L'indépendance belge

1605 0
close

Warum möchten Sie diesen Inhalt melden?

Bemerkungen

senden
s.n. 1918, 25 September. L'indépendance belge. Konsultiert 20 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/696zw19n4n/
Text zeigen

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

89e année No 226 L' INDÉPENDANCE CONSERVATION PAR LE PROGRÈS BELGE ( ROYAUME-UNI: 1 PENNY LE NUMERO CONTINENT. . 15 CENTIMES ( HOLLANDE 5 CENTS ADMINISTRATION ET REDACTION : BUREAU A PARIS : TUDOR HOUSE, TUDOR ST.. E.C. 4 11, PLACE DE LA BOURSE TÉLÉPHONE: CITY 3960 TELE.: 311-57 et 238-75 MERCREDI 25 SEPTEMBRE 1918 En vente à Londres à 3 h. le mardi 24 septembre (3 MOIS, 9 SHILLINGS ABONNEMENTS j 6 MOIS, 17 SHILLINGS* Il AN, 32 SHILLINGS LA SITUATION Mardi midi. La guerre Le général Franchet d'Espernay élargit constamment ses brillants succès. Dès aujourd'hui on peut affirmer que sa manœuvre en Macédoine est une des plus remarquables de cette guerre et qu'elle a amené une victoire d'une importance exceptionnelle. L'ennemi, battu partout, se retire en déroute, sur un front de plus de 160 kilomètres, poursuiv i par les armées d'Orient, dont la marche fut si rapide qu'en certains points, notamment dans le centre, nos alliés ont atteint un point à plus de 65 kilomètres au delà de la frontière greco-serbe, des éléments d'infanterie serbe ayant couvert certain jour une étape de 40 kilomètres en moins de 24 heures. C'est là, pensons-nous, un record d'autant plus merveilleux que le terrain parcouru est essentiellement montagneux et boisé, offrant donc les plus grandes facilités à être défendu par l'adversaire. Au nord-est de Monastir, les troupes franco-serbes et yougo-slaves se trouvent sur la ligne Mogila-Kanatlartsi-Kalyani, tandis que des unités serbes, marchant sur Prilep et la passe de Ba-buna, ont atteint le Vardar de Demir-Kapu à Gradsko, et ont même jeté quelques détachements au delà du fleuve. Dans la vallée du Vardar, les divisions alliées ont dépassé la ligne de Koynsko-Gurincet, sur la rive droite, et sur la rive gauche elles ont capturé Gnevgheli et toute la première ligne bulgare jusqu'au lac Doiran. De ce côté, les arrière-gardes ennemies sîefforcent par une vive résistance de ralentir la poursuite. Sur les routes dans la région de Monastir, de Krusevo et de Prilep, les colonnes ennemies fuient dans un désordre indescriptible sous le feu incessant des mitrailleuses et sous les bombes des aviateurs, tandis que les villages abandonnés sont la proie des flammes. Le nombre des prisonniers et le butin capturé augmentent sans cesse et deviennent énormes. Sur la voie lerrée du V ardai", des locomotives, (rois trains complets et deux grands canons montes sur rails ont été pris. Certains éléments bulgares, entièrement découragés, prennent Ta fuite en jetant les armes. Des bataillons allemands amenés en toute hâte tentent de gahaniser la résistance bulgare, en canardant les fuyards à coups de mitrailleuses. Mais rien ne parvient à dominer la débâcle qui, si elle se maintient, permettra à nos alliés d'atteindre bientôt Prilep et Veles. Sur l'aile gauche du front d'attaque les troupes italiennes combattant dans la boucle de la Tcherna', ont brisé la résistance ennemie et ont capturé 16 villages pour se transporter sur la ligne de Cairli-Dobrusovo-Masaoba, et sur leur droite ont emporté la puissante position du mont Bobiste. Elles aussi ont fait un grand nombre de prisonniers. Sur le front de Doiran les unités greco-britan-niques, poursuivant l'adversaire en retraite, ont dépassé la ligne Kara-Oglu-lar (sur le lac Doiran), Hamzaii, et à l'ouest du Vardar, elles avancent sur Mrzenci, en liafson avec les Grecs à Gurincet. En Palestine également la victoire du général Allenby se confirme comme étant des plus complètes-. Les troupes indobritanniques et françaises se sont emparées des passages du Jourdain à Jisr ed Daniieh dimanche matin, fermant ainsi la dernière issue par laquell.e l'ennemi pouvait tenter de s'échapper. Les 7e et 8 c armées turques ont virtuellement cessé