Mercredi-bourse: finance - commerce - industrie - assurances - théatres

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31 Juli 1917
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s.n. 1917, 31 Juli. Mercredi-bourse: finance - commerce - industrie - assurances - théatres. Konsultiert 25 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/df6k06xr78/
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FINANCE - COMMERCE - INDUSTRIE - ASSURANCES THÉÂTRES Administrateur : LEO BERT. Directeur : J. DERVINNBS. TOUTES LES COMMUNICATIONS DOIVENT ETRE EXCLUSIVEMENT ADRESSEES AU COMPTOIR DU VIEUX BOURSIER, 57, BOULEVARD DU HAINAUT, MMWMlirMMMBMMMMMÉaÉMfiMiM—n—n>WIWI1—HIM—iMWMÏM TM—MtÉlMIWmill MIWWKilH lit——ni il iMMMIfiaMMMÉinililïMMWWlMWlIllIlIlM— ——— — ——III» > MlfÉ——Mf-|T—HMi —irMÉI'iItmuii n ■—n i ii mtiimmm PRIX DES ABONNEMENTS : ABONNEMENTS ET PUBLICITE : REDACTION ET ORDRES DE BOURSE PUBLICIIE A 1-ORFAI1 Le.3 annonces n'engagent pas la responsabilité 0. a» . . 7.50. Six moi, . . fr. 4.00. 30' 8UE DE LETOVE' 36 "• »<>ULEVA»D DU HAINAUT. 57 du Trois mois . . fr. «.50. BRUXELLES BRUXELLES Tous les .^us pour «t™ v^, doi,«a, être revêtus de la signature du directeur. Causeries du Vieux Boursier En toutes choses, dire la vérité quelle qu'elle soit, c'est le critérium de l'honnêteté... GRAND BAZAR DE LA PLACE SAINT-LAMBERT Il y a huit jours, je vous ai parlé de cette affake et vous ai signalé que l'on procédait à l'augmentation de capital qui avait été prise ferme par un groupe financier, augmentation de capital à laquelle les anciens actionnaires avaient le droit de participer à concurrence de deux actions nouvelles par cinq actions anciennes.Je vous ai montré les profits réalisés en ces dix dernières années par la Société du Grand Bazar de la place Saint-Lambert et les tableaux que je vous ai mis sous les yeux vous ont fait voir que si depuis dix ans on a distribué régulièrement un dividende de 20 fr. par coupon aux actionnaires, celui-ci a été détaché sans que pour cela les amortissements fussent négligés en quoi que ce soit. Cette question des amortissements ne doit jamais être perdue de vue quand il s'agit d'une société anonyme, car elle forme la base, le fond de la solidité d'une affaire; c'est ainsi que dans le cas qui nous occupe, si les terrains, constructions, matériel fixe, roulant, mobilier et installations électriques et de chauffage figurent au dernier bilan pour fr. 4,167,969.98, par contre en revoyant les situations annuelles publiées par la société, je cons" tate que les fonds de réserve et d'amortissements ont été dotés jusqu'à ce jour d'une som-' me d'environ trois millions de francs. C'est dire que le vaste immeuble de la place Saint-Lambert, avec toute son organisation et tout son agencement, a une valeur de beaucoup supérieure à celle pour laquelle il est porté dans les livres. A l'actif du bilan, nous avons également les postes marchandises générales, service financier, et débiteurs divers, qui figurent pour fr. 1,965,252.95. Tous mes lecteurs connaissent trop l'extrême prudence des dirigeants du Granidi Bazar de la Place Saint-Lambert que pour douter un seul instant que l'inventaire des marchandises générales n'ait été fait avec la plus grande prudence; ainsi, les marchandises en magasin qui figurent au dernier "bilan pour une somme de fr. 1,582,066.14, ont une 'valeur marchande de beaucoup supérieure à ce prix et j'ai l'intime conviction que, de ce côté également, non seulement il n'y a pas de rossignols ni de déboires à essuyer, mais que, par contre, on peut s'attendre à ce que les réalisations laissent des bénéfices plantureux à la société et que ce poste marchandises générales cache encore une réserve dont les actionnaires pourront tirer le plus grandi profit. Si je passe au passif, j'ai devant moi le capital social, qui est .représenté par deux millions de francs, et des créditeurs pour fr. 860,946.59. Je laisserai d'e côté la dette hypothécaire de 1,362,000 francs, puisque celle-ci est appelée à dispraître de par la création d'actions nouvelles faisant l'objet de l'augmentation de capital à laquelle la société procède en ce moment.Elles sont assez rares les affaires qui, en période ordinaire et sans présenter d'aléas, peuvent distribuer régulièrement un dividende à leurs actionnaires et c'est à cause de ce fait que les actions Grand *?