Informations belges

654 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1918, 07 March. Informations belges. Seen on 24 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/445h99031j/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

N° 62C 7 Mars 191; INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité. n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. A.dreB8er les communications do aerTioe : 29, roe Jacques-Louer, LE HA.VRB (Selne-Inférleure) France En Marge du Communiqué belge. — Les « coups de sonde » allemands sur le front belge. — 20 reconnaissances offensives en 28 jours. — Le coup de main de Dixmude. — Le 7* avion hoche descendu par André de Meulemeester. — (Front belge, mars 1918.— D'un témoin oculaire). — La lecture des communiqués quotidiens et du résumé hebdomadaire de la situation publiés par le Grand Quartier Général belge, renseignent ceux qui suivent l'action inlassable des soldats du roi Albert. Ils n'ignorent pas que l'artillerie est sans cesse en action de même que l'aviation, que l'infanterie exécute des raids et repousse les patrouilles ennemies. A ce propos, il est intéressant de faire remarquer « en marge du communiqué », ainsi que le dit une formule généralement adoptée maintenant, que les Allemands ont été particulièrement entreprenants pendant le mois dernier. En 28 jours, ils ont organisé contre nous pas moins de vingt coups de main et patrouilles, c'est-à-dire des reconnaissances offensives préparées ou non par un tir d'artillerie. Il y en eut huit contre Nieuport, trois dans la région de Mannekensveere à l'Est de la ville, une contre Oud-Stuyvekenskerke, deux devant Dixmude, six contre nos positions conquises en avant de Merc-kem.Vous avez eu des détails déjà sur la plupart d'en-tr'elles, les plus importantes. La plus remarquable et la plus récente fut déclenchée au Nord de Dixmude dans la nuit du 26 au 27 février, La nuit avait été relativement calme, c'est-à-dire que l'artillerie allemande nous avait envoyé quelques trois mille projectiles pour nous tenir en éveil. Nous ne restons pas les bras croisés. Une politesse en vaut une autre. Vers la fin de la nuit, une dizaine de batteries allemandes de petit et de moyen calibre, conjointement avec l'artillerie de tranchée précipitèrent leur tir en une préparation violente.Pendant trois quarts d'heure, plus de trois mille projectiles s'abattirent ainsi près de notre première ligne devant Dixmude et au Nor 1 de la tête du Haut-Pont de Dixmude. Puis, tandis que les mitrailleuses rasaient le parapet de nos tranchées, que les minenwerfer et les lance-grenades faisaient rage, six barques sortirent du canal de Handzaeme, qui, après avoir traversé Dixmude de l'Est à l'Ouest, se jette dans l'Yser au Nord du Haut Pont (ou tout au moins des vestiges qui en indiquent l'emplacement). Chacune d'elles était montée par une demi douzaine d'hommes. Sous la protection de ce feu intense, elles devaient approcher de la rive Ouest, y débarquer leur monde, explorer nos ouvrages et en ramener des prisonniers. Simultanément, un autre groupe d'Allemands élevaient une échelle-passerelle à droite du pont ; ils devaient la jeter sur l'Yser qui n'a là qu'une vingtaine de mètres de largeur et passer ainsi de notre côté. Mais l'ennemi comptait sans les nôtres. Nos batteries et notre artillerie de tranchée lui répondaient du tac au tac. Les barques furent copieusement arrosées de grenades, au point que les occupants de cinq de ces embarcations les abandonnèrent précipitamment en sautant dans le fleuve, pour s'efforcer de regagner à la nage leur rive de départ. Une seule barque aborda. Six Allemands pénétrèrent dans une tranchée, mais ils en furent chassés après une lutte corps à corps, aussi brève que violente. Eux aussi reprirent le large. D'autre part, le groupe allemand de la passerelle était énergiquement canonné. Il renonça à lancer son « pont de fortune » et laissa retomber l'échelle qui était déjà dressée, pour chercher un abri. Au petit jour nous l'avons pu voir, abandonnée sur la rive, tandis que les barques étaient misérablement échouées, faisant eau par les blessures que leur avaient faites les grenades. C'est la première fois que les Allemands essaient de traverser ainsi l'Yser dans la région de Dixmude. La tentative ne leur a pas réussi. Retenons de ce relevé de vingt coups de main et patrouilles en 28 jours que l'ennemi sonde énergiquement le front belge mais que nous y faisons bonne garde. Il arrive même — nous l'avons vu le 1er février — que les patrouilleurs venus pour faire des prisonniers chez nous, laissent un des leurs en nos mains. Et puisque j'en suis à annoter le communiqué « en marge », voici des détails sur le combat dans lequel l'adjudant De Meulemeester, qui est en tête des as belges depuis la disparition de Tieffry, a abattu son septième avion homologué. « C'était donc le 21 février, me dit-il, je volais entre la boucle de Tervaete et Dixmude. Il était 2 heures 1/2. Je suivais une patrouille de quatre albatros. Un d'eux s'est détaché pour attaquer un avion anglais. Je suis tombé dessus à coup de mitrailleuse. Les trois autres ont piqué sur moi pour dégager leur camarade. Il était trop tard. L'ennemi avait été atteint. Il descendait en vrille. On l'a vu s'abattre sur le sol. Je me suis retourné contre mes trois agresseurs et je les ai accueillis à la mitrailleuse. Ils se sont dispersés. Je suis rentré dans nos lignes. « André De Meulemeester n'avaitpas perdu sa journée.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title Informations belges belonging to the category Oorlogspers, published in Le Havre from 1916 to 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods