Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1917, 29 July. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/v40js9k47j/
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JO URN AL DE GAND ÉCHO X£J&2£3 iiiCO 'M .'.i'ïON il' '\ < *\i'TvfS*( H ATIO', - w iv • ï v c s, v ■ ABONNEMENTS J ' ' '" '■ v ■-,.o • GA«« — *. SUR SR ?{.AKtiH£, » — WIND j Ui? FRANC VINGT CIMQ PA» TE.IKHSXRB TBLEPHONE 866 S'aëressei .'uc u- ■ i, Gsnii IREVÜE des joui'naiix de la setnasna. LE BRUXELLOIS Du 20. — Le dévertoppement de 1'agricul-ture au Congo beige. — Notre confrère de la « Tribune Con><olaise • publie en supplément des notes intéressantes au sujet du dévelop-pement de l'agriculture au Congo beige. Le caté. après une culture fort peu habile. dans laquelle on s'entêta plus de dix ans: aboutit k un échec complet. Mais depuis que 1'on a recommencé des essais plus intelligem-ment et plus scientifiquoment, les résultats sont excellents et Ton arrivé a constater let rendements de 1,500 et 1,600 kil par hectare. Même marche et mêmes résultats dans les essais de culture de cacaoyer. En 1895, on corapte 35,000 cacaoyers sin' le Congo; plus tard, il y en avait 14,0u0 dans le Mayumbe et & Eliombo. En 1910, tout cela a disparu pai suite d'erreurs ou défauts dans les procédés de culture. On reprend les essais & Barumbu et 28,000 cacaoyers y rapportent environ 40 tonnes de cacao par an. Les plantations de caoutchouc qui donnent de si beaux résultats aux Indes néerlandaises et k Ceylan paraissent être eneore dans la période de tatonnements. La culture du coton a fait 1'objet d'étudei pratiques poursuivies par M. Fisquer et qui paraissent trés sérieusement conduites. Le coton dans le Nyangwe pourrait fournir environ 1,000 kilos par hectare. Mais encore fau-drait-il faire produire de telles quantités s un bon norabre d'hectares. — France. — Le port de Paris. — Le projel déja si ancien de relier Paris a la raer, soit par un canal, soit par l'améuagement d» la Seine entre Paris et Rouen, fait 1'objet d'une nouvelle étude, entreprise par les services publics. C'est 1'Etat qui crééra cette grande voie navigable, mais c'est Paris qui doit son-ger k 1'aménagement du port auquel elle aboutira. Lepréfet de la Seine, d'accordsur ce point avec 1'assemblée municipale a donc constitué un service chargé de procéder & 1'établissement des projets au point de vue technique, et il s'occupe de réunir une com-mission qui étudiera 1'organisation, 1'outillage •t le régime financier du port de Paris. II ra de soi que la réalisation de ce grand projet comporte non seulement la création d'un grand port de transit et de navigation i 1'aval de Paris, mais aussi eelle d'un ensemble de ports publics de moindre importance, notamment dans la traversée et même en amont de la ville. Enfin il est impossible d'isoler cette ques-tion de celle des canaux municipaux dont il importe de réaliser 1'amélioration dans le plus bref délai. Du 22. — M. Célestin Demblon en France. — M. Célestin Demblon, député de Liége, Tient d'être chargé de faire, èt 1'Université de Rennes, un cours d'histoire de la littérature frangaise, etc., auquel il ajoutera des legons sur la peinture, la musique et le mouvement littéraire beiges. Du 23. — La nouvelle gare du Boulevard Lambermont. — Le détournement de la ligne de chemin de fer de ceinture, sur le territoire de la commune de Schaarbeek, est, on le sait, un fait accompli. Le passage i niveau de 1'avenue Kogier a été supprimé pour la plus grande facilité du trafic dans le quartier. De même, la halte du chemin de fer dite « Gare Rogier • a disparu. On va construire une vaste gare nouvelle au boulevard Lambermont. C'est un travail important et qui va avoir les plus heureuses conséquences pour 1'avenir de toute cette partie de