Notre Belgique

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s.n. 1918, 10 August. Notre Belgique. Konsultiert 19 April 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/h12v40km19/
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NOTRE BELGIQUE Vttmo T*ri| des ÂfeoMtciMaii néaaetl»» •« &«s- mîftirsrtiaa* Afeduaiiiateiits ; ÈjiISliiiSiFtt* m „ » a m 1 s^lcés 3 «Sfô Ir. & Ë&ote 4 £*•• & a sst «» . *, *T ©itfSÏBl (France) .... I 1<I< l.dO fr. S SîoS» 8 !«*. 13 0V1ff «5»« CÔMMU^ES CALAIS Uvwalse « « ' " °'-e **' < 9** «® fc*eA*«ntfc**« ,' traces?) ...» 8 »!o>« a.89 ÎP. 8 Mois â ft-. f U a WOnll. M, bnfcM. i»ar $!ele 1 .... . 1.8® fr, ï«iS«*ïif* NOTRE REINE Je croyais La connaître. Nous avions lu tant de récits à son sujet, portant aux nues son charme et sa bonté. Nos soldats nous avaient envoyé taût de lettres respirant le respect, la confiance, la gratitude, qu'ils vouent à sa douce Majesté. Colette Y ver, Pierre Loti, Mademoiselle Maria Biermé, tant d'écrivains qui eurenl le privilège de l'approcher, nous avaienl tracé d'EUe une image si noblement fami' lière et si amoureusement dessinée. Je croyais La connaître. Dimanche dernier m'échut l'insigm laveur de La voir au milieu de ses petits enfants de la villa Saint-Joseph à L..., e ce me fat une révélation. Je compris qui je no la connaissais pas, que nul, qui m l'a point vue, ne peut 1 imaginer en la réa lité de sa grâce si délicieusement simple Or, c'est le grand branle-bas, le diman che 4 août, à la villa Saint-Joseph. Lei petiots qui, en cette oasii, coulent en dépi de la guerre, des journées tissées de quié tude et de bonheur, sous la garde d< bonnes Sœurs Dominicaines, se préparen à surprendre leur royale maman par nn< fête minutieusement préparée et attendu avec une fébrile ardeur. _ La Reine coiffée de blanc, portant su B|^sa robe blanchejaa^léger manteau gris exquise et mutine Altesse, la prlncess Marie-José. La Souveraine s'avance vivement, tïè jeune d'allure et d3 visage, svelts, sou riante, 1 ; regard très bon ! Tous nous remarquons avec joie qu'ell jouit d'une santé florissante et qu'elle port avec une allègre vaillance le poids d l'épreuve. On lui adresse un cornplimet en termes choisis qui rendent hommage la sollicitude maternelle dont elle couvr le refuge de ses chers enfants. Elle écouta tête inclinée, avec une sorte de modestl vaguement effarouchée qui ajoute encor à son charme et s'allie à ravir à la majest royale. De contempler ce noble visag baissé sous l'éloge et qui nous dérob l'eau pure de son 1 égard, une émotio nous saisit, et c'est pour nous comme 1 révélation d'une âme infiniment délicatc jetant sur la profondeur des sentiments 1 voile d'une touchante pudeur. Bambins et fillettes se succèdent pou déclamer et chanter. Ma foi, ils font hor neur à leurs maîtres, et s'acquittent merveille d'une tâche que leur jeune âg rend singulièrement ariae. D'ailleurs 1 Reine est là, qu'ils dévorent des yeux, e qui les encourage de son plus affectuen sourire. Lorsqu'ils ont terminé, Elle le appelle parleur prénom, les embrasse, le caresse, les félicite, puis ils retournent leur place, le cœur bondissant*da joie, 1< ! joues en feu. | La petite séance, agrémentés de rondei d'un chœur, de chansons françaises et il mandes, touche à sa lin. La Reine se lève. Va-t-Elle se retirer non : Elle veut, comme chaque dimanch se mêler aux enfants, s'informer de lei santé, de leurs basoins, s'intéresser à ch cun d'eux. C'est une mère, que rhn 1 laisse indifférente do ce qui touche, < près ou de loin, à la vie de ses petits. Comme elle les connaît ! A peine s'ts s elle approchée d'eux, elle