-- • Place Saint-Lambert se trouvent si bien placées dans les portefeuilles de capitalistes du pays de Liège et qu'une très forte maison de change de cette place a pris ferme l'augmentation de capital. Et cette augmentation de capital, qui se fait à 325 fr., lui garantit en quelque sorte ur placement d'environ 6 1/2 p. c. aussitôt que la guerre sera terminée, car j'ai l'intime conviction que pour cette époque on reprendra d'une façon régulière le paiement du coupon de 2c francs par titre qui a été servi en ces dernières années, dividende qui sera bien vite majoré par suite du développement incessant des Affaires. Dans ces conditions, je trouve que les actionnaires anciens ne doivent pas rater l'occasion qui leur est présentée die pouvoir souscrire aux titres de l'augmentation de capital et je les engage à user du droti qui leur est ré- j servé. Encore une fois, je me tiens à leur en- j tière disposition pour remplir toutes les for- j ir.alités qui seraient nécessaires à ce sujet. VALEURS CAOUTCHOUTIERES Baiangara Cuituuir Maatschappij 11 y a quinze jours, dans une revue de la Bourse, j'ai écrit que certains dissentiments existaient parmi les dirigeants des valeurs caoutchoutières et que la lutte qui venait de s'ouvrir était comparable en tous points à celle que se livrèrent il y a quelques siècles les Capulets et les Montaigus, deux nobles familles, qùi, ainsi que vous le savez, voulaient s'assurer, la suprématie à Vérone. Des lecteurs m'ont écrit pour me demander des explications au sujet diu parallèle que j'établissais entre ces deux grandes familles Véronaises et les dirigeants1 des affaires de caoutchouc, me deman dant d'être quelque peu moins énigmatique. Aujourd'hui que le fait est public et que je ne suis plus tenu à la même discrétion, je vais vous raconter en quelque mots ce dont il s'a-git.Les valeurs caoutchoutières ont été créées il y a quelques années par un ingénieur agronome de notre pays, M. Adrien Hailet, qui s adjoignit par après un professeur à l'Université de Liège, M. Théophile Gollier. Toutes les choses allèrent bien dlans la mauvaise fortune, mais, avec la guerre, les valeurs caoutchoutières sortirent victorieuses de la crise dans laquelle elles se trouvaient depuis plusieurs années, et ce retour à l'aisance amena un dissentiment entre les dirigeants de ces différentes sociétés. Une première scission se fit il y a environ un an et nous vîmes alors une partie du groupe se diriger vers le numéro 4 de la Montagne du Parc, tandis que l'autre resta au 59 de la rue de Namur. Parmi les création d'Aidirien Hailet se trouvait la Batangara Cultuur, une société qui fut bien malade, et je n'étonnerai personne en vous disant qu'en 1914 on n'était guère fier d'en revendiquer la paternité, mais aujourd'hui, grâce à la combinaison intervenue entre la Soengei-Lipoet et la Mopoli, dont la Batangara détenait un assez grand nombre de titres en portefeuille, par suite d'un accord intervenu il y a quelques années, la Batangara s'est trouvée « bien en finances », comme on dit vulgairement, et de suite une soif d'ambition et ^'indépendance s'est emparée de certains de ses dirigeants. Les jeunes ont souvent le tort de se croire beaucoup plus malins que les vieux et de ne pas vouloir écouter les leçons qui leur sont dictées par l'expérience. Les nouveaux éléments, ( qui détenaient une grande majorité des titres de la Batangara, se mirent donc en tête, afin de pouvoir acquérir la majorité des titres et de se passer des conseils de leur véritable chef) M. Ajdrien Hailet, de procéder à une augmentation Ide capital de 15,000 actions de 50 florins chacune. Mais ces néophytes avaient oublié d'aller au fond de leur tiroir et. de voir le contrat qui existait entre la société et le directeur général.Ils ignoraient que le contrat portait que toute augmentation de capital devait recevoir l'agréation du directeur général; or, celui-ci se trouvait il y a quelques mois