Schaarbeek. On a établi les plans d'un quartier nouveau qui va être créé de toutes pièces. L'artère principale en sera une vaste avenue, qui sera dénommée avenu» de Saventhem, et qui pro-longera bien loin la zone de 1'agglomération bit ie. Des villas seront élevées le long de «ette grande artère, qui est destinée a relier 1» Grand-Bruxelles k 1'importante commune rurale de Saventhem qui en acqnerra une prospérité nouvelle. HET VOLK Du 27. — Nouvelle rassurante. — II y a quelques jours on avait répandu la nouvelle que 1'Amirauté anglaise empêcherait doréna-vant que les bateaux du ravitaillement navi-guent vers les Pays-Bas. Pareille mesure de-vait avoir pour conséquence de porter une trèi grave attiinte au ravitaillement de la population beige. Toutefois les dernières noa-velles sont rassurantes. L'Angleterre a exigé que le gouvernement des Pays-Bas livre les bateaux nécessaires au transport des vivres pour le Comité Hispano-Néerlandais chargé du ravitaillement de la population beige. Les Pays-Bas ont donné satisfaction de sorte que nous pouvon» de nouveau être raisurés. Le monopoie du service des viiianges Le monopole du service des vidan.;es a été voté en principe par le Conseil communal en sa séance de lundi dernier, par 25 vsx contre 3 et 5 abstentions. Le Collége a été chargé de formulev un règlement d'exécution et de négocier la reprise éventuelle du matériel appartenant aux entrepreneurs privés. La discussion de la question s'esï pour ainsi dire bornée al'exposé des motifs présenté par M. 1'échevin Coppieters et que nous avons reproduit la semaine dernière dans ses grandes lignes.II n'y ent guère qu'une petite discussion juridique, un Conseiller communal ayant fait remarquer que, d'après un traité de M. I'avo-cat Sérésia. la Constitution défend qu'on ruette une entrave au libre exercice des pio-fessions. On lui fit toutefois remarquer qu'en Belgiqite, la plupart des villes ont ari.mis les régies pour les services du gaz, des eaux et de 1'électricité et en particulier la ville d'An-vers pour le service des vidanges. Le Conseil communal de cette dernière comprenait éga-lement des juristes éminents, tels MM. Del- vaux, Franck, Van Ryswyck * * » De son cóté,le « Comité de défeuse des con-cessionnaires du service des vidanges » a protesté dans nos colonnes la semaine dernière contre le monopole projeté. II y a lieu de remarquer tout d'abord qu on ne peut tenir compte des intéréts privés de quelques-uns, lorsqu'il s'agit d'un service public créé dans l'intérêt^générul de la population.En ce qui concerne le principe de la reprise, le rapport de M. Coppieters fait remarquer, nous 1'avons déjè. dit, que les concessionnaires privés n'ont aucune espèce de droit : ils ont regu ces concessions a titre précaire; il est-, du reste, expressèment dit dans 1'acte de conces-sisn que, si la Ville vcut organiser ce service en monopole ou le donnsr a un seul conces-sionnaire. on n'a aucune réclamation è, faire valoir de ce chef. Ces conditions sont répétées dans chacun des actes. En out re, le Comité de défense fait valoir également qu'un des entrepreneurs privés a fait construire un réservoir qui lui aurait couté 35,000 fr. Or il se fait précisément qu'il vou-drait le céder k la Ville moyennant la somme de,.. 7500 ft'.; mais laVille n'en vent pas, «sti-mant qu'il est encore deux fois trop cher ! De plus le dit Comité en profite pour faire la critique des régies en général. A ce propos, remarquons qu'i 6and, par exemple, la régie du gaz a donné de brillant» résultats au point de vue financier, alors que la société qui exploitait le service avant la régie n'a jamais donné un centime de dividend» a ses actionnaires. Le service actuel est géré par une commission spéciale et nous ne eonnaissons que quelques trés rares récla-mations faites soit au Conseil communal, soit k la Commission, soit dans les journaux. Ces réclamations ont fait chacune 1'objet d'enquê-tes minutieuses qui ont prouvé que la régie n'était pas en défaut. Ainsi 1'on a réclamé un jour contre le mande pression. Une enquête sérieuse faite de maison en maison a prouvé que ce défaut dsvait être attribué ü la mauvaise installa-lation intériture qui est toujours faite par des particuliers, le service de la régie ne pou-vant, d'après ses règlements, se charger de 1'installation intérieure. Le service des eaux était d'abord exploité par une compagnie. Après beaucoup de dé-boires, cette compagnie a fait iaillite et la Ville a dü reprendre le service. Au moment de la guerre, il avait été conclu une convention avec rintercommunale des eaux de Bru-xelles pour amener a öand les eaux du Hoy-oux et du Bocq. Le service d'électricité, qui était d'abord exploité par 1'Allgemein Electricitats Gesell-schaft, fut repris par la Ville après les cinq premières années d'exploitation, comme le permettait du reste 1'accord conclu avec cette société. Et 1'on ne peut cependant pas prétendre que le service ne marche pas bien: le tarif différentiel en vigueur avant la guerre était, dans ses moyennes, plus bas que dans la plupart des autres villes beiges. A propos de la régie des chemins de fer qui, elle non plus, ne trouve pas grace devant nos protestataires, noss renvoyons nos lectsurs 4 un discours que prononija au Sénat beige M. Coppieters le 22 juillet 1909(1). Au cours de la discussion générale du projet de loi fixant la durée de la journée de travail dans le» mines, 1'honorable sénatear répondit k M. le Comte de Smet de Naeyer qui avait mélé 4 ce débat la question de 1'Etat indus-striel et des régies : « .... L'Etat est maavais industriel, dit-on, (1) Voir Discours Parlementairès de E. J. Coppieters, sénnleur, 1908-1914. ! ■ et U. de Smet de Naeyer prenait comme • | « exemple nrincipal le chemin de fer. Mais jj \ que voyons-nous dans notre pays même ? | j a Comparez la gestion de 1'Etat avec celle i « des Chemins de fer du Pays de "VVaes, de j " Gand-TenieuzCan et de cette ligne fameuse i « de la Flandre Occidentale ! " Soiit-ce 14 les exemples frappants dont " vous pariez ? Sont-ce ces organismes que « vous considérez comme mieux administiés « que le chemin de fer de 1'Etat ? Je ne le « crois pas. Ce serait une profonde erreur. « Par conséquent, je puis dire que si 1'Etat " est mauvais industriel, c'est d'abord votre « faitte, vousn'aviez qu'amieuxl'administrer « Si vous avez a vous plaindre du fouction-« narisme, c'est encore votre faute, c'est •' paree que vous avez remplacé 1'administra-« tion des choses par la politique des hommes. " Mais si 1'Etat était, je ne dirai pas mau-" vais industriel, mais moins bon industriel « que les organismes privés,il aurait encore " a remarquer que lorsqr.e i'administration 0 s'applique a des choses d'intérêt public, a « I'administration des chemins de fer, par « exemple, qui empruntent ia voie publique • et sont exploités au profit du public, si « 1'exploitation offlcielle de 1'Etat n'est pas » aussi fructueuse, si elle ne produit pas « antant que produirait une compagnie, du « moins 1'argent qu'elie gagne rentre dans « les caisses de 1'Etat, c'est-a-dire qu'il pro-« fite 4 la collectivité... » Les Expositions Salla du Beffrol L'exposition qui s'y organisa cette quin-zaine sous les auspices du Kunstverbond,quoi-qu'elle fut d'excellente tenue, n'ofi'rit qu'un intérêt relatif, paree que ia plupart des ceu-vres réunies laavaient déjè, été vues et revues ailleurs. C'étaient des paysages de Soudan, de D« Saegher, de Dessenis, de Huis, de Sa-verys, de De Keukelaere, des portraits de Prosper Boss, de Guecquier, de Madame Cou-terman, despoémes en couleur de Van Belle, des statuettes de bois ou de marbre de Ver-banck, de Gustave Van der Meersche, etc. — tous avec leurs qualités ou leurs faiblesses habituelles. II faudrait pcartant signaltr tout particu-lièrement deux études de Jacques De Seyne : " A ma i'enêtre » et « Neige », pour ia frai-cheur de vision et la sincérité d'expression qu'elles décèlent, et les deux pages de Julien Van de Veegaete : • Soir », d'une solide et harmonieuse couleur, et 1'« Etude » de jeune mère d'un dessin ferme et élégant. O. V. Salie Taets Aujourd'hui s'ouvre, rue du Soleil, l'exposition organisée par le Csrcle entomologique des Flandres, exposition qui surpasse ses ainées en nombre et en éclat. Rien n'égale les richesses répandues la sur les ailes de papillons innombrables, et il faudrait de lon-gues heures pour en détailler toutes les variétés et toutes les graces. Outre qu'elie est un régal pour les yeux, cette exposition estpleine d'enseignements. Aux Hospices civils Le rapport suivant a été communiqué aux membres du Conseil communal: Kèglemtnt du personnel midical. iUodi-ficalions.—Exposé du Collége, présenté par M. 1'échevin Heynderyckx. Messieurs. La Commission des Hospices civils nous a transmis ses délibérations des 30 mai et 13 juin, eonQU comme suit: » Considérant quel'augmentationetlaspé-« cialisation eroissante des services de 1'hópi-« tal ont, en plusieurs circonstances, obligé « la Commission a nommer médecins ou chi-« rurgiens titulaires des adjoints dont la no-" mination était récente, alors que d'autres " restaient adjoints pendant de trés longues " années, taute de vacature dans les services " auxquels leur spécialité les destinait; " Considérant que, pour parera cette situa-« tion, qui, dans certains cas, aurait créé des " inégalités choquantes, la Commission a été " amenée 4 confier 4 des adjoints des serviees ' qui eussent du être réservés 4 des titulaires « sans leur en accorder ni le titre ni le trai-« tement; « Attendu que, dans ces conditions, la dis-« tinction des médeeins et chirurgiens en « titulaires et adjoints, avec un traitement « différent attaché au titre. ap^arait comme « offrant des inconvénients, sans aucun avan-« tage réel; qu'il est plus rationnel de leur « donner a tous le même titre et de laisser a « la Commission le soin de répartir entre eux « les différents services, et de fixer leur rému-« nération, variable entre le minimum et le « maximum actuel, suivant le nombre de leurs ) « annéesde service etl'importancede ceiix-ci; t " Arrête : j ( « Les.hommes de 1'art attachés au service j { « des Hospices, tant a 1'hopital que dans les ■' autres établissements h.ospitalieis, portent 1 tous le titre de médecins ou chirurgiens des " Hospices civils. 11 La Commission les nonnie, les l évoque, « sans autorigation des autoritéscompétentes. « Elle fixe leur traitement et détennine leurs « attributions, tant a 1'hopital que dans les " aatres établissements. « En ca? d'absencé, d'empêchement ou do « inaladie de moins de trois jours, les méde-« rins et chirurgiens sont remplacés par le " collégue qu'ils désignent; si 1'absence, 1'em-« pêchement ou la maladie se prolonge, la « Commission désignera le remplagant. » Comme conséquence de cette décision générale, que le Collége vous propose d'adopter, il y a lieu de voter les modifications suivantes au règlementde 1'hópital de la Biloque, arrêté par le Conseil, le 29 octobre 1859. « Art. 1. — Le personnel attaché a 1'Höpi-« tal de laBiloque se compose d'un Directeur, « de Médecins et de Chirurgiens, d'Aüiii0^i<ji'. \ « d'Eièves internes, d'Elèves externes, d'Ejjè-" ves externes adjoints, d'un Pharmacien et « d'Aides pharmaciens, de Sceurs hospitaliè-« res, d'Infirmiers, d'Infirmières et de Gens " de peine. « Art. 32. — Le Service sanitaire de 