d'exister et tous leurs transports sont aux mains de nos alliés. Dimanche soir ces derniers avaient fait 25,000 prisonniers et capturé 260 canons, ainsi qu'un matériel de guerre considérable. Si l'on considère que les forces turques combattant à l'ouest du Jourdain étaient de 35,000 hommes, on peut estimer que les Ottomans viennent de subir là uns écrasante défàite. Nos succès en Extrême Orient s'affirment aussi satisfaisants qu'en Orient. L'attaché militaire japonais à Londres a reçu, en effet., une communication qu: nous apprend l'occupation de Biagoveshtchensk et d'Alexeievsk, le 18 septembre, par la cavalerie nipponne convergeant de Khabarovsk et de Tsitsikhar (à 416 kilomètres au sud de Blagovesh-tchensk). De l'infanterie, transportée à bord de steamers sur l'Amour, a atteint Biagoveshtchensk, le jour suivant ; 2,000 prisonniers austro-allemands qui combattaient avec les Bolshévistes ont rendu le-armes aux Japonais, à Kokka, sur la rive droite de l'Amour, en face de Biagoveshtchensk. Une autre formation ennemie bat en retraite vers les biefs supérieurs de fa Zeya, qui se jette dan.> l'Amour au nord de Biagoveshtchensk. Sur le front occidental, aucune action de réelle envergure ne s'est développée, bien qu'il y ait eu en de nombreux points des combats très violents. L'ennemi a montré une attention toute particulière au front de Flandre, et son artillerie a été d'une activité inaccoutumée dans ces secteurs et plus spécialement dans le district au nord de l'Yser, en face dés positions belges. Nos batteries ont répondu à l'adversaire en exécutant de vifs bombardements sur les positions de l'artillerie et sur les communications de l'adversaire. Sur le front d'attaque principal les troupes britanniques ont exécuté une série d'attaques locales qui leur ont permisse progresser à l'est de Gavreile, au sud de Yillers - Guislain, au nord - est d'Epehy, au nord-ouest deYendhuville,ct dans le voisinage de la route de Ronssay-Bony, où un ouvrage fortifié allemand a été capturé. Au cours de ces opérations plus de 250 prisonniers ont été faits. Nos alliés ont également refoulé des contre-attaques ennemies Sur la fermeGillemont, au nord d'Epehy, et à Berthaucourt (au nord-ouest de Saint-Quentin). Les Français ont continué leur avance dans la région au sud de Saint-Quentin. Ils ont pénétré dans les bois au nord de Ly-Fontaine, emportant d'assaut le fort et le village de'Vendeul, à 4| kilomètres de La Fère, et ont poussé leur ligne de ce côté, jusqu'à l'Oise, entre ce dernier village et Travecy. Au nord de l'Aisne nos alliés ont fait de fructueuses patrouilles et ont repoussé des reconnaissances ennemies au nord de la Vesle. Ils ont encore fait d'heureuses incursions dans les lignes allemandes dans le voisinage de la Butte de Mesnil. Les troupes américaines continuent à pratiquer des coups de sonde dans les positions teutonnes en Wœvre. Elles ont aussi repoussé des avances locales ennemies tant en Wœvre que dans les Vosges. En Italie il y a eu une grande activité aux avant-postes. Dans le val Ledro nos alliés ont attaque et repoussé des patrouilles ennemies. Sur le plateau d'Asiago des détachements français ont exécuté un brillant coup de main à l'es', du Sisemol. Après avoir envahi les tranchées austro-hongroises, ils y ont détruit les ouvrages défensifs et infligé des pertes sensibles à l'occupant, puis ont emmené une bonne centaine de prisonniers et cinq mitrailleuses. Lès troupes britanniques se sont également distinguées dans des raids effectués avec succès au nord d'Asiago. SUR LE FRONT OCCIDENTAL SUR LE FRONT BELGE Le communiqué hebdomadaire Le G.Q.G. signale qu'a'u 14 au 20 septembre il y a eu une grande activité des patrouilles et reconnaissances. Plusieurs prisonniers allemands ont été ramenés dans nos lignes. Des coups de main ont vainement été tentés par l'ennemi vers Nieuport, Dixmude et Merckem. En avant d'Oudstuyvekenskerke, une quinzaine des nôtres ont forcé à la retraite une trentaine d'Allemands en i rlôr l-iO-'f.OC; T ,£» 1 R o 1 ' 3Y1 1"VP une forte