Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise

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s.n. 1914, 10 July. Journal d'Anvers: hebdomadaire de la vie anversoise. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/pg1hh6d95k/
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- ..v 10 juillet 1914. N 15. 35' ANNEE. 10 centimes le numéro JOURNAL D'ANVERS ADMINISTRATION ET RÉDACTION: 35, ZJW, 35 = RHWW TÉLÉPHONE 2118 Les tr)af)Usct<ifcs tje «otjt p*s rendus ANCIEN ORCHESTRE littéraire, théaïral arctique, mondain iLBO^B^Ï^TS: POUR LA BELGIQUE: CIKfQ Fl^A^CS pour L'Etranger : se»t fi^rucs IL SERA RENDU COMITE DE TOUS LES OUVRAGES TOUT DEUX EXEMPLAIRES ONT ÉTÉ ADRESSÉS A LA RÉDACTION □JOUR N ALfnBjOUR NALf^ I JOUR N ALffJOUR î p'ANVRRS?, .-^ju'ANVËRSÉ.v.^.-n'ANVERS^^Sp'ANV] Grandeur et misère. Un scandale devant un cercueil, l'écœurant spectacle Vienne s'en est ému et le monde, aujourd'hui s'en ind gne. Ainsi l'orgueil humain est-il plus grand que la moi même, et les fonctionnaires de la Cour d'Autriche qi; ont ordonné les funérai les du malheureux archiduc Fei dinand et de sa femme, la princesse de Hohenberg. n'or point accepté la fameuse leçon que nous donne Holbei dans sa Danse Macabre. La Dame à la Faux n'entraîne t-e)le pas tout le monde, empereurs, papes, princes cardiraux, manants, esclaves dans la même terrible « fraternelle étreinte ! Et, sans doute, ces fonctionnaire encore plus créiinisés que chamarrés de la Cour d'Autr che, n'ont-ils jamais vu la fameuse fresqne du Camp de Pise où un groupe de jeunes cavaliers s'arrête interd devant trois cercueils décloués ? Une couronne, un scef ire, une mitre, un miroir s'en échappent pêle mêle ave d'horribles vers, et, entre les planches défoncées on vo: les squelettes à moitié déchiquetés du prince, de l'évêque de la jolie femme, reine ou prostituée... Quelle leçon < dont un Pascal seul pourrait fournir le terrible et mago fique commentaire. Mais cette leçon, l'étiquette ne la comprend pas, l'ét quette, nous la voyons, plus forte que la mort, plus fort que la volonté des empereurs eux-mêmes dont ell impose le respect. Car si Guillaume II qui avait manifest le désir formel d'assister aux funérailles de l'archiduc a dû finir, non sans avoir manifesté son dépit et sa mat vaise humeur, par s'en aller en croisière sans avoir pass par Vienne, le vieux François-Joseph lui-même qui, a premier moment, avait voulu que cette cérémonie affe< tât une allure d'apothéosa, a dû céder devant une régi dont les peuples se moquent mais dont les rois sont esch ves jusque par delà le tombeau. L^ malheur qui trempe les âmes et qui recule les boi nés de l'intelligence a-t-il donc eu si peu de prise sur ] vieil Habsbourg, qu'on plaint par politesse, comme le peui le de Vienne le salue par déférence, mais qui, à chaqu catastrophe, semble avoir puisé dans son égoïsme d nouvelles forces de vivre. Tragique carrière d'un homm qui n'était point fait à la mesure d'un héros d'Eschyle. En 1853 Frarçois-Joseph, monté sur le trône depui cinq ans, est blessé d'un coup de couteau comme il s promène sur les glacis de Vienne. En 1859 ses armée sont battues à Montebello, Palestro, Turbigo, Magenta 15.000 Autrichiens périssent sous ses yeux à Solferinc Il perd la Lombardie. Le 4 juillet 1866, la funeste bataill de Sadowa lui enlève tout prestige en Allemagne; il cèd la Vénétie. Cependant son frère Maximilien est monté su le trône du Mexique. Le 19 juin 1867 il est pris à Queretar et fusillé. Sa malheureuse femme, la princesse Charlott de Belgique a vainement cherché du secours auprès d son beau-frère. A Rome elle apprend le drame, sa raiso l'abandonne et,depui®,elle promène de Laeken à Mirama son ombre douloureuse. François-Joseph n'a qu'un fi Rodolphe, l'espoir et la fierté de la Double-Monarchie marié à la princesse Stéphanie de Belgique — car