Sint-Amands studentenblad: frontblad voor studenten en oud-studenten van Sint-Amands College te Kortrijk

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

NUMMER 8 /] Aanvaard door de CENSUUR, Nr 864 SEPTEM3ER 1917 | = = ll-y^S;n FroÉlaivoorstndenten enosid:stude»teii 3'0~'/- Mi Sint-Amands coliByc te Kortrijk voor wat uitgave en j4ïf'f $*>, ,-^\M ~ -- OPSTEL BETREFT, ALLES m VjC* ff STUREN NAAR. ^ E.H. MULLIE ^ Aalmoezenier, D. 268 ' Verschijnt als 't past ^ï^ÊÊsÊs^ê^ NOUS plaçons volontiers,' en tête de ce numéro, deux articles qui nous viennent de nos chers prisonniers. Ils témoignent tous les deux de leurs souffrances, de l'excellence de leur moral, de leur inaltérable confiance: ils resserreront les liens d'indéfectible union que tous les Belges, soit en captivité, soit sous la domination, soit dressés l'arme à la main devant l'envahisseur, ont forgés indissolubles pour une héroïque résistance jusqu'au triomphe de leur cause. D'abord, une lettre de l'aumônier, J. Ver-maut, accusant réception des colis, envoyés à nos prisonniers au nom des anciens élèves du collège St-Amand. Et puis, un rapport sur le traitement indigne subi par Mr Debbaudt emprisonné à Aix-la-Chapelle. » — Rapport sur ma prison en Allemagne à Aix-la-Chapelle » t J'avais été condamné en Août 1915, dans ma ville natale en Belgique, par le Conseil de Guerre, à 3 mois de prison pour soi-disant: INJURES GRAVES A L'ARMÉE ALLEMANDE. Ma condamnation portait que je serais enfermé et détenu en Belgique, dans ma ville, lorsque vers le milieu de Septembre 1915, je fus appelé à nouveau devant le conseil de Guerre, pour m'entendre dire que le surlendemain, j'allais être transporté en Allemagne pour y achever mon terme de captivité. — A ce moment, ma femme était gravement malade et malgré toutes les démarches faites par mes médecins, qui déclarèrent que cette mesure de rigueur, prise contre moi, pouvait être cause de sa mort, rien n'y fit.— Je quittai donc Courtrai le surlendemain à 6 h. du matin entre deux soldats et j'arrivai à Aix-la-Chapelle à 8 1/2 h. du soir. — Je fus conduit à la prison cellulaire.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software