Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 26 May. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 28 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/x34mk67536/
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âïrnalr and écho :di::s .4NDRarc s ■BHWSBS* «SlS-i-1"—" ™ —--— Un peu de gastronomie L'Avenir? K Enfoncées, les langues de bœuf à la jelée de Chicago ^BFini, i-i-B-i les maquereaux à l'huile de Stavanger et les succulents(') petits pâtés d'Amieux Frères (toujours à mieux). Cette fichue guerre, après les longs malheurs qu'elle nous a apportés, nous raurira-t-elle par dessus le KHrmarchê la disparition du culte eher à Brillat-S&yarin et ses ^^innombrables disciples! ;; Un ingénieur de Berlin a trouvé, paraît-il, le moyen i infaillible qui permet de sécher presque tous les produits alimentaires. Il est Yrai que nous n'ignorons pas le lait condensé, ni même le lait en poudre; les « magasins amé-■Sicsins .. nous en ont fait faire la connaissance. 11 est également vrai que, dans certains cas, les médecins ordonnent l'alimentation du malade par voie de garage, opération qui consiste à lui faire avaler sa ration sous forme de poudr«, et notamment de poudre de viande. Mais le système n'est guère généralisé. A Gand, par exemple, je crois que nous ne connaissons en fait de séchage de produits alimentaires, qu'une seule application : celle du pain. Pour être ju»te, pourtanl.il faut dire qu'ici le résultat est remarquable. Notre pain quotidien, après avoir passé par la phase humide - rappelez-vous l'époque où, en le coupant, il se roulait sous le couteau en forme de cigarettes — esi actuellement un modèle de produit déshydraté. Impossible de l'avaler sans boire la moitié de sa provision de malt. Mai» à cela, il nous faudra attendre que l'inven-lioil signalée soit également appliquée dans notre bonne rille à d'autres matières. ^ .Pour en revenir à cette inventian, il semble que le pro-■RcJ : est fort simple. On commence par diviser la matière destinée au séchage en parcelles aussi fines que possi ble. Cette opération se pratique dans une espèce de chaudière munie de plaques tournantes qui font environ cent tours à la seconde. De cette façon, le produit traité est transformé en une masse semi-liquide ressemblant assez bien à un brouillard humide. Ce brouillard est chassé dans un cylindre vertical traversé par un courant d'air filtré d'une température de 100 à 120 degrés. Comme l'évaporalion absorbe une partie de la chaleur, le séchage se fait en réalité à 40-45 degrés. Il en résulte que les qualités propres au corps traité ne se perdent pas. Lorsqu'elle est séchée, la ^Kiatière a tout juste l'aspect d'une farine inodore. Il ne faut plus que la mettre en fûts ou en caisses, et tout est dit. Pour donner un exemple : le procédé permet de sécher, en une heure, 150.000 œufs, précédemment battus, blanc et jaune entremêlés. La poudre obtenue contient toutes les qualités de l'œuf; seule l'eau a disparu. W Comprenez-vous les avantages offerts par l'invention ? , Ils sont innombrables. Pour les œufs, par exemple, leur conservation est garantie. La chaux, le silicate, les petits - sachets de papier, n'oat plus de raison d'être. Avec un bocal d'œufs en peudre, d'un litre, on fera des mois. Plus de risque de faire d# malencontreuses omelettes en glissant sur un pépin d'orange ; plus d'œufs piqués, gâtés, putréfiés. Et quand ils valent quatre-vingt-dix centimes pièce, cela vaut la peine. %' Puis, quel avenir pour l'alimentation, problème compliqué, principalement pendant des périodes aussi pénibles que celle que nous traversons. Que de fois n'a-t-on tenté de résoudre cette équation difficile. II y a quelques années, un htmme croyait avoir trouvé la solution. Cet homme est l'honorable Dr. Fletcher, esq. A présent, enfoncé, le Fletcher ! Vous ne connaissez pas ? Eh bien voici : Fletcher, médecin