Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 16 November. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Konsultiert 28 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/pk06w97g54/
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LE XX Siècle du 16 Novembre 1916 ur îes listes <Je contrôle de l'armée; j'en ai connu dont on n'entendit jamais plus parler, lous méritent mieux que l'indiilé-rence. Pour les uns, on ne peut malheu-reusemêîA rien, mais pour les autres, ceuj qui sont à îarmée, il serait si facile de reconnaître îeur mérite en leur donnanl un insigne ! Ce ne serait que juste, môme à d'autres points de vue, car il faut les tenir, a priori, pour des hommes d'ente, pour des hommes braves sur qui l'on peut comptei plus que sur ceux qui ont attendu d'être touchés pttr ira arrêté-loi avant de rejoin-are les (îepêts. Ces jeunes gens qui ont tout bravS, arrivent joyeux et forts dans les rangs de notre armée en y apportant quelque cîlose de l'incompressible résistance du pays natal à toute démoralisation, lis sont lîi preuve vivante aux yeux du monde eûffer qu'après deux années d'occupation, malgré les tenTatives de von Bis-sing pour susciter la zizanie entre Flamands et Wallons, la Belgique n'a rien perdu de son énergie à haïr l'envahisseur. Les parents n'hésitent pas à offrir leurs enfants à la patrie, les enfants ne font pas de bien qu'ils n'aient obtenu des parents l'autorisation Se partir pour la guerre. lonorons ces glorieux enfants, yu'on vo'e sur Teur poitrine, sur leur casaueite, o11 sur ï-nr bras, qu'ils ont bravé les Boches pour vëtîtr récîamer leur place sur le champ de bataille. Qu'on leur octroie un Tnsigne spécial; ils l'ont bien mérité. En eux brûle la flamme sacrée qui rendit au c rs des siècles les Belges indomptables; 1p"î jriori — * ^auts de l idéalisme patriotique et national. Maurice des OMBIAUX. ——- — ■ ■ 11 ) —————— L'opinion allemande el le sort qu elle réserve à ia Belgique Ëncore un document édifiant Quelque sens qu'il faille attribuer aux déclarations UoUcmtes du Chancelier de îsetmxiann Hollweg sur ie son qu'il prétend réserver à la Belgique, il n'en est pas moins certain que ia partie la plu.3 agissante et ta plus puissante de l'opinion lu Allemagne réclamé l'asservissement de notre pays à l'Empire. Si 1a paix devait être une paix boiteuse, — i~e qu à Dieu ne plaise I — i Allemagne recommencerait tût ou tard la guerre pour la conquête de ia Belgique. lenqjs (numéro du 10 novembre) signale, à ce propos, un manifeste du « Comité indépendant pour une paix aileman-ne , — l'organisme le plus fort et le plus résolu qui combatte la politique ondoyante du Chancelier. -e manileste, adressé au peuple allemand, a un ton d'inexorable passion et il précise les appétits pangermamstes. tin ce qui concerne notre pays, ce manifeste s'exprime ainsi : i.a iJt'ijJiiiL.*; ne pe^t qu'être un bastion (Boilwerk; allemand ou ainylais. Sur ce point, nous exigeons ciom;, avec le chancelier aes garanties réelles » pour l'avenir allemand. Connut porte-parole de la grande majorité du Hçkbïiag, le doputé Spalin a déclaré « miiit&irem nt, économiquement et politique-iL m ki Belgique de\ ait tomber sous la mainmise aiiem^nJe ». C'est seulement ainsi que nuus nous assurerons une puissance coloniale.Or, qui signe ce manifeste ? \ oici quelques noms dés premiers signataires : iicuer, rédacteur en chef de la « Çeutscne 1 r;j„-.szeitung » ; Fiitz Bley. l'un dcp plus tu-; ts puilicistes du pangermanisme ; Die-teaici proiesseur à 1 université de Kiel ; i» joui'gmestre iinerle, président de l'Association cps Liasses moyennes ; M. Ewers, membre au & liai de Lubeck ; les professeurs ITamm et Franke, de l'écolo supérieure technique u» Cnaiiottenlmrg (Berlin) ; le professeur vou GniLer, de la faculté médicale de Munlcn , le centre-amiral von Grumme-Douglas, ie processeur Reeckel. d'Iéna ; M. Hirscîi, syn-cic de la chambre de commerce d'Essen , le -ontre-amiral Kalau von Hoie, le comte halkreuth professeur et artiste peintre ; ru docteur Klingemann. surintendant général do 1 Eglise évangélique pour la province au Rhin ; l'amiral van Knorr, le professeur F orst-Kohl, de Leipzig ; 1 amiral von Laus le .eur von Linaeq^ist, ancien secrétaire ci at à 1 office col', nia* de l'empire ; le prince dolp e de Lippe-, l'économiste renommé b. .tiembre du Reiphsiag; triedrich List, le c uibellan van Loë le prince Charles de Lu enstein-Fïendenbcïg, le contreuamiraj Hans Meyer le comte von Preysing, le comte von Reventlow, le lieutenant-général comte ie Roon, le docteur Rœsicke, secrétaire