Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 26 Juni. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Konsultiert 29 März 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/348gf0nm6s/
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ANVERS, Samedi 26 Juin 1915 Linquante-huitieme Annee - JNo 17.343 DIRECTION & REDACTION : RUE VLEMINCKX, 14 Si' • -\ ANVERS ».\ v/ Téléphone 3761 :■:>>/ LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 51. Anvers, 25 juin 1915, 9 1/2 h. du matin — Baiomètre 762,5 — Thermomètre cent (max) H- 24 — Therraom cent. Imin.l -f- 14 — Pluviomètre 1,1 m/m.—Veut. Ouest.— Prévision : Pluie. Astronomie 27 juin Lever du soleil 3 h. 30 m. matin — ' 3 30) Coucher du soleil 8 „ — „ soir = ( 20 —) Lever de la lune 8 , 55 „ soir =■ (20.55' Coucher de la lune .... 3 4 „ malin = (34) Pleine lune le 27 juin 4 .. 27 „ matin = ( 4.27) Dernier quartier le 4 juill. . . 5 54 „ matin = ( 5.54) Nouvelle lune le 12 juill. . . 9 „ 31 „ matin = ( 9.311 Premier quartier le 19 juill. . . 9 „ 9 „ soir — (21. 9) Haute marée à Anvers Matin Soir 27 juin 3 h. 29 m. = ( 3 h 29) I 3 h. 54 m. — (15 h. 54) 28 juin 4 h. 18 m. = ' 4 h. 18) I 4 h. 41 m. 16 h. 41) | 29 juin 5 h. 2 in. = ' 5 h. 2) | 5 h. 23 m. = '17 h. 23) (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 24 juin 2,35 m Strasbourg 24 juin — m lluningen „ 2,70 „ Lauterbourg „ — Kehl 3,39 „ Màxau .. - „ Mannhein- „ 4,28 „ Germersheim „ — .. Caub 25 * 2,53 Mayence „ 1,50 „ Kuhrort „ 1,45 „ Bingen „ 2,23 Duisbourg 24 „ 1,43 Coblence ,. 2,45 „ Waldshiit „ — Diisseldorf „ 2,10 . Lobith ., 11.04 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 24 juin 2,03 m. Heilbronn 24 juin 0,30 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 24 juin 0,10 m- Constance 25 juin 4,18 m. Port d'Anvers ARRIVAGES DU 25 JUIN Steamer Stad Amsterdam 3, de Bruxelles. » Nederlander, de la Hollande. » Telegraaf 3, de la Hollande. Bateau-moteur Maria, de Calloo. » Pierre Joseph, de Rupelmonde. Kromhout 12, de la Hollande. Allège Doel 7, de Doel. » Adeline, de Hemixem. » La Prévoyance, de Steendorp. » Axa 2, de Schooten. » Drie Gebroeders, de Turnhout. » Theresia, de Louvaïn. » St. Antoniijs, de Bruxelles. » pêcheur, d'AloSt. Vereinigung 61, de Bruxelles. » Progrès, de Liège. » Granit, de Liège. » Orphée, de la Hollande. » Francisco Ferrer, de la Hollande. » Rhenania 7, de l'Allemagne. DEPARTS DU 25 JUIN | steamer Amstel 5, pour Bruxelles. » Nederlander, pour Bruxelles. » Telegraaf 4, pour la Hollande. Bateau-moteur Anna, pour Niel. » Dorothea, pour St. Amand. » Regîna, pour Gand. » Artois I, pour Louvain. '> Vischhandf.l, pour la Hollande. Allège Vigilance, pour Lillo. » John, pour Burght. » Gaston Georges, pour Hobokèn. » 5 Gebroeders, pour Baesrode. » Virgenie, pour Boom. » Florent, pour Alost. » Marie, pour Merxem. » Joseph Marie, pour Louvain. » Sambre, pour Tournai. » Ile de Cuba, pour Flémalle. » Sophie, pour la Hollande. . » L'Avenir, pour la Hollande. » De Vrouw Cornelia, pour la Hollande. » VrOuw Cornelia, pour la Hollande. » Mannheim 16, pour l'Allemagne. » Greta, pour l'Allemagne. Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 15 juin 1915, qu'entre MM. Eugène Franck, n-égo-[ ciant,. à Bouclïout, et Edouard Van Wirïckel, employé, à Mortsel, il a été constituée une société en nom collectif sous la raison sociale « Comptoir National Franck & Co », avec siège à Anvers, et ayant pour objet principalement les agences et les opérations de commissions en tous genres, l'achat et la vente de marchandises, terrains, immeubles, [ etc., les études d'affaires à commanditer ou à met-E tre en société, les expertisés générales, etc. La du-j' ree est fixée à trois années, renouvelable comme il [ est dit à l'acte. Prorogation d'assemblées. — Il résulte de procès-verbaux d'assemblées générales ordinaires de: 1° la société anonyme « Piassa Oeloe Rubber Company Ltd. » ; 2° la société anonyme « Kuang Rubber Plantations » ; 3° la société anonyme « Soeka Djadi Estâtes Ltd. » ; 4° la société anonyme « Société Finan-[ cière des Caoutchoucs » ; 5° la « Société anonyme des Plantations de Telok Dalam », établies à Anvers, et 6° le « Comptoir