d'Outre-Atlantique, partant de l'observation que l'homme mange beaucoup trop, prétend qu'avant de l'avaler, il faut mâcher cent fois chaque bouchée, et faire de même pour chaque verre qu'on boit. C'est là, dit-il, la condition sine qua-qua non de toute bonne hygiène. Grâce à sa méthode, on digère absolument jusqu'à la dernière parcelle de ce qu'on s'introduit dans l'œsophage, et, en fin de compte, on en arrive comme ça à tenir avec 1/4 d'œuf et 1/2 verre d'eau par jour. Le système, appliqué d'une manière intelligente et persévérante, permet de vivre 150 sns, dit Fletcher, qui en a déjà 49. K Teut bien considéré, qu'est-ce que cette méthode en comparaison de celle du séchage? Rien, moins que rien. Dans cinquante ans, on la considérera comtnt i^aberration glËnaïve d'un alchimiste perdus dans la fumée de ses cornues. Dans cinquante ans ! Dieu sait où nous en serons alors au ^/point de vue alimentaire. Rien ne me dit que, d'ici là, il ne jJ^se lève un jour un savant docteur qui,après avoir frotté ses HElunettes, parlerait en ces t?rmes : « La force de l'habitude fait accomplir aux hommes, depuis des siècles, des gestes dont cinq secondes de réfl xion suffiraient à démontrer l'inanité. Il faut en finir une fois pour toutes avec cette routine ridicule. Ainsi, que font mes contemporains quand ils mangent des œufs ? Ils jettent la coquille. Que font-ils quand ils mangent du canard, du lièvre ou du gigot ? Ils jettent les os. Que font leurs femmes quand elles préparent des pommes de terre, des petits pois, des carottes, des choux ? Elles jettent les pelures, les cosses, Its tiges, les trognons. Erreur ; erreur profonde. La nature ne cré* rien en vain. Dès lors, comment expliquer que la nature, le jour où elle a créé des aliments s'appelant œuf, canard, lièvre, gigot, pomme de terre, pois, carotte et chou, les ait enrdopptis dans une coquille,_dotés d'os ou entourés d« pelures, de cosses, de tiges ou de feuilles quelconques si ces choses-là sont tout juste bonnes à être jetées aux ordures ? Non ! La nature a toujours raison, et c'est l'humanité qui, pendant plus de vingt siècles, a commis des stupidités. Je le répète, dans les aliments il n'est rien à dédaigner, rien à jeter, tout est à manger. » Fort de ces idées, notre savant déciderait de donner plus d'extension aux entreprises de séchage alimentaires en activité, en broyant et en séchant, tel quel, tout ce que la nature fournit en comestibles. L'économie serait considérable ; la vie serait simplifiée; notre savant docteur aurait doté l'humanité souffrante de vol-au-vent Toulouse en cubes, d'entrecôte tartare en cachets limousin, et de Pilules Perdreaux Pour Personnes Pales que les gens faibles et anémiques prôneraient bientôt comme le remède infaillible etuniversel. rr tran8f°rmahon de nos mœurs culinaires aurait évidemment des effets regrettables. Ce serait, entre-autres, lu mort sans phrase de» traiteurs, des charcutiers et des maisons de « moules et frites ». Ce serait la disparition des un c'es P"'ers sur lesquels repose la vie ( ) Ceci n'est pas une annonce. C'est un hommage gratuit et sincère. e Rédaction et Administration : 3, RUE DE FLANDRE, 3, GAND ibon*oM«ists : HW F* ASC VfHOT -Ii Q PAS TBISî." TE? sociale, en Belgique tout au moins — avec la place d'honneur, si recherchée, en face de la tête de veau, pièce eapi- : talc de ce genre de repas. D'aucuns regretteraient peut- jj être l'odeur chère aux narines des gourmets, qui se dégage l des plats succulents composés avec art. Mais à cela, il n'y jj aurait rien à faire. Il leur resterait la ressource de s'en i souvenir agréablement. Napoléon, exilé ù Elbe, ne sen- jj tait-il pas, en souvenir, l'odeur aromatique du maquis de v ia Corse que le vent traîne sur les flots bleus de la Méditer- ji ranée, et que le « petit caporal » se rappelait sans voir l'île où tl était né ? Et puis, qu'est-ce qui ne disparaîtrait pas encore ? Mais, au fait, cela n'aurait pas grande importance. Ce serait en quelque sorte la réédition de l'histoire des diligences et du chemin de fer, tandis qu'au point de vue pnysique et moral, l'humanité ne pourrait que profiter de l'innovation. L'ap-pendicitj appartiendrait aux temps passés ; la dyspepsie, les aigreurs, l'entérite, la gastralgie, la pituite seraient des maux inconnus de la nouvelle génération. Enfin, dans l'ordre moral, quelques vieux philosophes parcheminés n'auraient plus le droit de dire, du haut *e leurs têtes jaunes, que l'homme n'est qu'un tube digestif percé par les deux bouts. Aussi vrai que je m'appelle Raoul Gustave, je ne vois aucun inconvénient ù ce que la concentration des matières alimentaires en poudre sèche se réalise le plus tôt possible. Si nous l'avions connue avant la guerre, quelle chance ! Nous aurions pu faire des provisions pour des années, qui n'auraient peut-être pris que la moitié d'un des tiroirs de notre lavaso. Enfin. Soyons altruistes ; ce sera pour nos descendants. Seulement, que ceux-ci fassent attention, et qu'ils prennent garde qu'on ne fabrique pas leurs épinards séchés avec de vieux draps de billards. RAOUL GUSTAVE. P. S. Franchement, après tout ce que je viens de raconter, si je pouvais ra'attabler devant un bon filet chateaubriand, il ne faudrait pas me le dire deux fois. ÉCHOS D'MRT Au Théâtre Paihè Concerts Oulllemin Le XVIII* siècle et le commencement du XIX* occupent dans l'histoire de la symphonie une place marquante. C'est exclusivement à des maîtres de cette époque que le programme de la semaine était affecté. Deux extraits de la symphonie dite le Roulement de Timbale servaient d'ouverture, nous laissant savourer cette finesse exquise qui constitue la qualité primordiale de J. Hayd-n. Vraiment en entendant tour-à-tour ces motifs délicieusement enjoués et profondément émouvants, l'appréciation topique de Mozart à son ujet s'imposa à l'esprit. « Personne, dit-il, n'a plus de goût dans le bsdinage et plus de larmes dans l'émotion que Joseph Haydn; lui seul a le secret de me faire sourire et de m'impressionner au fond de l'âme ». De la part d'un génie comme Mozart cette simple phrase dit plus que tous les éloges imaginables.Il ne faut pas confondre cependant Franç.-Jos. Haydn, | faisant avec Bach et Haendel une trinité immuable, avec s son cadet Jean-Michel. Ce dernier, qui s'est efforcé d'imiter la cordialité et la bonhomie de son aîné, ne possédait toutefois pas de génie inventif. Aussi l'on sent trop souvent qu'il se bat les flancs pour « faire de la musique »; puisqu'aucune poussée irrésistible ne le contraint d'en créer. Ce sont ces effortsf souvent uénibles et presque stériles, qui se font jour dans l'Adagieito de la symphonie en | mi b., et qui la font ressembler à un excellent, mais laborieux devoir d'harmonie. La Marche Turque du même auteur est, par contraste, absolument remarquable. Ecrite complètement pour har- i monie — c'est-à-dire : abstraction totale des Instruments à -cordes — il en arrive de ce chef à une expression d'orientalisme absolument pittoresque. Ce morceau étrangement évocateur serait cerlainement réentendu avec plaisir. Le charme aristocratique de Mozart était représenté par deux extraits de la Symphonie en ml b. : le Minuetto et Finale. Nulle peinture du temps ne saurait wieux nous représenter cette époque de marivaudage, ni mieux nous dépeindre ces salons où bruissent les caquetages spirituels, entrecoupés de compliments et de mots tenrircs, chuchoté» par la plus charmante des bouches, derrière un éventail déployé. Pour finir ce concert, essentiellement classique, la Symphonie n. 8, en fa maj. de L. van Beethoven, symphonie moins connue et cependant non la moins belle. Elle date du reste de l'époque la plus féconde, la plus brillante du grand maître; celle où, après VEroïca, il ne reste plus simplement le successeur de Haydn et