Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle

1150 0
17 February 1914
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1914, 17 February. Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/4q7qn6054b/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Mardi 17 février 1914 No 4( Vinnf.<:ixiÀmi> anné; ABONNEMENTS: un an un semc. un trime. francs francs francs ANVERS . . 15.00 8.00 4.50 INTÉRIEUR . 18.00 9.50 5.25 EXTÉRIEUR . 30.00 15.50 8.00 On «'abonne à Anvers au bureau du journal, et dans tous les bureaux de poste de Belgique et de l'étranger. — Les abonnements partent le 1er de chaque mois et ne peuvent dépasser le 31 décembre. BUREAUX: Marché-aux-Œufs, 9' - ANVERS Téléphone : 2388 ANVERS-BOURSE Finances, industrie, commerce, économie politique, variété JOURNAL QUOTIDIEN DU SOIP ^mm..»ÎA4tinn à rorlmînîcvf>«2-f-înn nu à la roHîsnfinn rini+ p+rp aHrpcçpp à M I RAPHT Hirp.p.tp.iir-rp.Har.tp.iir p.n r.hp.f du inurra: INSERTIONS : La grande ligne: Annonces ordinaires . . . . 60 c" Demandes et offres d'emplois . 40 , Convocations d'assemblées : une insertion . . la ligne 75 deuxième insertion „ 25 Annonces financières . „ 1 fr Pour une série d'annonces et pour t annonces d'émission, on traite à for/ai MT Les annonces sont mesurées lignomètre. — Les titres se payent d'api l'espace qu'ils occupent. L'administration et la rédaction décline toute responsabilité quant à leur teneui ACTUALITÉS L'AMERIQUE ALLEMANDE (II) Au xixm" siècle ce furent des motifs politiques ou économiques qui déterminèrent l'émigration allemande. De 1820 à 1850, beaucoup de proscrits ou de condamnés politiques qui avaient échappé au bagne et à l'échafaud trouvèrent la liberté sous les drapeaux de la jeune république. On les vit affluer surtout après la cruelle répression des troubles de 1848. l'ius nombreux encore furent ceux que la misère, provoquée par les crises économiques et par l'augmentation de la population, fit s'embarquer par milliers à Brème et à Hambourg : 950,000 de 1850 à 1860 ; de 70a,000 à 800,000 dans les deux décades qui suivirent ; un million et demi, environ, de 1880 à 1890 ; en tout, cinq millions de 1820 à 1900. Aujourd'hui, le courant est presque tari. Tous ces nouveaux hôtes s'adaptèrent aisément au système politique qu'ils trouvaient et qui avait essentiellement son origine dans le libéralisme anglais quelque peu modifié par les idées de la philosophie française. Ils venaient, en effet, d'un pays sans idéal politique, presque sans nationalité. Ils jouèrent cependant leur rôle dans la vie du peuple et, surtout par leurs qualités morales, ils contribuèrent pour une part importante à la formation du caractère américain. Quelle est la proportion numérique de la race allemande dans la population actuelle des Etats-Unis? Question très difficile à résoudre, car il faut tenir compte, non seulement des citoyens américains nés en Allemagne, mais des descendants jusqu'à la troisième génération des émigrants venus au cours du xviii"" et de la première moitié du xixm" siècle. Les évaluations des statisticiens allemands et américains varient de dix-huit millions à vingt-cinq millions. Faust estime qu'en 1790, il y avait en Amérique six cent mille Allemands dont les descendants jusqu'en 1900 peuvent s'élever à un peu plus de six millions ; enfin, il y avait en 1900 à peu près six millions et demi d'Américains dont le père et la mère étaient nés en Allemagne. En ajoutant quelques autres éléments, Faust arrive à la conclusion que dix-huit à dix-neuf millions des habitants des Etats-Unis ont plus ou moins de sang-allemand dans les veines. La population étant en 1900 de soixante-sept millions d'habitants, l'élément allemand représenterait vingt-sept pour cent de la totalité, dépassant l'élément irlandais-écossais qui est de vingt et un pour cent, égalant presque l'élément anglais, qui est de trente pour cent. Ces chiffres, si approximatifs qu'ils soient, montrent que la race germanique entre dans l'individualité ethnographique américaine pour une part beaucoup plus importante qu'on ne croit généralement.Cette influence se marque déjà en certaines contrées dans l'apparence physique. Le type pur de l'Américain, que l'on rencontre surtout dans les Etats du sud, est maigre et élancé ; l'émigrant allemand est généralement plus petit, plus large d'épaules et de poitrine, moins élégant peut-être, mais plus solidement construit ; il est plus robuste qu'agile. Dans les régions où les Allemands se sont fixés en grand nombre, la population présente souvent, par suite des croisements, un juste milieu entre les deux types. Au point de vue de la culture physique, d'ailleurs, les Allemands se sont rapidement mis au niveau des Américains de naissance. L'influence morale des Allemands est encore plus apparente. Tous les étrangers qui visitaient l'Amérique dans la première moitié du siècle s'accordaient à constater que l'Américain était incapable de s'amuser. Absorbé perpétuellement par des soucis matériels, dominé souvent aussi par le rigorisme religieux, il menait une vie austère, triste et monotone. Une voyageuse anglaise remarque en 1830 qu'ils n'ont ni fêtes populaires, ni foires, ni théâtre comique, ni musique, ni journaux satiriques.