nou avons toujours une part dans tous ces drames. — Le S janvier 1889, dans le pavillon de Meyerling, au milie des débris d'une orgie, on trouve son cadavre sanglai auprès de celui de la baronne Vetzera. La jeune et triomphante impératrice Elisabeth ef meurtrie à son tour. Le vulgaire Habsbourg n'a ps compris le cœur de cette femme admirable ; sans dout il était trop au dessous. Il la trompe et cette âme d'élit est blessée incurablement. Son fils assassiné o suicidé, sa sœur, la duchesse d'Alençon .périt dar les flammes, dans l'incendie du Bazar de la Chai it< Elle est prise de la manie ambulatoire, ombre magn fique et misérable qui ne peut plus se fixer nulle par Un samedi de septembre 1898, sur l'embarcadère d Genève, la brute Lucheni la frappe au cœur d'un cou de tiers-point. Aujourd'hui... Cependant on admire la force de caractère du vie empereur que ce coup n'a pas abattu. Naguère malad* il parait en bonne santé et offre au malheur un froi résolu. C'est excessif, et la rapidité avec laquelle il al diqua devant les serviteurs de l'étiquette, montre quec n'est point par excès de grandeur mais par petitesse qu cette âme demeure ainsi toujours égale devant le des'ii Et elle nous paraît vraiment si énergique, si étroite, qi rien, dessus, ne saurait avoir de prise. Lorsqu'en 1902, la comtesse Sophie Chotch, devent duchesse reçut le titre d'Altesse qui lui donnait ses ei trées officielles à la Cour, on s'attendait à la voir paraîti à la première fête. Elle n'y vint pas cependant, et lendemain l'archiduc héritier fit publiquement cette d< claration : « La duchesse de Hohenberg ne paraitra à ! Cour que lorsqu'elle aura le pas sur les archiduchesse non mariées n. Dix ans plus tard, à un dîner de gai r ALf^iJOU-R NAL[yyJOUR N ALfer^JOUR N ALpVfOUR NALf ANVERS.: ... :i)'ANVERS\ donné à l'occasion d'une visite du kronprinz, la duchesse était à droite de l'empereur. Ainsi cette place qu'à force d'intelligence et d'adresse, ! de par les quantités éminentes de son cœur et de son t- esprit, la duchesse de Hohenberg avait sû acquérir aux t côtés de son mari dans la Cour la plus formaliste, la plus i chinoise de l'Europe,on la lui refuse, brutalement, quand dans l'accomplissement d'un devoir public, elle est tom-t bée sous les mêmes balles que son mari, dans ses bras, n Et, cependant, pour franchir la dernière distance qui la séparait de lui, quelle action plus grande et plus belle V eut elle pu accomplir? Car, enfin, s'il eut été impos-it sible, malgré tout, qu'elle reçoive de l'archiduc deve-s nu empereur cette couronne qu'un Napoléon, cepen-i- dant, posa sur le front de Joséphine, le même char o funéraire et triomphal aurait dû recevoir leurs corps t enlacés. Ayant tout bravé, la volonté d'un empereur, le vœu c d'un peuple, l'opinion d'une Cour pour goûter du seul t bonheur auquel puissent aspirer les plus pauvres sujets , de sa Majesté Apostolique et Romaine, même au prix t d'une mort héroïque, il n'aura pas été permis à ce couple malheureux de connaître ce bonheur dans la paix du tombeau. Et jamais nous n'aurons assisté tout ensemble au spec-e tacle de tant de grandeur et de misère, e LE JOURNAL D'ANVERS. > La succession e i ^ La question de la nomination du successeur de M. Possemiers devient , brûlante. Le monsieur bien informé nous dit : ® — C'est décidément M.'Gyselynck qui tient la corde. Non seulement l- tous le membres du Collège lui sont acquis, mais plusieurs conseillers communaux, parmi les plus icfl-jents, mènent ouvertement campagne en sa faveur. Tous, en effe*, prennent en considération les services éminents qu'a rendus M. Gy-elyr.ck eu sa qualité de du cteur du service des proprié és communales. C'est lui qui a organisé ce, service et lui a donné son e ampleur actuelle. Etant donné les grands accroissements de territoire de 3 la commune, il s'est posé un tas de problèmes