poussée de l'ennemi contre nos nouvelles lignes récemment conquises à l'est de Merckem, lui a permis de s'introduire momentanément en quelques points de nos défenses. Il a été chassé par une vigoureuse contre-attaque qui nous a permis de faire un grand nombre de prisonniers. L'artillerie a été active sur tout le front, nos batteries prenant vivement à partie .les batteries adverses. Malgré le temps défavorable, notre aviation a exécuté de nombreuses opérations et participé, notamment par des tirs à la mitrailleuse, à notre contre-attaque à l'est de Merckem. Un ballon ennemi a été incendié par un de nos aviateurs de chassa. OPERATIONS AERIENNES " Les bombardements par avions à grande distance " Au sujet de la vitesse des Gothas, le '"Mercure de France," dans son dernier numéro, donne les curieux renseignements suivants : .''La vitesse horaire des Gothas est de 130 à 150 kilomètres à l'heure. Berlin est, à vol d'oiseau, à'360 kilomètres de Compiègne. A la vitesse de 150 kilomètres à l'heure, il faudrait donc compter, pour l'aller et le retour, sur un vol sans escale de 12 heures. Admettons qu'il faille encore deux heures de plus poulies erreurs de direction, ce qui élève 14 heures la durée probable du raid. A raison de 150 kilos de carburant par heure de vol, l'avion devrait emporter approximativement 2,100 kilos d'essence et d'huile, quantité énorme, plus que cinq fois supérieure à celle qui est nécessaire aux Allemands pour .venir sur Paris. En réduisant à deux bombes de 50 kilos chacune, l'armement en explosifs, il faudrait donc récupérer une charge 'utile considérable pour rendre possible une attaque sur Berlin. Nous trouvons 800 kilos pour l'approvisionnement habituel en carburant, 500 kilos par la réduction de la charge en projectiles, 100 kilos par la suppression d'un homme de l'équipage, d'une mitrailleuse et des accessoires nécessaires au fonctionnement de celle-oi. On pourra peut-être gagner 100 .kilos en retirant certains organes qui fte sont pas absolument indispensables. Nous aurons ainsi récupéré 1.500 kilos, mai? il nous manquera encore 700 kilos pour arriver au chiffre qui nous est nécessaire et qui est minimum." — (La Presse Associée.) D'autre part, on lit dans 1' "Evening Standard : "La récente construction d'un moteur aérien combinant l'extrême légèreté avec 'une t-norrné puisïàn'ce, a rendu le bombardement de Berlin possible. Jusqu'ici, avec les moteurs lourds et ne donnant pas une confiance excessive dont étaient munis les grands appareils de bombardement, la tâche comportait trop de risques pour valoir la peine d'être, tentée, vu le petit nombre de bombes qu'ils auraient pu emporter. Cependant la difficulté du poids à. emporter, y compris l'essence, est actuellement résolue." L'activité britannique Du Quartier-Général: Le 22 septembre.—Temps couvert et pluvieux. 8 aéroplanes ennemistdétrUits ; 4 appareils britannique? manquauts 11 tonnes de bombes lancées pendant le jour. La nuit suivante 4 t-mnes de bombe; lancées sur un aérodrome ennemi près de Valeneiëmies. Du Détachement Indépendant : Dans la nuit du 21 au 22, quatre aérodromes ennemis attaqués à coups de bombes et de mitrailleuses. Hauts-four-naux à Hugendingeiï et Rombach attaqués et atteints. Total des bombes lancées 15 tonnes et demie. l)e l'Amirauté : Du 17 au 21.—Diverses attaques con tre les docks de Bruges et des aérodromes ennemis. Six appareils ennemis détruits et cinq désemparés. Trois appareils britanniques manquants. Un ballon ennemi, par nous mis en flammes, tomba sur le parc d'aérostats et communiqua le feu à trois hangars, qui furent complètement détruits. Constantinople a été bombardé dans la nuit du 20 septembre et celle du 21. Des bombes ont éclaté sur la station Haidar Pasha, sur des bâtiments au nord de l'Amirauté, et à Stamboul. Les aviateurs grecs ont collaboré à ces opérations et des milliers d'imprimés de propagande ont été lancés à Stamboul. Une machine grecque et une machine britannique sont manquantes. LES EVENEMENTS EN RUSSIE L'armée sibérienne Le général