Commercial Congolais », société à responsabilité limitée, siège social à Fayala (Congo Belge), que ces assemblées ont été ajournées à une date ultérieure à fixer par les conseils d'administrations, date à laquelle il sera possible de soumettre les rapports et bilan de l'exercice 1914. L'assemblée de la Société anonyme des Plantations de Telok Dalam a réélu le conseil d'administration ! et le collège des commissaires, sauf en ce qui con-: cerne Mr F. Reiss, décédé. Mr Creutz est nommé commissaire. L'assemblée du Comptoir Commercial Congolais a voté de proroger jusqu'à une réunion ultérieure, les pouvoirs des administrateurs et commissaires sortants et de surseoir au remplacement d'un commissaire décédé. Nominations et bilans. — Société anonyme « Ter minus Hôtel », à Anvers. MM. Fr. Reinenmnd et A. Van den Perre sont réélus administrateurs. Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme «Atlantic» Meyvis-Jespers & [ Co, à Anvers. Mr Ch. Sobry, exxjert-comptable, ;i Anvers, a été nommé commissaire en remplacement de Mr C. Snels, démissionnaire. Bilan au 31 décembre 1914. — Société coopérative « De Kerkelyke Kas », à Anvers. Dr v. Hepp, étant parti, ne fait plus partie de la. société. Mr Mulder est nommé administrateur-directeur, et Mr j. Caers, commissaire. Bilan au 19 mai 1915. — Société anonyme d'électricité (G. Le Roy), à Anvers. Bilan au 31 juillet 1914. — Société anonyme « L'Epargne Immobilière », à Anvers. Bilan au 31 décembre 1914. Le ravitaillement du Grand-Duché de Luxembourg Le ravitaillement du Luxembourg au moyen de farine 9uisse se fait avec l'assentiment de la France et de l'Allemagne. Tous des quinze jours et cela jusqu'à la récolte prochaine, un trahi chargé de farine - partira de la Suisse pour le Luxembourg. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. City of Brussels. — Londres, 25 juin. — Le steamer fingl. City of Brussels, allant de Rotterdam à Dublin, a été en collision ét est arrivé à Falmonth avec des avaries à la proue et le coqueron avant rempli d'eau. Clan Maclaren. — Cape Town, 22 juin. — Le steamer Clan Maclaren est arrivé ici avec de graves avaries sur le pont. Des canots ont été détruits et des tuyaux à vapeur enlevés. Le logement de l'éauipage ( est rempli d'eau. 1 Farmsum. — Lundy Island, 23 juin. — Le vapeur ( néerlandais Farmsum s'est mis à l'ancre ici avec une ( légère avarie à la machine. (Le Farmsum était parti le 22 courant de Port Tal-l>ot pour Fray Bentos). Gulflight. — Nortli Shields, 22 juin. — Le vapeur américain Gulflight est parti pour Wallsend afin \ de subir des réparations. ' s Munin. — Londres, 24 juin. — On mande de Po- f maron que le vapeur norvégien Munin, destiné pour t Rouen, a touché le fond en quittant le port et est resté échoué. Les cales sont remplies d'eau. Nubia. — Colombo, 22 juin. — Le steamer Nubia a le gouvernail enlevé. Les passagers ont été débarqués. (Voir Lloyd Anversois d'hier). Prestonian. — Londres, 24 juin. — Le steamer Prestonian, échoué le 25 mai près de Roshearty, est tellement avarié qu'on n'espère plus pouvoir le sauver. Ce vapeur n'est plus réassurable. Quietwaters, Viceroy. — Londres, 24 juin. — Le Lloyd's apprend de Cullercoats que le vapeur Hama a recueilli les équipages des bateaux de pêche Quietwaters, de Peterhead, et Viceroy, d'Aberdeen, qui ont été coulés près des îles Shetland, à 25 milles à l'Ouest de Sher Ness. Tram ma. — Bergen, 24 juin. — Le vapeur -norv. Nova est arrivé ici ayant à bord l'équipage du steamer norvégien Tramma. Ce dernier qui se rendait de Archangel à Londres avec un chargement de bois, a été "torpillé et incendié aux environs des îles Shetland. Vemus. — Londres, 28 juin. — A son arrivée à Newcastle, le capitaine du vapeur norvégien Ver-nus a annoncé qu'il a été arrêté et forcé par un sous-marin allemand de jeter par-dessus bord une grande partie du rhargement, se composant de vivres. Alors, il put continuer son voyage. Réassurances londres, 23 juin. — a. w. Perry (s.), 80 gns ; Ba-ron Driesen (s.), 50 gns; Hendon Hall (s.), 80 gns. Ventes de navires Eemshorn. — Delfzijl, 22 juin. — Après examen de la quille, le remorqueur Eemshorn a été vendu à un armement de