aperçoit ni 1 figure qu'elle n'a pas encore vua à la vill t C'est un garçonnet de cinq ans, nouvel! i ment arrivé. ; Elle s'informe soigneusement à si ■ sujet, se penche vers lui, lui dit quelqu . mots. S'apercevant qu'une jambe du peti . plus frêle que l'autre, flotte dans le bas - la chaussure, Elle demande un crayc 5 note ce détail sur un bout de papier, t promettant de faire donner au cher iniiri - les soins d'un habile praticien. j Puis Elle continue sa visite. Nul enfa t n'échapp* à son tendre examen. D'ailleu } tous, familiarisés avec leur douce prot< l* trice, se pressent autour d Elle, ravis la voir et de lui parler. Nous la contei pions, entourée de son petit monde, ex< çant avec une exquise bonté sa roy? fj maternité. Elle est là, souriante, étc ( namment jeune, sans brusquerie et sa morgue, semeuse de joie, et Dieu me pi donne, par moments, il m'a semblé si prendre dans son regard, sur ses lèvr un éclair, une moue fartive d'espiègle malicieuse. ' J'aurais voulu voir là, à ma place, te e nos soldats, tous ceux qui, dans la tri e chée, pour la Patrie, pour la Dynast 1 exposent leurs jours et versent leur sar è Ils auraient constaté, de leurs propi ' yeux, ce qu'est, ce que vaut notre Reii comment, en sa royale poitrine palpite ( cœur le plus aimant, le plus dévoué < ' soit. e Devons nous nous étonner du culte q e nos jasses vouent à la Famille Sauverai) 1 quand nous voyons celle-ci s'identifiei D parfaitement à notre peuple, avec 1 8 prédilection marquée pour les plus hu '• bles, les plus déshérités ? e . . Je ne connaissais pas la Reine. M r maintenant qu'il me fut donné de la v - prodiguer avec une infinie bonne gri k aux petits enfants de chez nous le tréi e de ses émouvantes tendresses, je ne cra: a pas d'affirmer, ami lecteur, que jam t femme ne fut plus digne de s'asseoir i x un trône et d'inspirer à un peuple le r 8 pect et l'amour, que Sa gracieuse Majei Elisabeth de Belgique, àf LELOU Méditation Kur un d"' Le manaxt en prend pour coiffer * 0w* chaumière comme d'un chapeau poin Pailla l'oiseau en emporte dit fétus pour ei oriii u« rauve ttruire ion md au cceur d'uns haig _ dans la lignant ébouriffés d'un têtard Alors elle peut rêver aux gloire* p Let poètes chantent l'épi qui nourrit séet de juin et de juillet, où tes tiges f les hommes. Et moi je vais, de ma voix ttrnelles, dressées par myriades, dis ai trèi faible, louer la lige qui porte l'épi au des chants délicieux dans les campagn bout de sa frêle hampe verte ou dorée... La main dts brises les caressait, y p Un brin de paille l Le vent l'emporte... sait tes longs doigts fins comme dans 1 Mais c'est un peu d'or qu'il emporte, et chevtlure couleur de miel; et elle* t' le meilleur du soleil d'août. dînaient, câlines, tout la douceur de Ltt prêtent* du toleil, la fleur les dé- caresses... Après les journées brasill pente vite, let donne avec ton miel, avec *•*» f" nuit* venaient,calmes et bibliqt ton parfum. Le brin de paille, lui, les Puit l'aube inondait le champ de garde, en fait la mouvante bluette qui blancheurs lut traies ; le ohant det aloi court tur te* flancs, pareille au point de tes montait en fufée. Et chique soleil lumière qui bouge dans let yeux qui revenait, coloriant tout à neuf, met, tourient. un or P^u* c^au<^ *ur dret t \commî des teeptret graailet... "" g a s > f ' . J _ ^ 7/1 I * V LA CONDAMNATION DE MALVY C'est un soulagement eènéral chez tous les patriotes, chez tous ceux qui ne connaissent qu'un ennemi : le Boche, et qui veulent le '» poursuivre, non seulement sur la ligne de feu mais aussi dans ses machinations de guerre civile et ses manœuvres de