« Je n'ai jamais vu une population qui manque autant de gaieté. D'un bout à l'autre des Etats-Unis, on cherche en vain une trace de ce sentiment. Ils ne savent pas se réjouir de l'existence. La joie naïve et spontanée leur est inconnue. Ils ne peuvent un instant oublier leurs affaires. Je ne resterai pas longtemps ici, car je ne pourrais mener une vie semblable. » Plus d'un immigrant allemand a fait les mêmes réflexions. L'Allemand était à ce point de vue aux antipodes de l'Américain. Il aime, comme dit Goethe, les fêtes joyeuses après les dures semaines, et les hôtes, le soir, après le travail de la journée. Il veut jouir largement de la vie, non pas seulement en buvant et en mangeant, mais par des distractions plus nobles. t.es Allemands ont véritablement inculqué aux Américains le sens de la joie nationale. Les fêtes de leurs sociétés de gymnastique, de chant, de musique étonnèrent les Américains qui y virent bientôt des exemples à suivre. Leur plus grand succès dans ce domaine a été l'introduction en Amérique de leur fête de Noël, avec son sapin, ses cadeaux, ses cantiques, ses bougies et sa musique. Tandis que, jusque vers 1850, les Américains, peut-être sous une influence fran çaise, fêtaient le premier janvier, à partir de cette époque ils préférèrent Noël et non seulement la fête mais beaucoup des jouets, qui font-alors la joie des enfants viennent d'Allemagne, de la Thuringe ou de la Forêt Noire. Les Allemands ont vraiment donné à leurs nouveaux concitoyens l'exemple des joies du ménage et du confort domestique.(.4 suivre.) Firmin Chari.erik. Dépêches télégraphiques (Sévincé de VAgence HAVAS) DANS L£S BALKANS L'activité italienne en Turquie d'Asie On télégraphie de Koniali que le gouvernement italien déploie en ce moment une grande activité à Antalia, qui est l'un des sandjaks les plus importants de la province de Itoniah. De nombreuses familles italiennes arrivent tous les jours pour s'installer à Antalia : la plupart d'entre elléS appartiennent à la classe ouvrière. Des ingénieurs italiens .s'occupent de la construction d'un vaste hôpital à Antalia. Le gouvernement de Rome y a fait ouvrir des écoles de garçons et de jeunes filles où les élèves de toutes confessions sont acceptés gratuitement. Il est à noter que la majorité de la population d'Antalia est musulmane, le reste se compose de Grecs. Ces derniers ne voient pas d'un bon œil l'activité des Italiens et empêchent leurs enfants de fréquenter les écoles italiennes. En outre, on annonce de Jérusalem que les travaux de l'hôpital italien de cette ville, construit par les soins de l'Association nationale pour la protection des missionnaires italiens à l'étranger,^sont activement poussés. On assure qu'il pourra ouvrir ses portes au mois d'octobre prochain. Il est question d'élever dans le môme enclos un hôtel pour le consulat général d'Italie. Tout en i'ace de l'hôpital les Salésiens ont acquis dernièrement huit mille mètres de terrain et ils se disposent à y construire une nouvelle école. Les sœurs Franciscaines italiennes viennent de s'installer à Gaza où la population est en majorité musulmane.Le prince d'Albanie va se rendre à Londres Une note officieuse annonce que le prince Guillaume de Wied viendra à Londres, où il a l'intention de présenter ses hommages au roi et de s'entretenir avec sir Edward Grey. Un déjeuner sera offert en son honneur au palais de Buckingham. Les iies du Dodécanèse La Patris, d'Athènes, commentant les résultats du voyage de M. Venizelos, écrit : Nous sommes en mesure d'affirmer qu'à la suite d'un accord anglo-italien, les îles du Dodécanèse ne seront pas restituées à la Tui quie, qui a prouvé son incapacité de les conserver. On éviterait ainsi des conflits internationaux difficiles à régler. Une solution préférable à la rétrocession des îles à la Turquie et offrant toutes garanties de durée, sera prochainement trouvée. Les frontières de l'Epire D'Athènes au Temps : Au cours du conseil des ministres tenu sous la présidence du roi, M. Venizelos a communiqué les détails de son voyage et a assuré ses collègues de la cordialité des rapports gréco-roumains. Il considère comme certaine l'acceptation par les puissances de la rectification de la frontière de l'Epire. Le roi et le gouvernement, au" cours du même conseil, se sont trouvés d'accord sur la nécesité du renforcement immédiat des forces navales grecques.' La réponse de la Porte à la note des puissances C'est seulement lundi matin, à 9 heures que Chefky-bey, directeur du cabinet du ministre des affaires étrangères a remis officiellement la réponse de la Porte à la note des puissances au sujet des îles de la mer Egée, tandis que lés journaux locaux avaient publie et que les correspondants étrangers avaient fait connaître le texte de la réponse dimanche soir. Dans les milieux diplomatiques, on se montre surpris de cette publication prématurée. Les ambassadeurs et les chargés d'affaires ont délibéré lundi matin à ce sujet. 