de Mozart, mais où il a trouvé la voie nouvelle dans l'art musical. Elle est d'une clarté limpide et d'un équilibre de développement parfait. On a l'intuition très nette, que, ce qu'on entend, doit être ainsi et noH autrement; que rien ne pour- rail y être changé; que c'est la forme unique, impérieuse- I - : ment unique, la seule qui puisse braver les temps, la seule : - ^ immortelle. - ' L'orchestre de M. Guillemin, qui a fait des symphonies | y j; de Bsethoven une spécialité enviable, nous a rendu toutes \ ri ï les subtilités et toute la majesté de ces pages inondées de \ [lumière, entre autres l'Allegretto scherzando. Et dire t qu'Haydn qualifiait ce géant — je veux indiquer Beethoven s — « haoile claveciniste»! Crainte... ou déjà dépit?... i e Deux mor aux vocaux étaient int-.Tcalcs dans ce pro- \ gramme : Fidelo—r^cit ét air d'Ekonors — de Beethoven l , et Freischiitz — air d'Agathe — interprétés par M110 Marg. \ i Van Geert. J ■i C'étaient, si je ne m'abuse, les débuts avec accompagne- ' > ment orchestrial, de cette jeune actrice et à ce point de ' vue le choix de deux aiorceaux de bataille pareils pouvait ; , sembler un peu audacieux. Surtout que pour les interpréter ' s — le premier plus encore que le -second — il faut une j s cantatrice faite, ceci non seulement au point de vue de s l'achèvement de l'éducation vocale, mais encore comme complexité physique. Une ascension plus graduelle m'eût 3 en ce sens paru plus logique. Quoi qu'il en soit l'interprétation de ces deux grands j s morceaux, où les difficultés sont légion, fut, dans son » s ensemble, très satisfaisante, le Freyschiïtz supérieur encore à Fidelio. Si malgré sa puissance, l'organ* de cette soprano dra- ; i Viatique, est trop jeune encore pour disposer à tout endroit i - du Yoluiiie et de l'acquit nécessaires — dans le grave bien j 5 entendu —, afin de donner au classicisme l'homogénéité j ' parfaite et indispensable; la chanteuse possède — cc qui ■ s seul relève d'elle — le goût suffisamment établi déjà et ; l'éducation assez perfectionnée pour en respecter et faire j ressortir la pureté des lignes. Ajoutez à cela un timbre~tle ? métal précieux et vous conviendrez avec moi que, s'il suit ! son cours normal, l'avenir de cette cantatrice est indiscu- ; table. B. i Au Vieux Oand La société de « Ware Vrienden » donnera le jeudi 30 ! courant une 3* fête en matinée au Profit des orphelins de - la guerre. Cette fête, demandée par une grande partie de la ; population qui ne pouvait pa» y assister le soir, sera un i nouveau succès. Afin de permettre à tout le monde de contempler ce ; j spectacle select, on donnera en soirée le même programme \ à un prix plus réduit. On tient à faire remarquer au public ^ que la soirée sera également au profit des orphelins de la i guerre quoique, par erreur, cela ne soit pas mentionné j sur les cartes d'entrée. e ' ? «4L ■ 5 3- [ Les Expositions Elle est d'un haut intérêt, celle que n~us offre cette quin- 5 3 zaine, à la Salle Taets, le peintre Albert Saverys. Le \ i talent de cet artiste ne cesse de gagner en ampleur et en jj r vigueur, et son originalité est l'une des plus vivantes parmi j t celles de l'école gantoise. Sans doute, il y a bien du parti-pris et quelque outrance de tons dans les grandes toiles intitulées « Joie d'hiver », « La Flandre » et « Champ de , | Sarclage », mais elles sont composées avec beaucoup : | d'art, elles sont lu: ni rieuses, pleines de profondeur et d'atmosphère, — la dernière surtout, — qui est comme ' i vibrante de rayons et d'effluves. Il est regrettable qu'un ! ; nuage aux aspects d'immense monolithe dépare le ciel de ; | cette splendide page. Dans le petit tableau inspiré du même sujet : « les Sar- * cleuses », il y a moins d'éclat, mais plus de mesure et, !; , quoique sobres, les tons y sont d'une richesse surprenante; i c'est peut-être l'œuvre la plus parfaite de cette