trahison. ? Les juges n'ont pas retenu les accusations ï, de Léon Daudet : ce n'est pas pour nous éton-ir ner. Nous avons toujours été persuadé que le Directeur de « L'Action Française », pour ce ,e qui regarde ses accusations précises au sujet de l'offensive du Chenun-des-Dames et des mutineries militaires ètuh mal parti . Au lieu ^ de preuves démonstratives, faisant la pleine lumière, dissipant les moindres doutes, ii le n'apportait que des oi-dit, des déductions a- péniblement cherchées. G" Cela n'empêche que l'écrivain royaliste eu, le mérite qui n'est pas mince d'attirer l'atten )n tion générale sur les tristes agissements d1. PS Ministre de l'Intérieur. Donc, Malvy est condamné : ce qui succom be avec lui, c'est la misérable politique dt compromissions, qui consiste à soutenir, i ' flatter, à payer les éléments mauvais de U nation, les anarchistes, les défaitistes. Ci L'e fut là le crime de l'ancien ministre qui, dam l'exercice de ses fonctions, aveuglé par l'es prit de parti, fit le jeu des sans patrie et dei rs pacifistes. !C« Malvy voulut se disculper en prétendan, Je qu'il avait fait confiance à la classe ouvrière et que, grâce à sa mansuétude, il avait évitt ,r„ des émeutes qui eussent nui fortement au hier (je de la Patrie. m- "* Prétention scandaleuse I La classe ouvrièrt n'a rien à voir avec les Sébastien Faure e, les Almei\yda, elle est au front où elle faù héroïquement son devoi) elle est dans le: usines où elle forge l'ins' ument de la victoire. La confondre, avec ces misérables, c'est lui faire la plus gratuite et la plus ignorai' nieuse des injures. Il faut être fanatiiè pai l'esprit de coterie et l'ambition politique poui transformer Malvy en sauveur de la France, Tous ceux, hommes et journaux, qui ont prit la dèfente exaspérée de l'ancien ministre n'ont pas assez regardé du côté de la fron tière. L'intervention des trois Premiers qu prétendaient couvrir leur ex-collaborateur rit fait que mettra en relief ce qu'il y a de blâ mable et de faux dans certaines méthodes d• ' gouvernement. C'est, avec la Patrie elle-même, Ciémer, ceau qui sort vainqueur de cette affaire, Ch menceau qui dans son discours de Juin 491 ■ au Sénat avait mis le doigt sur la plaie t : qui devenu chef du gouvernement, n'a pa : hésité à enfoncer le bistouri dans la parti ; gangrênée. Tout est bien qui finit bien, et non aimons à croire que ni les articles m ■ fâmes de Hervé prédisant la rupture de l'u : nion sacrée (cf la « Victoire» du Mardi Août) ni l'ordre dujour menaçant delà C .G. I : ni la coalition des journaux défaitistes, n'ai ront raison de l'excellent moral de la Franci : moral que la condamnation Malvy met en ui\ : éclatante lumière. «I, Morands. ns inuMir •«■iMigjiitiiMMMeir'T mu r nMgjgWÉMaf «r i nr;.i;:2irTiii» «> ' n.' r ir- U'J et que 'et fléaux ont vidé ion épi, il ne j» ixjj |^| jy <C* JS> faut point la mépriser. Il h1 ut point de ** ^ O r'e créatures nigligsable*. Diéu t'occupe de LECTURE! toute*, et pat un ehivsu ns tomba de nos us têt**, put uru fl-ur du fottë ne s'étiole — - in* tant ta permission. Li paille, qui fut ie> belle, te fait utile, humblement. Elle sert 9s«» Bibliographique '£• de litière aux bêtas dans l'éluble, et de j *es couche aux vagabonds qui dorment dan*\ , le' les granges. Et cela lui a valu, de rece- \ Romans « - Contes voir un jour les membres grelottants non ' lui d'un, pauvre quelconque, mait du Pauvrs, -, Claude Frémy F<\ 4.