Copenhague. Heemskerk. Rotterdam, 23 juin. — Le vapeur Heemskerk, construit en 1902 au chantier de la firme .lan Smit Czn, a Alblasserdam, a été vendu à un armement norvégien. Le Heemskerk, de la Stoomvaart Maatschappij I romp, jauge 2183 tonnes brut et 1375 tonnes net reg., et a une longueur de 293', une largeur de 43' et un creux de 20'2". BELGIQUE BRUXELLES L'Œuvre de la cantine du soldat prisonnier Rappelons que Je siège de cette société est établi dans les bureaux de la Compagnie des Wagons-Lits 17, Place de Brouckère, à Bruxelles. Qui pourrait, sans éprouver mie certaine émotion, jeter les yeux sur les centaines d'accusés de réception étalés à la vitrine, parfois naïvement, souvent incorrectement rédigés, dont, beaucoup signalent la détresse d'un compagnon d'armes infortuné ? Afin de permettre de juger l'œuvre que dirige avec tant de dévouement Mr R. Pelgrims, assisté d'un comité, parmi îles membres duquel on relève le nom de personnalités appartenant à l'élite de notre industrie et de notre commerce nationaux, bornons-nous à dire qu'à la date du 31 mai dernier, 26.000 envois payants et 1.500 envois gratuits avaient été faits par les soins des établissements Delhaize frères et C°, qui sont chargés de la composition et de l'expédition des commandes. Ce nom seul suffit pour i donner tous apaisements quant, à la qualité des denrées expédiées. Actuellement, l'œuvre a adopté trois modèles de « cantine », dont, d'après la composition de l'envoi, le prix est fixé à 2, 5 et 10 francs. Les prisonniers français, originaires de Maubeuge, de Fumay et. de Givet, sont assimilés aux Belges et peuvent être desservis par l'œuvre. Consacrons une partie de notre superflu au soulagement des misères de ceux qui sont internés là-bas, de l'autre côté du Rhin, après avoir vaillamment accompli leur devoir envers le pays. Que des milliers et des milliers de « cantines » aillent témoigner à nos glorieux enfants la gratitude de leurs concitoyens, pour la liberté et l'honneur national desquels ils ont exposé leur vie et aussi leur sang. ENGHIEN Les correspondances avec Bruxelles sont faciles et les trams font de très bonnes affaires. I.es départs pour Bruxelles-place Rouppe sont à 4 h. 15, 9.50, 15.50; pour la Roue à 5.50, 6.20, 10.55, 11.30, 12.55, 14.55 et 17.35. De Bruxelles-place Rouppe partent des trams à 8 h., 14.00, 16.00 (direct), et 18.30, arrivant à Enghien à 9.50, 15.40, 17.25 et 20.35. D'autres départs ont lieu à la Roue. Les trams arrivent à Mous à 8 h., 0.40 et 10.45. GOSSELIES La ligne de Jumet-Gosselies-Carosse a été inaugurée dimanche dernier. FLEURUS Le conseil communal a voté, dans sa dernière séance, sa part d'intervention dans les frais d'installation du vicinal Gil'ly-Fleurus, par Vieux-Campi-naire. La voie suivra la ligne de Charleroi à Namur. DANS LE CENTRE Plusieurs charbonnages du Centre, Maurage et Ressaix ont occupé leurs ouvriers tous les jours, tandis que La Louvière, Bois-du-Luc, Bracquegnies, Mariemont, Havré travaillent quelques jours par semaine. Un grand nombre de métallurgistes, chômeurs, remplacent les bouilleurs flamands. Actuellement, le dernier tram quitte déjà La Louvière vers 7 heures; à l'avenir, il sera retardé d'une heure. Province du Hainaut La chasse Par arrêté du 22 mai, le Gouverneur militaire du Hainaut a fixé comme suit les époques où Ja chasse est prohibée dans la. dite province : >» biches et daines ...» 1-3 » 31-7 * » faons » 1-2 » 15-10 » chevreuils » 1-1 » 15-5 » . chevrette,faon s .de chevrette » 1-1 » 31-10 » lièvres ....... » 16-1 » 30-9 ». faisans » 1-6 » 30-8 » faisandes » 1-2 » 15-9 » perdrix ...... » 1-1 » 10-8 » canards sauvages . . » 1-3 » 30-6 » bécasses » 16-4 » 30-6 jlvi.y ujucs jc.1 iciiiieuue ut; îa ouci.aso, ic uici'xis- port 'de même que la vente du gibier sont défendus. La chasse aux chevreuils ne peut se faire qu'à balle. En ce qui concerne la chasse aux lièvres, perdrix 3t faisans, le Gourneur Général fera connaître plus tard des dispositions générales, et ce, au fur et à mesure du progrès des récoltes. Le premier jour où la chasse est ouverte pour les canards sauvages est le lr juillet. * La chasse est •seulement permise avec l'autorisa-:ion