ge-ûéral de la puissante association des agricul-îe rs ; le comte de Salm-Horstmar, le professeur Dieitrich Schœfer, de l'université de Berlin fondateur du comité ; le professeur Scliiemann, ancien principal rédacteur de là :< Gazette de la Croix » ; le professeur Wundt, de l'université de Leipzig. Des centaines d'autres signatures suivent celles de ces chefs de l'opinion. Voilà donc ce que veut l'Allemagne ! Dans ces conditions, seule une guerre sans merci et jusqu'au bout, avec, pour couronnement, une paix victorieuse et riche pour nous en garanties de toutes espèces écartera de la Belgique le « cauchemar germanique ». > < BANQUE DU CONGO BELGE Société Anonyme établie en 190,^. BANQUIERS DE LA COLONIE DU C0HC8 BELGL Siège social, 43, rue de Namur BRUXELLES —o— Président : O. Lepreux. Directeur de la Banque Nationale de Belgique. Vice-Présidents : Baron Lambert de Rothschild, Banquier. E. Franqdi, Directeur à la Société Générale de Belgique. Agences : Borna, Matadi, Kinshasa, Stanleyville, Elisabeth ville. Bureau de Londres : 9, BISHOPSGATE, E. C. Comité de Londres : SlB Willirm Garstix, g. C. M. G. F. Haegler, de la Banque Belge pour l'Etranger. J. S. Hajkell, de Messrs. E. D. Sassoon and Co. La Banque a le droit d'émettre ses propres 1 billets dans la Colonie du Congo Belge. Le Siège Social et les Agences effectuent toutes opérations bancaires : encaissement escompte d'ffets, simples ou documentaires; vente de chèques; émission de lettres de crédits; tramferts par lettre et par câble; avances sur marchandises Européennes et sur produits Africains; ouvar-'ure de comptes chèques et de comptes-cou-■snts : ouverture de 'omp'es-dépôts. Nouvelles de la Patrie Belge A BRUXELLES Le dernier raid des aviateurs britanniques On apprend que le dernier raid des aviateurs biitanniques à Bruxelles, au début au mois d'octobre a eu de bons résultats. Les aviateurs ont touché en plein le hangar de zeppelins de la plaine des manœu\res d'Et-terbeek où il est très rare qu'un dirigeable fasse escale ; contrairement à ce qu'on a prétendu, les hangars beaucoup plus importants d Evere et ne Bercnem n'auraient pas été touchés ; ces hangars ne servent plu» guère qu'à des escales peu prolongées de zeppelins qui viennent en général des grands hangars de Cologne et d'Aix, camouflés de maisonnettes avec enclos, jardins et basse-cour postiches, vraies boîtes de joujoux de Nuremberg. Aux restaurants populaires Malgré le renchérissement des vivres et la difficulté de se procurer des légumes, les dirigeants des Restaurants types parviennent à donner complète satisfaction à leur nombreuse clientèle. Ils viennent d'être constitues en coopérative. Ces restaurants, installés par l'Œuvre elle-même servent journellement 3.600 dîners environ. Rien que dans 1 établissement de la Cvrand Place, an distribue jhaque jour 1.600 dîners, dont 800 que les ménagères viennent chercher pour être consommés à domicile et SOû qui sont dégustés sur place. NOUVELLES DE PARTOUT • Nécrologie On annonce la mort de : — M. Ph.-H. Dubois-d'Enghien, ancien chirurgien-dentiste. décédé à Braine-le-Comte à l'âge de 78 ans ; — M. Blindenbergh, commissaire de police de la 3° division, à Bruxelles. Le manque d'huile La pénurie d"huiles est telle chez les centraux que les transports par chemins de fer en souffrent terriblement. A tout moment, on gare des 'locomotives ou des wagons qui chauffant par défaut de graissage, souvent aussi des wagons « grippés » doivent être transbordés. Les services des vicinaux ont d'autre part été tiès réduits et menacent d'être suspendus si les pourparlers en cours pour l'importation d'huiles n'aboutissent pas. La vie intellectuelle C'est dans le domaine intellectuel que nos compatriotes demeurés en territoire occupé ont le mieux montré et montrent encore chaque jour leur capacité de résistance l-i leur santé morale. Dans cet ordre d'idées, l'éducation populaire a toujours été au premier plan ■ de leurs préoccupations ; il est impossible de citer toutes les œuvres crui répondent à cette sollicitude, mais on peut noter quelques cas typiques. Voici, par exemple, la commune de Grive-gnée-lez-l.iège, qui pour répondre aux besoins de distraction intellectuelle de sa population ouvrière, annonce une série die conférences, qui seront faites par des orateurs de tous les partis ; les questions d'hygiène, de littérature, de sciences sociales d'économie domesticrue, d'art et d'histoire y seront exposées avec simplicité pt clarté, de manière qu'elles soipnt accessibles aux moins préparés des auditeurs. C'est dans le hall de la plus belle