exposition, -par son dessin ferme et juste, son coloris harmonieux et nuancé, son sentiment sincère et contenu. Le paysage voisin : « Sur la Lys » est superbe de joie, de vie, de i : vérité, il est choisi avec un rare bonheur, enlevé avec brio, r ;; Bien séduisante aussi, et d'un style très sûr, la page hors • catalogue; des saules ragots penchés au bord de l'eau. Le ; « Soir sur la Lys », les « Nuages de mars » et bien d'au- j- très, se recommandent par d'égales qualités de mise en 1 page et d'exécution. Le « Marché sous la Neige » mérite une mention spéciale ; pour l'intensité de son réalisme, la justesse d'observation. t C'est un morceau plein de verve et de caractère. Il faudrait | , signaler encore une dizaine de tableaux et d'études et une ] i série de lithographies et d'eau-fortes, où se marque la \ 1 puissante et belle organisation de ce peintre. Quatre morceaux de sculpture dus au ciseau de M. Antoine Van Parys voisinent avec les œuvres de Saverys.- ) Il n'est pas possible de porter d'après eux un jugement : { sur la personnalité de leur auteur, mais ils semblent i annoncer un talent, et l'un d'eux, « Penseur » est déjà t plus qu'une promesse par la décision de la touche et la i vigueur de l'expression. Souhaitons donc que M. Van » Parys puisse bientôt se révéler au public gantois par des l productions plus nombreuses et plus importantes, et gros- jj sir les rangs de notre brillante phalange de sculpteurs, jj O. V. ? - - ! T.T2 | ÇhPa»Si|UB OiiigSsi h n'es ^ MUSIQUES. — P. et A. Beyer, éditeurs de musique, 1 j P. Struyf, successeur. Grand choix de musiques belges et l^csde l ^trar,gères. Lutherie artistique. Cordes garanties justes . ! sonores. Accessoires divers. it dire thoven CONFISERIE chocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. 5pit?... PRÊTS.Achat, vente propriétés.Minnaert, bdBéguin.21. :e pro- thoven BANQUE l'Union du Crédit de Gand, Société Ano- Marg. \ nyme' fondée en 1855, Siège Social, Place St-Michel, 16, 1 Bureau Auxiliaire, rue de Flandre 32 à Gand, a l'honneut pagne- " Porter A 'a connaissance du public qu'elle a ouvert un tint de ' Sureau Auxiliaire, à l'avenue Elisabeth 19 à Gand. jouvait * bureau est ouvert le matin de 9 heures à midi, et rpréter ? l'après-midi de 2 1/2 à 5 1/2 heures, le samedi après-midi , v J excepté. ut une S i\xt de \ GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et ;oinme Uniment Heyndrickx. 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'udi 30 \ Vendredi 31 mai, de 9 à 10 h., n. 63001 à 63300 ; de ins de ) lo à 11 h., n. 63301 à 63600 ; de 11 à 12 h., n. 63601 à e de la ; 64000 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 64001 à 64350 ; de 3 1/2 leraun \ à 4 1/2 h., n. 64351 à 64700. I Samedi 1 juin, de 9 à 10 h., n. 64701 à 65000 ; de 1er ce lo à 11 h., n. 65001 à 65300 ; de 11 à 12 h., n. 65301 à ramme 65700 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 65701 à 66050 ; de 3 1/2 public à 4 1/2 h., n. 66051 à 66400. ilionné ' DEMANDEZ partout savon Espéranto; le meilleur; adoucit la peau. JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures générales pour lïau, Gaz, Electricité. j LE SAVON MOU est hors de prix. La lessive en poudre | « Néerlandia » le remplace pour bouillir le linge et pour le e quin- ï nettoyage en général. ys. Le j MAISON B. 