du Gouverneur Général. FRANCE Le bureau central des postes de Maubeuge, desservi par l'administration militaire allemande sera remplacé par un bureau de postes relevant de l'administration allemande des postes et télégraphes en Belgique. Règlement concernant la coupe de grains Le président de l'administration civile de la province .de Lfmboùrg a édicté le 22 mai dernier le règlement suivant, concernant la coupe de grains qui pourraient mieux servir à la fabrication du pain : « Par ordre de Mr le Gouverneur Général, les cultivateurs de la province sont invités, dans leur pro ore intérêt, à s'abstenir, hormis dans les cas de jesoin absolument urgent, de couper les grains des Inès à la fabrication du pain, pour les ut.iliseï 'omme fourrage. Vu la cherté des grains, le cultiva eur qui nourrit son bétail avec des céréales en ■*ert se fait un tort à lui-même, d'autant plus qu'il era presque partout possible, sans grande difficulté, d'entretenir le bétail, jusqu'à la prochaine •écolte, au moyen du fourrage vert déjà très abon-lant et des pommes de terre importées depuis peu n grande quantité, surtout de la. Hollande. » Le bateau de sauvetage automobile Il a été parlé du batéau de sauvetage automo-ile que les Américains ont adopté après des essais, inon merveilleux, du moins satisfaisants ; il ne lut pas oublier, en effet, que dans cet ordre d'ini-atives comme dans tous les autres, on doit comp ter avec le temps et les améliorations que la science et l'expérience ne peuvent manquer de réaliser. Les Américains ont donc adopté, hardiment et logiquement, un nouvel engin de salût : il est des cas où l'aviron ne saurait suffire, car les canotiers seraient à bout de forces avant même d'av-oir pu atteindre le navire naufragé ; il est des circonstances aussi où la voile, quand le bateau de sauvetage peut la supporter, peut venir à manquer, ou devient d'une manœuvre difficile et dangereuse. Le moteur est donc, en principe, une aide précieuse et inappréciable pour les héros des stations de secours. Mais, tout en constatant la décision des Américains, qui complètent ainsi leur -matériel, déjà bien pourvu de « sharples » et de canots Mac-Lellan, il ne convient pas d'oublier celui des autres. Or, c'est à d'autres que revient l'honneur d'avoir fait construire le premier bateau de sauvetage à moteur, car le modèle adopté par les Amériacins n'est autre que celui essayé à La Rochelle, le 5 mars 1905. A cette époque, l'on connaissait en service plusieurs exemplaires du bateau Henry, à voiles et à rames. La caractéristique de ces bateaux réside dans un « bulb » mobile, arriculé, placé à la quille pour assurer la stabilité, et dans une chambre vide, sur toute la. longueur de laquelle se fait l'évacuation de l'eau embarquée. Le plancher de cette chambre est à 10 centimètres au-dessous de la flottaison ; selon la loi des vases communiquants, lorsqu'une lame envahit le bateau, l'eau s'échappe instantanément par l'orifice de sortie (cet orifice de sortie est ici un puits longitudinal) qui permet une évacuation six fois plus rapide que dans le modèle du « life-boat ». Un système de clapets automatiques, comme dans le modèle anglais, empêche toute projection d'embruns de bas en haut. Le « bulb » n'est jamais un obstacle : navigue-t-on dans des fonds bas, il reste suspendu sous-la quille, servant ainsi de lest; navigue-t-on sur de hauts fonds, il rentre dans la chambre vide dès qu'il touche : on peut ■'donc faire côte sans inconvénient.Non seulement ce type nouveau de bateau de sauvetage était en service déjà chez les sauveteurs bretons et dans quelques stations du Portugal, mais le bateau Henry avait fait ses preuves. Ce fut alors que ces mêmes sauveteurs bretons firent construire, grâce à la générosité d'un bienfaiteur, un canot de sauvetage à triple armement : avirons, voile et moteur, inchavirable et insubmersible. Ce nouveau bateau Henry, reçu par la commission de contrôle fut essayé le 5 juin 1905, et, malgré une petite panne donna la plus entière satisfaction pour l'époque et fit concevoir les plus sérieuses espérances pour l'avenir du sauvetage par canôts automobiles.On comprendra cette satisfaction et ces espérances quand l'on saura que, dans des essais préliminaires faits la semaine précédente et par une mer démontée, le canot de sauvetage à moteur s'était conduit de la. plus admirable façon : alors que les vapeurs avaient interrompu leurs traversées, le canot, bravant la tempête, s'était chargé du service postal entre le port, de La Pallice et l'île de Ré ; sans cesse couvert de lames, le bateau n'avait pas cessé de filer, émergeant toujours des flots et la coque vide. Ce fut vraiment là un raid magnifique. Quand on consulte les dessins de ce canot de sauvetage à moteur — douze cheVaux avec hélice réversible, six à sept nœuds de vitesse — on reconnaît en ce type de J904 le bateau adopté aux Etats-Unis. On peut trouver des différences de détail, mais il reste le « fond ». La création du bateau inchavirable et insubmersible est due à un Français, le dessinateur de la marine à Rochefort, Albert Henry. Le premier bateau de ce système a. été mis en service par les Hospitaliers sauveteurs bretons. C'est à leur initiative, secondée par l'inventeur du bateau à puits et à « bulb », que le monde dut l'apparition du premier canot à moteur, inchavirable et insubmersible. Tous les Etats belligérants sont aujourd'hui largement pourvus de ces appareils dont l'utilisation donne des résultats hautement appréciables. L'industrie sucrière L'industrie sucrière est une des branches les plus importantes des industries de l'alimentation. Jusqu'en 1806, époque 'où Napoléon Ier imagina contre l'Angleterre le blocus continental, qui excluait de la consommation toutes les denrées coloniales, la sucrerie avait dépendu de la canne à sucre. Or, celle-ci est un produit exotique qui, alors, était récolté surtout dans les colonies anglaises ou dans les pays sur lesquels l'Angleterre avait la main. Comment le remplacer? La science se chargea de résoudre ce grave problème industriel, qui se doublait d'une question alimentaire. La- betterave remplaça la canne à sucre. Cette plante est originaire des bords de la Méditerranée. Ses qualités saccharifères avaient été déjà signalées par Pline le Jeune. Elle fut importée d'Italie en France, au commencement du XVIIe siècle, et Olivier de Serres cite déjà les racines de Castelnaudary comme étant les plus sucrées. La découverte scientifique du sucre dans la betterave remonte à 1747. Elle est due au chimiste Margraff. Ce n'est qu'en 1797 que la première sucrerie fut établie en Silésie. Comme nous venons de le dire, le blocus continental donna l'essor à la culture de la betterave et au développement de l'industrie dont elle constitue la matière première. Un mémoire officiel du comte Chaptal, publié en 1812, indique qu'il existait en France, en 1811, 40 sucreries ayant traité 98.000 tonnes de betteraves récoltées sur 6785 hectares. Ce rapport eut pour conséquence la création, en France, de 40 écoles de sucrerie. En 1850, le sucre de betterave ne constituait encore qu'un élément insignifiant dans la production totale, mais, en 1896, il représentait 60 p. c. de cette production. La betterave renferme 10 à 12 p. c. de sucre. En Belgique, c'est à Visé qu'a été établie la première sucrerie, vers 1810. Les débuts de cette industrie ont été marqués chez nous par de grandes difficultés. Elle a longtemps été tenue en suspicion par nos populations rurales, qui voyaient dans la ; betterave une concurrente aux autres produits du j sol, tels que le blé, la pomme de terre, et par les propriétaires fermiers, qui, imbus de faux préjugés et de l'idée que la betterave épuisait irrémédiablement les terres, ont, pendant un long temps, interdit formellement cette culture. Ce qui, alors, a surtout manqué, ce sont les connaissances scientifiques et spéciales indispensables, des instruments assez parfaits pour produire de bons rendements, enfin l'expérience sans laquelle une industrie aussi complexe ne saurait se développer. L'ère des tâtonnements se prolonge jusqu'en 1836. A partir de ce moment, l'industrie sucrière se développe, un grand nombre de fabriques de sucre se créent dans la province de Liège, dans le Brabant et surtout dans le Hainaut. Mais, à cette époque, les plus puissantes usines ne râpent