école primaire que ces utiles assemblées seront con-voauées.A Malines, le Comité d'éducation populaire dont les initiatives obtinrent l'an dernier, un si vif succès, a renris ses conférences. Par une pitnante ironie "Sott straf-e England !) le premier donféren fpr M. G-rietens, de l'Athénée Roval d'Anvers, a fait 1,éloge de la vie estudiantine anglaise et initié ses auditeurs « à la beauté sévère des nombreux col-lèrec d'Ovfords onrmi lesquels Magdalell, EX-cetter et Christ Jésus ». Cette œuvre, dont les conférences réunissent chaque fois, des centaines d'auditeurs, jouit de l'appui le plus dévoué de l'administration locale belge. Le « Cercle des études commerciales » de Verviers. auquel la guerre a fourni un contingent inusité d élèves pour ses cours |e langue et de comptabilité, Va s'efforcer. "a\ c l'aide de l'administration communale.de compléter l'éducation de ses jeunes lauréats.Pour faciliter la diffusion de la culture générale, on donnera des cours de littérature, de grammaire comparée, d histoire et d'économie politique.La capitale. Bruxelles, ne reste pas inactive : c'est par dizaines que l'on pourrait citer les initiatives heureuses oui s'y produisent. L'une d'elles mérite une mention spéciale ; c'est celle du « Musée du Livre », dont la guerre avait interrompu l'activité et qui vient de décid r la reprise de ses « Conférences techniques et professionnelles n, en s'assurant le concours du conservateur du Musée i-lantin à An -Pi s, qui exposera l'histoire de la célèbre imprimerie. Indépendamment de cela, une exposition d'illustrations ex-ïibris et de re-lieures modernes sera rendue accessible au public. Dans la province de Hainaut, en plein centre industriel, c'est avec une énergie et une intelligence extraordinaires qu'on travaille à la diffusion de renseignement. En dehors de ces écoles, des cours spéciaux et des conférences, l'on a organisé des ' expositions d'art qui ont eu le plus vif succès. Ainsi l'exposition de Houdeng, du 21 au 30 octobre, qui était consacrée à la peinture, à la sculpture, à la gravure et renfermait aussi des compartiments spéciaux destinés aux cuirs et métaux repoussés, aux sacs américains, aux dentelles et broderies, enfin aux poupées. La grande salle était ornée de deux portraits dus au pinceau du peintre Gommaerts : le roi Albert et le général Léman. Un fait très caractéristique de la période ajctueîîe, c'est Je développement extraordinaire de la clientèle des bibliothèques populaires, partout où elles ont été créées. On connaît îles chiffres d'Anvers (312.000 habitants) où le nombre des volumes prêtés a triplé pendant la guerre : au "30 septembre 1916, 400.000 livres avaient été en lecture. Le phénomène est général. Il se vérifie aussi dans l'agglomération bruxelloise ou Schaerbeek (90.000 habitants) avait doublé sa lecture en 1915 (250.000 volumes) et atteindra probablement le total de SOO.OOO en 1916. A Saint-Gilles (60-000 habitants), il a fallu augmenter les crédits budgétaires pour les mêmes fins ; l'artMe : bibliothèques populaires, passe de 6L500 francs à 9.500 francs. Tandis que l'exercice 1912-13 accusait, dams cette commune, une circulation de 40.000 volumes, l'année 1915-16 donne un total <i« 103.000 livres et le nombre des lecteurs assidus passe de 150 à 500. Les questions les plus importantes au point de vue de la meilleure utilisation des ressources nationales, de l'emploi rationnel des énergies et des facultés des habitants, sont courageusement abordées par les pouvoirs publies A Bruxelles par exemple, les éche-vins dé l'Instruction publique de toutes le» communes de l'agglomération se réunissant et examinent un projet de création d'un « Office d'orieintation professionnelle ». ri s'agn de faciliter aux jeunes gens de toutes les classes, mais surtout à ceux de la classe ouvrière, le choix d'une carrière appropriée a leurs facultés. On évitera, par la généralisation du système, que des inaptes s'engagent dans une voie où ils deviendraient des déchets sociaux. De toutes parts on annonce la construction d'écoles nouvelles, tant l'afflux des élèves va grossissant. DANS LES FLANDRES Les voleurs de moisson Il n'y a pas cette année de fête de la moisson. La tradition veut qu on couvre de verduie la derniere charrette de blé et qu'on se réunisse, en famille, autour de gauffres chaudes et dorées. Les Allemands ont célébré plus modestement cette lète, dit le « Telegraaf », et cest pourquoi à Waterland-Oudeman, par exemple, après a\oir achevé de battre la moisson des Habitants de ia frontière, chaque soldat reçut une bouteille de