11 est probable que le doyen du corps diplomatique entretiendra le grand-vizir de cette inobservation des règles protocolaires à la prochaine réception officielle. Le secrétaire du grand-vizirat affirme qre dimanche soir, à 6 heures 1/2, le grand-vizir avait signé la réponse à la note des puissances et avait chargé de la porter à l'ambassade d'Autriehe-Hougrie. Toutefois il est certain que l'ambassadeur d'Autriche-Hongrie n'a connu la réponse de la Porte que lundi matin à 9 heures. La convention franco-allemande Berlin, 17.février. — Le projet de convention franco-allemande au sujet des chemins de fer en Turquie d'Asie et des questions financières a été paraphé dimanche matin à l'Office impérial des affaires étrangères d'Allemagne par les négociateurs français et allemands. Se projet revêt la forme d'une convention entre, d'une part, la Deutsche Bank, laquelle représente en même temps la Société des chemins de fer d'Anatolie et celle des chemins de fer de Bagdad, et, d'autre part, la Banque impériale ottomane, laquelle représente en mémo temps la Société du chemin de fer de Syrie et la s< ciété encore créer des chemins de fer du bassin de la mer Noire. Les gouvernements français et allemand ont l'intention de prendre officiellement acte, au moyen d'un échange de notes, du contenu, de cette convention après l'avoir examinée. Pour que cette convention entre en vigueur,'il est absolument indispensable que les deux parties se mettent d'accord avec la Turquie au sujet des questions en suspens. Les négociations anglo-allemandes Londres, 16 février — Suivant une information communiquée à la presse de Londres et puisée dans les milieux diplomatiques, les? négocations anglo-allemandes relatives à l'Afrique, qui ont été paraphéës l'été dernier, n'ont pas encore abouti à une conclusion. On attend pour signer la convention déflntive, la fin de certaines discussions engagées. Ce qui a été paraphé l'été passé a trait au développement commercial, économique-et financier des colonies portugaises et à la part qu'y prendraient respectivement l'Angleterre et l'Allemagne, mais on répète que ces conventions ne portent pas sur les colonies allemandes et anglaises et n'ont aucun rapport avec une répartition de territoires appartenant à une tierce puissance. La question du naphte en Russie Saint-Pétersbourg, 16 février. — Le ministre des voies et communications a soumis au cm seil des ministres un projet d'organisation de la production du naphte dans la presqu'île d'Apcheron. Le but de cette mesure est de pourvoir aux besoins des chemins de fer de l'Etat. Les dépenses d'organisation et d'exploitation sont évalués à 13,200,000 roubles poui ; les sept premières années. Il est possible qu'on j comnnnce à obtenir du naphte dès 1916. La I production atteindra peu à peu 34 millions j de ponds. On évalue à 18.3 kopeks par poud le prix de revient du naphte. Le nouveau cabinet argentin Buenos-Ayres, 16 février. — Le nouveau ca binet est constitué. En voici la composition ; intérieur, M. Ortiz; affaires étrangères, M ; Murature ; finances", M. Carbo ; justice et in struction publique, M. Tomascullen ; agricul ture, M. Calderon ; travaux publics, M. Moya no; guerre, M. Velez ; marine, M. Sanz Va liente. A la chambre des communes LONDKES, 17 février. -— M. Bonar Law appi.ii l'amendement relatif au régime douanier. Le; groupes actuels de l'opposition ont l'intention déclarj t-il, de réaliser quand ils seront reve pus au pouvoir une politique correspondant' à peu jrès au système belge parce que les Hbë raux vefusent de traiter les fermiers coloniau: airtrem *nt que comme des étrangers. Les cou servateurs donneront à tous ces fermiers lou ce qu'ils demandent. Après cette intervention l'amendement est rejeté par deux cent qua tre-vingt-trois contre deux cent neuf voix. Messieurs les fonctionnaires Entre les deux extrêmes : 1 Etat sou verain et la société syndicaliste, M. Lefa: conclut très sagement que, la vériti théorique et pratique se trouve dans ui régime légal qui concilie les nécessité: impérieuses d'ordre et d'autorité, san: quoi les nations ne peuvent vivre, et le: droits et les intérêts légitimes de ceiu qui la servent. Quelles sont les causes habituelles d< réclamations des fonctionnaires ? Ce son l'insuffisance des traitements, l'instabi lité de la situation, le défaut de régie mentation de l'avancement, ce demie: trop souvent donné sans considératioi de la valeur professionnelle, et unique ment à ceux en faveur de qui inter viennent des hommes politiques ; enfii l'absence de garanties en matière disci plinaire. M. Lefas reconnaît qu'eà beaucouj d'égards les doléances des fonctionnaire: sont fondées ; que la situation de, fonctionnaires n'est pas ce qu'elle doi être dans un Etat démocratique et qui des mesures s'imposent. Seul le légis lateur peut édicter ces mesures : une lo est nécessaire, en effet, pour qu'elle: affectent un caractère général et per manent. Mais que sera cette loi?