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Son front s'inclina presque a toaeher le tapis. §s Le comte s'élança au-devant d'elle et la releva.Alois, assise sur un fauteuil, elle put, à tra-vyis ses larmes, regarder le mâle visage de Monte-Cristo, sur lequel la douleur et la liaine imprimaient encore un caractère menaçant. — ytieje n'écrase pas cette race maudite! muimura-t-il; que je désobéisse à Dieu, qui ma suscité pour sa punition ! impossible, Ma-■une, impossible ! j "7 dit la- pauvre mère, essayant •n nS n m°yens; mon Uieu ! quand je vous K i. pourquoi ne m'appelez-vous P&s Mercédès ? <u 1 îlerucédès> -répéta Monte-Cristo, Mercé-^ aii bien ! oui, vous avez raison, ce nom "estdoux encore à prononcer, et voilà la première fois, depuis bien longtemps, qu'il retentit si clairement au sortir de mes lèvres. Oh ! Mercédès, votre nom, je l'ai prononcé avec les soupirs de la mélancolie, avec les gémissements de la douleur, avec le râle du désespoir; je l'ai prononcé, glacé par le froid, accroupi sur la paille de mon cachot ; je l'ai prononcé, dévoré par la chaleur, en me roulant sur les dalles de ma prhon. Mercédès, il tant que je me venge, car quatorze ans j'ai souffert, quatorze ans j'ai pleuré, j'ai maudit; maintenant, je vous le dis, Mercédès, il faut que je me venge ! Et le comte, tremblant de céder aux prières de celle qu'il avait tant aimée, appelait ses souvenirs au secours de sa haine. — Vengez-vous,Edmond! s'écria la pauvre mère, mais vengez vous sur les coupables; vengez-vous sur lui, vengez-vous sur moi, mais ne vous vengez pas sur mon fils ? — Il est écrit dans le Livre saint, répondit Monte-Oristo : « Les fautes des pères retomberont sur les enfants jusqu'à la troisième et quatrième génération. » Puisque Dieu a dicté ces propres paroles à son prophète, pourquoi serais-je meilleur que Dieu ? — Parce que Dieu a le temps et l'éternité, ces deux choses qui échappent aux hommes. Monte-Cristo pou-'Sa un soupir qui ressemblait à un rugissement., et, saisit ses beaux cheveux à pleines mains. — Edmond, continua Mercédès, les bras tendus vers le comte, Edmond, depuis que je vous connais j'ai adoré votre nom. j'ai respecté votre mémoire. Edmond, mon ami, ne me forcez pas de tenir cette image noble et pure reflétée sans cesse dans le miroir de mon cœur. Edmond, si vous saviez toutes les prières que j'ai adressées pour vous à Dieu, tant que je vous ai espéré vivant et depuis que je vous ai cru mort, oui, mort, hélas! Je croyais votre cadavre enseveli au fond de quelque sombre tour; je croyais votre corps précipité au fond de quelqu'un de ces abîmes où les geôliers laissent rouler les prisonniers morts, et je pleurais! Moi, que pouvàis-je pour vous, Edmond,sinon prier ou pleurer? Ecoutez-moi; pendant dix ans j'ai tait chaque nuit le même rêve. On a dit que vous aviez voulu fuir, que, vous aviez pris la place d'un prisonnier, que vous vous étiez glissé dans le suaire d'un mort, et qu'alors on avait lancé le cadavre vivant du haut eu bas du château d'If; et que le ci i que vous aviez poussé en vous brisant sur les rochers avait seul révélé la subs itu-tion à vos ensevelisseurs, devenus vos bourreaux. Eli bien! Edmond, je vous le jure sur S : la tête de ce fils pour lequel je vous implore, j Edmond, pendant dix ans i'ai vu chaque nuit j des hommes qui balançaient quelque chose ] d'informe et d'inconnu au haut d'un rocher; pendant dix ans j'ai, chaque nuit, entendu nn j t cri terrible qui m'a réveillée frissonnante et ? | glacée. Et moi aussi, Edmond, oh ! croyez-moi, j I toute criminelle que je fus, oh! oui. moi aussi j'ai bien souffert. , j — Avez-vous senti mourir votre, père en votre absence? s'écria Monte-Cristo enfon- , çant ses mains dans ses cheveux; avez-vous , vu la femme que vous aimiez tendre sa main à votre rival, taudis que vous râliez au fond du gouffre ? £ — Non, interrompit Mercédès ; mais j'ai vu <l celui que j'amais prêt à devenir le meurtrier c de mon fils! ( Mercédès prononça ces paroles avec une j douleur si puissante, avec un accent si déses- r péré, qu'à ces paroles et à cet accent un sanglot déchira la gorge du comte. à Le lion était dompté; le vengeur était l vaincu. d — Que demandez-vous ? dit-il ; que votre /\ fils vive? eh bien ! il vivra ! d Mercédès jeta un cri qui fit jaillir deux lar- c mes des paupières de Monte-Cristo, mais ces j, deux larmes disparurent presque aussitôt, car f, sans doute Dieu avait envoyé quelque ange ti pour les recueillir, bien