biè^e. Ensuite, avec trois de leurs officiers, ils se firent photographier en groupe. Les Allemands, bien entendu, n'ont pas payé un sou aux Belges et aux Hollandais dont ils réquisitionnèrent les céréales. L an dernier, ils n'ont, pas davantage payé ce qu'ils devaient. Les Hollandais, domiciliés dans le hameau, se trouvent donc dans une situation aussi précaire que celle de leurs amis belges. Les Boches récoltent les pommes de terre qu ils ont plantées sur le terrain pris aux I paysans belges. C'est toujours au nom de la Kultur. Réquisitions de lait Une nouvelle ordonnance vient d'être adressée à toutes les communes. Elle indique que, pour chaque vache, chaque semaine, trente litres de lait, sont l'équ; itionu s par les Boches. La commune et les propriétaires du bétail sont responsables de l'exécution de cette mesure. Seulement, les communes où on délivrera plus de tiente litres de lait par vache pourront recevoir du beurre. Quelle générosité ! A LÎÈ3E Le Jour des Morts Les manifestations de patriotique reconnaissance tnvers les soldats morts pour ia Patrie, ont été aussi ardentes t Liege. uu tombèrent las ipremiers ù6Ienseurs du oui national, qu à Bruxelles, où elles fuient sin-guneremei.t émouvantes. Ln journal etmbocne eu rend compte en ces termes : « Le jour' de la Toussaint, il a fait un temps splendide. Les Liégeois en ont profite pour se rendre à nos deux nécropoles de Ro-bermonit et de Sainte-Walburge. C'est surtout vers les tombes des soldats que la foule s'est portée. Un service d'ordre a\ ait été organise. On sait qu'à Bobermont lois corps des soldat» belges et. alliés ont été exhumés et replacés plus vers lé nord-est du cimetière, le long ue la route de Bois de Breux. L'n vaste enclos» artistement décoré leur a été réservé. Leurs tombes disparaissaient sous les fleurs. » DANS LE HAINAUT Un crime A Bierzée-lez-Thuin, à quelques pas de la route de 'l'huin à rontaine-Valmont, s'élève une métairie habitée par les époux Helman ; j l'homme est âgé de e8 ans, la femme de 65 ans. Les métayers sont propriétaires de leur maison et des quelques hectares de terrains qui lento aient ; ils passent pour avoir de l'argent. Le mardi 31 octobre, dans 1 après-midi, deux individus se présentèrent à la métairie pour aciieter 5 kilos de poimnes ; la ier-mière leur répondit qu'elle n'en avait qu'une petite quantité et finalement lejir en céda 5 kilos. Un des hommes pa>a leâ fruits avec Uu billet de 60 mark et la lemme leur rendit la monnaie ; cependant-, ils apprirent ainsi que la uietayère mettait son pigent dans son corsage. XX Ils revinrent vers 8 heures du soir et, comme tout était fermé à la maison des époux Helman, ils frappèrent aux volets en disant qu'ils venaient repîendre les pommes achetées un peu plus tôt. Le fermier vint leur ouvrir ; mais la porte était à peine ouverte qu'un coup de marteau suivi d'autres coups sur le crâne 1 abattit ; il fit le mort, et c'est grâce à ce stratagème qu'il eut la vie sauve. Sa femme, aussi fut assiilie à coups de marteau et elle tomba au milieu d"une mare de sang. Les bandits la fouillèrent alors, enlevant l'argent qu elle avait dans son corsage et se retirèrent. Helman se releva et cria au secours. Les voisins s'empressèrent d'aller prévenir la police. L épouse Helman rendit le dernier soupir sans avoir repris connaissance. Cepen^nt, le fermier avait pu reconnaître ses agresseurs et, le commissaire de police de Thuiri arrêta le lendemain, dans la matinée, les nommés Désiré Walbrecq, ancien batelier, tenant actuellement l'Hôtel de Namur, en face de la gare Thuin-Ouest, et Beau-rent! qui v habite. Ils furent écroués à la prison de Charleroi. Le 2 novembre au matin, le parquet, fit une descente sur les lieux d"u crime. Walbrecq est considéré comme un mauvais suiet ayant causé la mort de sa femme par ses brutalités. La rumeur publique l'accuse de plusieurs autres crimes. BANQUE BELGE I L. VAN WYNEND*ELE, d'Ostende 6, Rue de la Victoire, PARIS Achats Titres, Coupons, Chèques, Monnaies | étrangères IIIIIIIIIMI.I-*»-'- ■!—!