dans les Indes Néerlandaises pour surveiller par lui-même et défendre les intérêts des actionnaires qui lui sont confiés. De retour aujourd'hui en Hollande, M. Adrien Hailet a été avisé des intrigues et des manigances qui se sont opérées autour de la Batangara et dans un avis qu'il a fait paraître dans les journaux il informe les actionnaires que l'augmentation de capital à laquelle le bureau du numéro 4 de la Montagne du Parc a tenté de procéder est nulle et non avenue, puisqu'elle est entachée d'illégalité, celle-ci ayant été faite malgré son opposition. Il en profite pour ordonner le transfert du siège social à la 'vieille maison des valeurs caoutchoutières de la rue de Namur, 59. La conclusion à tirer de toute cette histoire c'est qu'il me semble que ce jeune clan de la Montgne du Parc semble beaucoup plus se préoccuper de la conduite de ses affaires en Bourse que de leur exploitation au point de vue industriel. C'est cette même maison qui,il y a quelques mois, a introduit les actions Plan-talions de Java et qui nous est arrivée en ces diernières semaines avec deux nouvelles créations, les Simpang-Kanon et les Simpang-Ki-<ri..Maintenant, si vou.-> \oulez bien vous rappeler la vieille histoire des Capulets et des Montaigus, ou, puisque celle-ci est trop vieil-lote, je vous rappellerai la fable de ce bon papa La Fontaine, « L'Huître et les Plaideurs », et vous verrez que l'un de ces jours il se présentera un malin qui viendra départager nos Capulets et nos Montaigus de la Montagne du Parc et de lia rue de Namur. Il avalera la précieuse huître et remettra à chacun des adversaires une modeste coquille. Au point de vue pratique, ces discussions sont profondément regrettables, car elles sont de nature à nuire à l'essor de l'affaire et en fin de compte j'estime pour ma part que ce sera le malheureux actionnaire qui sera le bœuf dans toute cette combinaison. LES GRANDES VALEURS EGYPTIENNES Agricole et Industrielle d'Egypte Après les discussions un peu vives dont les valeurs égyptiennes et surtout l'Agricole et Industrielle d'Egypte ont été l'objet en ces derniers temps, j'estime qu'il est de mon devoir die commencer mon étude sur toutes les | grandes valeurs égyptiennes par l'Agricole j d'Egypte. Pour faire cette étude, je me débarrasserai de tout préjugé et de toute préoccupation boursière et n'envisagerai que l'affaire en elle-même, m'abstenant de donner un conseil quel qu'il soit et laissant à mes lecteurs le soin de tirer une conclusion d'après les renseignements et les chiffres que je leur aurai mis sous les yeux. L'Agricole et Industrielle d'Egypte constitue une des plus anciennes affaires qui ont été créées là-bas pour la mise en valeur des terrains.Sa constitution remonte, en effet, au 5 octobre 1895 et, à ce moment, l'Agricole d'Egypte était connue sous le nom de la Société en commandite par actions Georges A. Eïd et Cy au capital de 2,500,000 fr. Les affaires de la société en commandite ayant pris du développement, celle-ci fut transformée en société anonyme et un décret khé-divial en date du 15 mai 1907 reconnut l'existence de la Société Agricole et Industrielle d'Egypte suite de la firme dénommée plus haut. Le capital social fut porté lors de la transformation à 5,000,000 de francs représenté par 10,000 actions de 500 francs chacune.En 1902, le capital fut porté à 7,500,000 francs par la céation de 5,000 actions nouvelles. En 1904; à 10,000,000 de francs et en 1906 à 12 millions 500,000 francs. Le 30 décembre 1909, il a été créé 10,000 actions privilégiées de 500 francs, de telle sorte que le capital de l'Agricole et Industrielle d'Egypte est représenté aujourd'hui par 10,000, act. priv. de 500 fr. fr. 5,000,000 25,000 act. de cap. de 500 fr. 12,500,000 10,000 action de div. sans désignation de valeur Mémoire Le capital social représente donc 17,500,000 Pour pouvoir réaliser et mener à bonne fin son programme, l'Agricole et Industrielle d'Egypte a créé les obligations suivantes : 1899. — 2,000,000 de fr. en 4,000 obligations de 500 fr. 5 p. c., remboursables en décembre 1914. 1900. — 1,000,000 de fr. en 2,000 obligations de 500 fr. 5 p. c., remboursables en décembre 1915-1916. 