Informations belges

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s.n. 1917, 24 July. Informations belges. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/j96057h73k/
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N° 404 24 Juillet 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les oommunioations de service : 52, rue des Gobeiins, LK HA.VHE (Seine-Inférieure) France. Le 21 Juillet à Birmingham. — Discours de M. H. Carton de Wiart, ministre de la justice.— M. H. Carton de Wiart. ministre de la justice belge, a pris la parole, à Birmingham, le 21 juillet 1917, au cours d'une réunion patriotique. On trouvera ci-après des extraits de son discours : « Le chancelier allemand qui vient de s'effondrer et auquel l'histoire conservera comme un stigmate indélébile le qualificatif d'homme du chiffon de papier, a tenté, dans un de ses derniers discours au Reichstag, d'expliquer les visées germaniques sur notre pays. « L'Allemagne, a-t-il dit, ne permettra jamais à la Belgique de devenir, soit au point de vue politique, soit au point de vue économique, la vassale de l'Angleterre et de la France. » Or. tout homme de bonne toi sait que la Belgique n'a jamais été et qu'elle entend bien n'être jamais la vassale de personne. Depuis l'acte de sa constitution en 1830, elle s'est montrée jalousement fière de son indépendance et fidèle jusqu'au scrupule, jusqu'au martyre, à la neutralité qui lui avaitété imposée. Mais la guerre, qui lui a coûté et lui coûte chaque jour tant de deuils et de ruines, lui a du moins conquis déjà un droit : celui de nourrir désormais en toute liberté, ses affections ! Et qui ne comprendra que ses affections soient et demeurent acquises aux Puissances si loyales qui, garantes de notre neutralité, ont ajouté au respect de la parole donnée, le réconfort de l'amitié la plus délicate et la plus attentive ? Et qui s'étonnerait de l'éxécration que nous inspire une Puissance déshonorée, qui, après avoir brutalement violé un petit pays qu'elle avait juré de protéger, semble vouloir descendre chaque jour un peu plus bas dans la honte et la barbarie ? » S'adressant ensuite plus spécialement à ses compatriotes, M. H. Carton de Wiart a résumé en trois mots leur devoir présent : « Union—Courage —Confiance ». « Rappelons-nous, leur a-t-il dit, l'enthousiasme sacré qui fit tressaillir toute la Belgique au coup de foudre du 2 août 1914 et gardons le noble frémissement de ces heures héroïques. Que l'union qui s'est soudée spontanément ce jour-là, demeure notre loi commune. L'union ! Plus que cela : l'unité. Plus de droite, plus de gauche, un centre : le Roi. Un seul drapeau : notre drapeau tricolore. Un seul intérêt : celui de la nation. C'est en vain qu'un ennemi sans scrupule, qui a compris à quel point l'amour des Belges pour leurs Souverains s'oppose à ses perfides manœuvres de désagrégation nationale, essaiera.par des rumeurs asphyxiantes, à s'attaquer à la popularité et à la gloire de notre Roi Chevalier. Répondons-lui en nous serrant avec plus d'amour et de fierté autour de ce chef sans peur et sans reproche qui, pas plus à l'Yser, qu'à Anvers ou à Hofstade, n'abandonne nos soldats, qui brave avec eux toutes les fatigues et tous les dangers de la vie de guerre* qui leur communique le souffle de son énergie sereine, et dont le nom sera béni tant que l'honneur fleurira au cœur des hommes ! » Evoquant enfin « le jour radieux où, dans une atmosphère rassérénée, les nations, les cités, les familles, les individus pourront reprenlre le cours laborieux et utile de leurs destinées >, M. H. Carton de Wiart a terminé en ces termes : « Ce jour-là, la Belgique, dont l'indépendance et la force sont et seront de plus en plus nécessaires à l'équilibre européen, reprendra, parmi les Nations, avec une énergie trempée par le sang et les larmes, un rôle d'autant plus beau et plus grand qu'elle aura souffert et lutté pour être fidèle à la parole donnée, base de toute société humaine, et qu'elle aura personnifié contre le Droit de la force invoqué par l'Allemagne, la force du Droit sans quoi il n'est pas de civilisation ». (xx) — A propos du 21 juillet. — Un hommage suisse à la Belgique. — Sous ce titre : « A la Belgique », M. Roger Bornand consacre, dans la Gazette de Lausanne du 22 juillet 1917, un article à la nation martyre: « L'hommage du monde entier, dit M. Bornand, s'adresse, en ce jour, à la Belgique. C est sa fêle nationale et la troisième depuis la guerre ». Après avoir résumé les événements qui précédèrent la révolution de 1830 et la proclamation de l'Indépendance belge, l'auteur de l'article poursuit en ces termes : « Dès 1830, non sans efforts ni tâtonnements certes, la Belgique s'organise, s'examine et s'interroge. Il s'agit de connaître de quoi on est capable : de voir où 1 on peut aller et de quelle manière y arriver. Dans le domaine économique, un effort splendide est accompli ; les usines dressent partout leurs cheminées et leurs charpentes menaçantes : verreries, aciéries, zingueries, filatures, etc.; les puits se creusent et les galeries des mines parcourent le sol dans toutes les directions, pour en tirer la houille et les minerais. Politiquement, les grands ministères libéraux de Charles Roger, Frère-Orban

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This item is a publication of the title Informations belges belonging to the category Oorlogspers, published in Le Havre from 1916 to 1919.

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