cela pourrait u rvé- lier ici mesures que ie correspondant T.ps <i Croix » a dénoncées. S "Simples rajppoèeatiits inde !)0K °s,"r SN LISANT LE « VRIJ BELGIE » là Dans l'anticlc qui a reitdu son nom ■ . maux, le )> Von do Perre avait.écrit au oenl qische Staridaard, a la Sterrt ttit E « nvpr. Vrij Belgiù les lignes suivantes . •*r',p « SI LA BELGIQUE ADHÈRE auj> '"'T d'tiui AU PACTE DE LONDRES, .aj pique déclare par là qu el.e agit en : Ie. hors dui droit, qu'elle renonco à sa r ■\ce ! tra ilté En d'autres termes, Cl DONNE AUX ALLEMANDS 1-E DR; DE NOUS TRAliER EN ENNL, aussi aii Congrès de la pa..x. » Dans Vrij Belgia du 14 janvier, M. Fr .. _ Van Cauwe.aert, qui était venu tout ce s Li© à'ia rescousse die son ooilègu' du b.i« o vers lui a consacré un. nouvel article nous' lisons notamment ceci à propos a lto,< telltre de M. Melof au XX^S oc-e : , du « Cette lettre ne prouve pas et ne t 3rète pas à prouver que la Ge-g >t la «toit adlièm- au pacte de Lo.ki edu M. Melot le dit expressément. Ma. veut seulement mettre en lumière _ ries LA URLGIQUE, VIS-A-VIS d£ L enus OîMAGNE ET DE >s à HAIT LE DROIT DE PROCEDEJ :n.tre CETTE DEMARCHE B.en, ma:sil liai- SONNE N'A CC1N TESTE CE J- Rt ■ffon- PAS MÊME LE Dr VAN DE PERR 11 e" O lumières ! O logique !... nt le 5, , na- '*■ " ,, . in et Dans lo même numéro du 14 janvier, que. Bekjïë a publié uni article dont voici la j des duction Lttèrale : \ les Triste mentalité. Srf Vrij BelgUi a déjà protesté avec f iprès eo'U'tre le fait que .es feuil.es fia l'es- be.ges ne la.sseot échapper aucune Erze- casion de suspecter dans leur pa e-Lil tisme nos hommes les plus mérit nord dès qu'ils sont Flamands. Jades, il ei bruit ainsi pour Louus Franck et mainte] nt la pour Camike Huysmarns. ment » C.o:iitre Càmi.le Huysmans, .e ba des mené uar la Métropole qui s est u.'i bien cuée dans l'œuvre des insinua liens ie les puis lie diêbiit do la guerre, mais d au snt à feuilles ont emboîté te pas sans vc rêgu ■ gne. L'occasion est trouvée dans 1 i >rs le vée de M. Huysmasœ à La Haye ( «, — çout^rve la charge de sécréta™ du l-Eu- reaui socialiste internat .nal. La M* smé- pôle donne à entendre que Cai vers Iluysmans a obtenu de la komman ■ or 'un- allemande toutes les lacil.tes p très Mes peur s'établir à La Haye el 'e ses pourrait bien trndre la mam à ia lion' impérialiste parmi les social :dad, allemands. ,, ne li >1 Nous De défendrons pas M. Cai sud, Huysmans pnr des mots. Quand il re au rira compte, après la guerre, de ses < Unie- de service de membre, du conseil i .ipent miïKil dé Rraxelles, il apparaîtra inacé n'a besoin d'auciiue plaid -ine. Que nota- agresseurs veillent seulement à ce î An- tes leurs puissent entrer en baln.uo s en- ,1 11 est assez connu que M.IIuysn ir les n'a rien de commun flans ses senlur avec '.e groupe SchcVlemann, mais Limé- a Fac't bea.uK'oup powr.éc.'iasi'er comf '.ur le riient le gr >up<? Haase-Liebknechl si ce^ii-. que les Allemands ont fait en Relp e cer- ot sur l'opinion exacte de noire peu nt au çe en quoi il. a rendu à cet égan grand service à notit pays. RT_ Aussi, M. Huysmons peuit-H la passer en paix ces attaques. Mais ci — prouve encore "qup 'quelques journal écrivant ti-ar»eais ne sont pas encore ris de leur petit esprit et dé leur lég d'autrefois. »; .