délicats et difficiles, q notamment à propros de l'organisation du quartier du Nouveau Parc, que M.Gyselynck a solutionnés au mieux des intérêts des contribuable?. — Oui, mais M.Gyselynck est chef de service et son traitement est le 8 même que celui du secrétaire. Quel avantage a-t-il à changer de situa-e tion? 5 — Je vous ferai remarquer tout d'abord que M.Gyselynck ne pose pa-. sa candidature d'une façon formelle. Il désire ê re nommé, cependant, et il attend cette nomination comme une marque de confiance de la part du Collège et du Conseil. Le titre de secrétaire apporte avec lui ® un certain prestige. e Le secrétaire est un fonctionnaire qui fait partie intégrante même du r Collège dont il contresigne les décisions. Il est en réalité le chef de q l'administration, et l'on comprend que M. Gyselynck voudrait obtenir cet emploi où il voit un avancement moral. Il faut dire aussi que la charge est moins lourde à remplir que celle de directeur des propriétés 6 communales. M. Gyselynck s'est beaucoup surmené et il aspire à un n repos relatif. Bref, si le traitement est le même ou à peu près, environ F 14,000 francs, M. Gyselynck gagnera plus facilement son argent comme g secrétaire communal. Ceci n'empêche que M.Gyselynck, qui est un homme sérieux, prendra '' sa charge également au sérieux. Et c'est peut-ê re ce que craignent cer-s tains employés qui seraient plus rassurés de voir à leur tête l'honorable 0 M. de Brauwere, qui est sorti du rang, ayant gravi échelon par échelon U tous les degrés de l'échelle administrative. Le projet de créer des chefs ^ de division, un grade qui n'existe pas dans l'administration de la ville, ayant échoué, M. de Brauwere est toujours le plus ancien chef de bureau. C'est un titre et qui sera pris en considération. Je ne vous parlerai pas, n'est-ce pas, de certaines menées de bas politi-S ciens qui veulent mettre en do ate la sincérité des opinions de l'un com-q me de l'autre candidat. M. Gyselynck et M. de Brauwere sont de bons e libéraux. Je n'ai pas autre chose à dire. X" s -j® Sir/zSVS® t* .JSVSW Î SKÏK<'<s5!«- ' Soir de Carillon à Anvers e p à M. G. Brees. Juillet! Apothéose de chaleur et de clarté, juillet aux il soirs languides de paix profonde baignant la Ville après î, les rumeurs et les agitations de la Vie et du Travail... it La Tour profile son immense majesté, enveloppée )- d'un halo bleuâtre, sur le ciel pâli. Un peu d'éternité est e en elle. N'évoque-t-elle point le passé, ne brave-t-elle pas e l'avenir? 1. En bas, à ses pieds, le marché aux Gants, le marché e au Linge s'éclairent faiblement par les terrasses des petits cafés; des matelots, des ouvriers se reposent des e rudes labeurs de la journée. Ils savourent placidement, 1- béatement, la calme fin d'un beau jour d'été. Les bouti- •e ques se ferment; sur le pas des portes, les patrons e fument leurs pipes; le chien familier étendu près d'eux, S- baille, en jetant sur son maître un regard noyé à la fois a de crainteet de tendresse. Les grosses commères tricotent ss et papottent. La devanture d'un antiquaire reste éclairée: a dinanderies, porcelaines de Delft, bonnets de dentelle, "fjOURNALfîJOUR NALr^OUR-NAL^JOUR^ALF53! .Jp'ANVERSiLJfo'AN'VERSlLJfc'ANVER'S.kJin^ÀNVKRSjL J argenteries, orfèveries, vieux chêne marient la richesse de leur tonalités bien flamandes. Plus loin, un marchand de curiosités attire les étrangers; c'est chez lui que l'on trouve tout le petit bric à brac des «Souvenirs d'Anvers» et des?s curiosités en réduction. Anvers à mettre en poche... minuscules cruches, petites bouées, mignons sabots, et l'envahissante marée des cartes illustrées. D'un deuxième étage, par des cordes, on descend un mobilier de m:sère, des hardes du pauvre, des matel£*s gros comme H main, qu'un homme taillé en Hercule entasse sur une charrette à bras, sous l'œil indifférent d'un agent de