-Corn ment établir le statut des fonctionnaires La question, contrairement à ce qu'oi pourrait croire, n'est pas neuve. Tou ces gouvernements modernes se la son posées et y ont donné des solution partielles ou opportunistes. Ce n'es guère que depuis une douzaine d'année? il est vrai, qu'elle s'est nettement préci sée, en raison d'une part du progrès di syndicalisme et de l'autre du renchéris sement de l'existence. Voyons quelques-unes des solution pratiques apportées aux divers aspect •de la question. En ce qui concerne le conseils administratifs, M. Lefas voi dans la participation des fonctionnaire au contrôle de leur service, non seule ment une exigence conforme à l'espri du régime démocratique, mais aussi un mesure qui ne pourrait qu'être utile ai gouvernement, à l'administration e enfin au public. En théorie, toute mesure qui pourrai avoir pour effet d'attacher les fonction naires à l'administration à laquelle il appartiennent, et cela en les faisant par ticiper plus étroitement à la vie et à 1 direction de cette administration, parai souhaitable ; en fait, le scepticisme es grand sur les services que pourraier; rendre ces conseils : c'est s'illusionnei affirme-t-on, que de penser que de idées nettes, des propositions précise sortiront des délibérations d'assemblée très nombreuses, où tous les degrés d la hiérarchie seraient représentés et oi vraisemblablement, les conceptions le plus diverses, les théories les plus cor tradictoires se heurteraient. En ce qui concerne les conseils d discipline on est généralement d'avi qu'ils sont très utiles, car les fonctioi naires auront ainsi l'assurance qu'ils n seront frappés qu'après un examen atter tif et contradictoire des faits qui leu sont reprochés ;. mais conférer à ces cor seils un pouvoir de décision définiti comme c'est le cas parfois, c'est vouloi que le ministre, le bourgmestre, etc seuls responsables devant l'autorité, n soient plus les véritables chefs des ag;en: de leur département. M. Salaùn, envisage un autre aspei des droits des fonctionnaires, celui o l'avancement. Dans la plupart des adm nistrations, aucune garantie n'est coi férée aux agents pour leur assurer u avancement normal répondant à 1er zèle et à leur compétence ; trop souver les postes importants sont réservés ceux en faveur de qui se produisent dt interventions politiques. Un tel état c choses, dit-il, ne peut se pronlonger tout fonctionnaire contre lequel aucu reproche d'ordre professionnel ne pei être formulé a droit à l'avancement : faut, par des mesures législatives coi venables, lui donner la certitude que t droit sera respecté : il faut donc organ ser l'avancement, mais comment faut-l'organiser ? La question est très délicate ; il e: même à peu près impossible de h trouver une solution qui soit entièremei satisfaisante. L'avancement peut être donné soit l'ancienneté, soit au choix, soit encoi selon un système mixte qui comme ce; a lieu dans l'armée, fait jouir l'anciei neté, pour les premiers grades et le choi pour le grades supérieurs. L'avancemei à l'ancienneté pure et simple a cet aval tage d'écarter toute complication d'e: ploitation et aussi tout froissement, ,toi motif de jalousie, notamment dans h corps que se recrutent au concours dont tous les membres ont normalemei la même valeur professionnelle ; mais ; n'est pas douteux que comme systèn : général applicable à toutes les admini | trations il a pour inconvénients d'opposi | une barrière presque infranchissable ar J aspirations des jeunes vers les gradi 1 supérieurs et aussi de décourager h initiatives et les efforts personnels, puis que toutes les promotions se feront seloi la loi inflexible de l'âge. L'avancement au choix permet seul dt i reconnaître et de récompenser le zèlt individuel et les qualités professionnelle; et en théorie, il ne semble guère contes table que ce choix soit le meilleur ; mai: - en fait il est inadmissible si l'état de k législation permet que le choix soi 1 déterminé par des considérations étran gères au service ; or c'est l'état actuel. Dans toutes les administrations : mi . ! nistérielles, provinciales, communale! on a cherché à concilier les deux sys tèmes : De là des formules le plus in téressantes en théorie, mais en pratiqu< soumises aux mêmes objections que le: > systèmes eux-mêmes. Les plus heureuse: 1 de ces formules divisent chaque gradi 1 de la hiérarchie en classes avec uni > échelle de traitements ; dans chaqui ' grade, avancement de classe en classe ; ' l'ancienneté, de grade en grade, avan - cernent