Informations belges

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16 November 1918
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s.n. 1918, 16 November. Informations belges. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/1c1td9rb4f/
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N° 871 bis 16 Novembre 1918 Informations Belges (xx). — Bruxelles siège de la Conférence de la Paix ? — La National Zeitung imprime dans son n° du 8 novembre 1918 : « Nous apprenons que cette question continue d'être suivie de près par le Conseil fédéral. Si les grandes Puissances se prononcent pour Bruxelles, la Suisse, par sympathie pour la Belgique si éprouvée, ne fera aucune démarche pour que le Congrès ait lieu en Suisse, sinon elle mettra son territoire neutre à la disposition des belligérants. » (xx) — La signature de la paix. — « Bruxelles est la ville indiquée », dit un journal américain — A la date du 18 octobre 1918, le grand organe de New-York, Evening Mail, publiait ce qui suit : « Nous sommes peut-être un peu prématurés en suggérant la ville dans laquelle l'Allemagne devra recevoir des Nations assemblées la notification de ce que l'on attend d'elle, à la suite de la guerre qu'elle a déchaînée sur l'humanité ; néanmoins, nous tenons à rappeler que Bruxelles est, mieux que n'importe qu'elle autre, la ville indiquée pour cela. C'est là que l'Allemagne devrait apprendre ce que le monde pense de sa conduite et quelles garanties elle aura à donner pour le maintien de la paix. « SI les conditions de paix devaient être des conditions de compromis, il y aurait lieu de choisir une des capitales d'un pays neutre ; les conditions à fixer à l'Allemagne ne sont néanmoins pas des conditions de compromis. On devra lui dicter des conditions, et la capitale où ces conditions devraient être fixées, c'est la capitale de la brave petite nation que l'Allemagne a dévastée avec tant de gaîté de cœur. Là règne l'atmosphère propre au travail que les Nations alliées ont à exécuter. » (xx). — La violation du territoire du Luxembourg par l'Allemagne a eu lieu contre la volonté du pays. — La Frankfurter Zeitung, numéro du 4 novembre 1918, édition du soir, publie une dépêche ainsi libellée : « Luxembourg, 4 novembre (dépêche particulière). — La Chambre luxembourgeoise et le gouvernement protestent à l'unanimité contre la dernière information de la Rheinische-Westphaelische Zeitung, d'après laquelle l'occupation du Luxembourg par l'Allemagne aurait eu lieu en complet accord avec le gouvernement luxembourgeois. Le gouvernement démentira cette nouvelle auprès do toutes les puissances ainsi que dans la presse étrangère par l'entremise du bureau de presse luxembourgeois, qui a été officiellement créé récemment en Suisse. Le gouvernement a promis, en outre, d'intervenir énergiquement pour que les journaux et publications étrangers, principalement les français, soient librement introduits au Luxembourg, comme c'est le cas pour l'Allemagne. On compte aussi sur de grandes améliorations dans le domaine de la censure intérieure. » Les Belges de Genève célébreront en grande solennité la fête du roi Albert. — La Colonie belge de Genève célébrera la fêle du roi Albert, avec une solennité particulière. Un Te Deum sera chanté à Notre-Dame. M. Peltzer, ministre de Belgique à Berne, y assistera et sera reçu ensuite par le Conseil d'Etat. Un banquet aura lieu à l'issue de la cérémonie. (xx). Les Suisses fêteront l'entrée du roi Albert dans la capitale belge. — On pavoisera à Bàle comme à Genève. — Le journal La Suisse, dans son numéro du 7 novembre 1918, signale l'initiative d'un Comité bàlois invitant la population à pavoiser le jour où le Roi des Belges rentrera à Bruxelles et fait suivre sa note « d'un bravo Bàlois. » Dans le même numéro La Suisse reproduit l'appel du Comité bàlois et signale qu'il est permis de pavoiser aux couleurs belges, puisque do nombreux Italiens domiciliés dans le Tessin viennent de le faire à l'occasion des victoires italiennes. Sur la demande du Conseil d'Etat tessinois, s'informant au Conseil fédéral pour savoir s'il autorisait ces manifestations, le Conseil fédéral estime maintenant, dit le correspondant bernois de la Zarcher Post, qu'il est permis de pavoiser « comme signe de joie à l'occasion de la conclusion formelle do la paix, à condition qu'il ne se produise pas d'attaque à l'égard des consulats étrangers. » D'autre part un correspondant de Genève qui signe M. Paschoud, envoie une correspondance à La Suisse (7 novembre 1918) disant : « Certainement nous mettront des drapeaux à nos fenêtres le jour ou nous apprendrons la rentrée des Souverains belges à Bruxelles et je pense que Genève sera richement pavoisé, car assez d'égoisme, assez de plate neutralité. « La Suisse doit être libre de s'associer à la joie des peuples rendus à la liberté. » (xx). — La Belgique acclamée à Lugano. — A l'occasion de la victoire italienne, une imposante manifestation a eu lieu à Lugano. Un cortège, composé de sociétés suisses et italiennes, s'est rendu devant le Consulat Général d'Italie et devant les Consulats des Etats Alliés Devant l'Agence consulaire de Belgique la manifestation fut plus particulièrement chaleureuse. Les manifestants chantèrent la « Brabançonne » et l'hymme Suisse. Dans une harangue adressée à la foule, le président de la Société italienne de Lugano, déclara que l'on ne pouvait oublier que, sans la Belgique, la victoire de l'Italie eut été impossible. (xx) — Jamais Anvers ne deviendra allemande. — A propos des prétentions allemandes sur le port d'Anvers, on lit dans le Thurgaàer Tageblatt, du 6 novembre 1918, une intéressante appréciation des vues du pangermanisme. D'après l'auteur de l'article en question, la ville d'Anvers, morte aujourd'hui, « se réveillera mais ne deviendra jamais allemande. Le rêve des pangermanistes se trouve n'avoir été qu'un cauchemar ; la collaboration allemande, devenue une calamité pour la ville, n'y sera probablement plus tolérée à l'avenir. Anvers ressuscitera dans une Belgique libérée et libre ; sous l'impulsion de l'activité et du sens pratique belge, la ville morte renaîtra rapidement à la vie. Pour nous, Suisses, Anvers constitue un poumon économique ; espérons que le our viendra où on verra, dans le port d'Anvers, flotter du haut des mâts, la croix blanche sur champ rouge qui prouvera que la Suisse, elle aussi, peut respirer librement. »

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This item is a publication of the title Informations belges belonging to the category Oorlogspers, published in Le Havre from 1916 to 1919.

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