L'indépendance belge

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s.n. 1915, 19 Januar. L'indépendance belge. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/b56d21sf3k/
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L'INDÉPENDANCE BELGE ANGLETERRE: ONE PENNY. CONTINENT : 15 CENTIMES • • ' f '<#■ Administration et Rédaction, Tudor Kouse, Tudor Street, E.C. , avmrrf. .. , ^^t h. t, eegistebed at the g.p.o. ^ „ TELEPHONE: CITY 3960. LONDRES, MARDI 19 JANVIER 1915. as a newspaper. Conservation i >.r le Progrès. SOMMAIRE. La Situation. Malentendus !...—Camille Rou ssel. Nos Officiers. La Politique de la Bulgarie.—S. P. Billet Parisien.—Jean Bernard. Faits Menus, Menus Propos.—Bob. Les Soldats Belges Internes en Hollande.—Fram. Le Roi Albert et les Allemands. Lettre de Mons. Echos. Les Petites Joies de Nos Soldats. Le Travail pour les Belges. Notes d'un Chemineau.—'T Wit Beerken. Le Bombardement de Furnes.—Georges D'Ixelles. NOUVELLES DE L'ETRANGER: Les Alliés progressent sur la Meuse—Les Allemands sont bloqués en Pologne— L'échec turc en Transcaucasie — Attaque arabe contre Muscat—Torpilleurs russes dans la Baie de Sinope—Im= portante mesure financière du gouvernement britannique. LA SITUATION. Mardi, midi. Différents symptômes indiquent que les Allemands songent sérieusement ï reprendre une offensive générale sur lt front occidental. Ils n'ignorent pas, évidemment, que [ les Alliés n'attendent que des conditions climatériques plus favorables pour exer-| cer la poussée qui devra enfoncer les lignes de l'ennemi, et l'obligera à reculei f jus qu'à la Meuse ou au Rhin. Les Allemands s'efforcent donc de mettre à profit leur succès près de Sois-sons pour essayer de frapper un coup I décisif de. ce côté, et pour passer l'Aisne en force. Pour réaliser ce projet ils sont obligés d'élargir avant tout leur front d'attaque et c'est à ce but que tendent les opérations d'hier à droite et à gauche de Sois-sons; à Autrêches, au nord-est de Vie-sur-Aisne, ainsi qu'à Saint-Paul, Troy-i on, et Beaulne. Jusqu'à présent .leurs tentatives dans ce but ont complètement échoué, mais on sait qu'ils dirigent d'importants renforts dans ce secteur. Le communiqué français de l'après-; midi mentionne une avance significativ€ [de nos Alliés dans le Bois-le-Prêtre, at .nord-ouest de Pont-à-Mousson, sur la rive gauche de la Moselle. Les progrès [français dans cette région doivent être de plus en plus sensibles aux Allemands qui voient s'allonger et se rétrécir de jour en jour, l'étroit boyau qui constitue leur unique ligne de communication avec Saint-Mihiel. Ûans la région de Perthes le feu de l'artillerie française a été très effectif. Dans l'Argonne plusieurs attaques allemandes contre les crêtes à l'ouest de f Boureuilles sont restées sans résultat. Dans les Vosges, de fortes chutes de neige paralysent toute action. En Alsace, les Allemands ont bombar-| dé Thann. Sur lp frrtnf t-uccA onrMin fîiif caillant n'est signalé. Les Russes ont repris au: environs de Gumine la tranchée doni nous avions signalé la perte hier. Des informations de source privéi disent qu'à Lodz il ne reste pour ains dire plus de troupes allemandes, toute: les forces disponibles ayant été en voyées sur la Bzura et même sur le fron occidental. Comme le fait remarque: notre envoyé spécial à Pétrograd, le: Allemands se trouvent dans l'alterna : tive ou bien de risquer un nouvel éche< et une nouvelle saignée en reprenant l'of i fensive contre les positions russes devan Varsovie, ou bien de voir leurs troupe: décimées par les maladies. Pourtant on ne signale jusqu'à pré sent aucun signe indiquant l'intentior des Allemands de se retirer de la Bzura L'armée du Caucase poursuit son suc cès, et les troupes russes continuent de faire de nombreux prisonniers turcs. Er zéroum n'est plus qu'à quatre journée: de marche des Russes, mais il serait pré • maturé d'en conclure à une occupatior imminente par nos Alliés. Les Turcs doivent encore disposer de nombreuses réserves et les opérations sur cette partie du théâtre de la guerre ne sont pas terminées. L'attaque arabe contre Muscat, à l'entrée du golfe Persique, n'a trait qu'in directement à la guerre européenne. Des tribus mécontentes ont attaque la capitale du sultan d'Oman et celui-ci avec l'aide de détachements indiens, i repoussé l'attaque avec de fortes perte: pour les assaillants. Il convient de mettre en lumière l'importance de la mesure que vient de pren dre le gouvernement britannique en in tereîisânt la participation des capitam anglais aux émissions qui ne réponden pas à un intérêt national. C'est un resserrement du blocus financier aussi effectif peut-être que le blocus ifi a ri f i m c MALENTENDUS !.. Il y a, en ces jours sombres, des âme qui sont pleines de soleil—et des cœur pnlesquels rayonnent la chaleur divine., Ce sont les âmes et les cœurs de no soldats, au front... ! Ceux-là accomplissent et peuvent ac fcomplii- l'admirable action d'abnégation d'oubli de soi-même—en faveur du De yoir, de ce phare qui illumine le chemi de la vie comme les phares-des côtes il 'uminent, par les nuits de tempêtes, le chemins de la mer... ^'os soldats!... Us sont sous la mi faille, mais dans leurs cœurs, .tandi que les shrapnells produisent leur brui 'ugubre, s'épanouit la fleur douce d I''idéal... Nos soldats ! Nos braves soldats qi sont au feu, ceux qui ont leur vie à don ner, car elle leur appartient à eux seuls ^ qui l'apportent à la grande idée d Liberté et convaincus <ie l'utilité de leu Nos braves petits- soldats ! Nos brave s jeunes gens qui sont là-bas, dans le: s tranchées—dans la nuit de l'hiver, e . qui, pourtant, sont heureux, paisibles s calmes, et qui chantent et qui rient.. Ah ! le bonheur profond de donner s£ vie, quand cette vie #ous appartient ; vous seul, et qu'elle résume le granc » cadeau à faire à la Liberté... La joie de la bataille existe même 1 dans l'horreur des moyens de destruction actuels, et on s'explique la paix in-3 térieure, le moral excellent (dont, l'autre jour, notre collaborateur, Franz Hellens. - entretenait les lecteurs de " l'Indépen-s dance Belge ") de nos braves soldats., t Tandis que ces braves-là ont la joie ; dans le cœur, tandis que la nuit sombre s'éclaire pour eux du rayon divin, tan-i dis que leurs chansons patriotiques s'é- - lèvent dans l'air comme J'hymne des , âmes paisibles, nous assistons à de vai-e nés querelles entre Belges qui ne sonl r pas, là-bas, sous le feu des mitrailleuses...s Que de malentendus !... Que de tristes et douloureux malentendus qu'expliquent seules l'ombre dans laquelle nous vivons et la tristesse des heures tragiques du présent — l'ombre dans laquelle les consciences se cherchent, comme se chercheraient de pauvres êtres malades, dépourvus du sens de la vue, et qui iraient à tâtons par des landes escarpées, où les chardons seuls croîtraient. Pourquoi ces malentendus ? L'explication est bien simple, hélas ! Elle se trouve dans l'impuissance même où pataugent beaucoup d'entre nous — dans l'impuissance d'être utile aussi puissamment que le soldat qui, là-bas, le fusil dans les mains, surveille l'approche de l'ennemi. Elle se trouve dans l'impossibilité morale ou physique d'être parmi "ceux qui se battent"... Elle se trouve dans la conscience de n'être pas utile à la défense de la Liberté, de façon matérielle, et prouvée," comme l'est le plus humble des "pioupious," comme l'est le dernier