tchèque, Gaida, a été désigné par le gouvernement sibérien de lever une armée sibérienne et a confié l'organisation de cette armée au général Diterichs. Ce choix est chaleureusement approuvé par les îeprésentants alliés. Le général Gaida espère avoir 150,000 hommes pour le printemps prochain, mais il déclare que la ' nouvelle armée russe, tout comme les Tchéco-Slovaques, dépend des Alliés uour les éciuioements. les munitions, et les vêtements chauds pour l'hiver. La question de la constitution d'une armée russe a été l'objet d'une longue discussion depuis l'arrivée du général Knox. On doit reconnaître que les officiers alliés ne se montrent pas très optimistes à son projet, tant que les drapeaux alliés ne seront pas largement déployés. • u Tout le monde sera requis de défendre l'Oural, sinon une ligne plus à l'est, et si les Alliée désirent faire une impression favorable, les forces actuellement disponibles doivent- être amplement augmentées. Pour la défensive seule, les Tchèques demandent trois divisions alliées en Sibérie, et les événements prouvent qu'ils ont sous-estimé les nécessités de la situation. Un voyageur qui vient d'arriver de l'Oural à Vladivostok donne une appréciation peu favorable des troupes russes servant avec les Tchèques, et dit qu'elles sont imprégnées de la même indiscipline qui amena la rupture de l'armée russe en Europe. Les officiers sont choisis par les hommes et des comités régimentaires fonctionnent. Le manque de confiance dans l'intention des Alliés de défendre la Sibérie, dit ce voyageur, crée une incertitude et, en réalité, il n'y aura pas d'armée russe tant qu'il n'y aura pas une armée alliée sur les lieux. Une défaite bolshéviste - Suivant une dépêche de Kieff à Amsterdam, l'armée des volontaires a pris d'assaut Armavir. dans le territoire de Kuban, et les Bolshévistes fuient vers le sud et le sud-est. L'ambassade allemande vacante à Moscou Un télégramme de Berlin annonce que la démission de M. Helfferich, du poste de représentant allemand en Russie, a été acceptée. Il s'est déclaré prêt, sur Je vœu du chancelier impérial, à reprendre les études économiques eu vue des négociations de la paix. v L'AIDE AMERICAINE M. Charles Baine, de la Fédération américaine du travail, parlant hier à Whitefield (Angleterre), a dit: "Nous sommes maintenant dans la guerre, et nous sommes heureux de pouvoir vous dire, à vous qui avez tant fait, que nous ne» croyons pas que vous devez encore puiser, pour vos effectifs, dans vos réserves d'hommes. Dès maintenant nous sommes prêts et disposés à fournir les effectifs, et je pense qu'il serait à conseiller à votre gouvernement et au gouvernement français d'envisager sérieusement le retrait d'un certain nombre de vos soldats pour les rendre à l'industrie, où vous en avez un réel besoin. Nous sommes assurés qu'aux Etats-L'nis les travailleurs feront tout leur devoir et que rien ne sera toléré qui puisse faire obstacle à la livraison des approvisionnements nécessaires, et nous désirons savoir s'il en est de même dans lès pays alliés. • Nous sommes ici pour assister vos leaders ouvriers dans leur tâche de faire comprendre à leurs mombrès que la réelle tâche du moment c'est de gagner la guerre. S'il pouvait arriver que les autres Alliés se retirassent de la guerre, les Etats-Unis continueraient et battraient en tous les cas l'Allemagne. TOUTE L'ALLEMAGNE RESPONSABLE M. Gornpers, parlant à une réunion à Londres, a rappelé-à ses auditeurs'la proposition faite avant la guerre pour la réduction de la flotte et le désarmement-proposition que l'Allemagne renvoya en déclarant qu'il était illégal d'y donner suite. U parla aussi de la conférence internationale des mineurs en 1912, à laquelle les délégué? britanniques, belges et français proposèrent qu'en cas de guerre les mineurs des pays représentés cesseraient le travail pour empêcher la production Les représentants allemands déclarèrent ne pas pouvoir rester dans la ralle des séances si cette proposition n'était pas retirée. AUTOUR delà GUERRE ALLEMAGNE — Un télégramme de Berlin annonce que le vice-amiral Behncke va remplacer l'amiral von Capelle à l'Amirauté allemands. AUTRICHE-HONGRIE -— On rapporte que 382 personnes auraient- été tuées et un grand nombre, grièvement blessées dans l'explosion de la fabrique de munitions Wollertdorft, à Vienne. ESPAGNE — La discussion entre l'Espagne efc l'Allemagne au sujet de la compensation à accorder pour la destruction de navires marchands espagnols par les sous-marins allemands s'est finalement terminée ps.r un compromis, à l'intervention de la, Reine-mère,,d'après ce que dit le correspondant du "Times" à Saint-Sébastien. Les Allemands auraient offert de re-'mettre à l'Espagne sept de leur" navires internés et de respecter dorénavant le pavillon espagnol en mer, pourvu qu'il soit arboré par des navires voyageant uniquement pour le commerce espagnol. FRANCE -— M. Thierry, ambassadeur de France en Espagne, est mort dimanche soir. M. Thierry avait fait partie du cabinet Bavthou en 1913 et du cabinet Ribot en 1917. GRANDE-BRETAGNE — L'heure d'été cessera d'être en vigueur lundi prochain, 30 septembre. A 3 heures du matin, ce jour-là, les aiguilles devront être reculées d'une heure. Pour les pendules à sonneries, il y a évidemment lieu de les avancer de 11 heures, en permettant à la sonnerie de -e faire entendre à chaque heure, demi-heure et quart d'heure (s'il y a l;eu). GRECE — Un décret royal rappelle six classes de réserve des années 1900, 1901, 1902, 1906, 1907 et 1908 dans toute la Grèce, ainsi que quatre classes d'auxiliaires de 1909 à 1910. JAPON — Le cabinet japonais est démissionnaire Cette démission était prévue depuis quelque temps déjà, îê premier mi-nisrre ayant, lors des récents troubles causés par la cherté du riz, fait connaîtra son intention d'abandonner le pouvait aussitôt que le calme aurait été rétabli. LUXEMBOURG — Des nouvelles' de Berlin annoncent que le mariage du prince-héritier de Bavière avec la sœur de la grande-duchess» de Luxembourg aura lfeu dans la première semaine de novembre. RUSSIE — Les Puissances alliées sont actuellement représentées en Russie de la manière suivànte: la Grande-Bretagne, J-e Japon et la Belgique par le ministre des Pays-Bas; la France et, le Siam par le ministre du Danemark; les Etats-Unis et la Roumanie par le ministre de Norvège, et. l'Italie par le ministre de Suisse. — 450 fugitifs de Russie sont arrivés à Christiania, venant de Moscou et de l'intérieur de la Russie. 350 d'entre eux sont- Italiens; les autres sont -Anglais et Français. — Le cadavre de l'ex-T^ar a été exhumé, placé dans un cercueil de cèdre doublé de zinc, et exposé dans la cathédrale d'Ekaterinbourg, sous la garde d'une garde d'honneur composée des principaux chefs de l'armée-du peuple. Le corps sera temporairement enterré dans un sarcophage spécial. DERNIERE HEURE Le communiqué britannique Mardi, 10 h. 32 matin. Un combat a eu lieu à notre avantagé dans le secteur à l'est, de Vermand, où nous avons réalisé quelques progrès. Une attaque locale exécutée par 1 ennemi, hier au nord de la ferme Petit Prie! a été repoussée avec succès, les Allemands laissant des prisonniers entre nos mains. Dans la nuit l'ennemi a attaqué nos nouvelles positions au sud-est de Gavreile appuyant son assaut d'un v iolent tir de barrage. Cette attaque aussi a été complètement repoussée et notre ligne, est restée intacte. Nous avons légèrement amélioré nos positions au nord de Mœuvres et par une heureuse opération secondaire exécutée nuitamment, nous avons regagné une- partie de l'ancienne ligne de front britannique au sud-est de Voormezeele. Des détachements ennemis en reconnaissance ont été repoussés, la nuit dernière, à l'ouest de Bellenglisc: et à l'est de Neuve-Chapellè. L'ennemi a exécuté un raid sur un de nos postes au sud de la Scaroé.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'indépendance belge gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1843 bis 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Zufügen an Sammlung

Ort

Themen

Zeiträume