1'Hö-« pital est confié k des médecins et des chi-« rurgiens que la Commission des Hospices « nomme et peut révoquer sans autorisation « des autorités compétentes. La Commission « fixe leur traitement et détermine leurs at-« tributions. « Outre le logement et la nourriture k 1'HO-« pital, les Elèves internes jouissent d'un « traitement unifoimo. « Nul ne peut être appelé aux fonctions « d'Elève interne s'il n'a rempli 4 1'Hópital « civil les fonctions d'Elève externe. » Nul ne peut être appelé aux fonctions « d'Elève externe ou d'Elève externe-adjoint, « s'il n'est pas candidat en médecine. « Les médecins et chirurgiens règlent Ie « service des internes, des externes et des « externes-adjoints. " Art. 34. — En cas d'absence, d'empêche-« ment ou de maladie de moins de trois jours, « les médecins et chirurgiens se font rempla-« eer par leur assistant ou. par un chef de « service qu'ils désignent; si 1'absence, 1'em-« pêchement ou la maladie se prolonge, Ia « Commission désigne le remplaqant. « Art. 36. — Tout chef de service peut « appeler en consultation, s'il le juge néces-« saire, un ou plusieurs de ses collègues a « 1'Höpital, qui sont obligés de lui prêter leur « concours. II peut aussi, sous sa responsabi-« lité, permettre a des médecins étrangers a « 1'Höpital, qui se sont fait une réputation « dans 1'une ou 1'autre branche de 1'art de « guérir, de faire a titre de démonstration « tellesopérations,ou d'instituer telles métho- ' « des de traitement qui ont le plus contribué « k cette réputation. Mais dans ce cas, le « Chef de service est tenu d'en informer tous " les Médecins et Chirurgiens attachés au « service de 1'Hopital et de les prier d'assis-" ter aux démonstrations. « Art. 37. — Les Médecins et Chirurgiens « chefs de service ou a leur défaut leurs assis-« tants sont tenus de faire tous les matins la « visite de leurs salles. " Un programme spécial, arrêté par les « membres de la Commission des Hospices et « afiiché dans toutes les salles de 1'Höpital, « indique les jours et heures des visites des « hommes de 1'art, sauf les exceptions déter-11 minées éventuellement par les besoins des « services et des cliniques. « Art. 60. — Indépendamment de ce qui « est prescrit a 1'art. précédent, ils doivent, « dans les circonstances graves, faire préve-« nir immédiatement, par le Directeur, le « Médecin ou Chirurgien que la chose con-« cerne. « Art. 75. — Le service de la Pharmacie è, " 1'Höpital est confié k un pharmacien diplö-« mé, k un ou plusieurs aides-internes et k I « un ou plusieurs aides-externes. « Les aides, choisis de préférence parmi ' les élèves en pharmacie de 1'Université de ' Gand, sont désignés par la Commission des " Hospices, sur la proposition des chefs .de ■ service réunis en conseil. « Art. 133. — Au commencement de chaque < trimestre, la Commission des Hospices con-1 voque en réunion générale les Médecins et ' Chirurgiens de 1'Hopital; un membre de la • Commission préside ces réunions, qui sont 1 consacrées k entendre les observations sur ! le service médical et a proposer, s'il y a ; lieu, les améliorations nécessaires. « L'art. 35 est abrogé ». Aucun autre règlement d'Hospice ou d'Ho- ;! lital ne faisant de distinction entre Médecins- ! itulaires et Médecins-adjoints,il ri'y a pas lieu le les modifier expressèment, Ia disposition : [énérale ci-dessus s'y appliquant d'office. . Saniaiss élec. raooord. ohez voigina MUBIHnli GEN!