— — d* Dieu fait homme,que ta mère, n'ay ) „ p|u# prè# de to| () (coux dc ue ant point sié reçue à t'hôtellerie, enfanta j Kltchenar en Franc») ie' dans une grotte et coucha dms une man~< , , si . , L Edition ft'ançïbe iilustiee, Paris 1918 °* geoire d animavx. ne j _.,iî Le livra de Cl. Frémy mt-t en scène, dw m. O paihe, que tu at vu d- a!i0 actiou ,rèss tlmple e(très nobla,deS typ depuis ente nuit de la Grande Merveille ! significatifs dus deux peuplas, 1 Anglais et Tu at connu la douce patience d» tout Français, qui mêlent leu>' sang sur les cham ,* let pauviei volontaires, de Roch et dt de bataille. Dans ce décor du pays normal . Benoît Labre:... et l'étincelle de toleil q»i £ Rouen pour centre ce sont, dans l'a, oir , , , , i blsnce de la guerre et de tout son pittoresqs tee flU en *°l * rallumes a la lumiè. e (j0s cœars et deg esprits qui se confroritot det apparitions angèliqust, dant le* ca» j su heurtent et connaissent un Jour, par 1 chott où priaient lee martyrt. monr qulles appelle Irrésistiblement, qs lns .... r j h«ut idéal est eommun aux deux îscss. E ais Nous ne te dédaigneront point. La* cei}6U{ roman qui votis fait mieux comprend iur doux Ve> laine n'a pat hétité à tntroduU il a psychologie das donx race»; inlrigi 3g- re ton nom, comme un» note vibrante, ] originale et iataressante. Racommandi ai ,té dant la musique berceuse de ton pcême: bibliothèques militaires. « L'espoir luit comme un brin de paille à /« dan* l'élable. » \ René G-ël Fr. 1.25 Nous qui avant apprit à goûter la douJL%9 8outart„ sou# ,a M|tralll< oeur du plus petit rayon, nout aimont,\ Scènes de Guerre dant l'ombre de notre abri, l'étincelle de j , ... , n... . j . „ j. „„„ Gautier, 55 Q lai des Grands Augustin» sa la paille doree. Elle a la couleur de nos < • ^ p^ga igig 8 tu rêvet, et, quand on la remue, le brui*te-\ m. ment métallique de, menuet paillette*] Scènes de la guerre et d,s plus variée , . » , ^ , , îr c est ce qae nous doûiie Rsné Qo#l dans c 0« d'or qui chantent dan* U froufrou de la< „ chapHl0S. Tour à t0UI.( u nous proinèl robe de* féee... ! sur les champs de bataille, dan^ les canto EUe a la couleur de notre jeunette, et nements, los hôpitaux, partout où le soldat 3Jt" det étét de là-bas.... où nous étions W^at, *otfffra etmourt. Récits toujours intére rctm f sants parce qae, pria sur lo vif, I!s no tnt reux * laissent une ssine impression de réconfc ^ ...Et il tvfflt d un brin de paille pour L'cuvrsga en est à son 60e miiii éveiller det touvsnirt beaux comme det c'est la meilleure preuve de son succès » aurores près de nos soidats. Joe MOONLIGHT. cet Rttffû'xud ^ L'Eveil Zs A NOS ABONNÉS Gautier, 55; Qaal des Grands Augustins . Paris Nous rappelon* à tout no* abonné* quf lut let abonnements te paient d'avance. Nout j E veil douloureux que la guerre eut la lâ< 'ait prlont U, retardataires de nous envoyer de Uro surgir partout Eveil des ccars. F"""* j j , . soupis dans la quiétude douce de la posst téi au plut tôt le montant de leur abonne. siJdu bonheuî ; éveHdes énergies end< ment. Tout abonne qui ne détire plut con* mîeg par nne paix berceuse ; éveil d tlnuer ton abonnement te fait un devoi consciences oublieuses de leur devoir, er A m Tt^ésiwswnmip un N» /11/ Tf\lim/l l A n/1? ! ohy f* t»'«i Hanoi <\ a l'omAun nolnli Cette évolution, lente mais sûre, s'opère dans uae jeune fiile qai devient l'héroïne d'un doubla roman. Le premier fiancé, acc pté plutôt par intéiét, se trouve éloigné d'elle par la mobilisation. Au retour, Ils s'aperçoivent qu ils ne se sont jamais compris et charun ; prend un ch» min dlflerect pour aller eu bon- : heur, appuyé sur un bras aimé. * * ¥ Guerre P^ul B.'