au choix, sur les bases d'ui tableau d'avancement. C'est le princip* : admis en France par le projet Briand ' Maginot. Mais ce projet prévoit que h tableau ne sera jamais impératif poui l'autorité investie du pouvoir de nom mer. Cette restriction paraît ruiner tou 1 le système. Pour M. Lefas l'avancement devrai être, en principe, exclusivement donné : 1 l'ancienneté, le choix ne devrait joue: que dans des cas exceptionnels, et même, tout devrait fonctionner de telli ' sorte, dit-il, que les agents nommés ai ' choix fussent en même temps les plu: anciens de leur hiérarchie, ce qui sembli ' assez difficilement conciliable, et ce qu ; en tout cas fait la part trop large : ; l'ancienneté. ' (/i suivre.) G. de Maromme. -, —t 1 t LE MONUMENT APPELMANS s Hier après-midi, il la suite de l'an noue t parvenue à la Ville au sujet de la visite qu nous a faite à onze heures, ce matin, la com mission royale des monuments — un grain chariot amena au pied de la cathédrale, le 1 quatre personnages du monument Appelman et les pièces, cubes et balustrades en stuc, qu leur servent provisoirement de support. 5 En grande hâte, car les services du bureai ■î de notre architecte communal avaient été lii à téralement surpris par la décision soudain t de la commission bruxelloise, — en grand 3 hâte donc le placement provisoire fut effectue dans l'angle que forment les contreforts ai , pied de la tour inachevée. Jusqu'au soir, le ouvriers se démenèrent, si bien que vers neu 3 heures le monument était dressé. 1 Force nous est de dire qu'il fait le plus bs t effet à l'endroit où il a été placé et qu'il non paraîtrait fort regrettable que la commissio; t émit un avis défavoralbe à son maintien dan cette encoignure. Le monument n'attire pa g l'attention de façon à pouvoir nuire à l'enseir ble grandiose de la cathédrale. En ce qi concerne la couleur, le bronze noir des pei ]; sonnages s'harmonise parfaitement à celle de ' vieilles murailles qui dominent le groupe. ' va sans dire qu'il faudra patiner un peu, a t moment de l'exécution et du placement défin tif, les cubes de grès blanc qui devront ren s placer les soubassements actuels. Pour le su: ^ plus rien, ne parait choquant et les quatr s personnages du groupe, resserrés maintenai entre les hauts murs de l'église, ont pris u caractère d'unité, d'ensemble, que l'œuvre d ' Lambeaux ne semblait pas avoir lors de so s exposition à la salle des fêtes. Tant il est vri qu'il faut voir les choses dans leur cadi définitif. e Une objection a été fréquemment soulevii 5 à propos du personnage de l'ouvrier qui, gauclie du monument, gravit, une échelle e portant sur l'épaule un bloc de pierre taillé. On avait demandé quelle vraisemblance poi vait avoir ce personnage, s'il dressnit la di: '' échelle contre un mur achevé. Cette remarqr ■- tombera d'elle-même lorsqu'on aura vu monument présenté dans le décor actuel. A 1' fond contre le mur de la cathédrale, une amo ,, ce. de maçonnerie se trouve en constructiol e et il est évident, pour le spectateur, qi . l'ouvrier va ajouter son bloc à ce travail cou mencé. Ce fut bien là aussi la pensée c l'artiste, et elle ne saurait avoir rien de my térieux puisque l'échelle en question se trom ,e placée à portée de ce bout de mur vers lequ l_ l'ouvrier se dirige. 1- rions ignorons quelle a été l'impression df n membres de la commission, au cours de lei r visite de ce matin. Nous souhaitons cependai it que l'on ne cherche pas d'autre emplacemei p nir le monument Appelmans. Son cadre e la, harmonieux, grandiose et discret. Le placi s ailleurs serait détruire le caractère même c e l'œuvre. n SUITE DU PRECEDENT i La commission des monuments représenti par MM. Janlet, Brunfaut, les frères Blomm Holvout, conseiller à la cour de cassation, h peintres .los. Janssens et Is. Opsçmer, et a 6 compagnée de MM. les échevins Van Kuyi i- et Strauss ainsi que de M. l'architecte Va il Mechelen, se sont rendus, comme nous disions plus haut, devant le monument Appe mans. Leur examen paraît avoir été favorab ,j sur le principe du maintien du groupe ,( l'emplacement proposé. Les critiques n'o: porté que sur quelques questions de déta relatives à l'agencement et l'architecture d a soubassements. Tout porte à croire que ,(- question est tranchée. H A- neuf heures quarante-cinq, ces messieu i- s'étaient rendus à l'atelier du peintre Ch. Boo X pour y admirer les peintures murales qi l'artiste vient d'exécuter pour la maison coi mu n aie d'Hoogstraeten. A trois heures, la commission, — qui s'e \ rendue ensuite à Malines, — a examiné 1 fresques du mont de piété de cette ville. ?t LE PRIX D'ARCHITECTURE L. BLOMME Pour la première fois, le prix de la fo j] dation Léonard Blomme a été décerné cet année. Il l'a été à la vérité, avec « la pli grande distinction et les félicitations du jury 3" et c'est le jeune architecte Smolderen, — do !r nous avons signalé à plusieurs reprises 1 X succès, — qui l'a remporté. ÎS On sait que M. Léonard Blomme, professe: !S d'architecture à l'Institut supérieur des beau arts, a fait don à l'Etat, voici trois ans, d'un somme assez importante dont les intérêt acci: mulés doivent récompenser le travail le plu méritant, effectué dajis son atelier, au cour de trois années. 