£TS, 14, r. Brabant a (1788) RÉQCJISITION. — On peut consulter dans nos bureaus le texte francais du nouvel arrêté concernant la réquisition d'objets mobiliers en cuivre ou autres métaux. BANQUE 1'Union du Crédit de Gand. — Fondée en 1855. — Siège social: Place St-Michel, 16. Bureaux auxiliaires : F. Claeys, rue St-Michel, 9, et A. Vanderstraeten, rue de Flandre, 32. — Taux actuel en comptes de quinzaine : 2 1/2 °/0. Fonds publics : coupons. changes, toutes opérations de banque. (1638) EMPRUNT de Gand de 1896. — Le Collége des Bourgmestre et Echevins, porte 4 la con-naissance du public que les lots de 1'emprunt Ga.nd 1896 seront, ét partir du lr aoüt 19)7, échangés contre de nouveaux titres. Les anciens titres devront être déposés è, 1'Hêtel de Ville, Salie de 1'Arsenal, ler étage, le lundi, mardi, jeudi et vendredi de chaque semaine, de 9 a 11 heures du matin. Les intéressés dresseront un bordereau, par ordre numérique des séries et des numéros, en doublé expédition. Les nouvelles pièces pourront être retirées après la huitaine, au même guichet du dépot, les mêmes jours que ci-dessus, de 3 è, 5 heures. Les titres sortis aux 100 premiers tirages (10 avril 1917 et tirages antérieurs) ne seront pas échangés. Des bordereaux sont k la disposition des intéressés a 1'Hotel de Ville. Les envois d'obligations par la poste ou par le chemin de fer seront refusés, la Ville n'acceptant les titres 4 échanger qu'a ses guichets. BOIS É bpQlBH ChêneG.r0LpinDécLaa S'adrcsper: P. Behaegol, q. des Molnes 13, Gand. (1298) POUR LES RÉQUISIT10NNÉS. - La Commission locale de seconrs et d'assistance aux réqnisitionnés (bureaux prés St-Jacques) porte è, la connaiesance des intéressés que grace a son intervention auprès de 1'autorité allemande, elle a obtenu les avantages sui-vants : aux réquisitionnés, victime» d'acci-dents de travail, il est accordé un demi salaire pendant trois mois au plus. Dans le cas oü le réquisitionné est définiti-vement incapable de travailler par suite d'accident, «ne indemnité de 300 k 600 fr. peut être accordée. En cas de décès occasionné par un accident de travail, la veuve avecenfants mineurs recevra uoe indemnité de 200 a 400 fr. D'autres démarches sont faites par la commission précitée et laissent espérer que de nouveaux et meilleurs résultats couronneront ces tentatives. Du cöté du Comité provincial et urbain de secours et d'alimentation, la Commission obtint également la faveur que la ration.de vivres soit distribuée aux réquisitionnés la oü ils travaillent par l'intermêdiaire de la «Commission for Belief». Cette mesure n'a pu être mise è, exécution. De nouveaux pour-parlers sont engagés avec le Comité Provincial pour obtenir une solution définitive de cette question importante. En attendant du pain hollandais grillé sera envoyé sous peu aux réquisitionnés. iiïïOïnïïPö p & A beyer Bl illlllli Editeurs de musique fflUUlUUUU. P. STRUYF, successeur firand choix de musiques beiges et étrangères. Lutherie artistique. — ('ordes garanties justes, •onores. — Accessoires divers. (1132) PAIN. — Nos lecteurs seront heureux d'ap-prendre qu'a la suite de ses nombreuses instances, Ie Comité Provincial de Secours et d'Alimentation est parvenu ii augmenter de 50 grammes la ration journalière de pain a partir du 29 juillet et dans tout le territoire du Comité Provincial de la Flandre orientale. Dés dimanche, les boulangers devront remet-tre trois pains de 820 gr. chaeun par tête et par semaine; le prix maximum est fixé a 0,45 fr. par pain. AU 30 JUILLET prochain, ouverture du bureau de change JULES DOSSCHE 27, rue digue de Brabant. (2058) PAIN BLANC. — La ration de pain blanc est augmentée ét partir de dimanche prochain. Elle comprend 2 pains de 875 grammes au lieu de 2 pains de 750 grammes. Le prix est porté è, 0,75 fr. par pain. THÉATRE PATHÉ Jusqu'au 2 aoüt : Les bandits de St-Pol grand drame en t actes, de la série Aquila's Etc., etc. Prochainement: Les gpandes chasses on Afrique. (2085) Dimanche '29 juillet I9i7 BNBNNMWMBMBBM<NtPBN3BBNHWNIllWil I'! fWM jBijWHI :IO centimes le ni >éro asaéf - N s 204-210

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