.ltiuor Fr. 2.50 Les AllsàiitQnds chsx eux t (Pendant la guerre, de Cologne à Vienne) " Perrin & Gie, 35, Qii*I des Grands Augastin3 Paris 6j i M. Paul Balouer, avocat au barreau de Ge-> nève, parti pour piloter des convois de rapatriés,pénètre avec eux au cœjr de l'Allemagne. Tour à tour, il nous fait passer dans un camp de concentration de Dousrwchingsn, • puis da Friboaig, à Karlsrche, Strat-bourg, 7 Francfort, Cologne, Hambourg fixé dans t l'immobilité, B-t!in fêtant Noël, Prague s mécontente, Vienne qui s'amuse. Ses im-„ pressions diverses ont d'autant plus d'intérêt qua sa pîume reste neutre, bien qu'à certsius passages on puisse remarquer ou de la crainte ou de l'indignation, ou un silence plus éloquent que les plus habiles commenUlres. Nos espérances ei nos hypothèses chimériques sont b parfois dfçues. Mais à quoi bon caresser des '. chimères à l'heure actuelle, un seul devoir existo : « Celui do connaître la réalité pour la vaincre. » e »% A. Chéradame Fr. 0 50 Les Bénéfices de Guerre K de l'Allemagne et la formule boche « NI annexions ni Indemnités » Pion, 8, rue Garanclère, Paris 1918 L'auteur démontre de f^çon mathémathiqaa ^ poar ainsi dire, et avec une clarté remarquait. Die. que si les Alliés étaient assez aveoghs pour accepter d;) discuter das conditions da paix avec l'Allemagne d'après la simple mais fallacieuse formule : • Ni annexions ni indemnités », le but économique de la pange:-manle serait atteint II résulte de ce travail que si la paix dite « blaucha ou partie nulle » que l'Allemagne fait proposer pouvait se réaliser, aussl'.ôt sept catégories do bénéfices de guerre, qu'il expose et explique par le léUll, lui seraient acquises. Ou devine la la conclusion .- guerre sans répit Jusqu'à cet ! que nous obtenions d.>s émotions contre les ciimea, la réparation dos dommages causé* et des garanties contre le retour d'une telle guerre. * a * * Roné Moreau Fr. t 80 ii Un Aviateur: Antoine Lacam 1(i ( I 80 I - I 9 I 6) n- e, Bsauchesno, 11, rue de Rannes, Paris 6e 'J' Comme beaucoup de ses Jaunes contbiu-I poralns qui ont trouvé depuis 1914, une mort s glo.ieuse au service de la France, Antoine r( Lecam n'avait encore donné que des espé-u rances, quand une balle de mitrailleuse aérienne apporta le dernier complément à sou sacrifice. Ce n'est donc pas dans des exploits extraordinaires que se trouve l'Intérêt de ce récit d'une trop brève existence. Mais on a essaye da montrer comment ce tout jeune homme avait compris sou devoir religieux, social et patriotique ; avec quelle générosité il s'était déterminé à le remplir entièrement ; avec qael continuel souci il s y préparait. C'est 1 histoire d'une âme Jeune, enthousiaste et vaillaete, digne de servir de de modèle i la jeune génération. s, bs 16 Divers s- ïs Gennari Lucien Fr. 4,20 >rt i : Fogazzaro u- (préface de M. Henri Cochiu^ Beauchesne, rue de Rannes, 117, Pari», 6a. 1918 L'auteur nous montre Fogazzaro un des plus purs représentants de l'âme italienne. Il caractérise la douce poésie da chantre da «Mirenda» et trace de la pensée fogazzarlenne un portrait saisissant. « Le Saint » fut un des livres qui émurent le plus l'opinion uni-ha verselle. M. Genneri le remet à sa vraie place ls- dans l'œuvre de Fogazzaro et ne craint pas is- de dire que l'idéologie medarniste en amoin-ir- drit la valeur même artistique. Mais s'il sait es apercevoir les faiblesses da son modèle, il en jil pénètre aussi les plus secrètes beautés. Eu .1 t rÀ « hnnnn rr, nf ri huit nn à l'klitnlrrt i Le Numéro 5 ctme8 Camo/li 1A iAAt tiiati: 3e Annie — No $29

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Notre Belgique gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Calais von 1916 bis 1918.

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