-nom- Battons notre coulpe et recoftciaiissonf nenté t'orgar.r de MM. Frâns Van Cauwelne tunn- Julius Hoste junior a fait preuve. de iar nuni- .'i^ vues et do sagacité... i ca- * r tWe ' a. . ennti- Non» avons vainement cbci dans "Bclgis du £1 janvier un mot du S! cours Mon- w»VV. a i congrès d'Arnihem pur M. Ca la vf" llussiiians, di^emifa don>! le. compte r fm ûî paix slparlc, im if piix feltli tXWWWWW Elts serait courto ci Lien tôt suivie jsj, d'une guerre pire encore Que la préseï an N-ous avons signalé hier des déclaratif m- énergiques de M. Sazonow aux représ m- tant de 'a presse de Pétrograd. lue Tl faut reproduire, d'après le « Temp iç- du 31 janvier des paroles partieulièrenit impressionnantes du m.nistre des affai int étrangères russes au sujet des tentai! Aô- austro-allemandes pour obtenir une p, ait séparée, tentatives reprises encore -tout [ue cviniment : mo « Toutes ces tentatives,a dit M. Sazom ar- étaient telles qu'il est impossible do d qu elles aient été déclinées ; nous les av< orî toutes laissées sajus réponse. Une paix re, paréo est en effet impossible pour çha< >us tîes alliés, car indépendamment des iï sti- rôts Vitanx des alliés qui veulent la li la à outrance, aucun "homme politique c pays alliés ne se risquerait à trahir les s timents d'honneur et do devoir et à ren cer aux promesses et aux déclarations lennelles. D'ailleurs aucun Etat allié pourrait souscrire une paix séparée, p< cette raison aussi qu'un pareil acte é< vaudrait à la ruine de sa situation in nationale et par conséquent à la faillite fo lit'que • la lutte sera donc poursuivie ; i j qu'à la fin, car il est indispensable de ci ïi do., ndit'wts qui permetrtat àjoj» ••. o.ts o Oi^ani-ser leur vie politique na nale indépendamment des caprices et ur- ambitions des puissances centrales : il f Jel- qne l'Allemagne soit rendue inoffensivi de- - Au moment même où M. Sazonow di tcu- a-insi pourquoi aucun des alliés ne v LA S 'User à une paix séparée, lord Hoseîx 31T l'ancien premier ministre anglais însis >11S dans un discours prononcé à Ed:mbo sur la nécessité de iio pas consentir à ans pa ix prématurée. liie c il n'y a qu'une cIiopc que ie craigne î An- fois, dil-sait lord Rosebeipy,* c'est nu», i>r.< où commenceront nos victoires, quelques i la blés d'esprit ne se mettent à crier, c nous, pour réclamer une paix prenait end làouMè serait courte et bientôt suivie d' oue. Q verre pire encore que io prÇsenle. res. " ^Msfons-njous tous dans la résolu s {\ (le n'épargner aucun effort pour aboi'ré que lr sf}l fyrafas prussiens assoiffés de s et pour ne jamais {aire un geste en !a\ d'une poix hâtive ! » ^ Pas de paix séparée, pas de paix hû1 EH- tel est le mot d'ordre unanime de tous >l'f, alliés et c'est 1^ ce qui angoisse le ; E. » l'Allemagne. LËSFAITSDUJOU tra- »o« lœs annexionnistes allemands çontin; leur campagne. La Deutsche Tageszciil vient cle imtblicr un nouvel article du cc jrce Revenllow réclamant l'annexion de la :ko- gique à l'Empire. OC- vwwwvwvw 'Ir''t, Lcs relations diplomatiques entre i Il lemagne et les Etats-Unis ne paraissent |f! s'améliorer. Tandis </«« la presse allev de déclare les propositions de M. Lan , inacceptables, les cercles officiels de V Ivtnglon laissent deviner un ullima * don) le retour de voyage de M. Wi , marquerait prochainement l'échéance, est plus ou moins renseigné sur l'opi r" au peuple américain par vn discours d• James Reek, ancien attorney général o "i République, qui a déclaré : « Pour les E .Du- Unis, il n'y a qu'une alternative : ri :'.