Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 23 June. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 28 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/d50ft8g80x/
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HITI'iCiIUTTIT -~f _ | 1.^ VIO E. H. 0., 17 juin 1918. L« commune rti Salfclaere (Co-mand.nture d'Ertvelde) où au cours d'une arrestation, un areut de la police secrète de caitioagne a été grièrewent blessé par un coup ■ Z Z «I punh d'une *„=nde .* 10.000 M ; K; au,eu ■ cet acte ont pria la fuite et ont, sans au un .toute, été ■aidés par lës habitants de la commune. D:r Etappeninspccteur, vnn Schickfus, * * * E. H. O. 19 juin 1918. ' La commune de Meire, sur ie territoire de ^Quelle on i tenté - probablement les habitants - de déranger le aer vie ■ des chemins de fer en coupant les communications di Ltéphone e. des signaux, est punie, par ordre du corn mandement supérieur de l'armée, d'une amende de 500C : marcs, attendu oue les coupables n'ont pas été découverts. Ceci est porté à la connaissance du public. Der Elappen-Inspecfeur, von Schickfus, | Se,Ses blessé* par des bombes lancées par des aviateurs allies : 1 '*ruee« • Attaque d'aviateurs anglais dans la nuit d - flfcsrf.'Verbeke Georges, 38 ans. W tfMMna*" (Flandre occidentale). Attaque d av.i I leurs allies, le 3-6-1918. - Grièvement blesse : Menteyn i Hubert, 77 ans (la victime a succombé deux heures apre E j ses ulessures). ■ai-HE-au ■ Raid d'aviateurs anglais, le 3-6-1913. K Tuées : Moor. el Julie 9 ans, St-Fierre, 2 oncles a l'arme ■beL>Veroeke Natlialte, 81 ans, St-André. I ïtfia"»n» (Flandre occidentale) : Raid daviataui ■ anglais,°le 6 6-1918. — Grièvement blessée : Brakefel ■Marie, 23 ans. Ûateiide : Raid d'aviateurs allies, le 11-6-1913. mrué ■ Marlein, Etienne, 49 ans, 2 neveux à l'armée belge i Lié • e : «au aérien effectué le 22 mai 1918. - A |r«,& . Dilhage Emile,'de Li.:ge, né le 30-1-87, Verviert lûimgoux Marie, de Liège, nee le 22-3-69, Warmont ■ Franc Jeanne, de Liege, nee le 31-8-77, Liège; pimgou I Alphonsine, de Liege, née le 30-3-98, L„ge; Magnec Ttu I rèse, de Li ge, ne, le 30-11-82, Liège; Pirroux Luuue, d I Liège, née t.: 11-1-68, Liège; Coumans Qouilleaume, d E Liège,' ne 1 ; 3-8-03 Liég - J Su.kins Julienne, de Lieg;, né f le 26-7-64, Lieg ; Denis Prosp r, de Liege, ne ie 28-4 02 I Liège; Belle.,i Charles, de Angleur, ne le 2-12-68, Vis. ï 2 cousins et 4 neveux a l'armée ,ëlge; Danihinne Tou. aaint.de Liège, n • t • 10-8-81, Tilleur ; DegeneHe J >seph I de Liège, né le 25-6-86, Grivegnée; Wautriche Joseph, d f Angleur, ne le 25-U-58, Seilles; Depreï Alfred, de Liège I né le 2-12-97, Liige ; Poiu'in Val. ntin, de Grivegnée, n | le 22-3-84, Grivegnée ; D prez Joseph, de Liège, ne 1 E 23-2-03, Lige; Alexandre F^rain.-Bubert, de Li e y -, ne 1 I 3-8-58, Ougre.; Alexandre Marie, de Liège, née le 30-1-67 Huy ; Hcrmans Fer Unand, de Angleur, né le 2-7-75, Bru I selles; Hermine Marie, de Liege, née ie 18-8-75, Liigc | Déjà; :in Victor, de Lieye, ne le 22-3-03, Liège; Waleerp I Viciorine, de Liège, noc 1867; Boufangcr Marie, de Liège I nie le 30-7-80, Tiileui ; Lcgrand Antoine-Joseph, de Ou I grée, né le 17-3-99, ûrandéglise; Lepièce Joseph-Auguste | de Liège, ne le 8-5-89, Liege,- 1 frère à l'armée belg I Buhon-Maes Marie -Catherine, de Herstal, née le 23-4-7f î Herslal; Dekuze-Makar Rosalie, de Li;ge, née le 24-8-7* | Namur; D^cpol Léopoldine, de Liège, née le 28-11-91 ■ Chatclineau; Buckinx Gérard, de Liège, né le 23-4-6: « Liège. — B) Blessés : Fourage Marie, de Liège, née 1861 I Vervi.-rs; Lhoest-Mor.iant Jeannette, de Liège, 1 fils à l'ai I mée belge; Fontaine Marguerite, de Liige; Deprez Amélie f de Liège, née 1881, Chrochet ; Dupont J : an-Florent, d I Liège, né 1852 ; Dejardin Marie-Lamb., de Liège, née 1 [ 22-6-60, Voroux-Goreux ; Sehoenewald Anne-Marie, é F Ougrée, née le 18-12-47, Glens, 1 fils à l'année belge L'impôt sur le luxe L'impôt sur le luxe [ Jr crois que nous pouvons tous être d'accord s ■ point, qu'une lois la paix signée, les malheureux co S buables de la plupart des Etats de l'Europe — et u ■ d'ÀMérique etd'Australie — n'auront qu à bien î>e t H Ce sera le moment ou jamais de laicer le mot d'or H Concitoyens, à vos poches! Ah. les jolis petits in H qu'on nous mettra sous le nez. Il y en aura pour toi: B