que 2 à 3 millions de kilogrammes de betteraves et n'obtiennent qu'un rendement de 3 à 4 p. c. La fabrication durait alors cinq à six mois. Les pulpes et les mélasses étaient sans valeur. L'extraction du jus au moyen des presses dont disposait à ce moment la sucrerie était fort imparfaite. L'évaporation des jus et leur cuisson se faisaient dans des chaudières fréquemment à feu nu, et le clairçage dans des cuves en bois. Certaines petites sucreries n'avaient même pour toute force motrice que des manèges mus par des bêtes à cornes. En 1846, la Belgique ne comptait que 25 fabriques et. la culture de la betterave ne produisait guère plus de 75.427.250 kilogrammes de matière première pour la sucrerie. Toutefois, nos industriels ne perdirent pas courage et, dans l'espace des dix années qui suivirent, ils accomplirent des progrès considérables. La fabrication s'inspira des données scientifiques, l'outillage industriel se perfectionna : on vit alors les premières applications de l'évaporation et de la cuisson dans le vide. Le clairçage se fit à la turbine et le raffinage des produits à la sucrerie. On a. continué à traiter le jus par le même système. Quant aux produits secondaires qui, jusque-là. étaient, en quelque sorte, sans valeur, ils trouvèrent leur utilisation, les pulpes pour l'alimentation du bétail et la mélasse pour la production de l'alcool. En 1843, le fisc frappait le sucre de betteraves d'un droit de 30 francs par 100 kilogrammes. Le rendement, à cette époque, ne dépassait pas 3 p. c. et on vendait le sucre à 75 francs les 100 kilos sans droits, ce qui n'empêchait pas le fabricant de perdre 18.000 francs sur sa fabrication. La loi du 15 mars 1856 éleva l'impôt, sur le sucre à 38 francs les 100 kilos, avec un minimum de 4.500.000 francs. Les droits perçus, en 1856, s'élevaient, à 4.609.994 francs. La culture de la betterave s'étendait à 7.793 hectares, dont le rendement était représenté par 304 millions 18252 kilogrammes. De 1856 à 1866, la sucrerie fit un grand pas en avant. Paysans et propriétaires fermiers, réconciliés avec la nouvelle industrie, travaillent à l'envi à répandre la culture de la betterave Les moyens de fabrication s'améliorèrent parallèlement,- par l'introduction des appareils à triple effet et par la cuite du sucre en grains. Le système de carbonatation trouble fut également adopté dans la plupart des sucreries. En 1858, la sucrerie belge inaugura son exportation par le chiffre de 690.000 kilogrammes. En 1866, le nombre des sucreries s'élevait à 106 et la culture de la betterave occupait 18.074 hectares pour une production de 556.100.603 kilogrammes. Le fisc, mis en appétit, portait, en 1866, l'impôt à 45 francs les 100 kilogrammes, avec un minimum de 6 millions. L'essor est donné, et pendant les dix années qui vont suivre, le nombre de fabriques, qui était en 1866 de 106, atteint le chiffre de 146. Les usines se montent d'après les systèmes les plus perfectionnés Le procédé de cuite en. grains et l'application d'appareils à triple effet se généralisent. Les résidus sont traités par l'osmose. On peut dire qu'en 1876 la fabrication atteint son apogée. La culture de la betterave s'étend à ce moment sur 29.(MM) hectares, qui produisent 900 millions de kilogrammes. Les droits perçus en 1876 par le Trésor s'élèvent à 6.057.671 francs. De 1876 jusqu'avant la guerre, les fabriqués de sucre s'étaient multipliées partout. Aussi la production dépassait la consommation Les presses ont été remplacées par la diffusion et par des méthodes nouvelles ; la lutte était ardente. En 1884, la culture de la betterave sucrière occupait 45.000 hectares, produisant 1.700 millions de kilogrammes environ, et les droits perçus se chiffraient par 8.015.369 francs. Mais c'est en 18S5 que la production atteint son point culminant. Après, ce fut la chute. De 106 millions de kilogrammes, la fabric ition du sucre en Belgique tomba à 45 millions de kilogrammes. En 1888, le nombre des fabriques, qui était en 1884 de 155, n'est plus que de 113. La. culture de la betterave n'occupe plus que 40.