■ Hlll GRAND HOTEL LÂFAYETTE PARIS. — 6, rue Buffault (Faubourg Montmartre près gares Nord, Est et Saint-Lazare). Chambres depuis 3 francs BMW IM0-BELG1 (ITÀLO-BELGIÀM BJK) / Société Anonyme Francs. Capital souscrit 25,000,000 Capital appelé et versé 13,756,250 Réserves et bénéfices reportés 3,318,148 Siège Social : ANVERS Agence de LONDRES : 6, Princes Street, E. C. Succursales et Agences : ARGENTINE : Buenos-Ayres BRÉSIc : Sao Panlo. Rio de Janeiro. Santos. Campinas. URUGUAY : Montevideo. Correspondants dans toutes les places principales de l'Amérique du Sud. La Banque traite tontes opérations de banque. Encaissement et escompte d'effets et de docu-nents sur l'Argentine, le Brésil et l'Uruguay. Transferts de fonds par câble et par courrier. iiui ssion de chèques et d-i lettres de crédits. Achat et vente de titres et coupons argentins, brésiliens et uruguayens. LA POLITIQUE FRANÇAISE « Crise des transports et crise ministérielle Qui épiscopaîum desiderat, bonum opus ûtsidbpt, dit saint Paul. Telle parait être la devise de quelques douzaines de radicaux-socialistes que l'on appelle le paru dfs r <fa<;antB.ce n'est nas naturellement l'épiscopat que convoitent ces messieurs, mais le maroquin ministériel. Ils se sentent des âmes de conventionnels; ils sont les hommes des circonstances tragiques que traverse le monde. Ils n'ont pas leussi a aue partager cette opinion â la enambre Elle leur préfère M. Briand; elle l'pime beaucoup r ivr lui-même et un oeu contre eux. Voilà pourquoi la crise des transports ne s'est pas compliquée d'une cris<: ministérielle. Mais lorsque M. André Hesse est venu développer son ordre du jour, lorsque M. André Tardieu, à propos de transports nous a transporté à Salonique et en Roumanie, cette majorité s'est dispersée, et il n'est plus resté que le bata t»' ; on les retrouve partout ces 97 qui votèrent contre le cabinet dans l'ordre du jour qui clôtura le Comité secrét. ils netaient plus que &j, et même t>., a la seauce ue lundi, mais les autres n'étaient pas loin et s'apprêtaient à voler au secours de la victoire.Je ne m'amuserai pas à faire le panégyrique de M. Briand. On peut résumer d'une phrase les services qu'il a rendus pendant la guerre : c'est lui qui a donné à ia France la place qui lui revient dans le conseil des alliés, c'est-à-dire la première. C'est lui qui, le premier, a réalisé l'unité de front et l'unité d'action. Certes, comme l'écrit, ce matin, M. Jean Herbette, on peut regretter que 1' « unité d'action militaire » n'ait pas été mieux respectée lors de l'intervention roumaine. On peut trouver aussi, à la lumière des-^négociations grecques, que « l'unité d'action diplomatique » devrait se traduire par une procédure plus expéditive. C'est en faisant allusion à ces trop réelles imperfections que M. Tardieu a essaye d'impressionner la Chambre : « Retards dans notre collaboration avec la Roumanie, retards à Salonique, relards ailleurs, a-t-il dit en substance. Partout nous arrivons essoufflés, trop tard. » Mais à qui la faute? M. Tardieu rend M. Briand responsable de toutes les erreurs, puisqu'il lui refuse sa coffliance. « Et puisque c'est de confiance qu'il s'agit, je la refuse." « Et puisque la méthode suivie consiste toujours- à utiliser au profit de la politique d'un ministère l'admirable spectacle qu'offre le pays, je proteste contre cette manœuvre, et à ceux de nos coillèg-ues qui une fois c)e plus nous recommandent le silence, je réponds que ce dont le pays a besoin ce n'est pas, comme l'a dit un jour M. le président du Con&eil. d'une sentinelle veillant sur sou moral, mais d'un chef : ce chef, il ne l'a pas. » M. Tardieu l'a sans doute trouvé ce chef. Qu'il nous dise son nom et nous ferons la comparaison. Est-ce M. Caillaux ? M-. Clemenceau ? M. Barthou ? L'honorable député sait bien que les deux premiers sont devenus impossibles. Et sont-ce bien des chefs ? Quant à M. Barthou, est-ce que les 97 l'accepteraient ? Est-ce qu'on l'a consulté ? Je pourrais poser bien d'autres questions.Le Président du Conseil pourrait aisément se justifier des insinuations de M. Tardieu, prétendent ses jconfide-nts que je suis assez porté à croire. Je suis convaincu que cette explication viendra prochainement en Comité secret et qu'elle sera provoquée par le parti des remplaçants toujours pressé de sauver la France. Le résultat ? Mais ce nouveau débat à his clos aura la même conclusion que le premier, c'est-à-dire qu'il se terminera par le vote, à une énorme majorité, d'un ordre du jour de confiance, et que nous serons, pour quelques semaines, débarrassés des intrigues et potins qui empoisonnent la vie parlementaire. A. VIREY. < * OLYMPIA * Rfte Edouard-Larrue — Le Havre Programme de la semaine LE MASQUF AUX DENTS BLANCHES MADAME SANS-PEUR Matinées à 3 b. 1/2 les Jeudis, Vendredi et D'manche SOIRÉES TCVS LES JCDKS à S HEVRES lmm .. LLLJIWI»^— —Il MA1SBHS REOOl^MAHOÉESg BLISES 'i GRANDE TAVERNE 14, Rue Ed.-Larue (p ès la place de l'Uôtel-de-Ville, LE HAVKS RESTAURANT A TOUTE HEURE Salons pour réunions et banquets 15 BILI AKBS FRANÇAIS et ANGLAIS Cordonnerie J>hSM00LiNS NOTRE SÉRIE IMPERMÉABLE double semelle SPÉCIALITÉ EN CAOUTCHOUC GDÎTMS, lUBTÉlES. LEGffi 5 e/e de remise aux Réfugiés Distribution de Timbres du Commerce Ha vrais 11, Rue Thiers — Télép. 