autrement précieuses b î qu'elles étaient aux yeux du Seigneur que les j plus riches perles de Guzarate et d'Uphir. a j — Oh ! s'écria-t-elle en saisissant la main t | du comte et en la portant à ses lèvres, oh! ( i met ci, merci, Kdmond ! te voilà bien tel que i ' je, t'ai toujours rêvé, tel que je, t'ai toujours n ? aimé. Oh! maintenant je puis le diie. f; (A suivre.J l UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmaciens de service le dimanche après dîner, 26 courant :pour Gand (Dock-Porte d'Anvers) et M^nt-St-Amand, M. Bogaert, chaussée de Termonde, 128, pour Ledeberg et Gend-brugge, M. Van Waesberghe, rue de l'Eglise, 141, Gend-brugge.ELECTRIC1TÉ répar. prix coûtant. Geniets, r. Brab. 14. PAPIERS et sachets, Van den Breen, bd de l'Abattoir, 17. UNE ÉCOLE PROFESSIONNELLE pour opérateurs. — Dimanche dernier, 19 mai, a eu lieu au local de la « Chambre Syndicale des Opérateurs », rue du Pont-Ma-dou 13, l'ouverture d'une nouvelle école ayant pour but de former d'une façon scientifique, des opérateurs cinématographiques.Le cinématographe a pris une place immense dans notre existence actuelle dont il est devenu pour ainsi dire une nécessité. Il condense en lui tout ce qui peut s'appeler vie, c'est-à-dire les événements grands, petits, douloureux, comiques ou terribles ; il amuse, il émeut et il instruit. Aussi, vu l'importance sanc cesse croissante de l'art tyné--matographique, l'on peut s'étonner qu'une école d'opérateurs n'ait pas été fondée plus tôt. Dans les discours qu'ils ont prononcés à cette fête d'inauguration, M. Louis De Wilde, président d'honneur, M. Strony, le sympathique directeur du « Vieux Gand », et M. De Roeck président dé la Chambre Syndicale -des Opérateurs, ont fait clairement ressortir la nécessité de former des opérateurs, et ils ont montrée que-mgqu'ici ce métier ne s'apprenait que de la main à la main, c-à-d. d'une façon machinale sans aucunes connaissances techniques. Il en résultait naturellement une foule d'inconvénients tant au point de vue de la sécurité du public que de la conservation et de l'entretien des films eux-mêmes, qui placés dans des mains inexpérimentées-risquent d'êtres détériorés, choses vraiment regrettables, si l'on songe aux sommes colossales que coûtent certains d'entre eux. Aussi en vue de remédier à cet état de choses la nouvelle école donnera à se s élèves des notions aussi étendues que possible sur le fonctionnement des appareils, leur construction, les lois d'optique qui y sont appliquées, les différentes sources de lumière artificielle et principalement l'électricité. Comme il ne parait pas douteux que l'école nouvelle obtiendra du succès, l'on envisage déjà la création d'un cours de seconde année où sera enseigné aux futurs opérateurs tout ce qui a rapport à la fabrication des films, etc. Jusqu'ici donc, cette école n'est qu'une institution privée, mais nous osons espérer, avec les organisateurs, qu'élis n'en restera pas là et que tout comme une école indus-] trielle, une école du livre et bien d'autre? encore, elle recevra une aide officielle qui ajoutera d'autant plus de valeur aux diplômes qui y seront délivrés. Elle portera le nom d'un illustre savant gantois qui par ses multiples recherches s'illustra dans l'étude des sciences physiques. Elle s'intitulera «Ecole Joseph Plateau». Le nom ne pouvait être mieux choisi. Aussi devons-nous féliciter de leur initiative les organisateurs et leur souhait r un plein succès pour l'œuvre qu'ils ont entreprise de mjner à bien. VOICI LES CHALEURS. — La poudre S AN A supprime les inconvénients de la transpiration, 1 fr. 25. EN TOUTE PHARMACIE. Cacao sucre a MARGOT », Amidon composé « LE LIS», Café mélange «LEXTRA», Pudding Powder «PAX». Vente en gros, LÉON ROTSAERT, 7, rue Poudrière, (près Boulev. St-Liévin). OUD GEND. — Jusqu'au 29 mai. « Sous l'Etreinte du Sort ». — « Le Concert cinématographe ». Deux nouveautés. Jeudi 30 (matinée et soirée) 3e et 4® représentation des Tableaux-Vivants, Danses et Chants. Ces deux représentations sont organisées par les «Ware Vrienden » au profits des Orphelins de la guerre. HÉMORRHOÏDES ! ! — R. Baetslé, 56, rue Charles Quint. — Alb. Baetslé, avenue Elisabeth, 48, Gand. LES MARQUES « Le Paon » et « Pierrette » constituent un excellent amidon. DE KROONBITTER is de beste. FONDS publics. — Gillet, rue longue des Violettes, 37. MODERN PALACE...