1 Dix concurrents se sont trouvés cette fois e: 1 présence, dont cinq furent tout d'abord élimi nés. Parmi les cinq autres, c'est M. Smo i deren qui de haute lutte a remporté la palme Nous l'en félicitons bien sincèrement, ains ; que son vénérable professeur. CARILLON Sous la direction du maître carillonneu malinois Jef Denyn, un nouveau jeu de cloche sera placé très prochainement au Kiel, e: l'église Sainte-Catherine. Ce carillon se conr posera de vingt-huit cloches raccordées à u clavier, et d'un cylindre à trois mille cin cents broches pour le jeu automatique corre: pondant aux huit subdivisions de l'heure. LE MOUVEMENT DE LA POPULATION Le sixième bulletin hebdomadaire du servie communal d'hygiène donne les résultats su vants sur le mouvement de la population d 1er au 7 février 1914 : naissances, cent Ving deux, dont trois appartenant à la populatio flottante (pas de naissance gémellaire), décè: ' quatre-vingt-cinq, dont cinq appartenant à 1 population flottante. Quarante-huit mariage : ont été contractés dans le courant de ceît semaine ; deux divorces ont été prononcés. Parmi les causes de décès nous trouvons lf cas de maladies infectieuses suivants ■ scarU tine, trois ; tuberculose pulmonaire, treize ^ croup et diphtérie, trois ; coqueluche, deux. INTÉRIEUR Le roi Albert tombé de cheval Une note officielle annonce qu'au coui d'une promenade à cheval, le roi a fait un chute dans la forêt de Soigne, près de Boit fort. Appelés d'urgence au palais, les docteui Le Page et Lebœuf ont constaté une fractui du bras gauche. Voici comment l'accident e: arrivé, le cheval a trébuché contre une pien qui dépassait le payé a glissé et s'est abatt entraînant son cavalier. L'enregistr8ment des bau Jusqu'au 15 mars, les baux peuvent être ei registrés, sans amende de retard, à conditio qu'ils soient antérieurs au 15 septembre. S'i ont été signés après cette date, leur enregi ^ trement doit être fait dans les trois mois, soi 1 peine d'une amende de vingt-cinq francs poi chacune des parties contractantes; une no 1 velle amende de vingt-cinq francs sera ajoutt s si le bail a été écrit sur papier non timbré. 5 j L'eau alimentaire à Maiini Le projet de l'établissement d'une distribi tion d'eau alimentaire a Malines vient d'èti arrêté par l'administration communale de cet ville. Ce projet, dressé par M. Van Hecke, i: 2 génieur des constructions civiles et professet 2 à l'Université de Louvain, prévoit une canal sation aménagée de façon à pouvoir être relu x à l'aqueduc d'amenée quelle que soit la soun s qui fournira l'eau, que celle-ci proviennen d' f réserves souterraines de Moll ou du lac c Hofstade. Les recettes des chemins de fi s Les recettes en janvier 1914 se sont élevé' 1 ù. 25,810,000 francs (7,511,000 pour les voyageu s et 18,329,000 pour les marchandises), cont s 27,427,000 pendant le mois correspondant ( 1913 frespectivement 7,739,000 et 19,688,000). [ y a donc en janvier 191,4 une'diminution ( 228,000 francs dans les recettes voyageurs de 1,359,000 dans les recettes marchandise, se j au total une moins-value de 1,587,000 francs. I L'inspection du trav£ i- Dans son rapport sur le budget de l'indu i- trie et du travail, le comte Pierre de Lied kerke expose que la question de l'inspectic e des mines et du travail a donné lieu à i t échange de vues prolongé. Un membre été , disposé à croire que l'organisation du pï mier de ces services était meilleure que ce! du second et proposait d'augmenter le noi II bre des inspecteurs du travail. M. De Lied i kerke ajoute : e La section ne s'est pas rangée à cette manière voir : si, en fait, le personnel chargé de l'inspi e tion des mines est plus nombreux que celui c ;l inspecteurs du travail, il ne faut pas oublier q l'inspection des mines est plus longue, plus fatigan 11 plus difficile et pénible que celle des usines. Sur deuxième point touché, qui consistait à voir ai nienter le nombre des inspecteurs du travail la n jorité de la section a jugé, qu'en augmentant e nombre des inspecteurs, il n'était pas prouvé q e l'on'apporterait une amélioration sérieuse à ce s q vice, parce que la bonne organisation d'un serv: ne dépend pas toujours essentiellement du noml de ses agents, mais surtout de leurs qualités, i> qu'il lui paraissait que les inspecteurs actuellemf i, en fonctions remplissaient très bien et très actl e ment leur mission ; que, s'ils ne pouvaient produ tout le bien que l'on en attendait, le principal n tif des défaillances possibles était dû à ce que e ouvriers manquent de confiance vis-à-vis des lnsp teurs, que ceci provenait en grande partie d'u tactique adoptée dans certains