10-33 LE HAVRE I NOUVEL HOTEL 82. Rue de Paris-Havre c Confort moderne Chauffage Centrai Chambres Ripolln, Électricité Cuisine soignée PJSIflï Ï3SIAIMHI ispjis 100 Ifj ] PJSiOS caiPilfE il). 180 [F. ! 1 CHAMBRES depuis 45 fr. par mois l — E.VGLIHII Sl'OKKX — Le Livre d'Or de ïArmée Belge DISTINCTIONS HONORIFIQUES POUR ACTIONS D'ECLAT Le « XX0 Siècle » a annoncé tout récemment la publication imminente par le « Moniteur belge », d'une longue liste d'officiers et soldats cités à l'ordre du jour depuis le début de la campagne et décorés <fe la Croix de guerre. Cette liste vient- de paraître; nous en commençons ci-dessous la publication. GRAND QUARTIER GENERAL Wielemans, M., général-major; Arnould, H„ général-major; Détail, A., colonel, A.-E.-M.; Maglinse, H., major d'E. M.; Lemoine, F., capitaine commandant d'E. M.; Henon, J., capitaine commandant A. E. M.; Mage, J., capitaine commandant A. E. M.; Thooft, A., médecin principal; Van Trooyen, E., capitaine commandant d'E. M.; Preud'homme. L., major A. E. M.; de Mathelin, P., ofteier auxiliaire.Michel, J., premier maréchal des logis chef; Beetz, caporal; de Ligne (prince), B., soldat; de T'Serclaes (baron), soldat; De Herdt, L., motocycliste; Thuysbaert. V., motocycliste; Spiritus, J., adjudant; Halin, J., soldat; Ros-sion A., soldat; Dorpel. H., soldat; Moyson, J., soldat; Reuter, P., soldat; Deseck, H., sergent; Standaert, R., sergent; Gendarme. G., caporal; Montag J., soldat; Keller, O., soldat; De Vos, F., soldat; Tulkens, F..' soldat; Ma-rien A., soldat; Oosterlynck, J., soldat; Van de Weyer, J., soldat; Hendrickx. A., soldat; Minne, A., soldat; Marrissal, J., lieutenant. De Broqueville, R., officier auxiliaire;Cram-brelin. G., médecin-adjoint; Dufour, E., soldat; Lechevin, F., soldat; Neef, J., lieutenant; Thomas, L., lieutenant; Perryer, J., maréchal des logis; Bouvier. A., soldat; Remery, J., soldat; Huysentruyt, L., soldat; Soudure, G., maréchal des logis; Merbergs, G., soldat; Jan-son, J., officier auxiliaire; Schoonbaert. R.. maréchal des logis; Godchoul, R., maréchal des logis; Lousbei'g, A., soldat; Fimv, G., officier auxiliaire. Spanier, A., soldat; Poppe, J., maréchal des logis; Gilis, C., soldat; Janssens L., soldat; Vander Poortere, E., maréchal des logis; De\illers, H., soldat. vfalcens, G., médein-adioint ; Terfve, L., soldat ; Theisman, N., capitaine comrnnnrlant; Co-enrats, P.. marchai des logis ; MJchiels, F., soldât ; Rigaux, V.. soldat ; Theyskens ; L.. capitaine commandmt ; Barthélémy, N., maréchal des lcns : Nicaise. A., lieutenant ; Dechesne, G., général major ; Beving, A., ma-'or ; Verstrneten. L., maréchal des logis fourrier : Renard L.. brancardier ; Caplie, E., soldat ; Mertens, H. soldat ; Springuel G., soldat ; Todt, J.. hrisradier : Devillers, L., soldat : Piens, E.. «oldat : Jensette, H., soldat ; Pargent. A., soldat : Van Nerom, H., soldat ; Vermenlen, A., soldat ; Delmez. M., brancardier : Coutelier A., lieutenant ; baron Greindl, C., lieutenant-colonel, ■\ert.s, L., caoitaine commandant A. E. M. ; Grégoire. A., lieutenant : Sansen, V., capitaine commandant ; comte du Monceau de P,> i endael M., châtaine commandant ; Lo-rirr« L., médecin de régiment -, Tibergien. E., capitaine en second : Pouplier, G., lieutenant, ftchlevecamo, C., lieutenant ; Leurquin, A., lieutenant ; Ber-oster. H., lieutenant : Liénart, 1 \ . officier auxiliaire : Blyckaerts, M., adjudant : Jn.ns. A adjudant ; Wvns, E., maréchal des logis fourrier ; Van den Broeck, V., maréchal des logis ; Caillez. E., maréchal des logis ; Dexheu-ver. G., brigadier ; Mevnen, H., brigadier ; I.andevt, .T., brigadier ; Vandaeîe, C., soldat; Wuidàrt, I soldat : Gérard, L., soldat ; Simonis, M., soldat ; Baele, M.. . soldat ; Spinnel. J., soldat : Veedin. E., soldat ; Deleval. M., lieutenant ; Willems, F,, ser-frent : Verschneren, N.. capitaine en se- ! ccmd ; Ronse, A., soldat ; Van Caimere, i M., caporal : Grvpouille. J., soldat ; Therer, J., soldat : Meurée, J., soldat ; Walbrecq, F., caporal ; Hagemans. J., lieutenant ; Dhanis, R., lieutenant ; Jaumotte, J., lieutenant ; Jac- -quet, F., lieutenant ; Petit, J.,sous-lieutenant ; Schmidt, A., lieutenant ; Hedo, R., lieute- < nant ; Petit, F., lieutenant ; Bussv, L., lieu- t tenant ; Gallez, W., lieutenant ; Olieslaegers, ■T., officier auxiliaire ; Tyck, J., officier auxiliaire.Wahis, T. (écuyer), capitaine commandant A. E. M.; Deschamps, F., capitaine en second; Demanet, A., capitaine en second; Benselin M., premier sergent; de Neef, A., adjudant; ' Vindevoghel, H., lieutenant; Castiau, R., premier sergent; Robin L., lieutenant; Vertôngen R.. adjudant; Lagrange R.. premier sergent-ma'or; Collignon, L., lieutenant; Orta, T., adjudant; de Burlet, L., lieutenant; de Roy, W.. officier auxiliaire; Dreyfus-Raffalovich G., adjudant; Limmander cfe Nieuwenhove (baron) R.. sous-lieutenant; Detombay, L., lieutenant; Gosset. G., soldat; Baetmans, F., adjudant; Leclercq L-, caporal; Jadot, Z., capo- i ral; Henot, V„ caporal; \rydag P., caporal; Ghede, E., caporal; Berckmans. T., caporal. Van Daele, C., soldat; Dehaux, E., caporal; Voet, G., soldat; Grenson. A., soldat; Spel-mans, J., soldat; Castiaux, E., soldat; Bulte, E., soldat; D'Hooge. F., officier auxiliaire; Ballon, B., sergent; Van Belle, E., soldat; Populaire, H., soldat; Carpentier, E.. sergent; i feourguet, E., soldat; Duchesne, J. caporal; Raiiier, J.. caporal; Crombez, H., officier auxiliaire; Stellingwerff, L,., capitaine en second; de Meeus (comte) J.; premier sergent; Coo-mans, C., lieutenant; Goebels, F., officier auxiliaire; de Crombrugghe de Looringhe, M., lieutenant; Kervyn de Lettenhove (baron) C., adjudant; Le sergent d'Hendêcourt, R., lieutenant; Delfosse, E., lieutenant; Orban, L., lieutenant; Rombeaux, E.. lieutenant; Orta, J., officier auxiliaire; Thirion, C., caporal; Rucquois, P., soldat; De Weirdt, P.. caporal; Geurte, J.. caporal; .Soyeur, D., premier maréchal des logis; Litsch, P. premier maréchal des logis; Tenret, A., maréchal des logis; Van Herre-weghe. A., lieutenant; Wynants, F., maréchal des logis; Vanhoutte, F., maréchal des logis; Kardenaels, J. maréchal des logis; Renard, A., maréchal des logis; Hasebrouck, R., sous-lieutenant; Van Bockstael. S., maréchal des logis; Gérar<I, J., maréchal des logis; Ha-moir, J., maréchal des logis; Nevelsteen P., maréchal des logis; Vermoesen, P., premier maréchal des logis; Deveirman, L.. maréchal des logis; Daix, E., maréchal des logis; Wil-lemsen. P., premier maréchal des logis; Cou-lie, C., maréchal des logis; Debuck, R.. maréchal des logis; Becuve, M., maréchal des logis; Van Stuys, A., lieutenant. Mélis, L.. inspecteur général du S. S.; War-lomont, R., médecin principal; Wibin, J., médecin principal; Maistriau, C., médecin principal; Lebrun, G., médecin de régimçnt; Ne-mery, J., médecin de régiment; Van Nieu-wenhuyzen, G., médecin de régiment; Dara-che, P., médecin de régiment; de Witte, E-capitaine commandant; Michel, F., capitaine en second; Christophe, J., Major d'E. M.; Bla-nogarin, F., major; Constant, T., major A. E. M.; Flemal, A., major; Guérin, O., adjudant; de Vinck (baron), lieutenant; Hobben, premier maréchal des logis; de Winter, A., capitaine commandant A. E. M.; Lemercier, L. officier auxiliaire; Jugters, P., cavalier; Marescau^,V valier; Maes, J., soldat; Ver-haegen. R., lieutenant; Soumoy, J., lieute-nnt; Leclercq P., premier sergent; Pacque, P., sergent. 1" DIVISION D'ARMEE Bernheim, L., général-major ; Rademakers, M., major A. E. M. ; Kervyn de Lettenhove, J. lieutenant; Cuffez, A., soldat ; Parys, E., soldat ; Lowyck. H., maréchal des logis ; Mis-senheim, H., brigadier ; Redig, H:, sous-lieutenant ; Demets, F., officier auxiliaire ; Perrault V., capitaine commandant ; Duverdyn, R. canoral ; Vande Canclelaer, A., soldat ; Bastogiie, E. cycliste ; Burguet, L., major A. E. M. ; de Bel. A., major ; Vandermissen, T., médecin de régiment ; Servais, F., lieutenant; Reding, P., major. Grade, E., capitaine commandant ; Mari-chal, H., capitaine en second ; du Roy de Blicquy, R., lieutenant ; Motte, L., lieutenant; Crab, M., soldat ; Demunter J., soldat ; Maes, F., soldat ; Geskens, F., soldat ; Sleechx, J., soldat; Demoor, A-, médecin de bataillon; Du-vivier, L., major ; Lefèvre, J. major ; Tilkens, A., capitaine commandant ; Genotte, G., médecin de bataillon ; Daels. F., médecin adjoint; Noirsain, F., sous-lieutenant ; Verbelen, J., 1er sergent ; Lecouturier. J., caporal ; Peeters, A., soldat ; Bovyn, M., sergent ; Tanghe, F., officier auxiliaire; Demoulin, O., soldat Winson, F., soldat ; Billiet, M., caporal ; Di Bosch, A., major; Jans, J., sous-lieutenant Rothermel, G., capitaine commandant Gennotte, F., capitaine commandant ; Clj nans, P., lieutenant ; Dewinter, H., major Delva, M., sous-lieutenant ; Hautekiet, E., sei gent ; Van der Plancke, J., motocycliste Joly, R., sous-lieutenant , Vertongen, S., mj récriai des logis ; Van Calck, G., soldat ; Le grand, L., soldat ; Landrieu, E., caporal