— Jusqu'au 30 mai 1918. « Comtesse Pot au feu », grande comédie-vaudeville en 3 parties, jouée par Henny Porten. « Draga Twerskin », grand drame en 4 parties, joué par Maria Carmi. Etc., etc., ete. • ^ HORLOGERIE Kaeschagen, r. BorIuut,3. L'heure juste. MANUFACTURE de cigares et cigarettes. Ed. De Loore, rue du Fuchsia, 104-106. MINARD. — Dimanche 26, lundi 27, mardi 28 et jeudi 30 à 7 1,2 h. « Le Comte de Luxembourg » avec M. EV. DE BOUVRE. Prochainement •« La Chaste Suzanne « et les « Saltimbanques ». Matinée tous les dimanches à 3 heures. L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. HORLOGERIE suisse Behaegel-Mees,chaussée deCour-trai, 128, et chaussée d'Anvers, 54, Gand. AU THÉÂTRE PATHÉ : « Mariage de Raison ». — Pour raison d'Etat, le duc Egon doit épouser la princesse Henny. Les futurs époux ne se sont jamais vus ! Henny accepte l'aventure car elle s'ennuie à mourir dans sa cage dorée; mais le duc, ne voulant rien savoir, quitte le domicile paternel pour se refugier à la campagne. Déguisée en servante, Henny retrouve le fiancé rebelle, fait rapidement sa conquête et l'amour transforme en mariage d'amour un mariage de raison. Bravo Henny I Cette fine comédie, vive, gaie, sentimentale, a obtenu un franc succès. Vendredi prochain première de Raspoutine, drame sensationnel à grand spectacle en 8 actes. LA SANTÉ PARFAITE s'acquiert par des exercices rationnels développant harmonieusement le corps. Les mauvaises attitudes sont corrigées au Cercle deCult.Phys., rue de Vallée, 14, de 2 à 4. Suè-s -*&£& ■ % Bulletin Financier Bourse officieu e de Gand De plus en plus notre bourse devient intéressante, et on ne se borne plus aux valeurs de nos industries locales. L ts d'Anvers 1887 87 1/2. Le déficit budgétaire d'Anvers s'elevant à environ 20 millions, la ville a fait un emprunt de ce montant en bons de Caisse 4 o/o, remboursables maximum après 10 ans. Banques de Flandre 1350 A. On a arbitré contre des actions Banque de Gand à 830; Crédit foncier de Belgique le bénéfice net de 758866 est notablement inférieur à ceux de 1915 et 16; on paie 4 o o aux actions libérées. Crédit général de Belgique. Les résultats sont à peu près identiques à ceux de 1916; et comme lors, on ne distribue rien. Chemins de fer Central Sud Américains. La liquidation de cette Société qui dure depuis 1898 a été clôturée. L'action privilégiée reçoit un second et dernier dividende de 45 fr. (le premier avait été de 75 en 1913). Les chemins Méridionaux distribuent 5 o/o. Métropolitain de Paris dernier cours 470; malgré que les recettes de 1917 étaient en augmentation de 13 1,2 millions, les bénéfices nets sont inférieurs de 600000 fr.; le dividt nde est le même soit fr. 14. Nord de l'Espagne. En présence des augmentations des frais, l'administration à décidé de ne pas distribuer les 5 pés. de divi leride et de reporter le solde. Tramways de Bangkok 145, la marche de cette affaire continue à donner pleine satisfaction. Barcelona traction 105; a créé des obligations de priorité 7 o/o. Gand a amené quelques titres de 172 1/2 à 175 contre 167 il y a 8 jours; dividendes et jouissances 82 1/2. Mutuelle tramways offertes. Répondant aux demandes faites en Assemblée générale, l'administration déclare que l'intérêt de la mutuelle dans l'éclairage Electrique de inche 26 mai 1918 11* c r es Je umero 62e a^nee — JNos 141-14/

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