(MM) hectares, et la production est de 1.350 millions de kilogrammes environ. On produit cette même année 95 millions de kilogrammes de sucre, sur lesquels 68.156.000 kilogrammes sont exportés ; 20 millions de kilogrammes de mélasse el 540 millions de kilogrammes de pulpe. En 1891, l'importation a atteint 108.634.000 kilogrammes pour les sucres bruts et 27.678.000 kilogrammes pour les sucres raffinés. C'est dans notre pays, à Wanze, que se trouvait l'une des plus grandes sucreries du monde entier. PARTIE COMMERCIALE BEURRE Copenhague, 24 juin. — Cote par 50 kil. : auj. coui'., 125 ; sein. préc. cour., 125. Tendance invariable.CAFE Rotterdam, 25 juin. — Cote à terme Santos, juin, auj., 37 3/4 ; préc., 37 5/8. Good ord. Java, 49,— c. ; supérior Santos, 40,— c. Amsterdam, 25 juin. — Cote à tonne : Santos juin, auj., 37 7/8 ; préc., 37 5/3. Le Havre, 24 juin. — Recettes au 23 juin : à Rio, 6000 b. ; à Santos, 12.000 h. Rio.-Jane.iro. Cours du change sur Londres, 1215/32 d. CAOUTCHOUC Londres, 24 jui i. — Ilevea crêpe, 2/5 1/4, ribbed smoked sheets, 2/5 1/4 acheteurs. CEREALES ET FARINES La récolte des céréales en Italie. Turin. — Le rapport de l'Institut international d'agriculture, à Rome, évalue le rendement de la récolte de l'Italie pour 1915 à. 55 millions de quintaux de froment et à 4-.1/2 millions de quintaux d'avoine. COTON New-Orleans, 23 juin. — Coton disp. Middl., auj., 9,— ; préc., 9,—. ESSENCE DE TEREBENTHINE Londres, 23 juin. — Essence de térébenthine. Américain, disp., 38/6; préc., 38/3; sept./déc., auj., 36/3; préc., 37/4 1/2. Savannah, 23 juin. — Essence de térébenthine. On cote : auj:, 40 1/2 à —; préc., 40 1/2 à —. GRAINES OLEAGINEUSES Duluth, 23 juin. — Graines de lin. On cote : juill., auj., 1,73 1/4 c. ; préc,., 1,77 1/2 c. ; sept., auj., 1,76 3/4 c. ; préc., 1,80 3/4 c. HUILES VEGETALES Londres, 23 juin. — Huile de lin. On cote : disp., auj., 27/3; préc., 27/6 ; sept./déc., auj., 28/3; préc., 28/ . Hull, 23 juin. — Huile de lin. On cote : disp., auj., 25/9 ; préc., 26/1 1/2; sept./déc., auj., 26/9; préc., 27/—. METAUX Londres, 23 juin. — Etain, disp., £168,-/-; à 3 mois, £ 166,-/-. Cuivre, disp., £ 81,15/-; à 3 mois, £ 83,-/-. Electrolit., £ 95,-/-. Zinc, £ 100,-/- à 85,-/—. Plomb, disp., £ 23,5/-. Fer, comptant, sh. 66/4 ; à 1 mois, sh. 66/9. PETROLE Philadelphie, 23 juin. — On cote : Standard White, auj., 7,50; préc., 7,50. SUCRE Londres, 23 juin. — Sucre, ferme. THE, RIZ, JUTE Londres, 23 juin. — Thé, ferme. Riz, bien soutenu. Jute, lent. MARCHES DE NEW-YORK ET DE CHICAGO New-York, 23 juin. Froments. — Importations ports Atlantique, 190.000 bush., même jour année préc., 264.000 bushels. Exportation de toutes les places à l'Est de Rocky Mountains, 200.000 bushels. Ventes pour export., — boatloads de 8000 bushels. North Spring I, auj., 137 ; préc., 134 1/4. Red Winter, auj., 129; préc., 127 3/4; juillet, auj., 111 1/8; préc., 109; sept., auj., 109,— ; préc., 107,—. Maïs. — Importations ports Atlantique, 200.000 bush., même jour année préc., 38.000 bushels. Exportation de toutes les places à l'Est de Roclty Mountains, —,— bushels. Ventes pour export., — boatloads de 8000 bush., Mixed n° 2 disp., auj., 83,— ; préc., 81 3/4. Café. — Ventes, 39.000 balles. On cote : juill., auj., 6,82; préc., 6,90; sept., auj., 6,68; préc., 6,74; déc., auj., 6,74 ; préc., 6,79 ; janv., auj., —,— ; préc., 6,82 ; mars, auj., 6,84; préc., 6,88. Rio n° 7 disp., auj., 7 1/2; préc., 71/2. Coton. — On cote: Middling Upland, auj., 9,60 ; préc., 9,55 ; recettes journalières, auj., 3.000 b. ; préc.,. 11.000 b. ; juin., auj., 9,24; préc., 9,17; juillet, auj., 9,39 ; préc;, 9,34 ; août,, auj., 9,53 ; préc., 9,47 ; sept., auj., 9,66 ; préc., 9,63 ; octobre, auj., 9,79 ; préc., 9,75 ; déc., auj., 10,05 ; préc., 10,01 ; janv., auj., 10,13 ; préc., 10,06; mars, auj., 10,37; préc., 10,30. Pétrole. — Raff. en caisses auj., 10,— ; préc.. 10,—. Raff. en barils, auj., 4,— ; préc., 4,— ; Crédit Balances, auj., 1,35 ; préc., 1,35. Standard White, auj., 7,50; préc., 7,50. Huile de Coton. — Prima summ. yell., juillet, auj.. | •6,05, préc., 6,08 ; disp., auj., 5,95 ; préc., 5,95. Saindoux. — Western steam, auj., 9,42 1/2; préc., 9,32 1/2. Sucre. — Muscovadés à 96. Centrif., auj., 4,89 ; préc., 4,89; id. raff. Eagle