1902. — 2,000,000 de fr. en 4,000 obligations de 500 fr. 5 p. c., remboursables de 1917 à 1920. iyo2. — 3,750,000 llorins soit 7,793,911.5» lianes en 3,750 obligations de 1,000 florins Pays-bas 4 p. c., remboursables en 1926. 1902. — 500,000 fir-. en 1,000 obligations de 500 tr. 5 p. c., remboursables en 1921. 1904. — 10,000,000 de fr. en 20,000 obligations de 500 fr. 4 p. c., remboursables par tirage annuel jusqu'en 1935. 1907. — 10,000,000 de tr. en 20,000 obligations de 500 fr. 5 p. c., remboursables le 2 jan \ier 1952. Les obligations de i'emprunt de 1904 ont été amorties, la société ayant racheté une partie d'obligations, et, à l'heure actuelle, c'est-à-dire en juillet 1914, il ne restait en circulation que : 10,992 obi. 5 p. c., soit fr. 5,496,000 19,970 obi. 5 p. c. 1907 9,985,000 15,fc>37 obi. 4 p. c. beiges 7,819,000 3,C>92 obi, 4 p. c. hollandaises 7>Ô73>45° total fr. 3°>973i45° En plus de la dette obligataire, l'Agricole d'Egypte doit : Les soldes sur achats de terrains ïr. 4,586,000 Les emprunts hypothécaires 4,112,000 Aux créditeurs divers 1,173,000 Intérêts en retard 664,000 Total fr. 10,535,000 Maintenant que j'ai bien indiqué le capital qui était investi dans l'Agricole et Industrielle d'Egypte et que mes lecteurs peuvent se faire une idée de l'envergure de cette affaire, je vais examiner l'objet social. D'après les statuts, la société a pour objet le progrès de l'indlustrie agricole en Egypte et à cet effet l'entreprise de tous travaux d'amélioration du sol, notamment par irrigation, draînage, endiguement, dessalement, dessèchement et défrichement; la distribution et la vente de l'eau; la fabrication et le commerce des engrais; la transformation des produits agricoles; la participation dans les entreprises industrielles, dont le succès pourrait contribuer au but social; enfin, tous achats, ventes, échanges, locations de terrains et immeubles ruraux ou urbains et l'exploitation d'entreprises agrjpoles ou foncières. Quoique de par, ses statuts, la Société Anonyme Agricole et Industrielle d'Egypte se soit proposée un certain nombre d'entreprises variées, ces opérations se sont généralement circonstcrites au domaine agricole proprement dit et elle s'est organisée en ce sens: Les services techniques se sont assuré de préférence la collaboration de jeunes agronomes ayant fait leurs études soit en Europe, soit à l'école khédiviale d'agriculture de Ghiseh, agronomes que la direction recrute en qualité die contrôleurs pour en faire progressivement d'excellents sous-chefs et directeurs de culture. Dans chaque domaine, il y a à envisager : i° Les moyens de communications et de transports; '2° L'exécution des travaux agricoles et d'amélioration du sol; 30 L'exécution des travaux techniques, de terrassements, de constructions et de canalisation.i° Un domaine se compose essentiellement d'une résidence principale,, où sont les bureaux, ensuite de maisons pour les employés et d'un certain nombre dé maisons ouvrières groupées en « ezbet ». On y renoontre aussi de grands magasins et des hangars fixes ou portât® s pour les animaux. Toutes ces résidences d'un même groupe sont reliées entre elles pair un réseau téléphonique et une voie genre Decauville dessert la plupart des parcelles du domaine pour en effectuer les transports.Les divers domaines die la Société sont ainsi desservis avec 150 ou 200 kilomètres de voies ferrées, dont 30 avec traction à vapeur et le reste à traction animale. L'absence de pierres dans ce pays excessivement limoneux rend la création et l'entretien des routes re- Comptoir du Vieux Boursier 57, boulevard du Hainaut, Bruxelles. Exécute tous ordres de Bourse aux conditions d'usage; Encaisse tous coupons payables, belges ou étrangers; Négocie toutes valeurs, cotées ou non cotées; Vérifie gratuitement tous les tirages des lots à primes et des obligations; Echange, régularise et fait le transfert des titres; Donne gratuitement les renseignements financiers qu'on veut bien lui réclamer. 4> «uni*. — Numéro 30. PRIX DU NUMERO : 15 CENTIMES. Du 25 au 31 juillet 1917.

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