™' dans la neutralité ou se joindre aux Ai 'J1110 La prochaine élection présidentielle j.D bien montrer que le pays est favérab ,1:vi une participation à la lutte. » ;i'! 1 rar, &tes Autant que les négociations pèrille de Washington, la politique roumaine niile occupe les empires du centre. Conim ren- campaj'nc <Ç intimidation menée pa i Hats chancelleries n'a pas eu prise sur Ai. »in- tiiuio, on en vient aux menaces ouve ipi'it <• Le mieux pour l Allemagne, écrit 'su. Deuitsclie Tages Zeitung, serait d'agir t que ois de la Roumanie comme la Eraiu l'Angleterre 'le loin pour la Grâce. » M lans D ir'ièïc.. Nouvelles de Munich, coni enits tant l'article du Bertlnar Tageb.att que nu i! ims hier, el gui est vn vëritabl ■ele- d'alarme, écrivent que la Roum ir cc demeurera neutre t'ont que dureront icme succès des armées austro-allemandes. pie ; R est certain que le point de vue rou: 1 ur, cause autant de souci à Sofia qu'à Bi Le gouvernement bulgare vient d'être < sser ■qriableme.nl impressionné, dil-bn. pa , cas brusque rupture des négociations enge st s au sujet du transit en territoire bm aiié- des marchandises destinées à la Roum Jeté Ou apprend que les délégués roumain; quitté Sofia ri son! rentrés à Bucarest tendons néanmoins des éclaircissen f?îf: avant d'apprécier. l/i population italienne continue à r lester avec énergie sa volonté de con la guerre jusqu'à la victoire. M. Sala Vrij vient d'être l'objtel d'ovations enlhou pro- tes à Turin où il s'était rendu pour y v faille ides hôpitaux militaires. Le prèsiden •■ndn Conseil a prononcé un discours oi' il r:. . t .... . f „ tvlnmrki, a r! ^ c nr Uil J 4U» * I Bb braies pelits gosses.. l/vwvwwf Ers liiîîDire î^Eleale pi loofra mM les Mm ainenl leurs ssiëgts —o—* * loin de s'affaiblir soua la dominatio allemande, le sentiment patriotique s'avi. et s'affermit de .plus en plus en Belgiqu eiaviatiie. Chaque jour nous en apporte d neuveau témoignage. On nous communiqu un extrait d'une lettre qui vient d'ètr adressée à un de nos soldats et quo nou sommes heureux do reproduire ici' : — c [I faut que jo vous raconte une Liston quii est très vraie et qui voîijs divertira dons 1' marnants teiTibles qu.; nous passons, Tro g-i'&ws de ..... à peine de 12 ar.s, oi voulu '^sser la frontière pour s'engager dai a, l'armée de nos braves. Le fila du . était !§ c!tef (lie bandé. Sous [Jétevle de faire visite • ' s.>n cjicïie de ..., il était allé taire la reconnai uiiiice des lieux afin de trouver l'endroit moins dansoreux pour .s'ochapjier de la Bc gique. Qu'en ditee-vous î Quel futup général lie lieau commencemert. Revenu chez loi il ét t) ira avec ses deux compagnons die guene l-pian de campagne. 