milieux, et que e fait d'augmenter le nombre de ces fonctionnai: *1 ne remédierait pas, au contraire, à cette situatii Au surplus, les relevés publiés dans la Revue ,. Travail et les rapports de l'inspection du trav h prouvent suffisamment que leur activité ne pt être contestée. Si. du reste, par suite de l'extensi it de leurs attributions, 11 devenait désirable d'en v augmenter le nombre, la section centrale compt ^ sur le ministre compétent pour le faire. ■S Intéressantes expérienc e D'intéressantes expériences ont eu lieu Beverloo la semaine dernière. Depuis ass longtemps déjà, le ministre de la guerre mis à l'étude la construction d'un fusil ie chargement automatique. La question vie e, d'entrer dans le domaine pratique et les < ;s sais auxquels la commission nommée par [>_ ministre de la guerre vient de se livrer pe j. dant huit jours au camp ont donné, des i sultats très concluants, paraît-il. Les anr présentées ont été soumises à de dures épre le ves. Tout en assurant l'automatisme du ch; ï" gement elles réunissent en même temps tou-•e les conditions du Mauser actuel à it Le désarroi aux chemins de 1 1 La chambre de commerce d'Aix-la-Chape 3g a adressé au ministre des chemins de fer ' télégramme suivant : L'arrêt pour ainsi dire complet du trafic sur lignes de chemin de fer belges durant depuis rs longs mois déjà, il en résulte une répercussion n plus fâcheuses sur le trafic des lignes allemanc ie Les retards considérables subis par les envois ai) lés à traverser la Belgique mettent l'industrie et commerce allemands dans l'impossibilité d'assu leurs expéditions, et nous prions en conséque: st Votre Excellence de prendre les mesures nécessal ic pour remédier à cette situation et assurer, tout moins en partie, les communications avec l'intérii du pays. En l'honneur de deux prix Noi Les derniers titulaires du prix Nobel te médecine et du prix Nobel de la paix, M. ( is Richet, membre de l'Académie des scienc Hj et M. Henri La Fontaine, sénateur de Bel que, vont être fêtés à Paris. Un banquet 1( ?s sera offert dimanche prochain. Notre commerce extérl( ir Pendant janvier 1914, les importations x- la Belgique se sont élevées à 415,863,000 fran 3 contre 422,356,000 francs pour les mêmes mois de 1913, soit une diminution de 6,493 francs s ou 1.5 pour cent. 3 Les exportations ont donné pendant le même mois de cette année 255,027,000 francs, contre 270,879,000 francs en 1913, d'où une diminution 1 de 15,852 francs ou 5.9 pour cent pour l'année - 1913. Les droits de douane perçus en janvier 1914 se sont élevés à 5,912,851 francs, contre 6,627,177 i francs en 1913, soit une diminution de 714,326 francs ou 10.8 pour cent. Notre mouvement de la navigation maritime pour le même mois s'exprime par les chiffres [■ suivants : nombre de navires entrés en 1914, 3 952, avec un tonnage total de 1,415,191 tonneaux de mer (jauge Moorsom), contre, en 1912, 972 navires, avec un tonnage total de 1,434,397 tonnes, soit une diminution pour 1914 de 20 navires ou 2.1 pour cent et de 19,206 tonnes ou 1.3 pour cent. Il est sorti en 1914 951 navires avec 1,425,554 tonnes, contre en 1913, 976 navires, avec 1,440,274 tonnes, soit une' diminution pour 1914 de 25 navires ou 2.6 pour cent, et de 14,720 tonnes ou 1 pour e cent i- Quant au mouvement du numéraire en Bel-j gique, voici : or entré en janvier 1914, 1,654,403 . francs, contre 17,261 francs pendant le mois n correspondant de 1913 : argent entré pendant la même période, 99,804 francs, contre 22,035.791 '• en 1913 ; or sorti de la Belgique en 1914, 12,862 a francs, contre 74,820 francs en 1913 ; argent s sorti en 1914, 422,260 francs contre 4,731,656 e francs en 1913. Au total, il est entré en Belgique en janvier 1914, or et argent réunis, s 1,754,207 francs, contre 22,053,052 francs en 1913, alors qu'il en est sorti 435,122 francs, contre 4,806,476 francs en 1912. Voici les-comptes spéciaux par pays de pro venance et de destination : Importations 1914 1913 Congo belge .... 4,202,663 4,574,424 Zollverein allemand . 50.484,868 72,369,581 France 77,376.029 73,451,934 Grande-Bretagne . . 49,758,429 43,601,834 Pavs-Bas 25,675,444 29.139,611 Etats-Unis 28,893,968 43,015,377 Argentine 26,207,465 26,150,300 Exportations 1914 1913 Congo belge .... 1,585,202 1,109,776 Zollverein allemand • 64,528,596 76,869,019 France 67,336,371 65,054,840 Grande-Bretagne . . 29,928,960 36,241,969 Pays-Bas 20,868.897 24,235,448 Etats-Unis 8,920,661 7,576,617 ^ rtigeiimie u,iw,uw-x ^, u .x.. ~. ù" Banque nationale de Belgique is II 5- (Voir Anvers-Bourse du 16 février) s Les recettes effectuées en 1913, pour compte ir du trésor, s'élèvent à 3,728,887,076 fr. 72 ; les i- payements à 3,668,766,381 fr. 07 ; mouvement to-e tal, 7,397,653,457 fr. 79 ; il avait été, en 1912, de 7,445,341,365 fr. 74. Le solde du compte du trésor était, le 31 îs décembre 1913, de 6,010,323 fr. 12 : le solde i- moyen de l'année a été de 18,072,441 fr. 85 ; le e chiffre moyen des dispositions courantes, de e 10,347,481 fi*. 