police. Aux alentours, les ruelles étroites sont là, un peu mystérieuses, peuplées d'ombre et de silence. Des groupes circulent encore. Les habitués cherchent leur place, le coin préféré, le porche protecteur. Ils t'ennent à la main un petit chiffon de journal, le programme sans doute. Des couples arrivent peu à peu; puis voici les femme3 aux cheveux éclairés par l'éclat des peignes voyants; un chien passe en jappant, un cycliste s'arrête, un tramway corne au loin, une sirène mugit sur le fleuve, d'autres lui répondent. Mais les bruits s'affaiblissent. La nuit descend calme, recueillie et bleue. Il est près de neuf heures. Les regards interrogent la Tour... La dentelle de pierre se détache nettement à côté des maisons plates, à côté de quelques rares toitures à redents, s'élevant comme des vestiges de la même antique et illustre famille. L'heure sonn°. c'est le cœur même de la Ville qui bat... Et de là-haut bondit, descend, plane, la claire chanson desclochos. Elle possèie, emplit la Tour, elle se prolonge, vibrante et vivante. Son âme se fait Harmonie. Elle rappelle la Gloire du passé, ravive les espoirs, console et adoucit l'heure, affirme et raconte la richesse et la prospérité. Da la flèche à la base, frémissent et résonnent les vieilles pierres. Les bronzes s'unissent pour notre joie, les lourdes massivetés s'ébranlent. Sous l'effort de celui qui luttelà-haut,ré.on-n°nt les cuirasses d'airain du chevalier vaincu; des cris sublimes, des appels déchirants passent dans le soir profond. Puis ce sont encore des gammes, des trilles, des arpèges. La virtuosité s'allie au goût et l'artiste fait jail ir du clavier ailé d'infinies délicatesses: le bronze devient argent, cristal; il s'adoucit et s'alanguit pour d'idéales caresses. Tantôt heurtant l'airain sonore, une pluie d'étoiles semble couler des traînées de lumières. Tantôt, le marteau du Vulcain semble forger des mondes. Et puis, c'est encore, tel à la sixtine, de tout là-haut, de tout là-bas, le vol lourd et blessé de la chute des Anges: des râles, des cris, des soupirs portés sur des ailes, meurtries de la douleur et de l'infinie désespérance des souvenirs d'Idéal et de Beauté perdus. Tout le « Jamais plus », le regret des aurores, trouble le tragique des nuits... Et la Tour chante, chante, chante encore, toujours, sa chanson éternelle et berceuse sur la ville angoissée et assoupie. Elle glorifie la naïveté de l'enthousiasme généreux, la chaleur et le mouvement de la vie dontlerythme bat dans sa poitrine. A ses pieds, le fleuve coule, comme elle éternel... La foule, les yeux levés, comme pour s'emplir l'âme de ce spectacle et de ces espoirs, écoute encore, grave, recueillie, dans une émotion douce et rare. Dans la Tour les derniers sons se prolongent, l'emplissent, se propagent et meurent en beauté sereine. La lune brille dans la nuit très douce... ZANETTO. aie®, iài ûaySà Êiii Sûlsa Si Si Kl fesn earaffl « Sauvons la Bruyère. Nous avons reçu une trÔ3 longue missive de l'honorable bourgmestre de Calmpthout, en réponse aux commentaires dont notre collaborateur faisait suivre la première lettre de M. Bareel. Ainsi qu'il est d'usage, nous l'avons adressée à l'intéressé afin qu'il en prenne connaissance. Malheureusement, René Chambry était absent et il n'a pu nous renvoyer dans les délais la lettre de M. Bareel. Nous nous en excusons auprès du maïeur calmpthoutois et l'assurons que nous accorderons l'hospitalité à sa lettre, dans notre plus prochain numéro. Théâtre Royal. Tout comme Mme Lucy Raymocd, le baryton Simard fait partie de la troupe du Casino de Dinard. Notre 2e dugazon, Mme Darmyl, continue à iriompher au-Mont-Dore, surtout dans l'opérette. M. Coryn et sa famille ne quitteront Anvers qu'à la fin de ce mois. Roma de Massenefc, comprend 5 actes ; le premier décor

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