goûts, il y en aura de toutes les couleurs. Nous au B beau nous lamenter, crier à l'injustice, invoquer le ; et la terre comme témoins muets du vide absolu régnera dans notre porte-monnaie, cela c'aura pas pi d'effet sur l'amn de* gouvernements que n'en a ua coup de canne sur la cuirasse d'un dreadnougl audra de l'argent, et voilà tout, car les finances t péennes seront bi*m malades. On ne se gênera pas H nous le dire, on ne le cachera pas sous des compresf l'eau-de-vie camphree. Nous y passerous, de bon g p| à contre-coeur, mais, en tout état de cause, nous y p; ■ rons. Cela ne fait pas l'ombre d'un doute. Corni i&î d'aiileurs trouver d'une autre façon que par l'imp galette nécessaire pour remettre tout le monde H3 soit peu dans son assiette ? La question est grave, ■ grave, tellement grave qu'elle préoccupé dès à pré presque tous les parlements. En Allemagne, la Chai examine en ce moment ul nouveau système d'itr qui est loin d'être alléchant. En Angleterre et en f ■ - ce, des projets ont déjà partiellement ete votés. Etats-Unis, divers impôts exe- pti«-nnels, introdui vue de la guerre, ont dé à chose faite Quant à i ■ nous ignorons évidemment ce qui se prépare, ma Best certain que nou ne ferons pas exception à !a i Bgénér le. Il ne nous reste donc qu'à attendre, vtoi H ment. Nous n'y perdrons ii«- ; il n'est jamais tro H pour apprendie des choses dosagréables. K Dan>< le charmant bataillon de nouveaux impôts financiers uffici»'l« sucent de leur pouce uti ^partout, figure au premier rang celui sur les conson gîtions dites « d»' lu»e » Et encore ûetim» ôt n'est-il Hpartiel, cariles^ complète par des taxes spéciales s Htab&c.les vins etapiri' ueux. '-t toute une f érie d'aï ■ matières qui, prises en elles-mêmes, ne sont é^alei Hpas des articles strictement indispensables à U vie. I L'impôt, su l»*s bji-ts de lux-* me paraît, à vrai ^Ene pas être des plus mauvais. Le luxe u'est qu'un si Bâu et, de ce tait, il u'est ijue juste et équitable de ■payt»r pat celui qui de ire s'y a tonner une taxe g« quelle il pourrait se sou «traire s'il avait des goûts •modestes. Examiné sous cet angle-là, l'impôt est ^Bdenament une mesure dercocra-.ique. Il est ce SBqu'une duchesse est mieux à mêm de p-iyer tant ^Bceot sur sa robe à traîne, qu'uue ouvr ère de tabriqi ^mourrait le faire sur son jupor. de cotonnade. Ma Hjqaes ion e^t plus compliquée Entre la robe de bal Hpectionnée à Bruxelles et le jupon qui sort d'un mas de la rue du Paradis, i! y a de la marge. La que ^■fevieut donc à ceci : où et < omment délimiter le n ^Baire, où et commeut fixer le commencement du b ||c'e8t qu il s'agit de faire attention car, dans le t train ordinaire de sa vie, le petit bourgeois, voire B»»ier, consomme ou utilise des quantités d'objets par uae interprétation étroite, peuvent facilement ■;ber, aux yeux de la loi, dans la catégorie des objets « de luxe ». Eu tait, la plupart des projets n'en souf •ortis. Su Angleterre, par exemple, les € vêtea KoOhers », sans autre spécification, paieront l'impô p*rtir de quel prix ces paletots, ces pantalons, ces I H ses et ces boléros seront- ils imposes ? La loi ne 1« ^yencore déterminé. En France, ou s'est un peu m ■tire d affairr, en citaut notamment des exemples ■0lKet sera libre s'il coû e moins de quarante francs Hielà de cette limite, il sera aujet à contribution. gj| ce qui concerne les beaux-arts, les projets allem provoieut qu' n gc iaral le^ œuvres d'artistes e cor fflTants seront exonérées de la t±xô si ellea satisfo i\: K-s OQ i,,;.-. -s n 1 «î» r M:} es le r>.$yêçQ 82' a née — N°^ 169-175 Journal de Gand ÉCHO I>iuS Rédaction et Administrai i.-:. : .1. fÙJ» OE FLANDRE, 3. GAND Abonaomente : !J3Î F A:> VÏN0T i Q PAS, 3SIKWSTRB Les expédients auxquels ont dû recourir les aut.ei .de ces différentes lois eu projets, démontrent que question est épineuse. Le luxe est en eff t un phér mène social très difficile à délimiter. A ce poi:-1 do vi J pei;;-on dire, l'humanité est divisée en de x camps c poses : il y a d'-s geas qui prétendent qu'il faut larg nient dépenser son argent, afin d'encouragé- le co merce; il y en a d'autres qui. tombant, dans ]'• 5 renr contraire, considèrent toute dépens superfl comme un mal. Cela, naturellement, pour ceux qui < de l'argent à doponser, aurait dit M. de la Palisse, ( ceux qui u 'en ont pis