des paysans de Flandre ou de Wallonie, l'arme prête et la cartouchière garnie !... Mais pourquoi oes "malentendus" prennent-ils des formes agressives et — douloureuses? Pourquoi faut-il que des injures dissimulées s'adressent à des Belges par des Belges — ajoutant à l'horreur des heures tragiques actuelles toute l'abomination des regrets, des re-x proches, des souffrances nouvelles... lt Ne souffre-t-on pas assez? Faut-il que des pointes aiguës viennent encore labou-;e rer les plaies saignantes ? ' ■ Pauvres gens que nous sommes. Oui, ,s pauvres gens ! Pauvres gens parce que nous ne nous rendons pas compte sulfi-ît samment de la réalité des choses ; parce 3r que nous sommes suffisamment démora-lisés pour que des injures injustifiées nous atteignant "t dus fassent de nou-,c velles blessures ; parce que nous oublions £_ que si nos soldats ont la paisible satis-lt faction du devoir accompli, nous devri-ons avoir la force de caractère, nous qui ne sommes pas soldats parce que iinnc r»£» r>rvn rr i rvr» c r» o c l'Afro nfilûtviQMi- de nous rendre compte d'une vérité essentielle : c'est que le Devoir à accomplir se divise actuellement, dans nos pays ravagés par la guerre, de deux façons bien nettes : (1) Le devoir qui incombe à tous ceux en âge, en état de santé et en situatiou morale de porter les armes, d'aller au front et de former le rempart vivant contre l'ennemi. (2) • Le devoir qui incombe, dans le domaine moral, à tous : rendre service dans les milieux où l'on vit, défendre les grandes idées du respect de l'altruisme, agir dans la sphère que les circonstances ont créée, et se dépenser pour le "mieux-être" de tous... Toute le reste n'est que malentendus... " Malentendu," l'injure qui vient blesser profondément tels ou tels belges parce qu'ils sont ici ou là; " malentendu," que la colère de l'un contre l'autre, parce que l'un agit dans une sphère et que l'autre se dévoue dans une autre sphère; " malentendu," l'affirmation que le Droit, cet immense et admirable champ moral, ne doit plus avoir ses laboureurs et ses fertilisateurs; "malentendu," le fait <Je reprocher aux uns d'échapper à la botte allemande tandis que d'autres la supportent dans un but d'altruisme; "malentendu," le fait de nier que des hommes de bonne volonté et de courage ont eu raison de se mettre à l'abri de l'oppression barbare pour continuer à lutter, librement, dans le domaine moral, intellectuel et magnifique... Oui, " malentendus" que tout cela— et malentendus qui se dissiperont à l'heure de Vérité, comme se dissipe le nuage pour être remplacé par le soleil !... Mais quelles hêures douloureuses!... Quelle ombre, quelle nuit—pour ceux qui n'ont pas la glorieuse et douce paix de pouvoir livrer leur vie, dans la chance et l'espoir du succès, à la grande idée de Liberté... la seule qui vaille qu'on meure pour elle ! r* A AT TT T T? nATTCCTT NOS OFFICIERS. 'r" Une lettre émotionnante, écrite par l :es officier blessé et que celui-ci nous adres: "e" comme une requête, nous a été droit a on cœur... C'est qu'elle reflète une intin douleur, une douleur imméritée — < qu'il est bon de ne pas laisser subsisti ns dans le cœur de nos officiers qui accon Te plissent leur mission admirablement. L requête de notre correspondant tend :n" obtenir plus de justice à l'égard de ne n" officiers, auxquels on ne rend pas sufi samment l'hommage auquel ils ont dro ue —mais c'est bien à tort que le courageu C1> signataire de la lettre sollicite plus c a justice : il est en droit de la réclame :es nette et ferme. On se montre, en effet, quelque pe "n* inique à l'égard des chefs de nos solda ;n_ — et le trait psychologique que noti n- correspondant souligne est vrai absoh Llx ment : nt Vous connaissez mieux que moi, cKt-il, not travers national : si,sur 100 officiers, 3 s© conduise en héros, 94 font leur devoir, et les 3 derniers : le font pas, nos compatriotes parleront seuleme us des 3 derniers. Cela est très exact. in Le besoin de détruire où d'atteindi les réputations, ou bien de ne ten pnmnfp mif rln " mal " çnnç çnnrii r un du " bien " est une maladie morale don esse la majorité-'des Belges sont atteints, t au II est nécessaire de réagir de temps time autre, contre la disposition d'esprit qu — et par suite d'une habitude déplorable, ra ister petisse ce qui est grand — en ne met :om- tant en lumière que l'exception et en eé . La néralisant l'exception. îd à Parce que quelques officiers belges nos non entraînés à être des chefs énergi suffi- ques, ont failli à leur devoir ou ne s iroit sont pas trouvés à la hauteur des devoir ^eux à accomplir, une rumeur s'est produite 3 de s'est étendue, et l'on a fait de la généra ner, lisation. Cela est néfaste, dangereux et, re peu pétons-le, injuste. dats Lorsque l'heure sera venue de racon lotre ter l'histoire de cette guerre en déta ;olu- et lorsqu'on pourra mettre sous le yeux du public les récits des action notre d'éclat accomplies par nos officiers e usent llos soldats, chacun pourra se rendr meut compte de l'effort énorme qui fut fai et, aussi, de l'héroïsme de chacun... En attendant, rendons justice, e ndre bloc, à tous, officiers et soldats, qui on tenir fait la Belgique plus grande dans le de icier maine moral. LA POLITIQUE DE LA BULGARIE. f (De notre correspondant particulier de Grèce.) On dit aux Grecs: " Puisque vo e renoncez à des terres helléniques, pou ~ quoi ne pas sacrifier aussi à la cause e bloc balkanique quelques territoires ( 0 Royaume? " ' Ils répondent: " Pour une infinité < . raisons." e En effet, sans revenir sur les arg e ments touchant les seuls districts qu " serait possible géographiquement d'à " nexer à la Bulgarie il taut remarquer A.—Que la Grèce a déjà cédé t Bucarest tout ce qu'il lui était po sible de céder. En effet, sur les terrains conquis alo s au prix des plus sanglants sacrifices, er Grece a cede a la Serbie Guevguel, Do ran et Petsovon ; elle a restitué à la Bu garie toute la Thrace occidentale (c iOUS Xanthie à Dédéagatch) et en plus tout our" la Macédoine du centre et nord-est : ne e du minativement les districts de Stroun ; du nitsa, Petritsi, Kresana, Djoumay; Menelikon et Navrocop. Elle ne s'e: £ cje arrêtée dans la voie des concessions qi: là où dominèrent des nécessités strati giques supérieures. Elle a été payée c r8y~ sa modération en voyant plus de 100,OC qu'il Grecs habitant les districts restitués l'an- la Bulgarie dépouillés de tous leur er : biens et chassés comme des lépreux. lé à B.—Que la Grèce ne peut pas e: pos- pérer de compensations. La Serbie et la Roumanie peuvent s ilors montrer généreuses à la pensée que de 3, la dépouilles de l'Autriche-Hongroie na | Nous donnons ci-dessous la septième section des itinéraires de la London 1 General Motor - bus actuellement en t service à Londres, les faubourgs st la campagne. 7ft putney bridge station e « u & merton park. g Toutes les i0 mi as. Tarif 4$d. (36 mina.) Via Futney Bdg., High St. Putnev, l u1 ney Hill, S Park aide, Wim ledon HiU Bd., Wimbledon Bdy., Hartfield Bd. Kingston Bd. j - 71 KING'S CROSS & BARNES ' J (Red Lion). Toutes les 8 à 9 mins Tarif 4£d, (60 minfl.) Via Euston Bd., Tottenham Court Bd., Oxford St., Marble Arch, Pa k Lane, Knightsbridge et ensuite No. 9 route. * 77 putney common & camden S town station. Tontes les 6 à 7 mins. Tarif 4£d. Via Ha-nmersmith Bdy., Shepherd's Bush Green, Hollaud Jfark Ave., Queen's Rd., West-^ bourne Grove, Harrow ad., Warwick Are., ^ Clifton Gardens, St. John's Wood Ed., Albert g Bd., Park St. 1 7'î WOOLWICH & CROYDON e ^ (Swan and Sugar Loaf). Toutes les 9 mins. Tarif 9èd. (101 mins.) 5 Via Charlton Road, Biackheath. Lee Road, Burntash Road, Catford. Sydenham, South Norwood, London Road (West Croydon). 