L'indépendance belge

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s.n. 1914, 26 Oktober. L'indépendance belge. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/7m03x84k9n/
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Sôeme annee. ONE PENNY. Nn 290. L'INDÉPENDANCE BELGE. Administration et Rédaction, Tudor House, Tudor Street, E.C LONDRES, LU&DI, 26 OCTOBRE, 191' Conservation par le Progrès. LA REVANCHE DU DROIT. Quand j'ai passé par la Hollande ver la fin du mois d'août, on m'a dit : " Mai pourquoi donc le gouvernement belg a-t-il permis aux troupes françaises d passer la frontière de Belgique avant 1 déclaration de guerre? " De Rome, o: m'a écrit : " Il est bien regrettable qu le gouvernement belge ait laissé le troupes françaises passer la frontièr ïvant la déclaration de guerre." Aux uns et aux autres j'ai répondu C'est faux ! Les troupes française ne sont pas entrées en Belgiqu avant l'agression allemande. Si elle avaient passé la frontière, les trou pes belges les auraient attaquées comm elles ont attaqué les Allemands. Aux Etats-Unis, M. Dernburg, l'an rien ministre de l'Empire allemand cherche à accréditer la même légend mensongère. C'est donc une calomni systématiquement répandue pour égare l'opinion publique dans les pays neutres Quand il parle à la tribune du Reichs tag, le chancelier de l'Empire avoue, i est vrai, qu'en violant la neutralité belge les Allemands ont commis un attenta corttre le droit des gens et une injustic (séance du 4 août), mais il parle à de hommes avertis, qu'il serait vain d chercher à abuser. Dans les milieu: insuffisamment informés, les officiers al lemands espèrent, en répahdant des ca lomnies, détourner de la Belgique le; sympathies agf»*«ar>tes, Ah ! ce n'es pas seulement en armant ses soldats qui le gouvernement allemand a savammen préparé et organisé cette guerre odieuse Le gouvernement belge, par la publi cation de la " correspondance diploma tique relative à la guerre de 1914 " ; fait justice des mensonges. Si la Belgique avait été résolue, en dé pit des traités, à prendre parti pour 1 France contre l'Allemagne, les faits d guerre ne décelleraient-ils pas l'existen ce d'une convention militaire conclue a préalable avec le gouvernement fran çais ? Si cette convention préalabl avait existé, l'armée belge aurait-ell été seule ?. défendre la ligne de la Meuse de Visé à Namur? Si la Belgique avait été résolue prendre parti pour la France contr l'Allemagne, aurait-elle, même aprè l'ultimatum allemand du 2 août, attend l'entrée des troupes allemandes pour n pondre le 4 août seulement aux sugge: tions du Ministre de France à Bruxelk et pour faire appel aux puissances g; rantes de sa*neutralité? Si la Belgique avait été résolue prendre parti pour la France conti l'Allemagne, le Ministre de la Justic aurait-il, quelques heures—ô ironie !-avant l'ultimatum allemand, fait sais un journal belge qui conseillait cette pol tique ! Toutes les interventions des gouverni ments belges dans la politique intern; tionale depuis quatre-vingts ans prc testent contre cette accusation. Dar toutes les conférences, internationales-qu'il s'agisse de la question socia! comme à Berlin, du maintien de la pai comme à La Haye ou d'un règlement c comptas comme à Algésiras—la granc préoccupation de notre pays a été de r pas prendre parti dans les questions pol tiques, de s'efforcer, dans la mesure c ses faibles moyens, de maintenir la pai) d'assurer le mieux être social et de fair srogresser la civilisation. En retour, de quelles protestatior J'amitié n'avons nous pas été comble surtout par la puissance qui devait noi; envahir ! La presse a rappelé les déclarj tions du Ministre d'Allemagne en 190 a l'occasion du 75me anniversaire d notre indépendance, les paroles de l'En pereur lui-même en 1911, les affirmation du secretaire d'Etat aux affaires étrar gères disant à la commission du Reicl stag, le 29 avril, 1913, que "la net tralité de la Belgique est déterminée ps des conventions internationales et qu t l'Allemagne est décidée à respecter ce ' conventions." Depuis, le Ministi d'Allemagne à Bruxelles a dévoilé le bi de toutes ces protestations. Il falla rassurer la France du côté du Nord poi s lui faire porter toutes ses forces du côi s de l'Est. e Comprend-t-on l'indignation de la n; e tion belge tout entière quand elle s'e: j aperçue qu'elle avait été aussi odieusi ment trompée ! Combien d'entre noi n'ont pas été tentés de regretter la lo; " auté avec laquelle nous avions exécui s nos obligations et rempli notre devoir 2 II ne faut pas céder à cette tentatioi Il ne faut jamais regretter d'avoir ren : pli son devoir. Déjà d'ailleurs nous poi vons compter sur les réparations du dro a et sur le châtiment de l'injustice qui ser punie par où elle a péché. J Si l'Allemagne à contre elle aujoui " cî'hui toutes les forces de la Grand ; Bretagne, si l'armée du maréchal Frenc s'égale en héroïsme et en ténacité au . armées de. Wellington, si les mers sor fermées aux navires allemands, c'e: parceque l'Allemagne a violé le droit e envahissant la Belgique. Si la France a pu mobiliser et concer 1 trer sans être attaquée, une armée qi ■ fait des prodiges, c'est parce que le - armées allemandes se sont jetées sur 1 1 Belgique au lieu de foncer par la troue de Stenay sur le Nord français. t Si les forteresses del'Est français n'or , pas encore subi l'épreuve du bombardt ment, si cette ligne de fer est cncor 5 inviolée, c'est parce que les lourds c£ 5 nons allemands ont été à Namur, à Lit c ge et à Anvers au lieu d'aller à Verdur Les armées françaises et anglaise, ne - tre héroïque petite armée belge, corr ; mandée par un Roi, auquel nous ne poi |J v.ons penser sans un sentiment ému'd ; fierté et d'admiration—avancent d'u ' mouvement lent et continu. Nous se vons d'une certitude sereine "qu'un me • ment viendra—un peu plus tôt, un pe - plus tard—où les deux parties de l'éta - se rapprocheront irrésistiblement poi î écraser les masses allemandes. Tout cela, parce que l'Allemagne ; . suivant l'aveu de son chancelier, con mis une injustice initiale. Dieu se pla ainsi à tirer le châtiment de la faul même. Ce n'est pas la force qui primer le droit ; c'est le droit violé qui finit J par écraser la force criminelle. E. M FLOT, e député de Namur. e MISE AU POINT e 's Le devoir n'est pas de rentre u a Anvers. ,s Certains journaux paraissent avo l_ été mal informés, s'il faut en jug< d'après leur compte-rendu, sur ce qi s'est passé au cours d'une réunion teni à ces jours-ci à Londres entre Belges, ■ e qui avait pour objet spécial d'examini :e la question de savoir s'il convient qi _ les anversois, actuellement en exil, r< r prennent le chemin de leur cité. S . est exact qu'au cours de cette assemblé 1_ un orateur a semblé émettre l'opinic que le retour était à envisager, il e tout à fait certain que son avis e: i- resté isolé et que l'unanimité présen >- de nos concitoyens a marqué nettemei s qu'elle entendait ne pas rentrer dar - Anvers avant que la ville fut libérée c e la précaire domination allemande. Cet x attitude décidée sera fort approuvée, e Nous sommes sûrs, en effet, que ( e sentiment est rigoureusement conforme e celui du gouvernement belge lui-mém i- dont la direction doit être strictemei e su vie en pareille matière. Qui donc n'aperçoit pas qu'il ne s'ag e pas là d'une question d'intérêt local, ma bien au contraire d'un problème impoi s tant dont la solution intéresse no ■s seulement la Belgique, mais même ne s admirables et fidèles alliés. i- Certes nous savons aussi que divei 5 Anversois, dont la grande autorité n'es e discutée par personne, s'efforcent en c i- moment, par la parole et par la pluim s d'inviter tous ceux qui sont réfugiés e i- Hollande à regagner Anvers. i- Les initiateurs de cette campagr i- s'inspirent assurément de considératior r d'ordre élevé et se préoccupent a va r e tout de rendre de lavvie à la grande vill :s pour éviter sans doute des souffrances ; e la population. it Mais ce point de vue, s'il est important it n'est pas le seul à envisager, et nou: ir sommes sûrs que ces concitoyens si :é trompent quand ils pensent que restitue dès à présent à Anvers, une partie d< t- son activité doit servir la cause df ;t l'indépendance du pays. Que les Allemands souhaitent voir h !s grande ville reprendre à bref délai soi - aspect habituel, c'est trop naturel ! Il: é ne manqueront pas de triompher d'ur ! pareil résultat et de montrer complai >• samment au monde que, dans Anvers i- où i's avaient tant d'attaches e i- d'intérêts, il leur a suffi de paraître e it de parler pour faire accourir à leui a appel toute une population prête ; accepter leur contact. Finie la légende mensongère de: e Allemands barbares et brutaux ! Leur; h paroles de paix et leurs promesses on x été recuellies avec confiance par tou; 't ceux qui avaient fui leur approche e ■t qui viennent d - plein gré se soumettn n à leurs lois. Il n'est pas nécessaire d'insisté i- beaucoup, pour que chaque Belge, avan îi tout attaché à son pays, ne comprenm s qu'il faut se refuser résolument à refairi a la vie là où les Prussiens prolongen e leur séjour, ont commencé par créer li vide et semer la ruine. it II y a des gens qui pensent rentrer ; :- Anvers, sans manquer au devoir. Ci e sont les pauvres malheureux qui, ei i- dépit de la générosité hollandaise, son •- condamnés à la misère le long de 1; i. frontière et qui préfèrent, dans leur im mense détresse, souffrir chez eux que d< souffrir à l'étranger. Comment pour [. rions nous ne,, pas comprendre leur re , tour aux humbles fovers laissés derrièri n eux ! i- Il y a aussi les fonctionnaires dont 1; >- place à Anvers est obligée. Ce sont, ; u titre d'exemple, les magistrats du Par u quet ou les agents de police. Ce son ;r les attachés au service de la bienfaisanci ou de l'état civil. Ce sont les receveur: t ou les agents de la conservation de hypothèques, etc., etc. Mais tous ceu; ît dent la présence à Anvers n'est n e indispensable, ni obligatoire, doiven a s'abstenir de rentrer, s'ils ont le moyei a de rester dehors, et se refuser à faire l jeu trop évident de ces doux Allemands dont les promesses, au surplus, n devraient plus pouvoir illusionne personne. Telle a été la thés du gouvernement, prescrite à se sujets depuis la guerre, et fidèlemen observée partout jusqu'içi dans le pay envahi. Ils doivent s'abstenir de prête leur concours à l'ennemi et résister r l'ennemi et résister à toutes le manoeuvres, d'ordre divers, exercées leur égard pour les inviter à reprendr une activité qui ne peut que desservi ir leur patrie. ;r Le souci de la patrie, de l'intérê jj collectif, de l'issue finale de la lutte ie voilà ce que chacun doit considère avant tout et adopter comme règle d ,r sa conduite. le Ajoutons enfin, qu'il est très témérair d'engager les Anversois à rentrer chez j] eux en leur disant qu'ils n'ont plus d s péril à redouter* En admettant mêm ,n que les-Allemands respectent' leur pro 5(- messe de se bien tenir, n'est-il pa 3t évident qu'une heure, particulièremen :e tragique, pourra venir où les A'lié jt devront à leur tour faire le sièg 1S d'Anvers ? Que fera à ce moment 1 [e confiante population qui aura cédé à d ;e fâcheuses illusions ? Et ne peut-oi même supposer que si les Allemand •e sont si empressés de voir beaucouj à d'Anversois dans Anvers, c'est surtou e pour leur imposer le rôle de protecteur jt et d'otages forcés au moment où quelqu bombardement viendrait à tiouble NOTE DU JOUR s L'Opinion du Président s Poincare. ;t e (De notre correspondant spécial.) », Bordeaux, 20 octobre, n Tout le monde a grand espoir; cel. se traduit par les discours, les sermons e les articles de journaux, les conversa s tions. Dimanche dernier, un pasteur it pris pour thème de son prêche ce pas = saee de la Genèse: " Ne regrette rie: i et ne regarde point derrière toi de pei que tu ne périsse." Il faut regarder droit devant soi poi ; essayer de percevoir l'avenir heureu ; que l'on attend, qui est certain. Ma - un regard en arrière n'est certes pi ; pour décourager, bien au contraire. Di ; puis deux mois et demi que la guen est déclarée nous avons vu la Franc L non seulement résister à l'envahisseu ! mais le repousser chaque jour un pe ; davantage. Le fameux plan de l'attaqi L brusquée qui devait nous écraser dar . les trois premières semaines et noi mettre à la merci du Kaizer a échou< t et nos vaillants soldats sont en trai t de refouler cette armée formidable, q' - a pu avancer grâce à sa force numériqi t mais recule depuis le 6 septembre et sei obligée de se r&trancher bientôt de l'ai ; tre côté du Rhin, où les Alliés la pou ; suivront. Car la victoire ne . sera con t plète que lorsque l'Allemagne sera pri: ; comme dans un étau entre les Russe - les écrasant d'un côté et les arméi > franco-anglaises les repoussant de l'.ai tre. Nous verrons cela. t Tous ceux qui suivent les mouvemen > des armées, qui connaissent les re > sources des Alliés et peuvent percer 1< t intentions des gouvernants en sont coi > vaincus. Tous les chefs, les ministres, le Prés t dent de la République en ont la certituc > et ce n'est pas une attitude de convei j tion, c'est l'opinion raisonnée de toi t ceux qui ont la lourde responsabilité di t événements contemporains. Les populations rurales partagent cet a opinion réconfortante. M. Raoul Peret, l'ancien ministre c commerce, qui est une des réserves de a politique saine et féconde de dema m'écrivait hier de Poitiers où il se mu tiplie pour les ravitaillements : " 1 population est calme et son esprit exce lent. Nous voyons la situation telle qi vous la définissez vous-même—ui guerrejongue, très longue, mais la vi ^ toire complète au bout. C'est égalemei ' ce que m'écrivait ces jours ci le Prés ' dent de la République en me remerciai t du petit mot que je lui avais adres: après le bombardement de sa proprié de Lampigny. " * C'est en allant porter mes condol ~ ances à M. Poincaré sur la destruction < l sa maison familiale que j'ai pu recueill ~ les mêmes impressions. L'acharneme ^ des Prussiens et contre sa demeure " contre le tombeau des siens ne l'a ni su s pris ni trop affecté-1 —Ces marques de haine particuliè s et personnelle m'honorent m'a-t-il d J Le représentant de la France qui se d a fend si merveilleusement et qui se s sûrement victorieux demain, ne pouv< a échapper aux méchancetés de ces ba e dits. Ils m'ont fait la large part; j' r éprouvé comme une satisfaction moral Quant au résultat, quand je lui d ' mandais son opinion, il n'eut pas uj ' minute d'hésitation. 1 •—Nous leur arracherons la victoir e Ce sera peut-être plus long que beaucoi ne l'avaient prévu, mais nous triomph E rons. Ce n'était pas là une affirmation < ~ circonstance, mais l'opinion sincère d'i " Français qui a mesuré l'étendue du s crifice que nous avions encore à faire. 5 J'ai retrouvé la même conviction ch t le ministre de la guerre peu communie 5 tif à son habitude, mais qui n'adm 2 même pas qu'on puisse douter une seu 1 minute. — La victoire, disait-il, hier encor mais nous l'aurons, une victoire tel que nous le désirons quelque forrr t dables que soient les forces qu'on noi oppose. Quand on a vu la tenue adrr ' rable de nos soldats sur la ligne de fe " aucune hésitation n'est possible. — Ce sera long? ■—Naturellement; on n'abat pas i colosse comme l'empire allemand < quelques jours. Mais nous vaincrons ; faut que personne n'ait d'hésitation c de doute à ce sujet. Ce sont là des réconfortantes paroi et comme un adjuvent au moment où pays va avoir à affronter les souffranc inévitables de l'hiver. i Regardons droit devant nous, c'est , bas qu'est la résurrection et la déli - rance de ce pays qui a été courbé pe i dant quarante-quatre ans et qui est < - train de se redresser pour imposer : ■\ volonté à son tour. H* By Spécial to h.m. Appoint ment C the Qaeen. i® Brompton Road, n London, S.W. jl ie R. BURBIDGE, Managing Director. a U un accès facile ds toutes les i- parties de Londres, par omnibus et chemins de fer souterrains. :s les Magasins les plus » complets du monde. i- Vendant ABSOLUMENT TOUT ce que peuvent desirer les '• dames, les messieurs, les en le f ants et les domestiques, aussi ^ bien pour l'ameublement que »s pour les consommations de-toutes espaces. te \ L'ETAGE DES OCCASIONS « SPECIALES 1- est bien connu pour ses Vete-c- ments de Messieurs. Tous no« u Tailleurs sont d'une qualité ex-'j ceptionnelle et d'un prix très *é modéré. 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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'indépendance belge gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1843 bis 1940.

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