n'entrent pas e« ligne d" comp \ucuue des deux théories ne m« parait être la bonn ^ quant à moi, je crois qu'il faut eu cette matière s'en ' ;iir avant tout au fameux «jw«te milieu» qu'on nous a •o vent reoroehé — paa toujours sans raison — à uo autres-, Belles. * Admettons quo quelqu'un désire donner un bal. î _ 'ni prend cette fantaisie;— en somme, il eu a le droit [ il vient sûreme nt en aidn à de nombreux couturie ' tailleurs, tapissiers, à des modistes, à des dentellier I fait marcher les affaires. Si, au lieu de donner ce t i épargné son argent, il !t p aee quelque part. [ temps n'e ;t plus « ù le rie e gardait ch»^z lui, au fo ' d'un coffret, des trésors d'ecus jaunes Non, il en gag-ses toifd« il nti une banque, il achètera des immeub! ' i souscrira à des empiunts ou se fera actionnaire d'u ' société anonyme. De cette façon, son argent profit< t >ujoursà quelqu'un. Ce quelqj'un sera un ingénia ' un iudu3triel, un commerçant,"un mécanicien de chen de fer, un maçim.ou n'importe qui. L'un et l'autre i ' rontdépensé e urs économies, l'un et l'autre auront f [ j ser leur -rgent entre * es mains étranger-, s Le te sera d'Apprécier la valeur, en ell< -même, de ia manii • tout iit se seront débarra s «s de leur galette. Kt ici t ' cure, ce sera une question de tempérament, de caracti individuel, de l'idée qu'on se fa-t, de la vie. An fond, deux façons d'agir parviendront à un résultat identiq l'une un peu plus vite que 1 autre, mais eiles y arrh ' ruut quand mené. Rappelez-vous l'époque préhistorique où un œuf fr | coûtait dix centimes. < 'et œuf une fois cuit, ponvait ' consommer dans un cabaret, dans un restaurant, dans « Pilace », mais if coûtait al«rs quinx centimea, c quante centimes ou un franc, selon que ce'ui qui 1 absi ' bait portait un veston, une redingote ou un feabit, sel ' que l'œuf était mangé à un comptoir, a une table rect ' vt-rte d'une r.ap* e. ou aux sons bruyants émis par orchest-e de Tziganes. Voilà d s gradations Où co [ mençait le luxe, et où finissait-il ? Dans l'esprit [ l'ouvrier, il commençait au restaurant; dans l'esprit bon bourjreoi*, il commençait aux Tziganes; dans 1' ' prit de l'homme du monde, l'œuf à uu franc et 1' ' chestre tonitruant étaient deax choses parfaiteme normale?. Alors, quoi ? Quoi ? II ne reste autre chose que de fixer, par vi légale, ce que c'est que du luxe et ce qui n'en estp Une fois ce'a posé, ou n aura qu'à s'incliner. Exemp comme dirait un p-ofesseur de géométrie : prenons vulgaire pépin, cet ustensile indispensable, paraît-il, des millions de gens. Un parapluie arec baguette en 1 | et poignée en bois de bouleau, recouvert de gloria, et tait dans le temps quinze francs. En soie pure, de qi lité moyenne, avec maneho ea bambou et poignée os, ii valait vingt-cinq francs. Le même objet recouvi | dé soie à double face, noire à l'extérieur, verte à l'in1 rieur et munie de dentelles, agrémenté d'une poigi: en ivoire portant une bague ciselée, valait normalem« par exemple, cinquante francs. Mais — et il y a un m I — considéré comme un article de lux , il se vend couramment, admettons soixante-quinze francs, « p de fantaisie ». Si j'avais quelque cho»e à dire, ce snp be parapluie paierait sûrement sa petite taxe ; à la gueur. je laisserais encore en paix le pépin en soie, < celui-ci, tout en coûtant plus cher quo l'autre en glor doit ê^re plus selide et plus résistant. Partant, je le mettrais pas dans la classe des objets de lur.e. Vo quelque chose de précis. Maintenant, voit-on la ' s'occuper ainsi de mille, que dis-je, de millions d'ar cles, pour en déterminer la classe au point de vue l'impôt ? Pourquoi pas ? Ne le fait-on pas dans les 1 rifs douaniers ? On pourrait objectér que les objets de luxe sont géi ralement de petites choses— voire, de grandes choses obtenues à la suite d'un travail patient, artistique, sj cial, et qu'en les soumettant à une taxe, on pécherait j deux côtés : on léserait dans leurs intérêts une foale gens, tels que les orfèvres, les pra'iciens d'ait apj que, e*. au point de vue général, on mettrait un obsi c e au développement dn sentiment artistique dan'! s ensemble. Ces objections ne sont, pas dénuées de to fondement. Malheureus ment, comment voulez-vc attendre, de la part d'une administration des contrit tions. qu'elle se préoccupe d'une question de morale d'esthétique ? (Jette administration, nous en savons quelque cho; n** vit que de chiffres, de «va!eurs> et de «non-valeur; Elle dira d ne : tel objet-, dès qu'il coûte autant, < obi t de luxe et paiera autant. Un point, et ce sera toi Je ne suis d'ailleurs pas complètement- convaincu ' l'influence 'efavorable que pourrait excercer uu tel i pôt sur le sentiment esthét ique des masses populair Au contraire, je serais plutôt porté à croire qu'il est natureà te raffiner. Actuellement, 'I règne beaucoup luxe de mauvais goût, et ce mauvais goût, se traduit r mille etmilleaspects differents.ily a le bufivtdeMalir ridiculement chaigé, mais'qui a coûté fort cher, le lusl qui a l'air d'uu moteur Diesel en miniature, le tapis pi san venu de Termonde, la coupe d'ivoire en galatbi la Vénus de Milo en plâtre verni, mais payée conn marbre. Si tous ceux qui se sont laisse rouler à c ( articles avaient dû p\yer une taxe, je pense qu'il? auraient regarde deux fois avant de s'y laisser prend; > Quant aux autres pièces, -aux ebjets de vrai luxe, luxe solide, de luxe de bon aloi, ceux qui les achète en paieront toujours le prix, avec ou sans taxe, cela le sera parfaitement indifférent. Ils auront ainsi satist; leur désir, l'Etat aura quelques fraucs de plus da i ses caisses, et tout le monde sera content. Tout le m« 5 de centent ! N'est-ce pas là l'idéal ? Raoul Gustave. Les Expositions j La Salle Taets nous offre en ce moment une pel « rétrospective » qui ne manque pas d'intérêt. On y v i des noms peu connus chez nous, ou déjà oubliés, com: ceux de Bartlett, Schlobach, Van den Bos, Langeroi Scribe, Ceupens, à côté d'autres unanimement honor ; tels les Verboeckhoven, les De Cock, les Gilsoul. On voit des pages de début d'artistes aujourd'hui arrivés la notoriété, et l'on y voit même, sans qu'on sache tr pourquoi, quelques produits « du dernier bateau ». s Les deux tableautins de Bartlett, représentant des inté- a • rieurs hollandais, sont pleins d'humeur et remarquables i- : par des qualités de dessin et de ceuleui. «L» bibliophile», >, : de Scribe, — lequel fut plus connu co .oc mécène que : c jm-.n® artiste, — est un - ce ivre disting par sa mise er ■- ; et agréable par la chaude harmonie de son coloris, i- • — Dca deux petits Verboeckhoven, qui font pendant, l'ur r- ; Ci! .'u marinisic, Charles-Louis, i'au;r de l'animalier, e : Bugène. C'est, part ri d'autre, la ■: x .-m poésie de sen- ,t ï liment, la même sûreté #e dessin, la ne transparence >.r f ci .1 ; malheur '..se r ont, dans I r - . la finesse dv t>. j coloris a été compromise par une «restauration» niala- t, jj droite. Il en est de même pour 1rs deux César De Cock >- ; qui s- raient, sans cela, des pages exquises. — On ne peu si ■ s'empêcher de constater coi:.bien ce dernier maître semble s avoir influencé Gustave De Smet dans i : paysage que cc : dernier expose ici. Amant sa palette actu lie est truculente il • autant celle de jadis était douce et tendre, autant son des- _ : sin est à présent fantaisiste, autant autrefois il était sage, s j — Le petit paysage de Schlobach est d'une grande siin- s. | plicité d'exécution et d'une rare liberté de touche, e j l'aquarelle de Langevock est une perle <je grâce et de fraî- i(. ■' cheur. Le grand et j- au dessin de Ceupens, la puissante d { eau-forte d" Gilsoul ne manqueront pas non plus d« ■a l séduire les amateurs. Mais la gloire du consciencieux e î talentueux ariiste que fut G. Van den Bos ne peut rien ga- e f 2ner« bien au contraire, à l'exhibition de ses « Béguines» : a ; il n'y a plus qu'un degré, de celles-ci au «chromo» de Ver-donck. Quant aux œuvres récentes égarées parmi celles-là, n elles semblent ne s'y trouver que pour «boucher des trous» i- ou pour démontrer que nos peintre# d'hier valaient bien it ceux d'aujourd'hui. L'crxpoaition permanente établie ît la Maison d'Art de le ■e plact du Grand Canon comprend actuellement quelques i- œuvres attachantes : trois pages savoureuses sic Ferd. ■e ? Wiliaert; un lumineux paysage de Trealiin ; île poétique! »s I impressions <le Triperie et de Rapn. Robert ; de superbes ; œillets rouges et une pittoresqu.* rue de Bruges de G ». 