5 — c 7 fit VICTORIA STATION & #VI EDMONTON (Ange!), t Toutes les 7 à 8 mins. Tarif SVid. (76 mins.) e Via Westminster Bdg.. York Bd., Stamford St., , Qaeen Victor a S Moorga e St., Southgate é Rd., Englefield Rd.. Dalsten, High Rd, g Tottenham. r 7 7 KING'S CROSS & TOOTING. Ton es les 6 mins. Tari. 5d. Via Southampton Row, Kingsway, Strand, Whitehall, Westminster Bdg., Vanxhall, Wandsworth Rd., Lavender Hill. Easb Hill, Garratt Lane. Mitoham Rd. 755 DULWICH & SHOREDITCH. 2 - w Toutes les à 6 mins. Tarif bd. (48 mins.) Via Barry Rd., Peckham Rye, Rye Lane, Hill St., Peckham Park Ed., Old Kent Rd , Grange Pd-, Tower B 'g. Rd.. Tower Bdg., Minories. 7Q KINGSTON MARKET & ' y high st., esher. c Toutes les 50 mins. Fare 3d. (24 mins.) Via Portsmouth Bd. 2 golders green stn. & 0j edgware rd. (Station Bd.) i Toutes les 8 mins. Tarif 2d. (20 mins.i Via Golders Green Rd., Brent St., Church Bd., Burroughs to Hendon Sta. Bd. q/l golders green station & > st. albans. Toutes les 30 mins. Tarif 9d. (85min\ï Via Fincliley Bd. Ballards Lane, Nortli Fineh-ley, Wbetstone, Barnet, South Mimms, London Colney. 9c putney bridge sta. & t 0J kingston (HorseFair.) Toutes les 20 mins. Tarif 5d. (33 mins.) , Via Putney Hill et Heath. Boehamp.on Lane, i Kingston Bd.. Vale. et Hill ' t Les jours de semaine seulement. Une liste complète de tous les itinéraires en service tst envoyée sur demande à L'Advertising Dept., The London General Omnibus Co., Ltd.. Electric Railway House, i Broadway, Westminster, s.vqf. 94 5 tront une grande Serbie et une gran ) Roumanie. Mais, que peut espérer - Grèce? On lui offre l'Albanie du Su mais, que vaut celle.-ci sans Vallon; - Ce que vaut le Dodécanèse sans Rhodi Ce que vaut une coquille dont on a s - levé l'huître. Sans compter que les 1 1 banais sont habitués à ne pas travailli s à recevoir des dons, qu'ils reçoivent n s la notion de l'impôt et qu'ils entrait t ront une très forte augmentation 3 budget de la gendarmerie. t A la vérité, les seules compensatio à offrir à la Grèce sont les côtes 1 l'Asie-Mineure. L'Eolie et l'Ionie not t rissent aujourd'hui encore près - 1,500,000 Hellènes. La Grèce ne rei serait certes pas un pareil cadea ■ mais, à une condition qu'on ne la pri pas de ses frontières stratégiques Xord. Sans «cela, la Bulgarie s'empri serait de s'entendre avec le pouvoir c détiendrait l'intérieur de l'Asie-Minei et les Grecs seraient vite jetés à la rr tant ftu Nord qu'à l'Est. C'est pourquor un journal athénien exprimé, dans un style trop imagé, cei ^ pensée exacte : Qu'offrir à la Grè Smyrne en lui prenant Edesse, Yenit: Cavalla ou Drama, c'est lui offrir du pi son dans une coupe d'or. ^ C.—Il faut tenir aussi compte que Grèce n'a pas trop de ses territoh actuels. -, Les calculs les plus modérés évalue 5 le nombre d'Hellènesàplus de 8,000,0C j Le royaume hellénique compte actuel 5 ment à peine 5,000,000 de sujets. Da les circonstances actuelles il est diffic d'espérer que plus d'un tiers des autr Hellènes pourront être annexés plus moins prochainement à la mère patr î II ne reste aux deux autres millio s qu'une chose à faire: ce qu'ont fait 1 • Grecs de Roumélie-Orjentale, de Thrac Kfièrae aan&. No. 361.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel L'indépendance belge gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londres von 1914 bis 1918.

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