03 ; les fonds publics déposés i- pour compte du trésor s'élèvent, le 31 décem-ir bre 1913, à 2,219,740,562 fr. 16 ; ils s'élevaient, i- le 31 décembre 1912, à 2,153,428,598 fr. 16. =e Les coupons des divers emprunts de l'Etat, e des dettes congolaises, de la Caisse d'annuités, îs de la Société nationale des chemins de fer vile cinaux, des titres des Sociétés de chemins de fer repris par l'Etat et du Crédit communal payés aux guichets de la Banque, tant à Bruxelles qu'en province, sont au nombre de îS 3,350,397 francs. Indépendamment du nombre rs considérable de coupons payés, il a été déta-"C ohé, cette année, des obligations déposées à la Caisse de l'Etat, 2,219.528 coupons. !• Le solde créditeur de la Caisse d'épargne 'e est compris pour 20,891,045 fr-. 32 dans le solde et général des comptes courants qui figure au it bilan du 31 décembre 1913. f.es valeurs qui constituent le portefeuille de la Caisse d'épargne et les prêts effectués pour •' compte de cette institution figurent h l'actif s- et au passif de la banque pour 279,422,583 fr. e- 44. Ce chiffre était, en 1912, de 268,977,390 fr. 37. •n Les acréditifs délivrés à Bruxelles, en 1913, in ont atteint le nombre de 216,302 pour 901,797,495 it fr. 04 ; les accréditifs délivrés en province ont atteint le nombre de 372,609 pour 896,389,747 fr. le 27 : ensemble, 588,911 accréditifs pour 1,798,187,242 fr. 31. Les accréditifs délivrés en e- 1912 avaient atteint le nombre de 603,636 pour 1,867,686,401 fr. 95. de Au 31 décembre 1913, le montant total des ic- dépôts volontaires était de 1,219,369,009 fr. 07. es Les dépôts à découvert sont compris dans "e "e chiffre pour 1,030,431,707 francs. Le. nombre f' des déposants, au service des dépôts à décou-1{?_ vert, s'élève au 31 décembre 1913, à 14,259, en ia- augmentation de 259 déposants sur le nombre le existant au 31 décembre 1912. Le nombre ue des déposants avec un capital inférieur à 5,000 îr- francs est de 7,105. Les diverses catégories de ce valeurs déposées sor^t au nombre de 4,517. Les 'JJ dépôts de la Succursale d'Anvers figurent dans nt le chiffre total pour 96.710.023 fr. 04. Le droit re- de garde perçu est de 496,710 fr. 08. re Le compte « Immeubles de service » figure »o- au bilan du 31 décembre 1913 pour 22,329,262 fr. tes 90. Le compte « Matériel et mobilier » figure ?P" au bilan du 31 décembre 1913 pour 1,364,449 fr. le 62. Le compte d'amortissement des immeubles •es de service, matériel et mobilier, dont les res->n. sources sont converties en fonds publics, fi-DU gure au bilan du 31 décembre 19'3 pour aI1 8;719,670 fr. 61. "n La somme de 134,861 fr. 91, qui représente )ir la valeur des clichés, des encres et surtout du ait papier destiné aux billets et aux imprimés nécessaires aux divers services de la banque et des agences, figure au bilan sous le libellé : es « Approvisionnements pour la fabrication des à billets et des labeurs. » ez i,e compte « Cautionnements « comprend les a cautionnements fournis à la Banque par les à administrateurs de la succursale, les comp-°t toirs, les agents, les huissiers et les encais--s- seurs. Ils consistent en valeurs mobilières et le immobilières pour une somme de 14.966,266 fr. n" 46. qui figure l'actif et au passif du bilan. 'à- Les fonds publics appartenant à la banque es figurent au bilan du 31 décembre 1913 pour 49,990,366 fr. 50. Us comprennent : 11 ' En dette belge 2Vj% un capital nom. de fr. 14,003.800 e? „ 3 » (1** S.) » » 9,368.800 3 » (2* s.) » » 36.058.800 » 3 » (3* s.) » » 6/i-'i6.900 er En bons du trésor 3 % » » 3,000,000 Ile Le compte des billets au porteur figure au le bilan pour 1,195,110,000 francs ; les billets en caisse pour 127,703,000 francs. Le montant des les billets en circulation, le 31 décembre 1913, était de donc de 1,067,407,000 francs. Le 31 décembre les 1912, il était de 1,034,616,120 francs. La es. moyenne des billets en circulation, pendant Pe_ l'année 1913. a été de 1,004.121,390 francs. Cette rer moyenne avait été, en 1912, de 946,149,930 lce francs. La moyenne de la circulation des bil-res lets en 1913 se décompose comme suit : au 211,151 billets de fr. 1,000 soit. 211,151.000 jur 103.929 >» •> 500 » 51.96'i.500 3,990,757 » >• 100 » 399.075.700 2,268,217 » » 50 » 113,410.850 jel 11,425,967 » » 20 >• 228.519,3'.0 de ■J-J Ensemble 18,000,021 billets pour fr. 1.004.121.390 es, La banque a retiré de la circulation et an- gi- nulé : ,ur 213,400 billets de fr. 1.000 soit 213,400,000 75,000 » » 500 » 37.500.000 1,351,000 » » 100 » 135,100.000 822,000 » »> 50 » 41,100.000 iur 5,383,000 » » 20 » 107,660.000 de es, Ensemble 7,844,400 billets pour fr. 534,760,000

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle belonging to the category Financieel-economische pers, published in Anvers from 1889 to 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Periods