1 Svrarte; un rayonnant verg»r de Coddron; des caux-fortei j de Pycke, etc., etc. O. V. ÉCHOS D'ART l- 3 - | Au Théâtre Pa.hé 11 Cercle Artistique Symphonlquo Gantois Le programme d? dimanche débuta par l'ouverture nié lodieuse d'Euryanthc de von Weber, pour se poursuivn le par l'enlr'acte de Messidor de Bruneau. Je ne saurais u décrire combien cette page musicale f.i douloureusemen 3_ poignante m'a plu. C'est du Bruneau et du bon Bruneau r_ On y rencontre toutes les qualités de l'auteur de YAltaqui ^ du Moulin. C'est ouvragé et polyphonique, sans deveni: touffu. L'heureux caractère du thème gér rateurse détach< e lumineux, grandit c! embrase ; les cuivres illuminent l'en ^ semble. A vrai dire*, j'ai la conviction que les véristej italiens connaissent Sruneau autant que Massenet. Il ne ^ leur manque que la façon d'achever et de solidemen ^ édifier des maîtres français. C'est un pas encore I r Quand un ouvrage fort connu plaît à être réentendu, or je voit aisément. Le dodelinement eurythmique des têtes de L_ l'assemblée le preuve. Ce fut le cas pour le ballet Sylvie n de Delibes que termine, en apothéose, le fameux Cortègt .t de Bacchus. s_ Quel amusant morceau de genre que cet Orgue dt ie Barbarie de Candiolo, dans sa mesure de valse lente A certains moments on se croirait vraiment à l'une ot g l'autre petite plage — agréable illusion, mais illusion hélas! eù le long des routes toutes blanches circulen x les cheinineaux, dont les gosses loqueteux guettent lc-j r_ fenêtres des villas, pendant qu'eux tournent l'instrumen usagé, mais dont les notes tintent gaiment dans un solei ir \ de dimanche. C'est surtout au piano, ou plutôt au jei 3 • discret et délié de M. Metdepenninghen, que nous devoni t cette exlravangate et peu coûteuse excursion. Ce mor ^ ceau, frère consanguin de la Botte à Musique, a énormé-^ ment plu à l'assistance et pour cause 1 Il n'est pas désagréable de sentir un p?u de joie dans h e musique, de se tenir loin des sempiternelles pleurniche-^ ries sentimentales I A ce point de vue \'Invitation à le Valse de von Weber complétait parfaitement la trinité. Qu ne connaît ces jolies et évocatrices sonorités qui s'y tue _ cèdent, cette conversation harmonique, où les violoncelle; jouent à l'amoureux ? Il m'a toujours semblé que par ce e morceau, j'assistais à un bal en plein air, aux champs, ot e plutôt duns une clairière, à un bal distingué bien entendu ._ nullement agrémenté de grisettes, mais de dames vérita bles, poudrées, toutes roses, heureuses rie posséder de h vertu, ne fût-ce que pour le plaisir d'en dépenser... j Comme soliste nous entendîmes le violoniste J. De Porre. Le choix du premier de ses morceaux Fantaisit brillanteeie Pa -loSarasaie sur Faust, et où l'on rencontre ^ en effet de temps en temps de lointaines et vagues accointances avec le brave Gounod, ne me seMblait pas particulièrement heureux. Je sais ; c'est, ou plutôt ce « fut » un ' cheval de bataille pour les violonistes, lais la mode en ^ est heureusement surannée. Au demeurant ce morceat k n'est qu'un prétexte à un jeu continuel de doubles notes et à toutes espèces de crispantes pirouettes musicales. Er tous cas les fervents de ces prouesses auront pleinemen' assouvi leur inavouable passion pour l'arpège en staccato, J'aurais préféré de loin, et pas mal d'auditeurs avec moi, 0 entendre le soliste dans l'un ou l'autre « Concerto », plus P . modeste peut-être, mais qu'au moins un souffle musical r vivifie. 8 Je reconnais cependant avec plaisir que le coup d'arche e de M. J. De Porre est puissant, quoique son style fût un peu nerveux et l'insirumeni imparfaitement accordé. Il a plu beaucoup plus dans le Ménétrier, une mazurks e caractéristique, de genre médiéval et dans des Scènes dt 8 la Czardas, absolument originales. Que M De Porre ^ soigne davantage encore l'achèvement de ses traits et il en arrivera à un résultat enviable. e En tout cas l'instrumentiste a été applaudi, applaud: ^ avec insistance et il eut le bénéfice d'une coquette gerbe, r R Chronique Ganinlse MUSIQUES. — P. et A. Beyer, éditeurs de musique, P. Struyf, successeur. Grasd choix de musiques belges e étrangères. Lutherie artistique. Cordes garanties juste! sonores. Accessoires divers. it ie CONFISERIE ctaocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22 PRÊTS.Achat, vente propriétés.Minnaert, bdBéguin.21 y L'ONGUENT Pédiphile guérit pour toujours cors au? ^ pieds', œils de perdrix, durillons. Une seule applicatior p suffit. Se ceiiS'.rve des années sans per-îre de sa valeur j Gacons, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. ALPH. DE TAEYE, r. de Ceurtrai, 6, Meubles. Literi G. WTTERWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Co ; pure, r. g. Nég. fonds pufeiics, coup.