11 fut convenu que le jo; ins du départ ocrait le jour où l'un d'eux, criai jn. de ohuiiir, aurait reçu la solde du curé : le fi du ... l'attendrait gpus lo porche de l'énlis muni dn sa tire-lire ; le troisième devait enlev 3 ,} (nôoeasité fait lpi : terribie adage) l'argent qi un soài père avait soigneusement mis de côté ooi res payer deu<c petits sacs «l'engrais Ch.sniques. i ,'es les VQilà en route, -sans tambour ni IromiicU lix poseédai't ù eux trois la, tovtUQ* rondelette ( rA -douas francs et des oentlmes. Jugez de l'émoi des parents vers l'heure < midi', en ne voyant pas revenir leurs chers e IV.', fjdJô de l'école. Dos roeiioix^ies fiévreuses, ma ire var ies, furent faites de tmis côtés. Voilà q ms lo péra .... on se rendant dans uu endroit i cn5. tiré, y trouve un. petit billet, de la main (le s< ,1Tt [ils, avec ces mots laconiques : « WC'Ost ni rr teng : wij gaan naar het front over Knglan 'té- Ailes voor (iod en Vaderland ». Dare-dare, t itto prévient iior téléphone tes pustfâs de la fro les tiére et un soldat cueille les braves enfants : eu- moment môme oii ils allaient passer en Iï< nn lande. « Vous êtes do ...1 — Non. répondit chef de ta bande. — Vous vous appelez .. so- __ Qui mais nous ne sommes pas do .... r-° Cdwliàts au poste, ils ont été oopieuseme lur grondés. ILs niétaient pas du tout à leur ail lui- ce qui ae comprend foî-t bien. Mais quand [or- même soldat les eut ranusiés chez eux et c _n dit aux "pai^ents : « Uat zijn nie jonge voeierL: "u- tiers; ik vvou dat hel demijne vvaren », alors ' ^ us- refiles tittes intelligentes se redrœsèrent fié: éer mort o-t les parents, ptourant dé joie, ne nriix ies a rim inais ils firent promeitro à lotus- Ross ïïô- ~3b lie pi'us recMnifralew oa jeu. Ntible jeu d^g cambial ptMotiquo I Quelle ndm rable leç oMf pour tes lèeut-res (lui vont se présenter tous mois et sans honte au meMe-amt allemand (< " gommé à juste titre pair la population « Sait Hs'.der.-oimt »). — toi finit Pliistoiro. Mais vc .eut u.;' mot typique du même chef de. bande. Il v r v queilqufis semaines, un de ses couvris. iV-'.' f ' : i 16 ans, préféra p asser la frontière et se ren( ,v~„ il 1"1 ser piutôt que de se présenter au liekl. 111 i' Cini'. Notre gosse se lamenta de n'uvoir pu l'une oamsiagp.fr et dit : « Waarom lveeft mij Jef < niet gezçgd. Ik bad zoo geerne meegegaon. ber, neg te klein om te seliieton : maar Jef ton iiet zooveel te tietoi' en ik hnd hem heel ef que de eartou.iies k un.Tien helpen aan~te geven ( lai- 2e rapper. af te lappeir, •».- Pas mal, n'est-ce hez et l«.ge . pur sang, au poss.ble. ivée Je n'id aucune nouvelle îniêrèsoianto cone ,[rtr nant ... Tout v est d'un, calme (plat ! U> se nuiïo part du monde au café ! Ijï dimaiw fait exception, et erenie t U v a loin d'anta linn Espérons en des temps meilleurs et reven sur nous le plus vite possible, après uno paix 01 anq RIEUSE I Comme nous allons vous • hoyer, vo •eur vos braves, lés sauveurs de notro Befigi" cliéi-ie. .Après oette terrible plui», uel b< ,vp temps. Courage donc, mes ciiers, courage I ' teaiez-vous oien... », les >ius fjes voilà bien, ces enfanta de Deigiq qui, nourris du réoit des glorieux faits d'< mas de nos solda.ts, voudraient partager te F, vie et, trop petits pour faire le coup de f< ' voudra:ant tout au moins alléf-jr la tâc II . de leurs alniés, on leur passa*-, les cart( ches. tent La lettre que nous venons d» puMicr ®ng {t'aàlteurs intéressante à plus d'un point mie vulà l'^s serelameints que les enfants êpn Bel- vent viennent de l'admiration que leurs \ reiits ou leur entourage expriment pt notre armée. Que nos soldats .se pénètn ■ai de cette idtéô e.1 iils ne se feisseron.t pas