Stand, granul., auj.. — — ; préc., —,—. Essence de terebenthine. — Auj., 43 1/2 ; préc., 44,—. Suif. — N. Y. Prime City-auj'., 6 3/4 ; préc., 6 3/4. Frets pour cereales. — New-York à Liverpool, auj., 11 d. ; préc., 11 d. New-York à Londres, auj., 11 d. ; préc., 11 d. par bushel. Frets pour coton. — New-York à Liverpool, auj., 1,— ; préc., 1,—. I*rets pour pétrole. — New-York au Royaume-Uni, auj., 7/- à —; préc., 7/- à —, Chicago, 23 juin. — Froments. — Importation places Ouest, 450.000 bushels, même jour année préc., 321.000 bushels. On cote : juill., auj., 103 5/8; préc., 101 3/4 ; sept., -auj., 1017/8; préc., 99 7/8; déc., auj., 105,— ; préc., 102. 7/8. Maïs. — Importation des places de l'Ouest, 550.000 bushels, même jour année préc., 575.000 bushels. On cote : juillet, auj., 74,— ; préc., 72 7/8; sept., auj., 73 1/2; préc., 721/8; déc., auj., 65 3/8; préc., 63,—. Avoine. — On cote : juill., auj., 44 3/4 ; préc., 43 3/4 ; sept.., auj., 38 7/8 ; préc., 38 1/8. Saindoux. — On cote : juill., auj., 9,45 ; préc., 9,35 ; sept., auj., 9,721/2; préc., 9,621/2. . Messpork. — On cote : juill., auj., 16,90 ; préc.; 16,77 1/2; sept., auj., 17,35; préc., 17,22 1/2. Ribs. — On cote : juillet, auj., 10,40 ; préc., 10,27 1/2; 'sept., auj., 10,70 ; préc., 10,60. Smortribssides. — On cote : auj., 9,75 à 10,25; préc. 9,62 1/2 à 10,12 1/2. St-Louis, 23 juin. — Froment. On cote : juillet, auj., 99 1/2 c. ; préc., 97 7/8 c. Duluth, 23 juin. — Froment. On cote : juillet, auj., 122,— c. ; préc., 1191/2 c. Toledo, 23 juin. — Froment. On cote : juillet, auj., 104 1/4 c. ; préc., 102 3/4 c. Minneapolis 23 juin. — Froment. On cote : juillet, auj., 1191/4 c. ; préc., 115 3/4 c. Winnipeg, 23 juin. — Froment. On cote : juillet, auj., 124 1/4 c. ; préc., 119 5/8 c. ; octobre, auj., 1021/4 c. ; préc., 100,— c. Avoine, juillet, auj., 53 3/4 c. ; préc., 53 1/4 c. Société Anonyme des Remorqueurs Anversois MM. les actionnaires sont invités à RASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE qui se tiendra le jeudi 15 juillet prochain, à 3 heures H. B. de relevée, au siège social, canal St-Pierre, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapports des administrateurs et commissaires; 2° Discussion et adoption du bilan ; 3° Décharge à donner aux administrateurs et commissaires ; 4° Nomination d'un administrateur et d'un commissaire en remplacement d'un administrateur et d'un commissaire sortants et rééligibles. Le Président du Conseil, Armand Grisar. Compagnie Rurale Anversoise MM. les actionnaires sont priés d'assister à l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE de notre société qui se tiendra le jeudi 15 juillet prochain,à 11 heures du matin heure belge), au siège social, 23, place de Meir, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport des administrateurs et rapport des commissaires sur le bilan au 31 décembre 1914 ; 2° Adoption du bilan et du compte de profits et pertes ; 3° Décharge aux administrateurs et aux commissaires ; 4° Nominations statutaires. Pour prendre part à l'assemblée, MM. les actionnaires devront se conformer à l'article 32 des statuts.ANVERS BREE, MAASTRICHT, LIÈGE En charge bateau moteur " ROSALIE „ partira mercredi prochain 30 courant. Pour conditions et frets s'adresser à CHARLES OPDEBEECK & Co, Service du Beurt, remise et prise à domicile 36, Grande Montagne aux Corneilles, ANVERS. SERVICES DE BEURT réguliers et rapides entre ANVERS-GAND et vice-versa ET ANVERS-BRUXELLES et vice-versa Prix avantageux. Prise et remise à domicile SIMON SMITS & Co BUREAUX : ANVERS : 13&15, Rempart Ste-Cathérine-BRUXELLES : 88, Rue Meyel. GAND : 17, Quai des 7 anneurs- Mannheimer Lagerhaus-Gesellschalt (Agence Générale) En charge pour DUISBURG-COELN le bateau MANNHEIM 28 A suivre par des départs réguliers Pour frets avantageux pour TOUTES LES DESTINATIONS RHÉNANES s'adresser aux bureaux Canal au Sucre, 5, Hansa Huis. 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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires gehört zu der Kategorie Financieel-economische pers, veröffentlicht in Anvers von 1858 bis 1979.

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