-atieq., monn. étran : COMMISSION COMMUNALE de ravitaillement po • Ora::d-Gand. - Renouvellement de la carte ^e charbo ; —A .Aux négociants de charbon et aux intermédiaire ; seront dorénavant considérés comme négociants agré 1 ceux qui en 1914 ont bay une patente comme négocian en charbon; il en est de- même pour les sociétés qui s'o * cupent du négoce de charbon. Dts patentes pour le cc î poriage avec du charbon ne sont pas valables. Les inte ; m." i. :res doivent s'associer avec des négecianls patent ■ ou des sociétés. Ils ne peuvent changer de négociant ( : de société sans autorisation écrite de ce dernier. Ce cei ; ficat doit être présenté à la direction du service des cha [ bons, rue du Jambon 8, qui prendra une décision d'acco \ avec M. l'Ingénieur en chef du service du gaz. \ B. A la population : Les nouvelles cartes de char'oe : doiv- nt être remises d'urgence au négociant ou à la socié j chargée jusqu'à présent du transport, ou bien rue Borhn 2ô, si l'on désire toujours aller prendre le charbon à l'Usii à gaz. Ce n'est que pour des raisons sérieuses que l'< p~ul changer de négociant ou de société. GUÉRISSEZ rhumatisme, geutte par tisane, elixir Uniment Heyadrickx. Pharmacien Hcyndriekx, chaussi : de Bruxelles, 2, Ledel»erg-6and. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Cbanaps, 32.Ven «I location de pianos par mois, pour soirées et «oneerts. BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabar PAPIERS et sachets, Van den Breen, bdde l'Abattoir, 1 VENTE DE CHICORÉS. — Le public est prié de fai inscrire la carte P. B. C. dans le magasin indiqué sur ch que carte attendu que la vente de chiçerée commence dan; les 13 magasins de la P. B. C. à partir du 1 juille la ration est de 250 gr. par personne au prix de 1 fr. le k Les numéros k servir pendant la semaine seront affichés i dimanche dans chaque magasin. Le numméro annon est celui qui est donné au magasin. CHLORURE de chaux. R»gghé,r.d. Plaisance,159,Gan LA BANQUE 1'Unien du Crédit de Gand, Société An oyme, fondée en 1855, Siège Social, Place St-Michel, 1 Bureau Auxiliaire, rue de Flandre 32 à Gand, a l'honne de porter à la connaissance du public qu'elle a ouvert i Bureau Auxiliaire, à l'avenue Elisabeth 19 à Gand. Le bureau est ouvert le marin de 9 heures à midi, l'après-midi de 2 1/2 à 5 1/2 heures, le samedi après-mi excepté. LE SAVON MOU est hors de prix. La lessive en pouu « Néerlandia » le remplace pour bouillir le linge et pour nettoyage en général. BISCUITS. — 4# vente. Ration, 2 biscuits par person: au prix de 0.20 fr. pièce. La vente se fait sur présentât^ de la nouvelle carte de charbon (carte brune). Lundi 24 juin, de 9 à 10 heures, n. I à 300 ; 10 à lfh., n. 301 à 600; de 11 à 12 h., n. 601 900; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 901 à 1200; de 4 1/2 5 1/2 n. 1201 à 1500. Mardi 25 juin, de 9 à 10 h., n. 1501 à 1800; 10 à 11 h., n. 1801 à 2109 ; de 11 à 12 h., n. 2101 24C0 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 2401 à 2700; de 4 1/2 5 1/2 h., n. 2701 à 3800. Mercredi 26 juin, de 9 à 10 h., n. 3801 à 4100 ; 10 à 11 h., n. 4101 à 4400 ; de 11 à 12 h., n. 440! 4800 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 4801 à 5100 ; de 4 1/2 5 1/2 h., n. 5101 à 5400. Jeudi 27 juin, de 9 à 10 heures, n. 5401 à 5700 ; 10 à 11 h., n. 5701 à 6000; de 11 à 12 h., n. 6001 6400; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 6401 à 6700; de 4 1/2 5 1/2 h., n. 6701 à 7000. Vendredi 28 juin, de 9 à 10 h., n. 7001 à 7300; 10 à 11 h., n. 7301 à 7600 ; de 11 à 12 h., n. 7601 7900 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 7901 à 8200 ; de 4 1/2 5 1/2 h., n. 8201 à 9300. Samedi 29 juin, de 9 à 10 h., n. 9301 à 9600 ; i 10 à 11 h., n. 9601 à 9900 ; de 11 à 12 h., n. 9901 10300 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 10301 à 10600 ; de 4 1 à 5 1/2 h., n. 10601 à 11000. ACHÈTE Antiquités. — Petite Turquie, 15. U. LAURENT, avenue du Grand Marais, 213. — Tran port. Camionnage en ville, à l'heure. La poadrs SANA supprime les inconvénients de la trar piration, 1,25 fr. EN TOUTE BONNE PHARMACIE. FOUR à PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur f, à gaz et ordinaire. MAISON DUTRY-COLSON, Rue d Chasps, 12, Gand. MOUTARDE. — Le Comité National de Secours d'Alimentation, porte à la connaissance du public que < la moutarde sera mise en vente du 16 au 24 juin dans 1 bureaux de vente n° 11 - 12/19- 12/23 31 - 14 - 15 et 1 t ration : 50 grammes par carte de ménage, prix 9,00 : | le kilo. JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures gén raies pour Eau, Gaz, Electricité. KROONBITTER apéritif. Seul dépositaire : De Konin ! rue des Remouleurs, 24. MAISON DANGOTTE. Grand arrivage de verres mou seline pour Cafés-Brasseries. VAN DEN BOGAERT, in. au Beurre, 10, ag. de chang POUR LES PRISONNIERS de Ledeberg. — Lun prochain 24 juin à 3 1,2 heures, aura lieu au théâtre Path rue des Champs, un concert symphonique suivi d'ui représentation cinématographique, au profit des prisonnie de Ledeberg. La partie musicale du programme sera exécutée p l'orchestre du Cercle Symphonique Gantois sous la dire tion de M. R. Guiilemyn, avec le bienveillant concours Mlle Van Geert, mezzo-soprano. On pourra se procur des cartes au guichet du théâtre avant le concert. DEMANDEZ partout savon Espéranto; le weillei adoucit la peau. ILES MARQUES « Le Paon » et « Pierrette » constitua un excellent amidon. ! UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmacie de service le dimanche après dîner, 23 courant : pour Gai , (Dock-Porte d'Anvers) et Mont-St-Amand, M. Bogae chausséedc Termonde, 128; pour Ledeberg et Gendbrugg M. Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg. MANUFACTURE de cigares et cigarettes. Ed. De Looi rue du Fuchsia, 104-106. L. BAbLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. LES MAGASINS 'e la firme 3. VAN GHELUWE, rue courte des Chevaliers, 6 et 8, doivent être évacués et mis à la disp . ition de la librairie de la 4# armée. En conséquence nous avons transféré nos marchandises à la rue Haut-Port, 37-39 (en face de l'Hôtel de Ville). Nous prions notre honorée clientèle de bien vouloir dorénavant s'adresser pour ses achats la maison O. G e va. r t- Van- G lu I u w e, ru* Haut-Porf, (m fuoe dit bureau de l'Etat-Civil) (567) OUD-GEND. — Jusqu'au ?7 juin. « Les Victimes de ia $cicnce ». Grande nouveauté ciné-inatograp ;ique en 4 parlies. « Comte et Chauffeur ». Comédie. (Nouveauté pour Gand.). JEtc. etc. FONDS publics. — '.nllet, rue longue des Violettes, 37. HORLOGERIE Ka ^haj n, r. Borluut, J. L'heure juste. ELECTRICiTÉ répar. prix coûtant, ueniets, r. Brab. 14. MODEftN PALACE. — Jusqu'au 27 juin 1918. « Le Prince Sami >, grande comédie vaudeville en 3 partice, jouée par Ernst Lubitsch et Ossi Oswalda. « Le Rêve de la Vie », grand drame mondain en 4 par-tiss, joué par Sybile Smolava. Etc., etc., etc.' CHARBONS, On accepte les nouvelles caries de .alion i. ha; »n cluz «4. G. Van Melle, plaine des Chaudronniers, 3. (Livraison rapide). HORLOGERIE suisse8ehaegel-Mrc3,chaussce deCour-trai, 128, et chaussée d'Anvers, 54, Gand. AU MINARD. - Vu l'énorme "succès"des Suliimban-ques, cinq représentations seront données dimanche le 23, à 3 et à 7 1/2 h., lundi 24, mardi 25 et jeudi 27 à 7 1/2 h. Dimanche le 31 « Eva ». Cacao sucre « MARGOT », Café mélange «LEXTRA», Amidon composé « LE LIS», Pudding Powder«PAX». Vente en'gros, LÉON ROTSAERT, 7, rue Poudrière, (près Boulcv. St-Liévin). THÉÂTRE PATHÉ. —Jusqu'au 27 Juin 1918. « CLAUDINE», fille des Alpes. Drame sensaiionnel en 5 actes. Etc., etc., etc. HÉMORRHOÎDES II — R. Baetslé, 56, rue Charles Quint. — Alb. Baetslé, 48, avenue Elisabeth, Gand. Bu: itin Financier Nous complétons ce jour notre tableau de dimanche der-ier par les paiements annoncés pour juin courant : f.nnnrm No Mnntn«t /. Banqu.- de Commerce Anvers. . 7 20.— re id. de l'Union Anversoise 7 20. a. Caisse Patronale capital. S 12 2C ra *d: id- divid- • 5 6.6G Cie Immobilière de Belgique . . 20 6.25 l» Traway de Bilbao cap. . . il 6 25 8- >d. id. jouis. . 11 3*5C le id. Murcie .... 13 1.75 C£ id. Rome-Milan-Bologne . . 40 3. Charbonnage Bonnier . 5 à 8 ens. 7.5C id. Fontaine l'Evêque . . 41 100.— lçj_ id. Grande Machine à feu . 20 120.— id. Mariemont-Bascoup . 4-4bis 40.— a- id. Oupeye. . . 1" répart. 100.- 6 Eaux d'Alicante .... 20 15.— id. d'Arn^em .... 29-30 35.