val faiblir par une légende boche d'onrès ,un. que.'le la Belgique envahie ne se soucier siiin Pafl d'e ses fi.s qui luttent pour eJîé. Qu /a,, entanutentl ce cri du coeur : « Comme nt \Lun allais vous choyer, vous, nos braves, :.:on sauveiira de noire Belgique chérie... ». Ve L'on voyez cornu ie on vous attend,' comme ,,jnn espère nous voir revenir, le plutôt possi , y espère vous voir revenir, le plus tôt i>ossi „ i' sans doute, mais après une paix G1 ,„l. RIEUSE. Ces i -à-dire qu'on a une c ;s(e^ fiance iii.'-branluble dans la victoire fin j,-a» et que, là-lrns comme ici, on est prêt à t< las ametiCeeu p« assurer on triorn] h, a oomp'et et définitif. E!ûe est exempte de tout irtônagem au.sni et de toute fausse pitié I-'àppréeiàt do la Belgique envahie sur les jeunes gi ujes qisi, ayant eu l'occasion de faire leur dc-v pré- et dl? tejoi,n<hv l'armée, ont préféré se s 3 la mettre au contrôle exigé par l'occupant les faut sans doute se garder de générait Bru- A plusieurs reprises nous avons insisté rtes. ses difficultés — insnrmon.ta.bles dans c le tains aas — que présente le passage de is-à- frontière. Nombreux sont encore ceux te et vi ..luiraient se trouver sur les bords l les l'Yser. debout à cdlé de leurs frères, m nen- qui n'ont pu trouver ni l'occasion ni ■tous moyons de s'échapper de Be'gique. P ; cri ceux-là le mépris public serait un oh auie ment injuste qu'il faut réserver aux s< les indifférents ou poltrons. On se rappelle que le général Rous nain a eonseil'é à ceux (jui écrivaient au fi rlln. d'éviter d'afra.'b'.ir le moral des combatte' lésa- La lettre ci-dessus n'aura pu qu'encoura r la celui qui l'a reçue et elle devrait se g tes d'exemnle à tous ceux qui correspone g are avec nos soldats et les garder de rappcs raie. <tos potins plus ou moins désobligeanits ; ont lieu de signaler quelqu'un des nombreu . At- consolants exemples de patriotisme et d lents durance que donnent nos comnatriotei. N iani- luiie — On mande de Lisbonne qu'à la s ildra du renchérissement des denrées alimenta siuS- des troubles ont éclaté. Plusieurs bon islier ont explosé causant de3 dégâts sérieux. ( du compte plusieurs blessés. La cavalerii a af- chargé et plusieurs arrestations ont été . réen fine tentative do grève générait ISfUlËfll ' jpn Gsmmumquê oficid français a Taris, 1" février, 15 heures, n Aucun événement important à signaler e en dohors de quelques tirs de notre ortiilo. e rie ENTRE L'OISE ET L'AISNE, sur les o organisations ennemies de Sle-Leocado, et o EN LORRAINE, sur dc3 convois dans la s région do Domevre. ® LE SORT DES CONSULS-ESPIONS | DE SALONIQiJE it —o- ® Toulon, 1er février. — Suivant des instant). t fions du gouvernement, Kismil boy, Bouchl 3. bey ot Moukton bey, vice-consuls de l'urquia io à Sailonique, ont été transférés en Suisse ; la I- mémo mesure sera prise pour M. Snreiow- ■ consul do Bulgarie. ur it ils essayent de nouveaux ta zeppelins je Londres, 1er février. — On mande dé UoE< ir terdam au « Daily Mail » que ies Zeppelins 51 ont été très actifs en Belgique depuis plus p. d'une semaine. 