lorieux. H., officier auxiliaire ; Deconincl M., soldat ; Servais, E., inspecteur généra des services de l'Intendance ; Lechat L., général-major ; Durutte, E., ms réchal des logis ; Tournay, A., major ; Oss« laere.G., lieutenant ; Jacques, P., lieutenant Busine, L., capitaine commandant ; Harvengt A., caporal ; Debeil, G., soldat ; Van Ackei M., lieutenant-colonel A. E. M. ; Mathieu C., major ; Tliiryn, E., lieutenant ; Feyerioli R., 1er sergent ; Devloo, P., lieutenant ; Heu ry, E., lieutenant ; Bekaert, M., soldat ; Bai bier, P., maréchal des logis ; Mahy, J., aux) liaire du service de secours ; Clément, O., 0] fleier auxiliaire ; de Fonseca, officier auxl liaire ; Demever, A., sergent : Solbreux, P., ca poral ; Mascart, G., capitaine de réserve ; D« clerk, E.. sous-lieutenant ; Plisnier, A , lieu tenant ; Verdickt, L., lieutenant ; Bajot J médecin auxiliaire. Knipping, F., prêtre brancardier; Weyen berg, C., lieutenant; Loys, P.. sous-lieutenant Dorvillers, C., officier auxiliaire; Aerdeman A., caporal; Pottelsberg, J.. soldat; Carlier, P sergent-ma.ior; Aqou, M., sous-lieutenant; Gla rieux, P., médecin auxiliaire; Verwaerde M. officier auxiliaire; Henno, A., aspirant di service de secours; Derom, F., médecin as pirant; Delobbe, D., 'capitaine commandant Vermeersch, J., soldat; Lavraux, J., caporal Verdickt, L., adjudant; Dreesen, E., caporal Demevre, O , maréchal des logis; .Tacobs. P. maréchal des logis; Moulin, F., officier auxl liaire; de Maere. C., lieutenant de réserve Dalle, J., caporal. (A suivre). H. Plon-Nourrit et Cie, imprimeurs-éditeurs 8, rue Garancière, Paris 6e, Au fil des heures Loisirs littéraires d'un soldat bel§» par CHARLES CUDELLE Prix : 1 franc. Dans ce livre, mi-vers, mi-prose, l'auteur, soldat volontaire de guerre, a tiW de ses impressions personnelles les accenti émus qui exaltent la patrie- et la famille. (' HYGIÈNE DENTAIRE 1 Les remarquables qualités antiseptiques, M détersives et cicatrisantes qui ont valu au g Co iilar Saponinè Le Beuf 1 on admission aans les Hôpitaux He Paris en m font, enrre autres usages, un Dentifrice de |i première valeur. — Dans les Ptiarmacies. Se méfier des imitations que son succès a 'Û «k fai t na'it^e. Surtout... Pas de bile î On m'a cité le cas d'un gentleman qui, de crainte de rencontrer des souris pen dant ses voyages, portait partout avec lu une souricière!. Ce gentleman ressemble beaucoup à nombre de personnes pa: se forgent des soucis à l'avance. Vous n'riveî pas été sans entendre lés lamentations, les gémissements des malades. Ils pleuren' sur leur malheureux sort, vont conter Lui peine et décrire les symptômes éprouvés à tous leurs voisins ot amis, ne sa^'iant à quel remède se vouer. En face du mal, les lamentations ne sonl pas de mise. Le mal.i le, avant t< ut ne doit pas se faire de bile, car, à de rares exceptions près, tout nal u son il suffit donc, pour guérir, de la volonté de guérir et du bon remède. Pourquoi, par exemple, les anémiés, les épuisés, les jeunes filles chlorotiques, les neurasthéniques et, en général, tous ceux qui souffrent de la pauvreté du sang et'de faiblesse des nerfs, iraient-ils se faire de la bile, alors que les Pilules Pink guérissent ces maladies avec la plus grande facilité. Il suffit aux malades de savoir que les Pilules Pink guérissent et d'avoir la volonté de prendre les Pilules Pink. Pour éclairer leur religion, voici encore une gup rison. (M -GermaineB0RDER0N) Mlle Germaine Borderon, de Thoré (Loir-et-Cher), nous a écrit ce qui suit : « J'étais devenue très anémique. Il semblait que je n'avais plus de sang dans le# veines, car j'étais pâle, sans appétit, sans forces. Après quelques essais qui ne donnèrent pas de bons résultats, j'ai voulut prendre les Pilules Pink, dont j'avais souvent entendu faire l'éloge. Vos pilules ont été merveilleuses. A mesure que je leg prenais, je me sentais revivre et je sentais mes forces revenir. Aujourd'hui je me porte à merveille. » Donc, anémiques, des Pilules Pink et pas de craintes pour votre santé. Rappelez-vous ces paroles d'un homme trèa' avancé en âge : « Mes enfants, disait-il, pendant ma longue vie, j'ai eu beaucoup de craintes, dont la plupart ne se sont jamais réalisées. » Les Pilules Pink sont en vente dans toutes les pharmacies et au dépôt. Pharmacie Gablin, 23, rue Ballu, Paris : 3 fr. 50 la boîte ; 17 fr, 50 les 6 boîtes, franco.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique gehört zu der Kategorie Katholieke pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1895 bis 1940.

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