— id. Utrceht 35 50._ un Céramiq. Defuisseaux ... 15- 10.— Belgo Canad. Pulp et Paper priv. . 15 15.— et id. id. ord. . 16 35.— :*di id. id. div. . 16 13.32 id. id. part. . 1 10.— Brasseries et Lait, de Haecht . 14 16.— Habitations ouvrières ... 49 15.— '^e Papeteries de Saventhem . . 38 75.— le Sanatorium de Godinne. . 7-8 50.— Mines de Lujar ... 32 15.6C Banque Intern. de Luxembourg . 59 21.07 Bourses officieuses de Gand des 17-19-21 juin. Suivant décision prise à la Bourse de Bruxelles, le mité des agents de change de Gand vient de fixer les c tages sur opérations comme suit : 2 •/00 sur Rentes belges, obi. lots de villes avec n muni de 0,20 par lot. 2 1.2 0 w, sur toute autre transaction boursière. Ailleurs c'est la spéculation malsaine qui règne e: moment en maître. Ici la fermeté domine, une fermeté est durable, parce qu'elle est raisonnée. La Banque de Flandre fait 1415-1420, ce dernier c< amène des vendeurs qui arbitrent contre la Banqu Gand qui progresse de ce chef à 880-885, comme la l que Belge du Travail à 750-755; reste l'Union du Cr qui ne fait aucune transaction, faute de titres sur lemar Banque». Outremer de 815 ascensionnc à 840-4E Crédit National Industriel à 345 venant de 320 il y a jours. Banque Centrale Anversoise, le bilan qui vien paraître accuse avec le report de 258.400 fr.un bénéfic 1 002.000, duquel il est réparti 4 p. c. aux actionnaire reporté à nouveau 254.500 fr. La Comp. d'Assurances « La Belgique » répartit 7 à ses actions et reporte 21.811 fr., par contre l'Imm lière Bruxelloise accuse une perte de 33.126, les lo ne rentrant pas. Chemins de ter. Braine le Comte à Gand, l'e dent est de 294.038 fr.; afin d'assvrer le service d'ini des obligations et actions privilégiées, la société p 475.323 dans son compte prévision. Canadian Pacific recettes brutes des 4 premiers mois sont en augmenta de 2.676.000 doll., nettes en diminution de 4.323. Chemin de fer du Congo 1/6 fondateur 640; les rece 1 du mois d'avril, le 10° de l'exercice est de 584.000 fr. i geois Namurois, le solde bénéficiaire est de 3820 fr. a i répartition de 8 fr. Réunis (Comp. belge des chem. de le bénéfice brut, en d'autres termes, le rendement du t tefeuille pour 1917 a été de 1.029.469; le service des ol et ies frais généraux ayant nécessité 1.329.362 fr. il r un mali de 299.913 ce qui, avec celui de 1916, soit 86, fr. constituent 386.410 fr. à rattraper; le capital de 15 lions ainsi que les 9.573.000 de réserves, restent in! Welkenraedt (Jonction Belge-Prussienne) ne sait dor de bilan cette année, mais a publié un état de situatioi 31déc.1917. Tramways électriques de Gand. Voici les et comparés en huit jours d'intervalle: cap.182 contre 177 div. 99 à 95 contre 90, jouiss. 90 contre 85.On s'achen vers 100 fr. rond pour la dividende; rappelons que les videndes payés en mai dernier étaient de 6 fr. pour la pital, 2 fr. pour la dividende et jouissance. Alicantes\ > par un bénéfice de 10.393 fr. qui sont reportés à nouvi I Budapest dont la Belgique détient une partie du caj de 27 1/4 millions-dé couronnes, a un bénéfice ne 1.241.500 c. contre 1.879.536; l'administration commu songe à reprendre la concession. Carthagène, le béni d» change, joint à celui de l'exploitation a permis de < . vrir en 1917 les frais, et de reporter un solde minime 1876 fr. Murcie, défalcation faite des frais, a un soMe ponible de 82.331 fr.; la distribution d'un dividende fr. 1,75 aux 40.000 act. absorbant 70.000 fr. on repor nouveau 8115. Rome-Milan-Bologne distribue 3 fr. ses 79.728 fr. de bénéfices et les Transports et EnL I Industr. (soc. financ.) ont gagné 1.971.360 ce qui lui met de distribuer 35 fr. comme lr et 2d dividende, et lî i fr. aux parts de fondateur. La Métallurgie reste somnolente. Pour les spéc teurs — pas pour les joueurs — nous croyons le mon : arrivé pour s'intéresser dans cette rubrique. Sud de C 1 telineau, le bilan clôture par une perte de 70615. . • Les bilans publiés pour les Charbonnages ne ji > fieraient nullement les cours auxquels on les pousse ; j la casse 11 Le Bois de Micheroux côté 1250 a ga 443059 et distribue fr. 50 à ses 6300 jparts. Le Carabi, fr. 1300 a regagné sur ses p-.rtes de 692372, 96709 fr. reste par conséquent 595663 à récupérer. Cource Nord 2300. bénéf. 1915 247453. 1916 702768 en*»

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