10 ' Leurs voyages avaient principalement 1S pour but d'essayer les dirigeables nouvelle a- ment construits. is — n. les victoires de i.'armée russe m du caucase et Londres, 1" février —. On mande d'Art- thènes au « Daily Tclegraph » que, suivant m des informations de Constanlinople, on est ,1_ très alarmé dàjns los milieux turcs des suc-'î cès des Russes au Caucase. Des troupes, des canons et. des munitions nt sont partis pour cette région, e, L'attention du gouvernement est exclu-'e givemont tournée vers le Caucase et la Mô-sopotamie."* Tnpte idée de narticination turouo confro Y> Sato'i'iue est considérée comme impossible r»l ECHOS de Lre JJ; Distinction' lat Le lieutenant-général Lechat vient d'ôtr^ t.k promu au grade de commandeur de l'Ordre ^ de Léogold. «n —o— s ? Dans l'armée. er- I.'adjudant Levie, do l'artillerie, est nonu te* mé sous-lieutenant d'artillerie de réserve. fi -o- ez- Comité supérieur de contrôle. lis. L'inspecteur général des services de l'in-io tendance'Servais, E., est nommé membre :a;u du Comité supérieur de contrôle, en remr placement du généra 1-niajoir Cuvelier, décédé.»—Q—• ue Nos consuls. i.r- ur M. Robyna de Schneidauer (E.), consul :u, général de Belg'ique, a été nommé on cette he < .laiité en Norvège, avec résidence à Chris->u- tiania. ,\i. Stadler (G.), consul de Belgique à Cal. :st cutta, actuo! sment en mission A Maes-de trich, a été nommé consul de Belgique aa >u- Suisse, avec résidence à. Zurich. >a^ - ur —o— Consulats honoraires. la- Démission do leurs fonctions a été don- ait née à M. M. Fritzsche, consul de Balgiquo ils à Windhuk, Henri (F.-O.,) vice-consul de •us Belgique à Pittesburg, Unger (B), consul do les Belg.que à Zanzibar, et Bandel(C.), agent us consulairo de BeJgquo aux Gonaiees on (Haïti). 3.0 Die ,0- Lo Dépôt belge de Sainte-Adress« ee- Le commandant mihlaire du Dépôt belge ''e des Invalides de la Guerre, établi a Sainte, ms Adresse, M. le capitaine commandant, Sahail-,he lée, nous .prie de dire qu'il n'existe aucun Cercle Militaire dans son dépôt. La Salle des l.'étes de la rue du Manoir, organisée sous 1011 l'égide de M. le président Scholitaeri, ajppar--ns tieïit exclusivement au Dépôt et le meïSour o:r accueil y est l'ait à tous les Belge®. De plus, les nombreux bienfaiteurs du Dépôt mettent 11 celui-ci à l'abri do tout besoin. er. sur - —1a- cria a L'homme des cathédrales » qui de Mèrovak, « l'homme des cathédrales », ais dont l'allure bizarfe; et le costume original les provoquèrent jadis à Louvain des manifes-™.r tations restées célèbres dans les innaies y - estudiantines, avait disparu depuis ie dé-u's but de la guerre; il avait été, paralt-il, porté sur le tableau des insoumis. Or il parait que Merovak est détenu en Allemagne, où °i il se trouvait au moment de la déclaration Jjp' de guerre el d'où il ne put partir à temps, a ■ Le ii Télégramme des provinces de l'Ouest» " 'î annonce en effet que u sur production L ' d'une pièce authentique prouvant que a l'homme des cathédrales » est bien dé-. tenu chez nos ennemis, l'autorité rmlitaira franeaise a prononcé la radiation motivés de Gabriel Robuebon, dit Mèrovak. du ta* bleau d'insoumission ». Mèrovak est originaire de la Vendée. Les Ephéméridss de la Guerre hes 2 février 1915. — Violents combats en Po-On logne dans la région de Borgirnow-Coumine; ■ a progrès des russes dans les Carpathes, entre W- le col de Doukla et le San inférieur. . „ — Un sous-marin russe coiile un torpiliem

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